Maïta adore le cirque ! les clowns, les acrobates, les danseurs… Mais pas les dompteurs !! Ah ! non ! Ils font claquer leur fouet avec un sourire suffisant.

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3 Maïta adore le cirque ! les clowns, les acrobates, les danseurs… Mais pas les dompteurs !! Ah ! non ! Ils font claquer leur fouet avec un sourire suffisant. Ils obligent de pauvres animaux à faire mille idioties… Croyez-vous qu’un lion prenne plaisir à sauter pour traverser un cerceau enflammé ? A se rouler par terre comme une toupie déréglée ?

4 Elle se remémore les belles images de son livre, où les bêtes sauvages restent des bêtes sauvages, libres et magnifiques… Qu’en reste-t-il, dans ces animaux fantoches qu’elle voit au cirque ?

5 Maïta voudrait que l’on puisse rendre toutes ces bêtes à leur dignité, à leur liberté. Elle voudrait que tout le monde siffle et hue le travail des dompteurs… Mais elle sait que ce n’est qu’un rêve de petite fille… Un rêve que les grandes personnes ne comprennent pas… Elle soupire… Heureusement, voilà les clowns ! Maïta oublie ses soucis, et rit de bon cœur. Vive le cirque !

6 L ’angélus de midi sonne au clocher… Frimoussette : Papa, maman ! Regardez ce que les cloches m ’ont apporté : ce petit cheval blanc qui a l ’air si gentil… Papa : mais il n ’est pas pour toi ! C ’est un poney de cirque ! Voici justement quelqu ’un… L ’homme : Ah ! Vous l ’avez trouvé ! C’est Coco-Bel-Œil. Il m ’a échappé alors que je le promenais dans le village pour le faire admirer : c ’est le gros lot de la loterie.

7 Papa : Je vous achète un billet ! L’homme : Je l ’inscris au nom de…. ? Et l ’homme regarde la petite fille qui sourit et dit : - au nom de Frimoussette, oui… Le soir, quand les cloches ont, de nouveau, sonné l ’angélus, le petit cheval blanc est de nouveau entré dans le pré : Imaginez cela ! Frimoussette l’avait gagné !!!! FIN

8 Les trains qu’on voit passer, ou ceux qui nous emportent, des rêves enchantés savent ouvrir les portes. Ils passent en sifflant, à travers la campagne, traversant les vallées, grimpant sur les montagnes. Et, du matin au soir, et du soir au matin, les tunnels et les ponts leur tracent le chemin.

9 Leurs roues rythment nos chants, qu’ils semblent tous connaître ; Des espaces sans fin ils semblent les seuls maîtres. Déchirant le silence, ils avancent sans fin, inexorablement, allant vers leur destin… Jacky

10 « Oh ! Cette oie ! Elle sème ses œufs je ne sais où ! Je donnerai cher pour savoir où les trouver ! » dit Marion la fermière. Rémi a entendu. Patiemment, il cherche. Il cherche dans les fossés, il cherche sous les buissons… Et tout à coup, alors qu ’il est presque à plat ventre, il tressaille : là, dans l’herbe, trois gros œufs d’oie !

11 Et là, un peu plus loin, d’autres encore… En tout, une dizaine ! Vite, vite, Rémi court chercher Marion. « - Oh mon garçon ! Comme je te remercie ! » En récompense, Rémi reçoit un plein panier d ’œufs… de poule, cette fois ! FIN

12 Oh ! beaux oiseaux, beaux oiseaux blancs qui portez lettres et messages, parcourant le ciel sans nuages ou affrontant les éléments, pigeons, colombes, tourterelles dont la vue réchauffe nos cœurs, vous nous apportez le bonheur quand vous passez à tire d’ailes !... Jacky

13 Bien sûr, c’est formidable, Noël ! D ’abord, il y a la décoration du sapin, avec les cousins venus passer les fêtes. Ensuite, la messe de Noël, les bonbons, le réveillon, autorisé pour ce seul jour de l’année. Et, le lendemain, dans l’allégresse, les cadeaux échangés, les cris de joie, les appels… Les embrassades, les remerciements… Sophie s’est couchée, ce 25 décembre, l’estomac barbouillé et la tête cassée de tout ce bruit.

14 Tandis que le 26 décembre, c’est le bonheur ! Il y a les papiers multicolores qui traînent dans un coin, les bougies à demi consumées que l’on peut rallumer avec maman, un gros morceau de bûche dans le réfrigérateur, des paquets même pas ouverts à côté des bottes… Sophie, dans le silence retrouvé, passe ses cadeaux en revue : Il y a une petite chaise, juste à sa taille ! Puis une poupée dans son couffin, un ballon, un lapin gris à tricot de marin, un harmonica, un livre qu ’elle trouve dans le paquet blanc, des crayons qu ’elle n’avait pas encore vus, dans le petit paquet...

15 Sophie s’assied sur sa chaise, caresse les oreilles soyeuses du lapin, souffle délicatement dans son harmonica… C’est comme si elle disait à chacun : « ça y est ! Nous sommes amis, maintenant ! » A ce moment précis, maman ouvre la porte et sourit : « Alors, ma Puce, tu es contente ? » Sophie court vers elle, les bras tendus, et maman trouve la réponse très claire !!! « Maman, ronronne Sophie en se blottissant contre elle, Noël, c ’est bien, mais après Noël, c ’est peut-être encore mieux !!!! FIN

16 Madeline trouve que ses ours ont l’air bien triste… Ils roulent des yeux en boutons de bottines, et ne disent rien… Que pourrait-elle faire ? Si elle joue à la maîtresse avec eux,ils risquent de ne pas savoir répondre et d’être encore plus tristes. Si elle joue au docteur, ils vont se croire très malades, alors ce n’est pas bon pour le moral… Elle réfléchit… Elle a trouvé !

17 Un goûter ! Elle va les inviter à goûter ! Elle fait, vite vite, une belle petite nappe en papier festonné, dispose avec soin les tasses et la théière de son petit service. Maman lui a donné de l’eau (pas trop chaude) et a mis une cuillerée de chocolat dedans. Et lui a même donné 4 petits biscuits. Madeline assied ses ours autour de la nappe improvisée, et les sert à tour de rôle.

18 Vous ne trouvez pas qu’ils semblent tout ragaillardis ? Ma foi, ils ont même l’air de sourire… Madeline est ravie : tout va bien !!!

19 Musique : Albeniz Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix Jacky.questel@gmail.com http://jackydubearn.over-blog.com/ Site : http://www.jackydubearn.fr/http://www.jackydubearn.fr