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Stephen king Auteur américain, dont les contes d'horreur et d'imagination apprécient le succès populaire énorme. Le roi de Stephen est né à Portland,

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Présentation au sujet: "Stephen king Auteur américain, dont les contes d'horreur et d'imagination apprécient le succès populaire énorme. Le roi de Stephen est né à Portland,"— Transcription de la présentation:

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2 Stephen king

3 Auteur américain, dont les contes d'horreur et d'imagination apprécient le succès populaire énorme. Le roi de Stephen est né à Portland, Maine le 21th septembre, 1947. Son père, un marin marchand, a abandonné la famille en 1950. Le jeune Stephen et son frère David ont été élevés dans Durham, Maine, par leur mère qui a travaillé dans les travaux impairs de soutenir ses enfants. Le roi a écrit sa première histoire à l'âge de 7 et a vendu son premier morceau d'inscription à un magasin quand il avait 18 ans Il écrit des histoires d'horreur influencées par 19th-century la tradition gothique, particulièrement celui d'Edgar Allan Poe. Ses romans, histoires courtes, scénarios, et essais lui ont fait un des auteurs devente dans le monde. Le roi prend des situations et des expériences journalières et indique leur potentiel macabre et terrifiant. Après avoir reçu un diplôme de l'université du Maine en 1970, le roi a continué à écrire tout en travaillant une variété des travaux de travailleur-type, et en ayant un anglais d'enseignement du travail après l'académie de Hampden. Le mariage à son amoureux d'université, à sapins de Tabitha, et à la naissance de leur premier enfant s'est produit en 1971. Et il écrivait toujours. Il a fait à la deuxième rangée des ventes courtes d'histoire à ce qui sont poliment connus comme les "magazines des hommes" (et d'une manière impolie connu en tant que "strokebooks") qui, il tendrement rappellent, fourniraient l'argent qui arriverait juste à temps de payer la visite ou un nouvel ensemble d'un docteur des vêtements des enfants. Et il a conservé sur l'écriture, et le rejet d'accumulation glisse pour des histoires courtes et des romans. En le premier roman 1974 du roi, Carrie, a été édité. Il est au sujet d'une femme qui exige la vengeance mortelle sur ses classmates de lycée en l'employant des puissances de telekinesis, la capacité de déplacer des objets sans les toucher. Carrie a eu d'abord seulement un succès modéré et vend 13 000 copies dans le hardcover. Cependant, Signet a payé $400.000 ses droites de livre broché. Après Carrie, les choses ont commencé à changer pour le roi de Stephen. Le sort de Salems, un conte de vampirism a laissé lâchement dans une petite ville du Maine suivie. Puis briller, un chef d'oeuvre au sujet --- et hanté --- d'un hôtel majestueux de ressource dans le Colorado. Un livre gigantesque concernant la décimation du monde par une peste inspirée par le mal appelé le stand (1978) a été également édité.

4 Vers la fin des années 70 le roi a édité ses premiers livres brochés sous le nom de Richard Bachman. Talisman (1984) a été écrit avec Peter Straub. Le roi a également édité la non-fiction. Dans sa collection d'essais, Danse Macabre (1981), roi a décrit le processus d'écriture comme genre de "danse" dans ce que l'auteur découvre les craintes privées de chaque lecteur. Avant la fin de la décennie, cependant, le roi a constaté qu'il devenait plus qu'un auteur bien connu d'horreur. Des romans d'horreur ont commencé à être décrits en tant que "livres de Roi-type de Stephen." Christine (1983) comporte une voiture sinistre qui semble venir vivant, et lui (1986) soucis par groupe d'amis d'enfance qui réunissent pour confronter une présence mauvaise dans leur ville natale. Beaucoup d'autres romans du roi incluent Misery (1987), Things nécessaire (1991), Dolores Claiborne (1992), Insomnia (1994), Rose Madder (1995), sac d'Bones (1998), où le roi est revenu au thème de la perte d'un membre de famille, et ont ajouté dans lui l'idée hantée classique de maison et les éléments familiers de ses travaux précédents: une petite ville où les gens savent que plus qu'elles dites, le coupable collectif, et un héros qui ne peut pas éviter la confrontation avec les puissances mauvaises; La fille qui a aimé Tom Gordon (1999), et Dreamcatcher (2001). Le roi est entré dans la science-fiction avec la tour foncée, une série d'imaginations au sujet de Roland de Gilead. La série a inclus Gunslinger (1982), schéma des trois (1987), terres de rebut (1991), et Wizard et Glass (1997). Ses collections de fiction courte incluent le poste de nuit (1978), l'Crew squelettique (1985), et le Nightmares et le Dreamscapes (1994). Remarquable pour leur modèle cinématographique, plusieurs de ses romans et des histoires ont été transformés en films cinématographiques réussis, y compris Carrie, briller, misère, rachat de Shawshank, mille vert, et certains d'entre eux avec des scénarios par le roi, par exemple, animal de compagnie Sematary. Le roi admet dedans sur l'écriture (2000) cette il a eu des problèmes avec l'alcool dès en 1975, quand il a écrit briller, et il a également développé dans les années 80 un penchant de drogue. En juin 1999 le roi a été sérieusement blessé dans un accident de voiture mais a récupéré et a continué à écrire. Le roi a également mené la manière en adoptant des techniques d'édition innovatrices. En 1996 il a édité une publication périodique mensuelle en six parties autorisée le mille vert. En partageant le conte dans des acomptes mensuels, disponibles comme livres de livre broché, le roi a cherché à intensifier la tension du roman. Son novella montant la balle (2000) a été libéré comme entité électronique, pour être lu sur un lecteur d'e-livre, un aide numérique personnel, ou un ordinateur, et un roman périodique suivant, l'usine, individu-a été électroniquement édité et libéré dans les acomptes à son website, stephenking.com, commençant en 2000, mais le projet a été stoppé après six chapitres

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6 Carrie (1974) Lot De Salems (1975) Briller (1975) Le Stand (1978) Poste de nuit (1978) Un Autre Mile Quart (1979) La longue promenade (1979, comme Richard Bachman) Zone Mort (1979) Firestarter (1980) Cujo (1981) Roadwork (1981, comme Richard Bachman) Danse Macabre (1981) La tour foncée I: Gunslinger (1982) Seasons Différent (1982) Man courant (1982, comme Richard Bachman) Christine (1983) Animal de compagnie Sematary (1983) Cycle de Werewolf (1983) Thinner (1984, comme Richard Bachman) Crew Squelettique (1985) Les yeux du dragon (1985) Les Livres De Bachman: Quatre Novels Tôt (1986) Il (1986) Misery (1987) La Tour Foncée II: Le schéma des trois (1987) Tommyknockers (1987) Half Foncé (1989) Quatre Midnight Passé (1990) Things Nécessaire La Tour Foncée II: Le schéma des trois (1987) Tommyknockers (1987) Half Foncé (1989) Quatre Midnight Passé (1990) Things Nécessaire (1991) La Tour Foncée III: Les Terres De rebut (1991) Dolores Claiborne (1993) Game De Gerald (1993) Insomnia (1994) Nightmares et Dreamscapes (1994) Rose Madder (1995) Les régulateurs (1996, comme Richard Bachman) Desperation (1996) Mile Vert (1997) La Tour Foncée IV: Wizard et Glass (1997) Sac d'Bones (1998) La fille qui a aimé Tom Gordon (1999) Coeurs en Atlantis (1999) Monte de la balle (2000) Sang Et Fumée (2000) L'usine (2000, édité dans l'Internet, le www.stephenking.com ) Sur L'Écriture (2000) Dreamcatcher (2001) Chambre noire

7 Inutile de présenter Stephen King. Qui n'a pas lu un de ses livres, considérés comme des chefs-d'œuvre du suspense et surtout de l'horreur. Et pour ceux qui n'ont jamais lu un de ses romans (eh oui, cela existe !), ne me dites pas que vous n'avez jamais vu une de ses adaptations au cinéma : Shinning, Simetierre, Ca... et Christine. Eh oui, ce roman a été adapté par un maître du fantastique, John Carpenter et ce, en 1983. Toujours se méfier de sa voiture... Le décor se situe à Libertyville en Pennsylvanie en 1979, une petite ville bien tranquille. Arnie Cunningham est un lycéen timide et complexé : trop maigre pour être sportif, trop mauvais en cours, trop repoussant avec son acné juvénile... Son seul point fort : la mécanique automobile pour laquelle il est un vrai champion. Alors qu'il se promène avec son ami Denis, Arnie ne peut que s'arrêter devant une vieille Plymouth Fury 1958, bonne pour la casse. Pourtant, il a le coup de foudre, un coup de foudre qui va lui être fatal. Arnie décide de racheter la voiture, baptisée Christine et prend l'initiative de la retaper. Dans les mains de ce bricoleur aux doigts de fée, Christine reprend vie... Et dans les deux sens du terme, car le pouvoir maléfique de la voiture se révèle au grand jour. Christine semble animer d'une vie à part entière. Mis à part Arnie, personne ne se sent bien dans cette automobile et surtout pas Leigh, sa nouvelle petite amie, car Christine s'avère éprouver une jalousie maladive surtout meurtrière... A ne pas lire avant de prendre le volant ! Stephen King a un don indéniable pour écrire et on ne peut le démentir. Ce roman est loin d'être son meilleur mais il se lit très vite et est fort agréable. Malgré des personnages un peu trop caricaturaux bien à l'américaine (tout le monde sait que les filles ne choisissent les garçons que pour leur voiture ;o), le récit reste une critique de la société américaine, certes simpliste mais n'oublions pas qu'il s'agit avant tout d'un livre d'horreur. On retrouve dans Christine tous les ingrédients de ce maître du fantastique : psychologie, suspense, épouvante... Bref, de quoi vous donner quelques frissons avant de monter en voiture Le samedi 19 juin 1999, Stephen King a été victime d'un grave accident dans lequel il a failli mourir, survenu à proximité de chez lui, dans le Maine (États-Unis). Il a été renversé par une camionnette alors qu'il marchait sur le bord de la route. Souffrant de nombreuses fractures, il est resté hospitalisé trois semaines durant lesquelles il a subi de nombreuses interventions chirurgicales

8 Stephen KING est sans conteste, le plus grand auteur contemporain. Ses personnages sont aussi denses que ceux de FAULKNER. Et lorsque la scène se déroule sur un laps de temps assez court, ils rappellent ceux de Henry JAMES, car Stephen KING, dans ce genre de romans, ne laisse pas au lecteur, la faille qui lui permettra d’apprécier différemment le personnage qu’il impose. Mais Stephen KING est aussi victime de son succès. La densité de ses œuvres s’effrite dans les adaptations cinématographiques, si bien que le cinéphile n’aura guère l’idée de se plonger dans un roman qui porte l’empreinte du maître. Autre parallèle avec Henry JAMES, Stephen KING passe pour un auteur de fantastique. C’est oublier un peu « Cujo » que le septième art a caricaturé. « Il était une fois… » est la formule choisie par Stephen KING pour pénétrer dans le monde de Cujo. Il était une fois Vic et Donna Trenton, leur fils Tad et Cujo, leur chien… On le voit, Stephen KING n’innove en rien. Cette famille est si banale qu’on pourrait l’amalgamer avec la nôtre ou celle de nos voisins. Cette banalité est plus véridique, plus authentique… L’histoire ne repose que sur un fait, somme toute, assez ordinaire : un chien enragé. C’est dans les méandres des cerveaux des gens assiégés par un chien, que Stephen KING va immortaliser son roman. Il peint l’anxiété, l’angoisse, la terreur face à un animal familier et amical, mais qui s’est fait contaminé par une morsure… S’il n’est pas encore au sommet de son art en ce domaine, il fait jeu égal avec FAULKNER ou Henry JAMES. S’il a choisi un saint-bernard en la personne de Cujo –je dis bien la personne-, c’est parce que ce sont des chiens qui rassurent. Mais c’est peut-être aussi parce qu’il doute de son talent. En effet, il en arrive tellement à semer le trouble chez le lecteur, que celui-ci plaindra la bête au fur et à mesure que la maladie se propage. Cujo, c’est une bête qui souffre et c’est cette souffrance qui fera du livre, un drame. La terreur des personnes assiégées n’est qu’accessoire. Elle est au second plan d’une peinture qu’on pourrait appeler « La souffrance d’un ami ». Ceux qui ont lu Cujo, seront indignés par le film. Ceux qui auront vu le film sans lire Cujo, auront été roulés. « Cujo » est un livre pour ceux qui aiment les animaux, les belles lettres, et les livres à suspens

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15 A bientôt j'espere que ca vous a bien plus joel

16 Vu sur humourpps.comhumourpps.com


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