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Le charbonnier Dès la première charbonnière construit avec des végétaux ,tout d’abord il mettais de la terre blanche (nouvelle terre) .Ensuite il faisait.

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1 Le charbonnier Dès la première charbonnière construit avec des végétaux ,tout d’abord il mettais de la terre blanche (nouvelle terre) .Ensuite il faisait tout un échafaudage avec du bois de 6cm de diamètre et de 0,40m a 1,10m de longueur , l’échafaudage a une hauteur maximale de 1,10m. Après que l’échafaudage soit fini il faut faire la couverture . Il y a 4 partie pour faire la couverture les tôles qu’on aplaties pendant pendant 25 jours, des aiguilles de pins des feuilles de la paille humide au de l’humus pour combler les trous et on recouvre le trous avec de la terre noire .Pour allumer le feu il faut une dizaine de Kg de braises ainsi que du bois vert de 20 cm .Fermer le couvercle qui est en haut de la charbonnerie,et toute les heures il faut remettre des brindilles. La charbonnière reste allumer pendant 30 jours,mais un grand nombre d’interaction peut provoquer une mauvais cuisson .Il faut retiré le charbon très délicatement , on peut en récolter 10 ou 20 Kg. Le charbon est disposer autour de la meule et attendre 50 jours pour les mettre dans un sac . Dominique Guiponi est un des dernier bouscatiers varois . Il a commencer à travailler comme bouscatier à 11 ans et il à maintenant 60 ans (1996).Il a du faire tellement de charbonnière dans sa vie qu’il ne peut plus les compter .IL a commencer se métier avec son père mais il a décider d’arrêter car se métier n’était pas assez rentable. Mais il est professeur de 4 forestier .Il sont venu d’Italie pour trouver une vie meilleure . Il ont vécu dans la forêt coupant du bois , le transformant en charbon , dormant dans des cabanes. Mais que se sait-ont vraiment d’eux, de leur savoir faire?

2 La transhumance Les bergers montaient en transhumance pendant quatre mois d’affilée sans rentrer chez eux .Cette transhumance consiste d’amener les troupeaux de la plaine vers les pâturages d’altitude. Les bergers se logeaient dans des cabanes de pierre sans confort, qui sert à la fois de lieu de fabrication de fromage et de dortoir. Aujourd’hui les cabanes sont modernisés, électrifiées, grâce aux panneaux solaire, les bergers ne dorment plus dans ces cabanes et la transhumance s’effectue en camion .

3 LE MIEL Ce n’était pas le fait de tous les habitants du pays d’aller au miel sauvage, mais celui d’une équipe spécialisée existant dans chaque village. Le berger était le personnage le mieux placé pour découvrir et repérer les ruches sauvages. Cette première indication était suivie d’une reconnaissance afin de déterminer sa valeur et son intérêt. S’il s’avérait intéressant il était aménagé pour une explotation régulière. « L’Ours » connaissait tous les endroits propices aux ruchers sauvages. De plus il était très connu des bergers qui passent de longues heures attentives à observer la nature suivaient tout particulièrement la vie des abeilles sauvages. Depuis plusieurs millions d’années, les abeilles vivent dans les falaises calcaires de Provence, leur lieu de prédilection étant les gorges. Plus particulièrement le Verdon, pour ses qualités climatiques, réparties sur une grande distance et tout au long de l’année. Le miel fut tout d’abord un aliment divin. Il donnait la force et l’adresse, réparait vite et bien les effets de la fatigue, voir de la maladie. Il était, par sa saveur exquise et son effet immédiat, l’expression même du bien être dans le contexte dur et rébarbatif des premiers âges.

4 Les pierres sèches Les bories sont ,en Provence, de petites habitations construites en pierres sèches.La borie en gradin ou en pyramide présente extérieurement un plan carré alors que l’intérieur est circulaire, montre une coupole arrondie. Sauf exception , la borie ne comporte , comme ouverture que la seule porte coiffée d’un linteau de bois ou de pierre, parfois d’une arcade de pierre sèche .La technique de construction , simple ;ne laisse cependant rien au hasard car les pierres sont orientées de façon à ne pas emporter la pluie vers l’intérieur du cabanon . Le village des bories , dont la construction semble s’être échelonnée du 14ème au 19ème siècle comprendre plusieurs espaces multicellulaire formant des fermes complètes :habitation , bergerie, grange, four à pain, cave à vin s ’articulent autour d’une cour close par un muret .A33Km sur la N100 à l’est d’Avignon,puis D2 vers le nord ,le village des bories , Gordes. On ne fais plus de bories ni de village est font des terrasses. Les terrasses servent à surélever la terrre comme s’il y avait des étage et il les soutient grâce à ces terrasses qui sont construitent en pierres sèche

5 Les coupeurs de buis Longtemps le buis a fait la richesse de quelques habitants du plateau. Cela a cessé avec la création des alliages spéciaux, surtout avec celui entrant dans la fabrication de l’intrégrale (la boule moderne ).La texture particulièrement séneés du buis lui confière une dureté et une résistance de très bonne tenue pour le tournage. Les fûts, venant du Canyon, étaient très prisés car ne présentant aucun défaut ils étaient entièrement utilisables. La portion large du tronc avait toutes es de destinations : ustensiles, pouliers, engrenages. La partie médiane, moins importante, servait pour des axes, des robinets, des fouets à légumes. L’extrémité, vers la ramure était dévolue aux manches à outils.L’exploitation se faisait durant la monte saison agricole.Tout d’abord l’on procédait au dégagement de la base s’il y avait la boule naturelle l’on tranchait les racines.L’outil utilisé était le pic-hache.Une fois ébranchées, les différentes parties du bois étaient séparées à la scie, mises sécher bien au sec dans une baume sans courant d’air.La remontée du bois sec se faisait environ six mois après l’abatage, en mars et avril avant les grands travaux de la ferme.Une fois débarrassés de ses racines sauf pour une, la souche était taillée à la hachette, puis finie avec le destrabun ou petit hachereau à la poignée.Le diamètre, le buis sec, ne devait pas être inférieur à 8cm.Toujours sans lâcher la racine de préhension, il taillait à contre-sens l’autre parie de la souche dont la forme devenait de plus en plus ovoïde. Les gestes étaient courts et saccadés, rapides et précis, faisant voltiger tout autour du « sculpteur » des éclats pétillants et capricieux.


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