La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Réunion de concertation NOGENT– 27 septembre 2005.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Réunion de concertation NOGENT– 27 septembre 2005."— Transcription de la présentation:

1 Réunion de concertation NOGENT– 27 septembre 2005

2 1 – DIAGNOSTIC – ETAT DES LIEUX La Situation économique de la Champagne-Ardenne Lemploi et la formation 2 – QUESTIONS A DEBATTRE DANS LATELIER N°1 : « Anticiper les mutations économiques » 3 – QUESTIONS A DEBATTRE DANS LATELIER N°2 : « Former pour lemploi »

3 Page 3 Signes de fragilité du tissu socio-économique : évolution démographique Seule région en déclin démographique depuis 1999 Solde migratoire fortement négatif, surtout dû au départ des jeunes > 300 110 – 250 60 - 110 < 60 Densité de population (hab/km² en 2003) Evolution de la population entre 1990 et 2004 > + 10 % + 7% à +10% + 3% à +7% + 0% à +3% < 0 Source : INSEE

4 Page 4 Signes de fragilité du tissu économique : Risque de décrochage économique Croissance plus lente du PIB régional par rapport au PIB national depuis 2000 Diminution de 4% de la valeur ajoutée, indicateur majeur de performance économique, entre 1998 et 2002 Dégradation récente des termes de la balance commerciale

5 Page 5 Signes de fragilité du tissu économique : Une région particulièrement concernée par les mutations économiques Accroissement sensible du nombre de défaillances dentreprises en 2004 Nombre important dentreprises en restructurations Problématique de la transmission dentreprise dans les PME (industrie, commerce, artisanat) Faible poids de la recherche publique & privée et du potentiel dinnovation des entreprises

6 Page 6 Evolution des défaillances dentreprises entre 2003 et 2004 Une forte augmentation des défaillances en 2004 : + 25 % Un taux de défaillance de 1,7% (part du nombre total dentreprises), légèrement inférieur à la moyenne nationale (1,8%)

7 Page 7 Les effectifs de R&D des entreprises en 2001 Faiblesse de la R&D dans les entreprises régionales La Champagne-Ardenne accueille moins de 1% des effectifs nationaux de R&D en entreprise Source : Ministère délégué à lenseignement supérieur et à la recherche (2001)

8 Page 8 Emploi et qualification : une situation préoccupante Une augmentation rapide du chômage Le 6 e taux de chômage le plus élevé en France : 10,5% à fin juin 2005 (France 10,1 %) Le tertiaire et la construction créent des emplois, mais en nombre insuffisant pour compenser les pertes dans lindustrie > 13,0 % 13,0 % << 11,0 % 11,0 % << 10,0 % 10,0 % << 8,5 % < 8,5 % Source : INSEE France Métropolitaine (Juin 2005) Par zone demploi (Mars 2005)

9 Page 9 Emploi et qualification : une situation préoccupante Un problème de sous-qualification Prédominance des emplois peu qualifiés Champagne-Ardenne et Franche-Comté : plus fort pourcentage demplois non qualifiés 20 ème région sur 22 en termes de pourcentage de chefs dentreprises et de cadres ; fonctions de R&D fortement sous-représentées Niveau de formation inférieur à la moyenne nationale Difficulté des entreprises à recruter de la main-dœuvre qualifiée Faible nombre dapprentis

10 Page 10 1.Un territoire bénéficiant dune situation géographique exceptionnelle et doté dinfrastructures de transport de qualité Armature autoroutière TGV Est Aéroport International de Vatry Potentiel de développement fluvial 2.Une région attractive pour les investisseurs français et étrangers, grâce à une offre daccueil adaptée Un potentiel de développement pour lavenir 3. Une structuration des pôles dexcellence régionaux (Emballage/Conditionnement – Automobile, Bois, Textile…) et une évolution des industries traditionnelles vers des activités à plus forte valeur ajoutée (Médical/Santé, Logistique, Textiles techniques …)

11 Page 11 4. Le pôle de compétitivité « industries et agro-ressources » à vocation mondiale : une puissante dynamique et un vecteur dimage et dattractivité (7 ème sur 67 dossiers retenus dans le cadre du CIADT du 12/07/05) 5.Un réel potentiel de développement dans le tourisme et les loisirs 6.Un potentiel de « rattrapage » important en matière de R&D et dans les services aux entreprises et aux personnes Un potentiel de développement pour lavenir

12 Page 12 Face à ces constats, une double nécessité : Une forte mobilisation de tous les acteurs du développement économique pour relever le défi et inverser la tendance La définition dune stratégie régionale : axes de développement et cadre daction partenarial Une démarche délaboration du Schéma Régional de Développement Economique et de lEmploi articulée en quatre thématiques : 1. Renforcer lattractivité économique de la région 2. Améliorer la compétitivité des entreprises par linnovation 3. Soutenir les nouvelles activités et structurer les pôles dexcellence régionaux 4. Contribuer à la promotion de lemploi et développer la formation Lenjeu du SRDE

13 1 – DIAGNOSTIC – ETAT DES LIEUX La Situation économique de la Champagne-Ardenne Lemploi et la formation 2 – QUESTIONS A DEBATTRE DANS LATELIER N°1 : « Anticiper les mutations économiques » 3 – QUESTIONS A DEBATTRE DANS LATELIER N°2 : « Former pour lemploi »

14 Page 14 Nouveau contexte pour la formation en région Organisation territoriale de lemploi et des services

15 Page 15 Une situation de lemploi tendue Un taux de chômage élevé Taux de chômage supérieur à la moyenne nationale : 10,5 % contre 10,1 % (juin 2005) Hausse du nombre de chômeurs de longue durée (+ 6,9 % évolution annuelle avril 2005) Proportion des moins de 25 ans (19,3 %) supérieure à la moyenne nationale (16,9 %) Écarts territoriaux significatifs Vallée de la Meuse, Marne moyenne et Sud-Ouest champenois : taux de chômage élevés en lien avec les reconversions industrielles Des tensions sur le marché du travail Des difficultés de recrutement liées à une inadéquation entre loffre et la demande Secteurs en pénurie de main doeuvre : construction, IAA, hôtellerie Métiers sous contrainte : artisanat Pénurie de cadres (faible attractivité régionale) Baisse du nombre détablissements envisageant de recruter > 13,0 % 13,0 % << 11,0 % 11,0 % << 10,0 % 10,0 % << 8,5 % < 8,5 % Sources : INSEE, DRTEFP, enquête BMO Taux de chômage par zone demploi (Mars 2005)

16 Page 16 Structure de lemploi Poids croissant de lemploi public 30,9 % des emplois salariés sont dans le secteur public (France 30,4 %) Hausse probable avec les transferts de compétence aux collectivités territoriales Part de lemploi féminin inférieure à la moyenne nationale Largement déterminé par les conditions socio-économiques Plus de 45% dans le sud ouest champenois et Troyes 36% dans la Marne moyenne et dans la vallée de la Meuse : renoncement à lactivité en raison dun taux de chômage élevé (effet déviction) Augmentation de la précarité de lemploi Forte proportion de contrats dintérim parmi les populations les moins qualifiées 55 % des contrats dintérim dans lindustrie Plus de 20 % dans les services Main-dœuvre masculine, ouvrière et peu qualifiée Recours aux emplois saisonniers dans lagriculture, le transport et les activités touristiques Source : DRTEFP, Schéma de formation tout au long de la vie

17 Page 17 Impact de la démographie et du tissu économique sur lavenir du dispositif de formation Une érosion démographique ayant de fortes incidences sur loffre de formation Vieillissement de la population Question du maintien dune offre de proximité dans les territoires et les spécialités où les effectifs vont se trouver inférieurs aux normes admises Risque de déséquilibre entre loffre de formation et les besoins des entreprises (départ à la retraite de nombreux actifs dont les compétences ont été acquises avant tout par lexpérience) Exode des jeunes diplômés et des jeunes actifs Région et entreprises ne parviennent pas à retenir les compétences quelles ont pourtant contribué à produire Situation qui remet en cause la création de richesses et demploi à court et moyen terme Opportunités créées par cette évolution Baisse des effectifs : passer dune logique quantitative à une démarche qualitative, à moyens constants Vieillissement progressif de la population : sources de nouveaux emplois et de nouvelles formes de travail Le poids de la tradition industrielle et agricole Importance relative de loffre de formation pour les secteurs industriels et agricoles Sous-représentation des formations à destination du tertiaire Absence de vision prospective des besoins dans la plupart des entreprises Poids prépondérant des PME et éloignement des centres de décision Corrélation forte entre les origines socio-professionnelles et les parcours scolaires Tradition de salariat industriel : frein à la poursuite des études Source : Schéma de formation tout au long de la vie

18 Page 18 Formation initiale : poids de la formation professionnelle Place dominante de la formation professionnelle à tous les niveaux de formation Résultat dune politique volontariste menée dans ce domaine Voie scolaire privilégiée au détriment de lapprentissage Taux dutilisation de lapprentissage décroissant (- 2,86 % entre 2000 et 2005) et cantonné sur le niveau V Pourtant hausse de la proportion dentreprises qui utilisent lapprentissage Taux de scolarisation encore relativement faible mais en croissance Propension aux études courtes dans le secondaire comme dans le supérieur Taux daccès au baccalauréat inférieur de 2 points au niveau national Décroissance du taux de scolarisation des 20-24 ans depuis 1998 Fuite des bacheliers généralistes vers les formations professionnelles supérieures Segmentation, dispersion, isolement et hétérogénéité du système dinformation et dorientation Évolution vers un allongement des études Progression des taux de scolarisation Multiplication par 3 des + de 25 ans poursuivant leurs études Augmentation du taux daccès au niveau IV Élévation générale du niveau Recours croissant aux formations post-initiales Rattrapage des niveaux de scolarisation Régression des retards et des redoublements Source : Schéma de formation tout au long de la vie, Cereg

19 Page 19 Niveau de formation selon lâge Les moins de 30 ans sont plus fréquemment diplômés que leurs aînés Mais ils étaient encore près de 36 000 sans qualification en 1999

20 Page 20 Formation continue : des efforts dinvestissement à prolonger Nécessité délever le niveau général de qualification Une sous-qualification encore importante Chez les moins de 30 ans notamment, même si plus fréquemment diplômés que leurs aînés et à des niveaux supérieurs Frein à la mobilité professionnelle Nécessité de la certification des compétences par le diplôme (Validation des Acquis de lExpérience) Encore sous-utilisée par les bas niveaux de qualification, ceux-là-même qui en ont le plus besoin Essentiellement une démarche individuelle, en-dehors du cadre de lentreprise Attention : absence de qualification ne signifie pas absence de compétences Situation contrastée de la formation professionnelle continue Baisse du nombre doffres en contrats de professionnalisation et déséquilibre territorial Insuffisance des efforts de formation des entreprises Principaux bénéficiaires : cadres et ouvriers qualifiés Effort de formation régional sous-estimé en raison du faible nombre de centres de décisions dans la région Faible durée moyenne des stages Efficacité du Plan Régional de Formation Professionnelle Orienté vers lindustrie et les secteurs en pénurie de main-dœuvre (3764 bénéficiaires en 2003-2004) Mesures daccompagnement Efforts importants de lAssedic (3800 bénéficiaires en 2004) Source : Schéma de formation tout au long de la vie, Cereg

21 Page 21 Bonne couverture territoriale et bonne qualité des lycées et CFA Notoriété croissante des structures denseignement supérieur Présence dacteurs économiques organisés et capables de définir leurs besoins de formation (agriculture, BTP, transports, sanitaire et social, certains secteurs industriels) Des activités industrielles performantes qui dynamisent les besoins de formation Une image positive de la formation professionnelle Synthèse : forces et faiblesses en matière de formation Exode et « non-retour » des étudiants et jeunes professionnels Disparités territoriales : taux de réussite aux examens, déséquilibre des offres de formation continue Dispersion et hétérogénéité du système dinformation et dorientation Déficit de formations à la reprise dentreprise (artisanat, PME …) Apparition de concurrences entre les établissements de formation, dans un contexte de baisse des effectifs ForcesFaiblesses

22 1 – DIAGNOSTIC – ETAT DES LIEUX La Situation économique de la Champagne-Ardenne Lemploi et la formation 2 – QUESTIONS A DEBATTRE DANS LATELIER N°1 : « Anticiper les mutations économiques » 3 – QUESTIONS A DEBATTRE DANS LATELIER N°2 : « Former pour lemploi »

23 Page 23 Atelier 1 : Anticiper les mutations économiques Prévention des difficultés : Comment les détecter ? (ex : cartographie des « risques économiques » ?) Quelles actions préventives ? Développer la GPEC : Par branche et/ou par bassin géographique ? « Bonnes pratiques » à diffuser Qui fait quoi ?

24 1 – DIAGNOSTIC – ETAT DES LIEUX La Situation économique de la Champagne-Ardenne Lemploi et la formation 2 – QUESTIONS A DEBATTRE DANS LATELIER N°1 : « Anticiper les mutations économiques » 3 – QUESTIONS A DEBATTRE DANS LATELIER N°2 : « Former pour lemploi »

25 Page 25 Atelier 2 : Former pour lemploi Quelles priorités en matière de formation ? Formation des salariés et des demandeurs demploi Formation des personnes les moins qualifiées Développement de lalternance Coordination des acteurs La formation comme facteur dattractivité pour laccueil dimplantations nouvelles : Promotion des compétences régionales auprès des investisseurs Développement de plans de formation « sur mesure » pour les entreprises qui simplantent en région ?


Télécharger ppt "Réunion de concertation NOGENT– 27 septembre 2005."

Présentations similaires


Annonces Google