La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Où en sommes nous de notre compréhension du système climatique?

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Où en sommes nous de notre compréhension du système climatique?"— Transcription de la présentation:

1 Où en sommes nous de notre compréhension du système climatique?

2 MEDTL : figure adaptée ou reproduite récupérée sur le site du Ministère de lEnvironnement, du Développement Durable, des Transports et du Logement http://www.statistiques.developpement-durable.gouv.fr/fileadmin/documents/ Produits_editoriaux/Publications/Reperes/2012/Climat_ed_2012

3 H 2 O ~0,4% à 4% en volumeNO = NO x

4 Depuis le début de lère industrielle la quantité dénergie disponible pour « chauffer » les basses couches de latmosphère a augmenté de 2,5 W/m 2 (de 240 à 242,5) dont 60% pour le gaz carbonique et 20% pour le méthane. Très longue durée de vie pour le CO 2 et forte inertie du système « Terre » : ce que nous faisons aujourdhui aura encore des conséquences dans plus dun siècle!

5 Source : GIEC, 1 er groupe de travail, 2007.N.B : ozone et eau non-inclus Forçage aérosols anthropiques : - 1,20 W/m² depuis 1750

6

7 Locéan est le stock dominant, il a absorbé environ 42% des extractions du sol et de la biosphère réalisées depuis 1750 Latmosphère a stocké le complément ~58% ce qui a fortement modifié sa composition (augmentation de 28% du stock carbone atmosphérique).

8 Chaque année les réservoirs terrestres (forêts principalement) absorbent 29% du C02 anthropique, les océans 25 %. Le reste environ 15 Gt ou 46% est stocké par latmosphère. Attention, locéan aussi senrichit progressive- ment!

9

10 Masse de latmosphère : 4* *R t 2 *p atm /g =5300 Tt, 180 Emol de gaz. Rejet annuel 29 Gt CO 2 (2007) dont 1/3 à 1/2 est absorbé par la biosphère (océans, sols, végétaux) Rémanent ~15 Gt, soit 340 Tmol, soit +1,9 ppmv. En 2007 il y avait 383 ppmv de CO dans latmosphère, en 2010 390 ppmv (à comparer aux 280 ppmv en 1751)

11

12

13 Aimablement communiquée par Jean Jouzel CEA-IPSL-LMD

14 Température mondiale depuis 1880 (annuelle, mensuelle, saisonnière) : http://data.giss.nasa.gov/gistemp/tabledata_v3/GLB.Ts+dSST.txt

15 Diminution de la couverture neigeuse, Fonte des glaciers, Fonte des calottes polaires, Fonte des pergélisols, Montée du niveau des mers, Déplacement vers les hautes latitudes des frontières de zones climatiques, Décalages des périodes de végétation, Migration despèces éventuellement pathogènes…

16 Disparition de territoires habités (îles, delta, zones côtières, territoires gelées…) Menaces sur les ressources en eau potables, Sécheresse, inondations, Insécurité alimentaire, Disparitions de nombreuses espèces, Risque sanitaire, canicules, événements météorologiques extrêmes,

17 Les émissions des six gaz à effet de serre2 couverts par le protocole de Kyoto ont augmenté de 70 % depuis 1970 et de 24 % depuis 1990 pour atteindre 49 Gt CO2éq. en 2004.

18 Depuis 2000, le charbon repart à la hausse avec le développement rapide de lAsie. Le pic de produc- tion pétrolier est proche ou passé et la consomma- tion par habitant tend à baisser. Attention les gaz et pétroles non conventionnels risquent dimpa- cter à la baisse les cours des fossiles.

19 Daprès : MEDTL 2012

20

21 Dans le Monde lélectricité est produite surtout avec des énergies fossiles : du charbon, du gaz, un peu de pétrole. La production électrique est responsable de plus dun quart des émissions. Le deuxième contributeur est lindustrie (hors production électrique) pour moins de 1/5 des GES produits, suivent le transport pour environ 1/7 des émissions, lagriculture (CH 4, N 2 O surtout) 1/7 et la déforestation 1/8.

22

23

24

25 Données : Climate Analysis Indicators Tool (CAIT) Version 8.0. (Washington, DC: World Resources Institute, 2011)

26

27 Scenarii

28

29 + 3,5°C dans le sud de lEurope + 2,5°C en Asie du Sud Est + 4,9°C en Arctique (pôle Nord) + 3,2°C en Amérique Centrale + 2,6°C au sud de lAustralie + 3,3°C en Afrique de lOuest Augmentation mondiale de + 2,8°C par rapport à la période 1980-1999 Résultats basés sur lensemble des modèles dans le scénario A1B du GIEC.

30 Convention-cadre sur les changements climatiques, Article 2 « L'objectif ultime de la présente Convention et de tous instruments juridiques connexes que la Conférence des Parties pourrait adopter est de stabiliser, conformément aux dispositions pertinentes de la Convention, les concentrations de gaz à effet de serre dans l'atmosphère à un niveau qui empêche toute perturbation anthropique dangereuse du système climatique. Il conviendra d'atteindre ce niveau dans un délai suffisant pour que les écosystèmes puissent s'adapter naturellement aux changements climatiques, que la production alimentaire ne soit pas menacée et que le développement économique puisse se poursuivre d'une manière durable. » Accord Copenhague 2009 :Nous nous accordons à penser quune forte diminution des émissions mondiales savère indispensable selon les données scientifiques (…) en vue de réduire ces émissions pour que la hausse de la température de la planète reste inférieure à 2 °C, et entendons prendre, pour atteindre cet objectif, des mesures cadrant avec les données scientifiques et fondées sur léquité. Nous devrions coopérer pour parvenir dans les meilleurs délais au plafonnement des émissions mondiales et nationales, en reconnaissant quil faudra plus de temps aux pays en développement pour atteindre le pic des émissions et en se rappelant que le développement social et économique et lélimination de la pauvreté sont les priorités premières et essentielles de ces pays et quune stratégie de développement à faible taux démission est indispensable pour conférer à celui-ci un caractère durable. http://unfccc.int/resource/docs/2009/cop15/fre/11a01f.pdf#page=4

31 http://www.franceonu.org/spip.php?article422 0 : « La France est totalement engagée dans la réussite du processus qui doit nous conduire à un accord global et ambitieux à Copenhague pour lutter contre le changement climatique. Pour la France, laccord de Copenhague est loccasion de définir, pour tous les pays, à partir dun partage équitable des efforts et de nouvelles formes dorganisation internationale, les règles dun développement économique et social véritablement durable, intégrant les contraintes environnementales (émissions de gaz à effet de serre, épuisement des ressources...). Lengagement de la France pour un succès à Copenhague est indissociable de celui de lUnion Européenne, qui négocie dune seule voix dans le cadre de la Convention Climat (CCNUCC) et élabore ses positions dans le cadre lors du Conseil Européen. LUE a fait la preuve avec le paquet " énergie climat " de sa capacité à mettre en place des politiques et mesures permettant datteindre les objectifs ambitieux quelle sest fixés en matière de changement climatique (-20% démissions en 2020 par rapport à 1990 pouvant aller jusquà -30% en cas daccord satisfaisant). Pour la France dans lUE, laccord de Copenhague doit, en premier lieu, viser lobjectif global de limiter le réchauffement à moins de 2 » 1 : Conference of the parties (conférences des états partis à laccord de Kyoto)

32 Emissions peaking by 2020 will require > A CO2price of $50 per ton for power generation & industry in OECD+ > Investment needs in non-OECD countries of $200 billion in 2020, supported by OECD+ through carbon markets & co-financing (F. Birol) Bourse des permis démission et des « certificats verts »

33 Les émissions européennes de GES ont baissé de 17 % hors UTCF sur la période 1990-2009. Chute de près de 6% entre 2008 et 2009, en grande partie en raison de la crise économique. Réductions démissions par secteurs : 15 % énergie, 31 % industrie, 22 % lagriculture et 32 % traitement des déchets. Le stockage net de carbone agro-forestier (UTCF) saccroît sur la même période de 25 %.

34 Lutilisation des combustibles fossiles pour les transports, la production électrique, le chauffage des bâtiment et lindustrie augmentent leffet de serre. Le réchauffement de la Terre est démontré. La corrélation avec lactivité économique est indiscutable. Tout reste à faire pour maîtriser lélévation de température et limiter les conséquences catastrophiques.

35 Pour rester dans un volume horaire limité, il na été question ici que de limpact global sur le climat de lémission de GES, cependant il existe des impacts sanitaires et environnementaux liés aux combustions par exemple : http://www.elements.nb.ca/theme/fuels/orimulsion /cleger.htm http://www.elements.nb.ca/theme/fuels/orimulsion /cleger.htm Concernant cette page, il convient de noter que lorimulsion® ne contient plus de tensio-actifs à base phénolique : http://en.wikipedia.org/wiki/Orimulsion http://en.wikipedia.org/wiki/Orimulsion


Télécharger ppt "Où en sommes nous de notre compréhension du système climatique?"

Présentations similaires


Annonces Google