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Pastoral e des Famill es. Joies et peines sont vécues à la lumière de l’Evangile qui les transfigure.

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Présentation au sujet: "Pastoral e des Famill es. Joies et peines sont vécues à la lumière de l’Evangile qui les transfigure."— Transcription de la présentation:

1 Pastoral e des Famill es

2 Joies et peines sont vécues à la lumière de l’Evangile qui les transfigure.

3 La foi permet de voir la mort non comme un échec mais comme une espérance.

4 Il est important que l’Eglise donne une part plus importante aux familles recomposées.

5 Expérience heureuse de conversion au Christianisme alors que mes parents étaient athées, mes enfants sont chrétiens (catholiques) et ma fille se marie à l’Eglise à Lyon en 2015.

6 Discorde avec les enfants, c’est là qu’on a besoin du secours de Dieu ! Une séparation : un traumatisme et une « renaissance », un retour vers Jésus et son message.

7 Le mariage à la mairie de notre fille avec un Tunisien musulman fut très dur à vivre. Comment se passera la venue des enfants ? pour le baptême ? grandes questions pour nous.

8 Divorcée depuis 40 ans, j’ai un enfant, je suis malheureuse de ne pas aller communier à chaque fois que je vais à la messe!...

9 Nous étions 6 enfants au sein d’une famille unie et heureuses, puis le décès de notre maman, alors que nous étions en bas âge de 6 mois à 10 ans, a tout bouleversé. Notre papa n’a pas voulu nous séparer et s’est remarié…malgré qu’une maman ne se remplace pas…. Merci mon Dieu d’être restés tous ensemble

10 Le Christ nous aide: à vivre ensemble, à faire confiance, à nous épanouir et à nous aimer.

11 Etre chrétien, ce n’est pas seulement « aller à l’église, à la messe » mais c’est dans la vie de tous les jours, dans les actions que l’on mène, dans les valeurs. Je n’ai pas honte de dire que l’église est ma maison et que j’ai une grande famille.

12 Toutes les familles vivent des expériences heureuses ou douloureuses, là encore l’Eglise va devoir à l’image du pape François ouvrir grand son cœur pour accueillir comme les Autres, les blessés de la vie (je pense aux divorcés-remariés qui sont exclus aujourd’hui) il y a vraiment un monde entre la bonté du Christ et la rigidité de cette Eglise ! l’Eglise devrait AIMER toutes les familles et les accueillir dans l’AMOUR. J’ai beaucoup aimé dimanche dernier une prière universelle qui disait : « le christianisme n’est pas une religion des lois et de la morale, mais une religion du cœur »

13 Un de nos enfants une fois adulte, est tombé dans la drogue. Cela a duré 5 ans environ et il en est sorti. Que de pleurs, que de prières pendant toutes ces années. Mais nous lui avons dit plusieurs fois notre confiance en lui, et c’était sincère. Que de joie de le retrouver. « mon fils était perdu et il est retrouvé »

14 Lors de la naissance de nos enfants. quelle joie ! A l’occasion de nos 45 ans de mariage, la joie de se réunir, enfants, petits-enfants, de remercier le Seigneur pour tous les dons et de fêter l’événement. Et aussi l’occasion d’une prière familiale, un soir, au coin du feu, avec les enfants et petits-enfants qui se sont chacun exprimés, même les plus jeunes, par leur prière personnelle. Le Seigneur accompagne chacun et veille sur nous.

15 Nous avons vécu dans des familles nombreuses et c’était super. On doit faire de la place aux autres et chacun est important, on a tous des droits, mais surtout des devoirs les-uns envers les autres. Le Christ nous aide à vivre ensemble, à faire confiance, à nous épanouir pleinement et à nous aimer.

16 Moment de communion autour d’un parent en fin de vie. « j’ai massé les pieds de mon beau-père, il ne parlait plus, j’ai pu lui dire tout mon attachement de cette manière et le remercier pour sa vie de service en me mettant dans la position du serviteur du « Lavement des pieds »

17 Ma grand’mère a discrètement et inlassablement été à la messe chaque dimanche de sa vie ! à son enterrement on me dit qu’il n’y a pas de prêtre, que ce sont des laïcs qui vont faire la célébration. J’aurais voulu mieux pour elle…. Et puis je me suis souvenu qu’elle accueillait avec simplicité le présent. La célébration de son A-Dieu a été simple, comme elle. Finalement ça lui a ressemblé. J’ai appris à accueillir simplement ce qui venait, comme elle, avec la communauté et les laïcs. (sa petite-fille de 30 ans).

18 Je suis tombé amoureux à 40 ans. J’étais en couple avec des enfants, chrétien, j’ai cherché pendant 4 ans à qui en parler dans l’Eglise…. Je voulais rester fidèle, tout en comprenant ce qui m’arrivait. C’est un prêtre d’un autre diocèse qui m’a accompagné. J’ai compris que j’étais en quête d’identité. J’ai rencontré une belle personne et Dieu m’a accompagné sur ce chemin de fidélité. Je retourne vers ma famille délivré. A qui parler dans l’Eglise quand on est amoureux ????

19 Une jeune parente animée d’une foi sincère (ce n’est pas si fréquent) a rencontré un jeune homme avec qui elle voudrait créer un foyer chrétien. Elle souhaite vivement le sacrement de mariage. Seulement voilà le jeune homme est divorcé, marié à l’Eglise sans avoir vraiment la foi, mais pour faire plaisir à sa belle-famille de l’époque. Et les voilà bloqués, ne pouvant dans leur projet accéder ni au sacrement de mariage, ni de l’eucharistie, ni de la réconciliation ! devant cette situation j’ai envie de parodier la parole du Christ : « les sacrements, (comme le sabbat) sont faits pour l’homme et non l’homme pour les sacrements ». qu’en est-il du sacrement de mariage ? et de ceux qu’il bloque ? Est-il des fautes irrémissibles, qui échappent à la miséricorde de Dieu ? comment convaincre, dans la durée, ces jeunes qu’ils ne sont pas rejetés par l’Eglise et par Dieu ?

20 En tant que mère de famille, j’ai vécu un divorce, puis une vie d’isolement. Alors j’ai compris que nous sommes ensemble « comme des marchands sur le marché » pour un temps donné, puis c’est fini, on se disperse et chacun son chemin. Ma seule famille a été mes enfants et le Seigneur. C’est dommage que mes enfants ne soient pas tous baptisés de façon officielle ( 2 fils parce qu’ils avaient 2 ans et 4 ans) ce n’était pas vieux ! Alors pourquoi ne pas organiser des séances de baptême pour jeunes et adultes qui le veulent (sans parcours lourd et compliqué) à la fin de messes (Noël Pâques par exemple) cela donnerait un nouvel élan à l’Eglise.


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