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La deuxième édition se tiendra du 9 au 10 mai

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2 La deuxième édition se tiendra du 9 au 10 mai
Le Salon de l’étudiant algérien La deuxième édition se tiendra du 9 au 10 mai Le Le Salon de l’étudiant algérien «The Graduate fair» est de retour. La deuxième édition de l’événement se tiendra les 9 et 10 mai prochains au palais de la Culture, Moufdi Zakaria. Organisé par l’agence de communication et événementiel spécialisée dans le marketing des ressources humaines, «The Graduate», le salon a rencontré un franc succès l’année dernière en enregistrant près de 6000 visiteurs en deux jours. L’événement se révèle être un espace de rencontre entre, d’une part, les formateurs algériens et étrangers, toutes spécialités et catégories confondues, et, d’autre part, les apprenants de tous les niveaux et tous profils. L’objectif de ce salon est d’offrir l’opportunité aussi bien à ceux qui sont en quête d’une toute première formation qu’à ceux désireux de parfaire leur cursus dans le but d’avoir une mobilité à l’international. Les étudiants ou diplômés qui optent carrément pour une reconversion de leur carrière professionnelle seront également là où il faut être pour satisfaire leurs besoins. En termes de participants, le salon de l’étudiant algérien verra la participation des établissements de formation, entre autres les écoles nationales (publiques et privées) ou étrangères. Parmi les pays participant à cette deuxième édition du salon, on notera : la France, la Russie, la Suisse, la Grande-Bretagne et la Tunisie. Reprises : The Graduate Fair

3 Talents et étudiants à l’honneur à Alger
Talents et étudiants à la recherche d’emploi ont rendez-vous les 9 et 10 mai prochains avec deux salons qui se tiendront au palais de la culture Moufdi Zakaria. Par Mehdi Bendali. Des opportunités intéressantes à saisir lors de ces deux salons. Réunir au même endroit des étudiants et des talents de tous bords. C’est le challenge de que se lancent les organisateurs des Salons Talents et Emploi  et celui  de l’Etudiant algérien. Pour sa cinquième édition, Talents et Emploi se propose de répondre aux besoins des entreprises en manque de compétences adaptées à leurs objectifs stratégiques. Le Salon se propose de leur offrir l’opportunité de mettre en avant leurs métiers et  leurs projets. Trois éditions régionales sont prévues respectivement à Alger, Oran et Constantine à l’initiative de The Graduate, Agence Conseil en communication et d’Emploitic.com. Au même moment se tiendra la deuxième édition du Salon de l’Etudiant Algérien. Ce dernier se veut  comme un espace de rencontre entre d’une part, les formateurs toutes spécialités et catégories confondues, et les apprenants. Il s’adresse  aussi bien à ceux en quête d’une toute première formation qu’à ceux désirant parfaire leur cursus en vue d’une mobilité à l’internationale, en passant par ceux optant pour une reconversion. Y seront présents, des écoles nationales publiques et privées ou étrangères. Parmi les pays participants, la France, la Russie, la Suisse, la Grande-Bretagne et la Tunisie, entre autres. La Russie, à elle seule, est présente à travers son groupe d’universités d’Etat RACUS qui rassemble 16 universités. M.B The Graduate Fair

4 LE SALON DE L’ÉTUDIANT ALGÉRIEN « THE GRADUATE FAIR » EST DE RETOUR
 18 avril 2015 Lynda Louifi Après avoir enregistré un franc succès l’année dernière, le Salon de l’étudiant algérien « The Graduate fair » est de retour pour sa deuxième édition. Il se tiendra les 9 et 10 mai prochain au Palais de la culture, Moufdi Zakaria. Organisé par l’Agence de communication « The Graduate », ce salon sera l’occasion favorable pour des échanges entre les acteurs de la formation, algériens et étrangers, sachant que plusieurs établissements de formation, écoles spécialisées, universités, enseignants, formateurs, conseillers pédagogiques et d’orientation y prendront part.  L’événement se révèle être un espace de rencontre entre, d’une part, les formateurs algériens et étrangers, toutes spécialités et catégories confondues, et, d’autre part, les apprenants de tous les niveaux et tous profils.  L’objectif de ce salon est d’offrir l’opportunité aussi bien à ceux qui sont en quête d’une toute première formation qu’à ceux désireux de parfaire leur cursus, dans le but d’avoir une mobilité à l’international. Les étudiants ou diplômés qui optent carrément pour une reconversion de leur carrière professionnelle seront également là où il faut être pour satisfaire leurs connaissances.  La présence de plusieurs organismes offrira aux visiteurs l’occasion de se pencher sur le monde de la formation et de la recherche. Par ailleurs, le besoin de formation en Algérie est immense, sachant que étudiants partent à l’étranger chaque année pour rejoindre des universités et de grandes écoles.  La France reste le premier pays d’accueil ; avec en , les Algériens constituant la 2e communauté estudiantine en France après les Marocains et les Chinois, suivis respectivement du Royaume-Uni (237 en ), l’Espagne, les USA et l’Allemagne qui se suivent de près avec des chiffres inférieurs à 200 étudiants. Cependant, de nombreuses nouvelles écoles ouvrent également leurs portes chaque année en Algérie, des écoles à caractère privé ou public, étrangères ou nationales, offrant ainsi plusieurs opportunités de formations avec des diplômes dans différents domaines.  Mais, il convient de noter qu’un nombre considérable parmi ces écoles demeure inconnu pour la majorité des étudiants, faute de communication et d’information. Il faut faire connaître ces écoles pour l’ensemble des étudiants à la recherche d’une formation ; celles-ci doivent être médiatisées et connues, et le Salon de l’étudiant algérien est là pour leur faire connaître ces écoles. De prestigieux organismes au rendez-vous Les établissements de formation qui seront, cette année, présents au Salon de l’étudiant algérien comptent parmi les plus prestigieux, qu’il s’agisse d’Ecoles nationales (publiques et privées) ou étrangères. Parmi les pays participants : la France, la Russie, la Suisse, la Grande-Bretagne et la Tunisie, entre autres. La Russie, à elle seule, est présente à travers son groupe d’universités d’Etat RACUS qui représente 16 universités (médecine, pharmacie, télécom, aviation civile, cinéma, agronomie, architecture, génie-civil, etc.) ; ce dernier sera présent avec l’ambassade de la Russie en Algérie.  On note une forte présence aussi de l’USTHB (Université des sciences et de la technologie Houari Boumediene) de Bab Ezzouar, Esad (Ecole supérieure d’architecture, d’audiovisuel et de design) de Tunisie, l’ambassade de la Tunisie avec Tunisia Export, Education First (présents dans plusieurs pays et spécialisé dans les séjours linguistiques), l’ALC (Algerian language Center), Eshra (Ecole supérieure d’hôtellerie et de restauration d’Alger), VATEL Tunis (International Business School Hotel camp, Tourism management), l’Esaa (Ecole supérieure algérienne des affaires), l’ambassade de France, l’Ecole de management, TBS (Toulouse Business School) et LSC London de Grande-Bretagne. The Graduate Fair

5 IL EST BAPTISÉ «THE GRADUATE FAIR» Le 2e Salon de l'étudiant algérien se tiendra en mai à Alger
La deuxième édition du Salon de l'étudiant algérien, baptisé «The Graduate Fair», se tient cette année les 9 et 10 mai 2015 au Palais de la culture Moufdi Zakaria à Alger.  Organisé par l'agence de communication & événementiel spécialisée dans le marketing RH, The Graduate, et suite au succès qu'a connu sa première édition (près de 6000 visiteurs), le Salon de l'étudiant algérien se veut l'un des rares, sinon l'unique, espace de rencontre entre, d'une part les formateurs (Algériens et étrangers), toutes spécialités et catégories confondues, et d'autre part les apprenants de tous les niveaux et tous profils.  Il est destiné aussi bien à ceux en quête d'une toute première formation que ceux désirant parfaire leur cursus en vue d'une mobilité à l'internationale, en passant par ceux optant carrément pour une reconversion de leur carrière professionnelle. Il est aussi une vitrine prestigieuse pour les établissements désirant faire connaître les disciplines dispensées, les niveaux de leurs formations et la valeur de leurs diplômes.  A tous ceux-là, le Salon vient offrir l'opportunité d'avoir sur place, et en l'espace de deux jours seulement, la meilleure des visibilités pour lancer leurs projets que ce soit en Algérie ou à l'étranger. Au regard des chiffres récents, le Salon vient en effet répondre à un besoin avéré et une problématique lancinante en matière de formation, qu'elle soit de base ou de perfectionnement, la ressource humaine étant le facteur-clé du succès. Selon Campus France (novembre 2014), la France a accueilli, à elle seule, durant l'année , quelque étudiants algériens.        R. S. The Graduate Fair

6 2ème Salon de l’Etudiant Algérien, baptisé The Graduate Fair / Espace de rencontres entre formateurs et apprenants Publié le 20 avril 2015 La deuxième édition du Salon de l’Etudiant Algérien, baptisé The Graduate Fair, se tient cette année les 09 et 10 mai 2015 au Palais de la culture Moufdi Zakaria de Kouba à Alger. Organisé par l’agence de communication & événementiel spécialisée dans le marketing RH, The Graduate, et suite au succès qu’a connu sa première édition (près de visiteurs), le Salon de l’Etudiant Algérien se veut l’un des rares, sinon l’unique, espace de rencontre entre, d’une part les formateurs (Algériens et étrangers), toutes spécialités et catégories confondues, et d’autre part les apprenants de tous les niveaux et tous profiles. Il est destiné aussi bien à ceux en quête d’une toute première formation que ceux désirant parfaire leur cursus en vue d’une mobilité à l’internationale, en passant par ceux optant carrément pour une reconversion de leur carrière professionnelle. Il est aussi une vitrine prestigieuse pour les Etablissements désirant faire connaitre les disciplines dispensées, les niveaux de leurs formations et la valeur de leurs diplômes. A tous ceux-là, le Salon vient offrir l’opportunité d’avoir sur place, et en l’espace de deux jours seulement, la meilleure des visibilités pour lancer leurs projets que ce soit en Algérie ou à l’étranger. Au regard des chiffres récents, le Salon vient en effet répondre à un besoin avéré et une problématique lancinante en matière de formation, qu’elle soit de base ou de perfectionnement, la ressource humaine étant le facteur clé de succès. Selon la Fiche pays de Campus France (novembre 2014), la France a accueilli, à elle seule, et durant l’année , quelque étudiants algériens. La même source, citant des données de l’UNESCO, précise les cinq premiers pays d’accueil des étudiants algériens. En 2012, ils ont été, respectivement, la France ( étudiants, soit 88,1%), suivie du Canada (339, 1,4%), des Emirats arabes unis (299, 1,2%), de l’Arabie Saoudite (249, 1,0%) et de la Malaisie (225, 0,9%). En moyenne, plus de algériens partent chaque année à l’étranger pour faire des études. Pour ceux aspirant à des diplômes à l’international tout en poursuivant leurs formations en Algérie, ceci est désormais possible grâce à la forte participation au Salon de l’Etudiant Algérien des différents acteurs de la formation étrangers établis en Algérie, mais également des Ecoles algériennes de niveau international. Le Salon, qui table cette année sur quelque visiteurs, se propose justement d’établir cette jonction pour permettre aux uns et aux autres de trouver sur place toutes les réponses à leurs questions et ouvrir de nouvelles perspectives à travers les propositions d’un large éventail de formules adaptées à des besoins spécifiques. De prestigieux organismes au rendez-vous. Les établissements de formation qui seront, cette année, présents au Salon de l’Etudiant Algérien comptent parmi les plus prestigieux, qu’il s’agisse d’Ecoles nationales (publiques et privées) ou étrangères. Parmi les pays participants, laFrance, la Russie, la Suisse, la Grande-Bretagne et la Tunisie, entre autres. La Russie, à elle seule, est présente à travers son groupe d’universités d’Etat RACUS qui représente 16 universités (médecine, pharmacie, télécom, aviation civile, cinéma, agronomie, architecture, génie-civile, etc.), ce dernier sera présent avec l’Ambassade de la Russie en Algérie. Forte présence aussi de l’USTHB (Université des sciences et de technologies Houari Boumediene) de Bab Ezzouar, ESAD (Ecole supérieure d’architecture, d’audiovisuel et de design) de Tunisie, l’Ambassade de la Tunisie avec Tunisia Export, Education First (présents dans plusieurs pays et spécialisé dans les séjours linguistiques), l’ALC (Algerian language Center), ESHRA (Ecole supérieure d’hôtellerie et de restauration d’Alger), VATEL Tunis (International Business School Hotel & Tourism management), l’ESAA (Ecole supérieure algérienne des affaires), l’ambassade de France, l’Ecole de management TBS (Toulouse Business School) et LSC London de Grande-Bretagne. The Graduate Fair

7 8000 VISITEURS ATTENDUS AU SALON DE L’ÉTUDIANT
Djamel Zerrouk La deuxième édition du Salon de l’Etudiant Algérien, baptisé The Graduate Fair, se tient cette année les 09 et 10 mai 2015 au Palais de la culture Moufdi Zakaria de Kouba à Alger et compte attirer visiteurs.  « Organisé par l’agence de communication & événementiel spécialisée dans le marketing RH, The Graduate, et suite au succès qu’a connu sa première édition (près de visiteurs), le Salon de l’Etudiant Algérien se veut l’un des rares, sinon l’unique, espace de rencontre entre, d’une part les formateurs (Algériens et étrangers), toutes spécialités et catégories confondues, et d’autre part les apprenants de tous les niveaux et tous profils », souligne le général manager dans un communiqué transmis à notre rédaction. Et d’ajouter : « Le Salon de l’Etudiant est destiné aussi bien à ceux en quête d’une toute première formation que ceux désirant parfaire leur cursus en vue d’une mobilité à l’international, en passant par ceux optant carrément pour une reconversion de leur carrière professionnelle.  Il est aussi une vitrine prestigieuse pour les établissements désirant faire connaître les disciplines dispensées, les niveaux de leurs formations et la valeur de leurs diplômes ».  A tous ceux-là, ajoute-t-on, le Salon vient offrir l’opportunité d’avoir sur place, et en l’espace de deux jours seulement, la meilleure des visibilités pour lancer leurs projets que ce soit en Algérie ou à l’étranger. Algériens se forment chaque année à l’étranger, pourquoi pas en Algérie ? Au regard des chiffres récents, le Salon vient en effet répondre à un besoin avéré et une problématique lancinante en matière de formation, qu’elle soit de base ou de perfectionnement, la ressource humaine étant le facteur clé de succès.  Selon la Fiche pays de Campus France (novembre 2014), la France a accueilli, à elle seule, et durant l’année , quelque étudiants algériens. La même source, citant des données de l’UNESCO, précise les cinq premiers pays d’accueil des étudiants algériens.  En 2012, ils ont été, respectivement, la France ( étudiants, soit 88,1%), suivie du Canada (339, 1,4%), des Emirats arabes unis (299, 1,2%), de l’Arabie Saoudite (249, 1,0%) et de la Malaisie (225, 0,9%). En moyenne, plus de algériens partent chaque année à l’étranger pour faire des études. De prestigieux organismes au rendez-vous.  Les établissements de formation qui seront, cette année, présents au Salon de l’Etudiant Algérien comptent parmi les plus prestigieux, qu’il s’agisse d’Ecoles nationales (publiques et privées) ou étrangères. Parmi les pays participants, la France, la Russie, la Suisse, la Grande-Bretagne et la Tunisie, entre autres.  La Russie, à elle seule, est présente à travers son groupe d’universités d’Etat RACUS qui représente 16 universités (médecine, pharmacie, télécom, aviation civile, cinéma, agronomie, architecture, génie-civil, etc.), ce dernier sera présent avec l’Ambassade de la Russie en Algérie.  A noter aussi une forte présence de l’USTHB (Université des sciences et de technologies Houari Boumediene) de Bab Ezzouar, et d’autres grandes écoles tunisiennes. The Graduate Fair

8 En Bref Russes, Suisses, Anglais… participent aux Salon de l’étudiant
La deuxième édition du Salon de l’Étudiant algérien se tiendra les 9 et 10 mai 2015 au Palais de la culture Moufdi-Zakaria de Kouba, à Alger. Parmi les pays participants, on peut citer la France, la Russie, la Suisse, la Grande-Bretagne et la Tunisie, entre autres. Huit mille visiteurs y sont attendus. La manifestation se veut un espace de rencontre entre, d’une part les formateurs (algériens et étrangers), toutes spécialités et catégories confondues, et d’autre part les apprenants de tous les niveaux et tous profils. The Graduate Fair

9 8000 visiteurs attendus au Salon de l’étudiant
La deuxième édition du Salon de l’Etudiant Algérien, baptisé The Graduate Fair, se tient cette année les 09 et 10 mai 2015 au Palais de la culture Moufdi Zakaria de Kouba à Alger et compte attirer visiteurs. « Organisé par l’agence de communication & événementiel spécialisée dans le marketing RH, The Graduate, et suite au succès qu’a connu sa première édition (près de visiteurs), le Salon de l’Etudiant Algérien se veut l’un des rares, sinon l’unique, espace de rencontre entre, d’une part les formateurs (Algé- riens et étrangers), toutes spécialités et catégories confondues, et d’autre part les apprenants de tous les niveaux et tous profils », souligne le général manager dans un communiqué transmis à notre rédaction. Et d’ajouter : « Le Salon de l’Etudiant est destiné aussi bien à ceux en quête d’une toute première formation que ceux désirant parfaire leur cursus en vue d’une mobilité à l’international, en passant par ceux optant carrément pour une reconversion de leur carrière professionnelle. Il est aussi une vitrine prestigieuse pour les établissements désirant faire connaître les disciplines dispensées, les niveaux de leurs formations et la valeur de leurs diplômes ». A tous ceux-là, ajoute-t-on, le Salon vient offrir l’opportunité d’avoir sur place, et en l’espace de deux jours seulement, la meilleure des visibilités pour lancer leurs projets que ce soit en Algérie ou à l’étranger Algériens se forment chaque année à l’étranger, pourquoi pas en Algérie ? Au regard des chiffres récents, le Salon vient en effet répondre à un besoin avéré et une problématique lancinante en matière de formation, qu’elle soit de base ou de perfectionnement, la ressource humaine étant le facteur clé de succès. Selon la Fiche pays de Campus France (novembre 2014), la France a accueilli, à elle seule, et durant l’année , quelque étudiants algériens. La même source, citant des données de l’UNESCO, précise les cinq premiers pays d’accueil des étudiants algériens. The Graduate Fair

10 2e Salon de l’Etudiant Algérien : Carrefour d'échanges
La 2e édition du Salon de l’étudiant algérien, baptisée «The Graduate Fair» se tiendra du 9 au 10 mai 2015 au Palais de la culture Moufdi-Zakaria de Kouba ( Alger). Plusieurs organismes nationaux et étrangers prendront part à cet important événement. La 2e édition du Salon de l’étudiant algérien, baptisée «The Graduate Fair» se tiendra du 9 au 10 mai 2015 au Palais de la culture Moufdi-Zakaria de Kouba ( Alger). Plusieurs organismes nationaux et étrangers prendront part à cet important événement. En effet, parmi les pays participants, la France, la Russie, la Suisse, la Grande-Bretagne et la Tunisie, entre autres. La Russie, à elle seule, est présente à travers son groupe d’universités d’Etat RACUS qui représente 16 universités (médecine, pharmacie, etc.). Ce salon sera marqué également par une forte présence de l’USTHB (Université des sciences et de technologies Houari-Boumédiene) de Bab-Ezzouar, ESAD (Ecole supérieure d’architecture, d’audiovisuel et de design) de Tunisie. Organisé par l’agence de communication & événementiel spécialisée dans le marketing RH, The Graduate, ce salon se veut un espace de rencontre entre, d’une part des formateurs (Algériens et étrangers), toutes spécialités et catégories confondues, et d’autre part les apprenants de tous les niveaux et tous profils. Selon ses organisateurs, « ce salon est destiné aussi bien à ceux en quête d’une toute première formation que ceux désirant parfaire leur cursus en vue d’une mobilité à l’internationale, en passant par ceux optant carrément pour une reconversion de leur carrière professionnelle. Il est aussi «une vitrine prestigieuse pour les établissements désirant faire connaître les disciplines dispensées, les niveaux de leur formation et la valeur de leurs diplômes », ajoutent les organisateurs. Pour ceux aspirant à des diplômes à l’international tout en poursuivant leur formation en Algérie, a indiqué la même source «ceci est désormais possible grâce à la forte participation au Salon de l’étudiant algérien des différents acteurs de la formation étrangers établis en Algérie, mais également des Ecoles algériennes de niveau international.» Il est à noter dans ce contexte que selon la fiche pays de Campus France (novembre 2014), la France a accueilli, à elle seule, et durant l’année , étudiants algériens. La même source, citant des données de l’Unesco, précise les cinq premiers pays d’accueil des étudiants algériens. En 2012, ils ont été, respectivement, la France ( étudiants, soit 88,1%), suivie du Canada (339, 1,4%), des Emirats arabes unis (299, 1,2%), de l’Arabie Saoudite (249, 1,0%) et de la Malaisie (225, 0,9%). En moyenne, plus de Algériens partent chaque année à l’étranger pour faire des études. «Le salon, qui table cette année sur quelque visiteurs, se propose justement d’établir cette jonction pour permettre aux uns et aux autres de trouver sur place toutes les réponses à leurs questions et ouvrir de nouvelles perspectives à travers les propositions d’un large éventail de formules adaptées à des besoins spécifiques», précisent  les organisateurs. Makhlouf Ait Ziane The Graduate Fair

11 Les 9 et 10 mai courant, au palais de la Culture Moufdi Zakaria à Alger, se tiendra la seconde édition du Salon de l’étudiant algérien, The Graduate Fair. Organisé par l’agence de communication et événementiel spécialisée dans le marketing RH : The Graduate, le salon auquel s’associe El Watan-étudiant ambitionne de participer à l’amélioration de la qualité de la formation de la ressource humaine. Cet objectif fixé, les organisateurs de l’événement offrent durant ces deux jours un espace de rencontre entre des formateurs : écoles et universités (algériens et étrangers) et des apprenants de tous les niveaux et profils. L’espace ainsi pensé, donne aux premiers (les formateurs) l’opportunité de mettre en valeur leurs offres. Et aux autres (les étudiants), l’accès in situ à des cursus alléchants pour une éventuelle mobilité à l’international ou une reconversion professionnelle. Le 1er Salon de l’étudiant algérien 2014, qui s’est déroulé l’année dernière (les 7 et 8 juin) dans les locaux de l’Université de Bab Ezzouar (USTHB), avait vu défiler plus de 6000 visiteurs. Pour cette seconde édition, les organisateurs espèrent en compter 2000 de plus grâce à la diversité de l’offre. Des écoles privées et publiques, nationales et étrangères, seront à la portée des visiteurs, ce qui  leur économisera des kilomètres de distance ou des kilowatts de connexion web. En plus de la forte présence de l’USTHB, des écoles françaises, suisses, britanniques, tunisiennes et autres seront au rendez-vous. Une motion spéciale pour la Russie qui sera représentée par son groupe d’Universités d’Etat RACUS forte de quelque 16 universités, toutes spécialités confondues. S’agissant des filières présentées, l’offre est très éclectique. Cela va de la médecine à l’audiovisuel, en passant par le commerce, le management, l’architecture, l’agronomie, les télécommunications ou encore le tourisme et les langues. Même l’aviation civile y est représentée par le groupe d’universités russes. La démarche entreprise par l’agence de communication The Graduate pourrait être considérée comme un événement d’utilité publique. Très souvent mise en avant pour justifier l’atonie de l’économie nationale, le manque de formation de la ressource humaine et de sa mise à niveau (que ce soit en termes de management des entreprises ou même au niveau de la main-d’œuvre qualifiée), est une vérité déplorable. Dans l’enseignement supérieur, les différentes étapes de restructuration et les réformes successives, jamais menées à terme, ont considérablement déstabilisé les cursus et la qualité des formations. Avec ces 1,3 million d’étudiants, un système LMD appliqué sans préalables et sans moyens adéquats, la qualité de l’enseignement de l’Université algérienne et la valeur de ses diplômes se sont effrités devant la gestion chaotique des flux, sauf, il faut le dire, dans quelques îlots de réussites imposées soit par des établissements bien réputés, des enseignants téméraires ou des étudiants volontaires. Cette tendance lourde a provoqué un effet boule de neige sanctionnant lourdement les diplômés locaux. Les recruteurs boudant certaines qualification (une licencié LMD a peu de chance de séduire un DRH), et favorisant les diplômes imprimés sous d’autres cieux, ont poussé les étudiants algériens à partir à la recherche de meilleurs formations ou des diplômes valorisés et valorisants. Quelque 25 000 étudiants DZ partent ainsi, chaque année, mener cette chasse au savoir et au quitus qui ouvrent les voies impénétrables du recrutement. Ceci, alors que les entreprises locales ou étrangères implantées en Algérie continuent de recruter en priorité ceux qui viennent d’ailleurs. C’est dans ce climat et devant le manque flagrant de communication et de promotion des offres de formation (notons une absence de stratégie et de vision claire pour le devenir du pays, mais cela est une autre paire de manches) que The Graduate Fair devient un événement d’utilité publique, en étant ce chaînon manquant entre les formateurs et les candidats à la formation. Une démarche qui devrait faire tache d’huile en l’élargissant à d’autres régions du pays. Samir Azzoug The Graduate Fair

12 Salon de l’étudiant algérien : Un événement d’utilité publique
Offres de formation , stages , mobilité internationale... Le programme en avant-première Salon de l’étudiant algérien : Un événement d’utilité publique

13 Bernard Emié. Ambassadeur de France en Algérie
Les étudiants algériens sont la troisième communauté estudiantine de France Un grand nombre d’étudiants algériens en mobilité universitaire poursuivent leurs études en France. Combien sont-ils exactement ? Et de quelle ampleur est la coopération algéro-française dans ce secteur présentement ?

14 La France est de très loin le premier pays d’accueil des étudiants en provenance d’Algérie, et ces étudiants sont les bienvenus en France. Nous sommes fiers que 90% des étudiants algériens qui poursuivent leurs études à l’étranger choisissent de le faire dans notre pays. Ils sont 23 000 aujourd’hui, ils peuvent être plus demain. Ils représentent en France près de 8% du total des étudiants étrangers. Etudier en France, c’est s’inscrire dans une coopération bilatérale exceptionnelle. La France consacre à l’Algérie son premier budget de coopération universitaire et de recherche : plus de 2 millions d’euros. Un nombre considérable d’établissements français d’enseignement seront présents au Salon de l’Etudiant, pouvez-vous nous en dire davantage sur la participation de votre pays ? Nous avons participé, l’année dernière, au 1er Salon de l’étudiant algérien, qui a été un succès et a démontré l’importance pour les étudiants de préparer leurs projets d’études et d’en faire un parcours de réussite. L’ambassade de France s’associe tout naturellement à cette seconde édition et encourage ces initiatives permettant d’informer les étudiants sur leur orientation dans l’enseignement supérieur. Je souhaite que les services de l’ambassade soient au plus près de la jeunesse algérienne afin de comprendre ses attentes, notamment en matière de formation. Nous devons tout faire pour contribuer à la professionnalisation et à l’employabilité des jeunes diplômés algériens. L’ambassade de France accueillera le public au stand de l’Institut français d’Algérie/Campus France Algérie. Des agents de Campus France et du Département de langue française répondront à toutes les questions des étudiants et de leur famille. Une conférence sera également donnée sur la préparation nécessaire à la poursuite des études en France et sur les certifications et tests en langue française. Toulouse Business School sera également présente dans le stand. Cette école propose un ensemble complet de programmes, du Bac+3 aux Masters «programme Grande Ecole», en liant la formation au monde professionnel afin de préparer les étudiants aux pratiques et à la technicité de leur futur métier. Depuis 2006, l’établissement a accueilli près de 150 étudiants algériens et a une solide convention avec l’Ecole des hautes études commerciales d’Alger (EHEC). Comment gérez-vous le nombre de plus en plus important de demandes d’étudiants désireux de poursuivre leurs études en France sans accuser de retards qui peuvent être préjudiciables à ces derniers ? Existe-il de nouvelles mesures pour faciliter la procédure et l’orientation des nouveaux candidats ? Les services de l’ambassade spécialisés dans le suivi des étudiants algériens ont beaucoup évolué afin de faciliter les procédures. La France consacre d’importants moyens à l’accueil et l’orientation des étudiants algériens en mobilité. Campus France Algérie fête ses 10 ans cette année. Ce service est dédié aux étudiants algériens ou étrangers résidant en Algérie qui souhaitent poursuivre leurs études supérieures en France. Il dispose de structures d’accueil dans les 5 espaces spécifiques et aménagés à cet effet, situés dans les Instituts français d’Alger, Annaba, Constantine, Oran et Tlemcen. Chaque année, près de 15 000 étudiants algériens viennent se renseigner pour poursuivre leurs études en France. Ils effectuent la procédure «Centre pour les études en France» (CEF) : un outil formidable identique pour tous les étudiants internationaux du monde entier. Cette procédure dématérialisée leur permet, grâce à un seul dossier, de faire plusieurs démarches dans plusieurs établissements d’enseignement supérieur français. Ils ont une interface personnelle où ils peuvent poser leurs questions aux agents Campus France via un système de messagerie intégré, recevoir les réponses des établissements, mais aussi leur lettre d’acceptation. Une nouvelle plateforme «Etudes en France» sera mise en ligne en novembre prochain, plus performante et intuitive, qui facilitera la procédure et l’orientation des candidats. Campus France organise également régulièrement des présentations dans les Espaces Campus France sur les études en France et des ateliers CV et lettres de motivation pour aider les étudiants à préparer leur projet d’études. Nos trois consulats généraux traitent les visas étudiants avec un soin particulier et les étudiants ne s’acquittent que de la moitié du prix des frais de visa. Selon quels critères les établissements français d’enseignement supérieur sélectionnent-ils les étudiants étrangers ? Cette sélection se fait-elle suivant des quotas par régions, domaines scientifiques ou autres considérations ? Il n’y a pas de quota pour les visas étudiants délivrés aux étudiants algériens. Chaque dossier est étudié dans sa totalité et sur la base de ses mérites propres. Il est traité de manière identique à celle des autres étudiants internationaux. Chaque candidat a un entretien avec un conseiller Campus France : il s’agit d’une discussion permettant de connaître les choix d’orientation et les motivations des candidats pour les aider à présenter un projet d’études solide qui leur assure toutes les chances de réussite. Les établissements français d’enseignement supérieur sélectionnent les étudiants dans le cadre des commissions pédagogiques en fonction de la qualité des dossiers et sans prendre en compte la nationalité des étudiants. En ce qui concerne le nombre des étudiants algériens actuellement en France, ils sont 23 000, ce qui en fait la troisième communauté estudiantine de notre pays et témoigne aussi de notre ouverture en matière d’attribution de visas.

15 Quels sont les domaines scientifiques les plus sollicités par les étudiants algériens en France ?
L’offre de formation en France est diversifiée et performante : 75 universités, plus de 200 écoles d’ingénieur, 200 écoles de commerce et de management, 120 écoles supérieures d’art publiques, 20 écoles d’architecture. Le réseau couvre l’ensemble du territoire français. La majorité des étudiants partent dans le cadre d’un master et font le choix d’une spécialisation en complément d’une formation initiale en Algérie. Ils choisissent principalement les sciences de l’ingénieur, le commerce et la gestion, ainsi que le domaine des lettres et langues. Les bourses françaises sont principalement accordées aux formations doctorales et à la formation de formateurs. Comment évaluez-vous la coopération algéro-française en matière d’enseignement supérieur et de recherche scientifique ? L’ambassade de France a de très bonnes relations avec le ministère algérien de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Il existe actuellement au moins 700 accords entre les universités algériennes et françaises de toutes les régions permettant de véritables échanges entre les communautés scientifiques. Ces accords marquent l’implication de la France, qui investit fortement dans son enseignement supérieur et dans sa recherche avec un budget national de près de 23 milliards d’euros. Geneviève Fioraso, secrétaire d’Etat chargée de l’enseignement supérieur et de la recherche, s’est en effet rendue en Algérie en janvier 2014 à l’occasion de la troisième conférence algéro-française de l’enseignement supérieur et de la recherche. Nous avons eu également deux visites en France, en octobre dernier, puis à l’occasion du comité intergouvernemental de haut niveau le 4 décembre 2014, de M. Mohamed Mebarki, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique. Cette dernière visite a donné lieu à la signature de deux accords, l’un sur la recherche en mer, et l’autre sur la coopération entre universités dans le domaine du français. La coopération entre la France et Algérie est riche de nombreux autres accords tels que le PHC Tassili et Maghreb pour le rapprochement des laboratoires de recherche et la formation doctorale, le Réseau mixte des grandes écoles entre les écoles d’ingénieur françaises et algériennes, les Instituts technologiques pour la formation des cadres intermédiaires des entreprises. La coopération est constante : l’appel à candidature pour le Profas B+ pour la formation des doctorants vient d’être lancé et est disponible sur le site Internet de l’Institut français d’Algérie. Sofiane Abi

16 Nous formons des stratèges
Mahrez mecheti. chargé de recrutement à l’international Toulouse Business School (TBS) Nous formons des stratèges Vous participez à la 2e édition du Salon de l’Etudiant ; quel est votre objectif ? Notre objectif est le même depuis 9 ans, nous proposons des formations de 3e cycle de type Mastères spécialisés. La nouveauté, cette année, c’est de proposer des formations Bachelor et DBA. Le secteur du businesse a amplement évolué dans le monde. Attire-t-il aussi un grand nombre d’étudiant(e)s ? Effectivement, nous quantifions cette demande d’étudiants à se former dans le business, dans la stratégie, mais surtout dans l’opérationnel. Notre établissement bénéficie de trois accréditations à l’international. aujourd’hui, 1% des écoles de business au monde dispose de ces trois accréditations réunies, cela nous permet d’avoir un classement à l’international et d’être référencés auprès des multinationales à travers le monde. Tous ces indicateurs nous permettent de dire que notre école reste très convoitée par les candidats. Quel rôle joue la formation dans le Business school dans l’essor de l’économie d’un pays, notamment le cas de l’Algérie du moment qu’elle s’apprête à entrer à l’OMC ? Notre établissement investit dans la formation de cette jeunesse désireuse d’investir dans son pays, à moyen ou long terme. Ces algériens ont un vif intérêt de développer leur ouverture d’esprit dans le monde et avoir un accès à des formations de pointe alliées à la pratique en entreprise ainsi que leurs développement personnel au sein de notre établissement. En Algérie, nous travaillons avec des écoles partenaires dans la recherche scientifique. Nous avons participé à un programme de développement à travers l’ambassade de France pour des écoles algériennes, notamment sur la refonte des programmes de formations avec le nouveau système LMD. Quelles perspectives de recrutement se présentent aux étudiants diplômés dans cette filière ? Nous proposons 26 Mastères spécialisés dans différents domines. Il y a un fort potentiel pour ces étudiants à trouver des opportunités d’emploi dans les domaines de fonctions supports, management supply chain, communication, logistique, grandes distribution, audit et contrôle de gestion. Quelles sont les institutions et les entreprises qui sollicitent le plus les étudiants diplômés dans cette filière ? Ce sont des institutions à dimension internationale à la recherche de ces profils. Est-ce que vous avez l’intention d’ouvrir une école en Algérie afin de participer à la formation des étudiants algériens dans cette spécialité ? Dans le moyen-court terme, nous commencerons à lancer des programmes de formations MBA et des Mastères spécialises conformément à notre approche à l’international. Nous souhaitons un avenir prometteur pour nos étudiants. Sofiane Abi

17 FORMATION - Des établissements français au salon de l’étudiant algérien
The Graduate Fair

18 De prestigieux organismes de formation, dont des établissements français, participeront à la deuxième édition du salon de l’étudiant algérien. Prévu pour dimanche et lundi 09 et 10 mai, ce rendez-vous accueillera, en effet, en plus des écoles nationales (publiques et privées), plusieurs participants étrangers devant venir de France, de Russie, de Suisse, de Grande-Bretagne et de Tunisie…  Du côté français, c’est l’ambassade de France à Alger et l’école de management TBS (Toulouse Business School) qui représenteront le pays. La Grande-Bretagne, elle, sera représentée par LSC London. Mais c’est la Russie qui aura la plus forte participation, avec son groupe d’universités d’Etat RACUS qui représente 16 universités (médecine, pharmacie, télécoms, aviation civile, cinéma, agronomie, architecture et génie-civile, etc).  La Tunisie connaitra également une participation appréciable avec l’Ambassade de la Tunisie , Tunisia Export et Education First (présents dans plusieurs pays et spécialisé dans les séjours linguistiques). Baptisé ‘’The Graduate Fair’’, ce Salon sera organisé au Palais de la culture Moufdi Zakaria de Kouba à Alger. Lancée en mars 2010, The Graduate est une agence de communication & événementiel spécialisée dans le marketing des ressources humaines. Elle vise à aider l’entreprise à maximiser le potentiel et le plein épanouissement de son capital humain, en plus de la faire connaître comme employeur de choix auprès de ses diverses clientèles cibles et candidats Quant au salon, il a accueilli, lors de sa 1ère édition,  près de 6000 visiteurs. Il se veut l’un des rares, sinon l’unique, espace de rencontres entre, d’une part les formateurs (Algériens et étrangers), toutes spécialités et catégories confondues, et, d’autre part, les apprenants de tous les niveaux et tous profiles. Il est également destiné aussi bien à ceux qui sont en quête d’une toute première formation qu’à ceux désirant parfaire leur cursus en vue d’une mobilité à l’internationale, en passant par ceux optant carrément pour une reconversion de leur carrière professionnelle. Cette manifestation est également une vitrine prestigieuse pour les établissements désirant faire connaitre les disciplines dispensées, les niveaux de leurs formations et la valeur de leurs diplômes. Pour cette deuxième édition, le Salon table sur quelque visiteurs.   Amar Chaabane ( The Graduate Fair

19 T LE SALON DE L’ÉTUDIANT ALGÉRIEN « THE GRADUATE FAIR » EST DE RETOUR
 18 avril 2015 |  00:34 Lynda Louifi Après avoir enregistré un franc succès l’année dernière, le Salon de l’étudiant algérien « The Graduate fair » est de retour pour sa deuxième édition. Il se tiendra les 9 et 10 mai prochain au Palais de la culture, Moufdi Zakaria. Organisé par l’Agence de communication « The Graduate », ce salon sera l’occasion favorable pour des échanges entre les acteurs de la formation, algériens et étrangers, sachant que plusieurs établissements de formation, écoles spécialisées, universités, enseignants, formateurs, conseillers pédagogiques et d’orientation y prendront part.  L’événement se révèle être un espace de rencontre entre, d’une part, les formateurs algériens et étrangers, toutes spécialités et catégories confondues, et, d’autre part, les apprenants de tous les niveaux et tous profils.  L’objectif de ce salon est d’offrir l’opportunité aussi bien à ceux qui sont en quête d’une toute première formation qu’à ceux désireux de parfaire leur cursus, dans le but d’avoir une mobilité à l’international. Les étudiants ou diplômés qui optent carrément pour une reconversion de leur carrière professionnelle seront également là où il faut être pour satisfaire leurs connaissances.  La présence de plusieurs organismes offrira aux visiteurs l’occasion de se pencher sur le monde de la formation et de la recherche. Par ailleurs, le besoin de formation en Algérie est immense, sachant que étudiants partent à l’étranger chaque année pour rejoindre des universités et de grandes écoles.  La France reste le premier pays d’accueil ; avec en , les Algériens constituant la 2e communauté estudiantine en France après les Marocains et les Chinois, suivis respectivement du Royaume-Uni (237 en ), l’Espagne, les USA et l’Allemagne qui se suivent de près avec des chiffres inférieurs à 200 étudiants. Cependant, de nombreuses nouvelles écoles ouvrent également leurs portes chaque année en Algérie, des écoles à caractère privé ou public, étrangères ou nationales, offrant ainsi plusieurs opportunités de formations avec des diplômes dans différents domaines.  Mais, il convient de noter qu’un nombre considérable parmi ces écoles demeure inconnu pour la majorité des étudiants, faute de communication et d’information. Il faut faire connaître ces écoles pour l’ensemble des étudiants à la recherche d’une formation ; celles-ci doivent être médiatisées et connues, et le Salon de l’étudiant algérien est là pour leur faire connaître ces écoles. De prestigieux organismes au rendez-vous Les établissements de formation qui seront, cette année, présents au Salon de l’étudiant algérien comptent parmi les plus prestigieux, qu’il s’agisse d’Ecoles nationales (publiques et privées) ou étrangères. Parmi les pays participants : la France, la Russie, la Suisse, la Grande-Bretagne et la Tunisie, entre autres. La Russie, à elle seule, est présente à travers son groupe d’universités d’Etat RACUS qui représente 16 universités (médecine, pharmacie, télécom, aviation civile, cinéma, agronomie, architecture, génie-civil, etc.) ; ce dernier sera présent avec l’ambassade de la Russie en Algérie.  On note une forte présence aussi de l’USTHB (Université des sciences et de la technologie Houari Boumediene) de Bab Ezzouar, Esad (Ecole supérieure d’architecture, d’audiovisuel et de design) de Tunisie, l’ambassade de la Tunisie avec Tunisia Export, Education First (présents dans plusieurs pays et spécialisé dans les séjours linguistiques), l’ALC (Algerian language Center), Eshra (Ecole supérieure d’hôtellerie et de restauration d’Alger), VATEL Tunis (International Business School Hotel camp, Tourism management), l’Esaa (Ecole supérieure algérienne des affaires), l’ambassade de France, l’Ecole de management, TBS (Toulouse Business School) et LSC London de Grande-Bretagne.

20 Salons de l’étudiant algérien, et des talents et emploi : Jeunes, à vos CV !
La deuxième édition du Salon de l’étudiant algérien, baptisé «The Graduate Fair», et le Salon talents et emploi ont ouvert, hier, leurs portes au palais de la Culture Moufdi-Zakaria de Kouba, à Alger. PUBLIE LE : La deuxième édition du Salon de l’étudiant algérien, baptisé «The Graduate Fair», et le Salon talents et emploi ont ouvert, hier, leurs portes au palais de la Culture Moufdi-Zakaria de Kouba, à Alger. Au premier jour de ces deux manifestations, qui s’étaleront sur 2 jours, une grande affluence du public est constatée sur place, le palais de la Culture grouille de monde, des jeunes en majorité ont fait le déplacement, particulièrement des étudiants et de nouveaux diplômés. Mme Handel, nouvelle diplômée, est venue spécialement pour dénicher une opportunité d’emploi. Pour elle, c’est là une occasion à ne pas rater. Son intuition, explique-t-elle, l’a conduite ici avec la certitude de trouver un job, et c’est possible, tant les offres et la publicité, autour de certaines entreprises en quête de personnel, laissent croire que tout le monde a au moins une chance de tomber sur une bonne offre. Du reste, il faut juste savoir la saisir. En tout cas, beaucoup d’enthousiasme plane sur les lieux. «C’est pour la première fois que je visite ce Salon, et j’ai réellement beaucoup d’espoir», souligne Mme Handel. Ce Salon est très intéressant, surtout, a-t-elle dit, «qu’il permet aux chercheurs d’emploi de prendre connaissance des opportunités d’emploi proposées par les exposants». Les deux manifestations constituent  deux rendez-vous très importants pour les chômeurs et ceux qui demandent un emploi pour la première fois, occasion pour eux de faire valoir leur CV, et pour les étudiants souhaitant continuer leurs études à l’étranger, des bourses. Les visiteurs que nous avons approchés ont, à l’unanimité, exprimé leur grande joie quant à l’organisation de cet événement annuel qui leur permettra de trouver une activité dans leur spécialité. Organisé par l’agence de Communication & Événementiel, spécialisée dans le marketing RH, The Graduate, et suite au succès qu’a connu sa première édition, près de visiteurs, le Salon de l’étudiant algérien se veut l’un des rares, sinon l’unique, espace de rencontres entre, d’une part, les formateurs algériens et étrangers, toutes spécialités et catégories confondues et, d’autre part, les apprenants de tous les niveaux et de tous les profils. Il est destiné aussi bien à ceux en quête d’une toute première formation qu’à ceux désirant parfaire leur cursus, en vue d’une mobilité à l’international, en passant par ceux optant carrément pour une reconversion de leur carrière professionnelle. Il est aussi une vitrine prestigieuse pour les établissements désirant faire connaître les disciplines dispensées, les niveaux de leurs formations et la valeur de leurs diplômes. À tous ceux-là, le Salon vient offrir l’opportunité d’avoir, sur place et en l’espace de deux jours seulement, la meilleure des visibilités pour lancer leurs projets, que ce soit en Algérie ou à l’étranger. De prestigieux organismes au rendez-vous, les établissements de formation qui ont pris part au Salon de l’étudiant algérien comptent parmi les plus prestigieux, qu’il s’agisse d’Écoles nationales (publiques et privées) ou étrangères. S’agissant du Salon talents et emploi, il sera, cette année, à sa 11e édition et pour la 5e année consécutive. Organisé conjointement par The Graduate, agence Conseil en communication & marketing RH, et Emploitic.com, site leader du recrutement sur Internet, le Salon de l’emploi est devenu, au fil de ses éditions successives, l’espace privilégié de rencontre entre les recruteurs et les candidats à l’emploi, tous profils confondus. Le Salon s’impose désormais en véritable baromètre du marché de l’emploi en Algérie. Un marché qui connaît, en effet, une dynamique particulière caractérisée par la concurrence, la mobilité des compétences et l’émergence de nouveaux métiers. Ce qui exige une connaissance plus pointue du marché pour la maîtrise de ses enjeux, de par les rencontres permises entre visiteurs et décideurs aux bonnes connaissances des réalités économiques. De grandes entreprises au rendez-vous pour la rencontre de près de visiteurs. Talents et Emploi qui table, cette année, sur quelque visiteurs sur les deux jours du Salon, eu égard à son plan média plus renforcé, connaît déjà la confirmation de participation de nombre de grandes entreprises dont Axa Assurance, Société Générale Algérie, Novo Nordisk, Spigraph Algérie et Biopharm. Makhlouf Aït Ziane The Graduate Fair

21 Actualités : Le salon de l’étudiant a été ouvert hier  Forte affluence des demandeurs d’emploi
Les demandeurs d’emploi et de formation se bousculaient hier, au niveau des différents stands des entreprises et des écoles de formation qui participent à la deuxième édition du Salon de l’étudiant, ouvert, hier à Alger, au Palais de la culture.  Plusieurs entreprises et organismes nationaux et internationaux venus de France, Russie, Canada, Grande-Bretagne, Tunisie…, prennent part à cet événement de deux jours. «Nous voulons permettre aux compétences de trouver des débouchés d’emploi ou une filière de formation, et aussi donner la possibilité aux entreprises de dénicher des potentialités et des talents sur place», a souligné Rafik Chala, chargé de communication de l’agence Graduate, organisatrice de cet événement. Le salon, soulignent ses organisateurs, est destiné aussi bien à ceux en quête d’une toute première formation que ceux désirant parfaire leur cursus en vue d’une mobilité à l’internationale, en passant par ceux optant carrément pour une reconversion de leur carrière professionnelle. Il est aussi une vitrine prestigieuse pour les établissements désirant faire connaître les disciplines dispensées, les niveaux de leurs formations et la valeur de leurs diplômes. «Nous recevons de nombreux refus lorsque nous postulons et ce salon nous donne l’avantage d’avoir un interlocuteur en face», a souligné une jeune fille, CV en main. Selon les chiffres fournis par l’organisateur du salon étudiant qui cite la source de Campus France, la France a accueilli durant l’année , à elle seule, environ étudiants algériens. Les cinq premiers pays d’accueil des étudiants algériens en 2012, étaient respectivement la France avec  étudiants, soit 88,1%, le Canada avec 339 soit 1,4%, les Emirats arabes unis avec 1,2%, l’Arabie Saoudite avec 1,0% et la Malaisie avec 0,9%. En moyenne, plus de Algériens partent chaque année à l’étranger pour faire des études. wLe Salon de l’étudiant table sur visiteurs contre l’année dernière. S. A. The Graduate Fair

22 Ils attendent que l’enseignement supérieur s’ouvre aux particuliers: Les Tunisiens à l’affût du futur marché des universités privées L’ouverture du secteur de l’enseignement supérieur à l’investissement privé attire les convoitises de nos voisins tunisiens.  Motivés par une quinzaine d’années d’expérience dans l’enseignement supérieur privé, les Tunisiens veulent pénétrer le marché algérien, qui ne compte pour le moment que des établissements publics. Ils veulent saisir l’opportunité de la démonopolisation officielle de ce secteur pour avoir une place avant l’arrivée des autres. Pour se faire connaître auprès des étudiants algériens, le Centre tunisien de promotion des exportations (Cepex) a fait venir plusieurs universités privées tunisiennes à la 2e édition du Salon de l’étudiant algérien et au Salon Talents & Emploi, qui s’est tenu du 9 au 10 mai au Palais de la culture à Alger. Le Cepex a profité de l’occasion pour mettre en exergue la qualité des écoles et instituts supérieurs privés tunisiens et essayer d’y attirer un plus grand nombre d’étudiants algériens au cours des prochaines années. Les universités privées tunisiennes comptent capter une partie du million et demi d’étudiants que compte le secteur de l’enseignement supérieur en Algérie pour doubler leur chiffre d’affaires et diversifier leur clientèle. Pour mieux cibler ce secteur, le bureau du Cepex à Alger compte organiser bientôt des rencontres professionnelles tuniso-algériennes de l’enseignement supérieur privé et de la formation, secteurs très porteurs en Algérie. Le ciblage des étudiants algériens se fera de deux façons. La première en attirant directement les étudiants algériens en Tunisie pour s’inscrire dans les universités privées tunisiennes et l’autre consiste à créer en Algérie des annexes des universités privées tunisiennes. Mais, cette dernière option risque de se heurter à de nombreux obstacles, administratifs notamment, en ce qui concerne l’octroi d’agrément auprès du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, qui n’a pas encore délivré de licence pour la création d’une université privée en Algérie. L’autre obstacle est lié au climat des affaires en Algérie. En effet, les universités tunisiennes doivent s’associer à une entité algérienne pour pouvoir espérer avoir un agrément. La partie algérienne doit impérativement avoir au moins 51% du capital. Il y a lieu de noter que la Tunisie compte actuellement 54 établissements universitaires privés dispensant des cours pour étudiants, dont étrangers, soit 10% de l’ensemble des étudiants inscrits en Tunisie en La quasi-totalité de ces établissements se spécialisent dans les domaines de la technologie, de l’informatique, des sciences médicales et du commerce. Les langues d’enseignement dominantes sont le français et l’anglais. La langue arabe est presque absente dans ces établissements. Auteur: Younes Saâdi The Graduate Fair

23 Salons de l’emploi, des talents et des étudiants
Les entreprises à la recherche de la perle rare Deux salons en faveur des jeunes se tiennent simultanément depuis hier et jusqu’au 10 mai au Palais de la culture. Le premier, dédié à l’étudiant algérien, est à sa deuxième édition et propose des formations à l’intérieur mais aussi à l’extérieur du pays. Instituts et écoles étrangères de formation professionnelle et universitaire y prédominent, et vu l’engouement des jeunes, ils connaissent beaucoup de succès. Les étudiants se disent très intéressés par un cursus en Russie, en Angleterre ou en France. Du côté des centres de formation locaux, on reconnaît l’incapacité à insérer les stagiaires dans les entreprises et le marché du travail. « Nous avons du mal à trouver des places dans les entreprises, qu’elles soient privées ou publiques. Nous faisons du porte-à-porte avec nos propres moyens pour aider nos étudiants à accéder aux stages pratiques. 10% de nos stagiaires seulement ont la chance de trouver une place dans des entreprises pour leurs stages et certains arrivent à décrocher un emploi », confie la conseillère à l’orientation et l’insertion professionnelles au centre de formation M’hamed-Ben Almi, à Alger. Elle ajoute, dans ce contexte, que les entreprises sont en générale réticentes à ouvrir leurs portes aux jeunes, mais ce sont surtout les sociétés privées qui font des efforts en termes de recrutement notamment. Le deuxième salon est celui des talents et de l’emploi, qui est à sa 11e édition. Il est fréquenté surtout pas des jeunes licenciés mais aussi par des travailleurs qui veulent changer de postes d’emploi. « Nous avons fait des études universitaires de pétrochimie en France. Nous sommes revenus pour travailler ici mais il est très difficile de trouver un emploi. Nous sommes venues à ce salon pour tenter notre chance. C’est une opportunité pour nous », soulignent deux étudiantes. Dans ce salon, la présence étrangère domine également. On y trouve des entreprises installées en Algérie, tel le suédois Ericsson. « Nous avons des postes d’emploi à proposer dans le domaine technique, mais il est difficile de trouver les profils que nous sollicitons. Nous exigeons les meilleurs. Ce type de salon nous permet de chercher les capacités par nous-mêmes. Nous enregistrons les candidatures dans notre base de données. Ainsi, nous pourrons faire appel à eux si le besoin se fait sentir », indique une spécialiste des ressources humaines à Ericsson. Une centaine de CV ont été déposés dans la matinée d’hier au niveau du stand de ce groupe spécialisé dans les technologies de la télécommunication et une autre centaine au niveau de celui de Djezzy. « Nous sommes là pour promouvoir l’image de Djezzy, mais nous sommes aussi en quête de compétences. Nous avons une centaine de postes à offrir et nous avons déjà recruté des jeunes par le biais de ce type de salons », explique la chargée de recrutement à Djezzy, Ouafa Biaz. Le laboratoire Hydra Pharma a reçu, selon son directeur des ressources humaines, 500 CV au cours de cette même matinée de la part des jeunes licenciés et diplômés mais aussi de ceux qui veulent changer d’emploi. « L’expérience est un atout mais nous avons surtout besoin de personnes motivées qui veulent évoluer », dit-il. Farida Belkhiri The Graduate Fair

24 Nation Les entreprises à la recherche de la perle rare
Salons de l’emploi, des talents et des étudiants Les entreprises à la recherche de la perle rare Deux salons en faveur des jeunes se tiennent simultanément depuis hier et jusqu’au 10 mai au Palais de la culture. Le premier, dédié à l’étudiant algérien, est à sa deuxième édition et propose des formations à l’intérieur mais aussi à l’extérieur du pays. Instituts et écoles étrangères de formation professionnelle et universitaire y prédominent, et vu l’engouement des jeunes, ils connaissent beaucoup de succès. Les étudiants se disent très intéressés par un cursus en Russie, en Angleterre ou en France. Du côté des centres de formation locaux, on reconnaît l’incapacité à insérer les stagiaires dans les entreprises et le marché du travail. « Nous avons du mal à trouver des places dans les entreprises, qu’elles soient privées ou publiques. Nous faisons du porte-à-porte avec nos propres moyens pour aider nos étudiants à accéder aux stages pratiques. 10% de nos stagiaires seulement ont la chance de trouver une place dans des entreprises pour leurs stages et certains arrivent à décrocher un emploi », confie la conseillère à l’orientation et l’insertion professionnelles au centre de formation M’hamed-Ben Almi, à Alger. Elle ajoute, dans ce contexte, que les entreprises sont en générale réticentes à ouvrir leurs portes aux jeunes, mais ce sont surtout les sociétés privées qui font des efforts en termes de recrutement notamment. Le deuxième salon est celui des talents et de l’emploi, qui est à sa 11e édition. Il est fréquenté surtout pas des jeunes licenciés mais aussi par des travailleurs qui veulent changer de postes d’emploi. « Nous avons fait des études universitaires de pétrochimie en France. Nous sommes revenus pour travailler ici mais il est très difficile de trouver un emploi. Nous sommes venues à ce salon pour tenter notre chance. C’est une opportunité pour nous », soulignent deux étudiantes. Dans ce salon, la présence étrangère domine également. On y trouve des entreprises installées en Algérie, tel le suédois Ericsson. « Nous avons des postes d’emploi à proposer dans le domaine technique, mais il est difficile de trouver les profils que nous sollicitons. Nous exigeons les meilleurs. Ce type de salon nous permet de chercher les capacités par nous-mêmes. Nous enregistrons les candidatures dans notre base de données. Ainsi, nous pourrons faire appel à eux si le besoin se fait sentir », indique une spécialiste des ressources humaines à Ericsson. Une centaine de CV ont été déposés dans la matinée d’hier au niveau du stand de ce groupe spécialisé dans les technologies de la télécommunication et une autre centaine au niveau de celui de Djezzy. « Nous sommes là pour promouvoir l’image de Djezzy, mais nous sommes aussi en quête de compétences. Nous avons une centaine de postes à offrir et nous avons déjà recruté des jeunes par le biais de ce type de salons », explique la chargée de recrutement à Djezzy, Ouafa Biaz. Le laboratoire Hydra Pharma a reçu, selon son directeur des ressources humaines, 500 CV au cours de cette même matinée de la part des jeunes licenciés et diplômés mais aussi de ceux qui veulent changer d’emploi. « L’expérience est un atout mais nous avons surtout besoin de personnes motivées qui veulent évoluer », dit-il. Farida Belkhiri The Graduate Fair

25 La Russie, nouvelle destination des étudiants algériens
La Russie est en passe de devenir la destination en vogue pour poursuivre des études supérieures de qualité. De plus en plus d’étudiants dans le monde optent pour les établissements universitaires russes. Occidentaux, Africains et Asiatiques, les étudiants étrangers venus de 200 pays du monde ont choisi les universités d’Etat russes, attirés certes par les prix abordables des inscriptions, mais également par le prestige des établissements scientifiques russes. Devant cette nouvelle tendance, les étudiants algériens ne sont pas en reste, un grand nombre s’y rend depuis une dizaine d’années, conforté par l’accord conclu entre l’Algérie et la Russie concernant la reconnaissance mutuelle des diplômes et des grades universitaires. Depuis, de plus en plus de jeunes Algériens envisagent vaillamment cette nouvelle destination pédagogique. En témoigne l’engouement ressenti devant le stand de l’association RACUS, un groupement de 20 universités d’Etat russes présentes aux Salon de l’étudiant «Graduate Fair» organisé samedi et dimanche derniers au palais de la Culture d’Alger, et ce n’est point par simple curiosité, plusieurs inscriptions de jeunes bacheliers, de licenciés et de détenteurs de masters ont été confirmées pour la rentrée prochaine. Le secret de cet engouement trouve en partie son origine dans le fait que les enseignements y sont disponibles, en plus de la langue russe, en français et en anglais, et qu’ils sont compatibles avec le système LMD en vigueur en Algérie. Soutenus par la subvention assurée aux étudiants étrangers par le gouvernement russe qui s’élève à hauteur de 70%, les frais moyens d’études pour une année universitaire, y compris l’hébergement en résidence universitaire, sont d’environ 2500 à 4000 dollars américains, de loin plus abordables que les prix pratiqués en Europe ou aux Etats-Unis. L’organisation RACUS propose à tous les candidats intéressés par une formation pour l’obtention d’un diplôme supérieur dans plus de 500 spécialités telles que les filières médicales, sciences et techniques, économie et sciences humaines... Mohamed Staifi The Graduate Fair

26 Formation professionnelle
Un visa pour l’emploi The Graduate Fair

27 Le stand réservé à la rédaction d’El Watan-étudiant au Salon de l’étudiant, qui s’est tenu du 9 au 10 mai au palais de la Culture, a connu une affluence importante. Une occasion pour les lecteurs du journal El Watan d’échanger avec l’équipe rédactionnelle du supplément, d’exprimer leurs attentes et d’affirmer leur soutien, ainsi que leur fidélité au journal. La rédaction tient à remercier ses fidèles lecteurs, ainsi que ses partenaires présents lors de l’événement et vous donne rendez-vous pour la prochaine édition. «Les majors de promotion de la formation professionnelle sont quasiment assurés d’accéder aux postes d’emploi dès la fin leur cursus», assure Hawa Sarah, stagiaire à l’Institut national de la formation professionnelle de Kouba, spécialisé dans les travaux publics. Depuis quelques années, une nouvelle dynamique impulsée dans le secteur booste la formation professionnelle. Des conventions sont en effet signées entre les différents instituts et centres de formation et les grandes entreprises, majoritairement publiques et privées. Cette approche permet en effet aux apprentis d’avoir, au-delà de la pratique au sein de leurs établissements, un exercice réel du métier dans les sociétés. D’ailleurs, à la différence des étudiants de l’enseignement supérieur, les apprenants de la formation professionnelle sont assurés d’avoir accès à des stages pratiques sans trop de difficultés. «Les apprenants de l’INSFP Kouba peuvent désormais bénéficier des stages pratiques grâce à la convention signée entre l’établissement de formation et la société Cosider. Les majors de promotion peuvent également être recrutés par la société après l’obtention de leur diplôme. Une chose qui n’existait auparavant», précise l’étudiante. Malgré les avantages, le secteur de la formation professionnelle reste marginalisé par les jeunes. Le bac et l’accès à l’enseignement supérieur restent ancrés dans l’imaginaire comme la seule voie de la réussite. «La formation professionnelle continue d’être boudée par les jeunes. Et malgré tous les efforts pour l’amélioration de la formation et toutes les possibilités qu’il offre, ce secteur demeure le tonneau des Danaïdes», ajoute la jeune stagiaire. Or, face à la dévalorisation du diplôme universitaire et le manque de débouchés, beaucoup de jeunes diplômés se retrouvent au chômage de longue durée, et la véritable matière grise quitte le pays pour une meilleure formation et un diplôme plus valorisant. The Graduate Fair


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