Bilan des activités MCHIP Janvier à Mars
Plan de présentation 1.Contexte 2.Principales réalisations 3.Difficultés / Contraintes 4.Perspectives 2
Contexte 3
MCHIP est opérationnel au Burkina Faso depuis Octobre Son but est de soutenir le Programme National de Lutte contre le Paludisme pour renforcer la lutte contre le paludisme à tous les niveaux du système de santé. Au cours des deux premières années, MCHIP a contribué entre autres à : la révision puis l’adoption des modules de formation, du guide national de supervision, la formation de 165 formateurs dans 63 districts sanitaires, des 13 régions sanitaires, La formation de 1260 prestataires dans 20 districts sanitaires La formation de 60 enseignants de l’ENSP La formation de 16 volontaires du corps de la paix et 8 homologues nationaux 4
Contexte En outre, des visites de supervision ont été organisées dans ces districts, des aide mémoires et du matériel d’IEC ont été développé Au cours de la 3ème les objectifs sont : Renforcer les compétences des prestataires dans la prévention et la prise en charge des cas de paludisme selon les nouvelles directives Renforcer les capacités des superviseurs aux niveaux régional et district pour la supervision des prestataires de même que les capacités managériales du PNLP Elaborer et disséminer du matériel adéquat de communication pour renforcer les connaissances, attitudes et pratiques aussi bien des prestataires que des utilisateurs des services de santé. Renforcer la formation de base specialement par la mise à jour du contenu des modules de formation et les méthodes d’enseignement dans les écoles de formation du personnel para médical. 5
Principales réalisations de Janvier et Mars
1. Formation des prestataires 460 prestataires de 14 districts ont été formés sur les nouvelles directives de prise en charge du paludisme. Durée de la formation est de 6 jours Définition et épidémiologie Prise en charge du Paludisme simple Prise en charge du paludisme grave Réalisation du TDR Paludisme et grossesse Communication Transfert de l’apprentissage 7
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Objectif 2. Supervision Du 26 au 31 Mars des visites de supervision ont été effectuées dans les régions sanitaires des Cascades et des Hauts Bassins. Les principaux constats faits sont: Orientation des prestataires faite dans la grande majorité des cas Informations sur les nouvelles directives partagée et affichées Rupture en SP dans certaines formations sanitaires Prise de la SP non supervisée Rupture en TDR Traitement du paludisme sur la base de la présomption clinique Insuffisance de supports de communication 9
Objectif 2: Renforcement des capacités managériales du PNLP Appui technique du Pr Bill Briger pour conduire d’interview et préparation de l’atelier sur le renforcement des capacités du PNLP Elaboration d’un projet d’agenda et de termes de références Report de l’atelier au mois de Mai 11
Objectif 3: Communication Suivi de la dissémination des affiches et dépliants dans les districts sanitaires Concertations avec USAID, PNLP pour l’élaboration d’un plan Intégré de Communication pour le PNLP Renforcement du partenariat avec les volontaires du corps de la Paix Un PCV de 3 ème année est dans le service depuis Février Appui à la formation des formateurs des PCV à Ouahigouya 12
Mise en place d’un comité de pilotage Tenue de 3 réunions dudit comité Elaboration d’un chronogramme pour le processus de révision des curricula Description du profil des enseignants devant bénéficier de la formation en compétences pédagogique Préparation de la formation en renforcement des compétences pédagogiques Objectif 4: Révision des curricula de formation sur le paludisme à l’ENSP 13
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Objectif 5: Documenter des progrès réalisés dans la lutte contre le paludisme Conduite d’une revue documentaire avec l’appui du siège Réalisation d’interviews auprès des partenaires avec l’appui du Pr William Briger Elaboration d’un document de synthèse contenant: Les meilleures pratiques Les défis et goulots d’étranglement 15
Difficultés / Contraintes Les nouveaux districts ne sont pas encore dotés d’équipe cadre ni d’infrastructures rendant la formation des formateurs de ces nouveaux districts impossible; Dans les formations sanitaires des grandes villes (Ouagadougou et Bobo Dioulasso), il existe un grand nombre de prestataires et former une seule personne par formation sanitaire reste largement insuffisant Il existe un besoin en outils de communication (affiches et dépliants) Les activités opérationnelles (JNV Polio, lutte contre les épidémies) limitent l’organisation des sessions de formation au niveau district 16
Perspectives Organiser l’atelier de renforcement des capacités du PNLP Appuyer le PNLP pour l’élaboration de son PIC; Organiser l’atelier de formation en compétences pédagogiques; Préparer l’atelier de révision des curricula Poursuivre le renforcement des capacités des prestataires Développer avec les DRS un mécanisme de supervision efficace 17
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