Politique fiscale et stratégie d’entreprises M. Mignolet Année académique 2008-2009 Master en Sciences économiques Master en Sciences de gestion (à option)

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Net Brut Pf’ K Pf’ K +  C’ K avant intervention publique C’ K +  K0K0   C’ K après … K1K1 c = +  Calcul du taux marginal effectif Calcul du taux.
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Sous-section 4 : Applications et exercices Hypothèses : p = 0.25, r = r* = 0.08, L = 10,  = 0.2, A dd,  = 0.1 Mère h Filiale a w d = w i = 0.05 Cas.
A. Montages sans centre de coordination Hypothèses : EBIT = 100, intérêts inter-sociétés = 70,  a =  h = , pas de RAS sur intérêts et dividendes,
§ 4 : Application et exercices Hypothèses : p = 0.25, r = r* = 0.08, L = 10,  = 0.2, A dd,  = 0.1 Mère h Filiale a w d AH = w i AH = 0.05 Cas 1 : 
Dispositions correctrices Régimes dérogatoires Correction sur d A – : exonération à l’ISOC de 5% des apports pendant 5 ans (application.
Politique fiscale et stratégie d’entreprises M. Mignolet Année académique Master en Sciences économiques Option de spécialisation Politique.
Net Brut Pf’ K Pf’ K +  C’ K avant intervention publique C’ K +  K0K0   C’ K après … K1K1 c = +  Calcul du taux marginal effectif Calcul du taux.
Postface : Les sociétés de financement avantagées sur le plan fiscal Les centres de coordination (AR ° 187 du ) –Les activités au profit exclusif.
Chapitre 3 : Taux effectifs de taxation d’un groupe (inter)national Section 1. Les montages simples MM (pays de résidence) Filiale (pays de la source)
Conséquences : - l’émission d’actions finance l’I marginal : plausible ? - p 2 baisse (gain d’info,   pv discrét, écon de coût de transact) quand le.
1982  = 0.45, m g = 0 Globalisation m p = 0.5 Cédularité m i = 0.2 ENDETTEMENT EBIT = revenu après ISOC PM sur intérêts Base taxable à l’IPP IPP Revenu.
- Approches de politique fiscale Les stratégies de partage (pump priming) –Partage des coûts Aides financières (subvention, bonification d’intérêt) Aides.
Corrections syllabus p. I-15 p. I-17 p. I-18 p. I-19 p. I-21 p. I-24.
- Approches de politique fiscale Les stratégies de partage (pump priming) –Partage des coûts Aides financières (subvention, bonification d’intérêt) Aides.
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Politique fiscale et stratégie d’entreprises M. Mignolet Année académique Master en Sciences économiques Master en Sciences de gestion (à option)

Préambule Contenu : calcul d’impact de la politique fiscale (approche empirique et développements théoriques) Options didactiques - profondeur vs surface - tirer profit des compétences acquises - compétences : calcul, raisonnement - formation vs information – exercices Évaluation (à livre fermé) - +/- 50 % restitution de savoirs - +/- 50 % savoir -faire : calcul, interprétation, … Syllabus et webcampus - Exercices

Introduction Impact de la politique fiscale (effets quantifiables – stimulants / freins) sur le mode de financement sur la décision d’investissement / de localisation Double regard Efficacité des instruments Approche microéconomique vs approche macroéconomique (multiplicateurs inter-industriel, d’offre, par le circuit des revenus) … d’« équilibre partiel »

La politique fiscale et ses contours - Principes Percer le voile de l’entreprise Effet quantifiable sur le coût du capital -Points de repères 1. Impôt sur le revenu et sur le capital + Impôt sur le revenu - L’ISOC : Pourquoi ? En Belgique, depuis Benefit tax - Rent tax - Withholding tax (absence d’imposition pour un gain acté [apporteur domestique], voire réalisé [surtout pour un apporteur étranger])

Tax incidence Qui supporte la charge de l’ISOC ? Exemple : partage de la charge entre investisseur et épargnant

Capital ’K’K Pf Pf’ K = D K Rendement du capital = Pf’ K = D K

Capital ’K’K Pf C’ K C’ K = O K Pf’ K = D K Offre de capital (des épargnants) = C’ K

Capital ’K’K Pf C’ K r K°K° C’ K = O K Pf’ K = D K Surplus de l’investisseur Surplus de l’épargnant s p

Capital ’K’K Pf C’ K K°K° r p s K1K1 C’ K = O K Pf’ K = D K Que se passe-t-il lorsqu’il y a impôt sur le revenu du capital ? Le volume de capital diminue. Il y a un « coin fiscal » = (p – s)

Capital K°K° K1K1 ’K’K Pf C’ K r p s A B C D Perte de surplus de l’investisseur : A+B Perte de surplus de l’épargnant : C+D Gain de ressources pour l’État : A+C = (p-s)K 1 Deadweight loss : B+D

Tax incidence Qui supporte la charge de l’ISOC ? Exemple : partage de la charge entre investisseur et épargnant Part - supportée par l’investisseur :  O  O  D  - supportée par l’épargnant : |  D |  O  D  Si  O est infiniment é lastique, l ’ investisseur supporte toute la charge, Si  O est in é lastique, c ’ est l ’é pargnant

- Les impôts sur l’apporteur de capital + Les impôts sur le capital - explicites (DE, PI, impôt sur l’actif net, …) - implicites (TVA non déductible, comptabilisation FIFO) 2. Taux de taxation (barème – tax holidays) et assiette - Report des pertes T-1 T T+1 Résultat RI zero loss offset carryforward carryback full loss offset Charges non décaissées, dépenses fiscales, prévention des impositions multiples

- Approches de politique fiscale Les stratégies de partage (pump priming) –Partage des coûts Aides financières (subvention, bonification d’intérêt) Aides fiscales –Sur l’ISOC : »Action sur l’assiette : rythme d’amortissement et montant amortissable, dépenses fiscales, intérêts notionnels, CPDI »Action sur les taux (% zéro, différenciés, progressifs) »Régimes particuliers (tailor-made rulings, cost plus, …) –Sur les autres impôts (précomptes à l’IPP, DE, …) –Partage des gains –Partage des risques (garantie, avances récupérables, loss offsetting) Les stratégies de soutien de la productivité et d’aide au financement (recapitalisation, prêt) PLAN DU COURS