TUMEURS SURRÉNALIENNES À PROPOS DE 32 CAS Auteurs: Anas BELHAJ, Moussa SYLLA, Saïd AIT LAALIM, Imane TOUGHRAI, Karim IBN MAJDOUB, Khalid MAZAZ Service de Chirurgie Viscérale B, CHU HASSAN II Fès Congrès national de chirurgie 2016
INTRODUCTION Recouvrent un large spectre de pathologies : bénignes ou malignes Le diagnostic positif repose essentiellement sur la biologie et l’imagerie. Le traitement dépendra du contexte clinique, le caractère sécrétoire et la suspicion ou l’existence de malignité L’étude anatomopathologique permet de confirmer le diagnostic et de dicter la prise en charge thérapeutique ultérieure. Objectif Étudier les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, thérapeutiques et pronostiques de cette entité pathologique. Congrès national de chirurgie 2016
MATERIEL ET MÉTHODE Type et période d’étude: Etude rétrospective, menée de janvier 2002 à décembre Centre d’étude: service de chirurgie viscérale de CHU Hassan II de Fès. Critère d’inclusion: ont été inclus, tous les patients hospitalisés pour tumeur surrénaliennes au sein de notre service. Congrès national de chirurgie 2016
RÉSULTATS Nombre de malades: 32 Age moyen: 40 ans [31 – 57 ans] prédominance féminine, sex ratio de 2,2. Circonstance de découverte: HTA(16 patients), triadre de Menard (5 patient), découverte fortuite (8 patients). Sécrétion hormonale : 54,2% TDM: masse surrénalienne Voie d’abord: laparotomie (19 cas), coelioscopie (9 cas) Geste: Surrénalectomie (28cas); Surrénalectomie + thyroïdectomie: 4 cas traitement non chirurgical: 4 cas Congrès national de chirurgie 2016
complications peropératoires liées au phéochromocytome : 81,25%. Celles des corticosurrénalomes et des métastases surrénaliennes : respectivement de 25% et de 33,3% Décès : 0 La morbidité immédiate : la persistance de l’HTA contrôlée médicalement, et l’insuffisance surrénalienne aigue traitée par corticothérapie. rares dans notre contexte phéochromocytome occupe la première place. Traitement généralement chirurgical pronostic bon en dehors des corticosurrénalomes. RÉSULTATSCONCLUSION Congrès national de chirurgie 2016