Alternative à la castration porcine ANNEXE 4 Alternative à la castration porcine chez Colruyt
1ère amorce ANNEXE 4 Parce que nous sommes convaincus qu'il doit exister d'autres alternatives plus respectueuses pour les animaux que la castration sans anesthésie.
Tests en collaboration avec ILVO ANNEXE 4 Possibilités avec verrats non castré : 200 verrats abattus pendant la phase de test pour : Charcuterie (salami, jambon cuit, etc.) Frais + Tests de goût Instituut voor Lanbouw- en VisserijOnderzoek (Institut de Recherche pour l'Agriculture et la Pêche)
Tests en collaboration avec ILVO ANNEXE 4 Résultats tests de goût : Toujours un certain pourcentage avec odeur et goût typiques du verrat. Les animaux avec l'odeur typique peuvent être repérés via la méthode du fer à souder mais que faisons-nous alors avec ? Étant donné que nous ne voulons pas que nos consommateurs en ressentent les désagréments, ces tests ont été arrêtés.
Prochaines étapes : Entre-temps, nous avons eu vent d'autres ANNEXE 4 Entre-temps, nous avons eu vent d'autres méthodes qui semblaient entrer en ligne de compte. Nous avons examiner ces possibilités dans la pratique : Anesthésie au CO2 Metacam (anesthésiant + anti-inflammatoire) Improvac (immunocastration)
Anesthésie au CO2 Inconvénients : ANNEXE 4 Inconvénients : Les porcelets souffrent énormément de stress avant que l'anesthésiant ne commence à faire son effet. Impossible de contrôler si la méthode a été appliquée. Il a été décidé de ne pas donner suite à cette méthode.
Metacam et Improvac ANNEXE 4 Nous avons mis nous-mêmes sur pied des tests avec ces produits. Ces animaux ont été suivis du 1er traitement jusqu'au consommateur. Suivi au niveau : du taux de mortalité chez les porcelets de la rentabilité des tests de goût suivi dans les abattoirs, salles de découpe, traitement ultérieur...
Test avec Metacam Test mis sur pied avec 1 fournisseur Inconvénients : ANNEXE 4 Test mis sur pied avec 1 fournisseur Inconvénients : L'effet du produit dépend fortement du moment où il est administré par rapport au moment de la castration. Impossible de suivre si les animaux ont réellement été traités. Avantages : Aucune douleur Moins d'inflammations (et par conséquent, moins de médicaments) Légère augmentation du rendement (à négliger)
Test avec Improvac Test sur +/- 2 600 porcelets Avantages : ANNEXE 4 Test sur +/- 2 600 porcelets Avantages : L'intégrité de l'animal est conservée jusqu'à 4 à 6 semaines avant l'abattage. Meilleure conversion alimentaire que chez les jeunes porcs castrés Moins de nourriture nécessaire pour l'engraissement Moins de fumier (durabilité) Pas d'intervention chirurgicale nécessaire Viande plus maigre (consommateur belge) On voit clairement si le vaccin a été administré
Approche ultérieure : Nous avons convié tous les fournisseurs à un ANNEXE 4 Nous avons convié tous les fournisseurs à un entretien lors duquel nous avons communiqué notre intention de commencer à appliquer le vaccin Improvac. À cette occasion, les fournisseurs ont eu la possibilité de formuler leurs remarques et leurs inquiétudes.
Conclusion ANNEXE 4 Après évaluation des entretiens et des tests, nous avons pris la décision de passer à l'Improvac en tant qu'alternative à la castration physique.
Développement ultérieur : ANNEXE 4 Nous nous sommes rendus avec Pfizer chez tous les fournisseurs pour tenir des sessions d'information aux quelles tous les éleveurs ont été invités. Lors de ces sessions, une présentation a été réalisée : Qu'est-ce que l'Improvac ? Comment l'utiliser ? Quels sont les avantages et les inconvénients ? Possibilité de poser des questions Une fois la session d'information terminée, les éleveurs pouvaient commencer à utiliser le vaccin Improvac.
Encadrement Tous les éleveurs et entreprises qui en ont besoin ANNEXE 4 Tous les éleveurs et entreprises qui en ont besoin peuvent faire appel aux vétérinaires de Pfizer pour : Informations supplémentaires Démonstrations Suivi pratique
Communication à l'attention de nos clients ANNEXE 4 Communiqué de presse Feuillet d'information envoyé avec notre dépliant promotionnel adressé Aucune réaction de la part des consommateurs et initiative jugée globalement positive dans le cadre du bienêtre animal.
Situation aujourd'hui ANNEXE 4 80 à 85 % des porcs livrés ont été traités avec le vaccin Improvac. Les points suivants feront maintenant l'objet d'un suivi auprès des éleveurs : Fonctionnement dans la pratique Rendement Il sera également examiné si, sur la base de leur expérience, des adaptations sont nécessaires.
Inquiétudes du côté des éleveurs ANNEXE 4 La plus grosse préoccupation des éleveurs est la suivante : aujourd'hui, tous les retailers ne demandent ou n'exigent pas l'Improvac et il existe donc pour l'instant 2 façons de travailler.