Cartes Conceptuelles 74111- Us@TICE 2009-2010 Daniel Peraya Choï Jenni TECFA Université de Genève
Plan de la séance Tâche en groupe: « Hands on » (consignes déposées dans la PF) Présentation: Une CC, c’est quoi? Ça sert à quoi? (Et illustration) Structure d’une CC, règles, formes, Quels apports pour les apprentissages? Quelles difficultés ? Quels apports des technologies? Quelques outils 2
Illustration d’une CC Carte conceptuelle ou carte heuristique, réseau de concept, carte de connaissances, carte mentale (source : André Laflamme, http://www.cefes.umontreal.ca ) 3
Une CC, c’est quoi? Une CC est un ensemble de concepts reliés sémantiquement entre eux. CC: « une représentation spatiale d’une base de connaissance déclarative » (J.D. Novak, 1983 & 1995) « Les cartes conceptuelles sont des outils pour l’organisation et la représentation des connaissances » (J.D. Novak,, 1995) 4
Structure d’une CC Se compose d’un ensemble de nœuds et de liens (illustration) Un concept est désigné par un label ou un mot Chaque concept est arrangé du plus général au plus spécifique 5
Règles implicites 6 Un concept n’apparaît qu’une fois Un seul lien entre deux concepts La complexité doit être limitée Être attentif à l’orientation des flèches (des formes, des couleurs, etc.) 6
Différentes formes de cartes Structure hiérarchique Structure en réseau Structure en étoile 7
Quels apports pour les apprentissages? Favorise le processus de construction de connaissance Aide à la structuration des connaissances Incite à un traitement plus profond des connaissances Constitue une extension de la mémoire de travail Favorise la pensée réflexive Aide à l’autorégulation cognitive Aide à la compréhension et à la mémorisation 8
Quelles difficultés? Peut provoquer une surcharge cognitive chez certain.e.s étudiant.e.s Difficulté à faire des liens entre les noeuds Estimer la lisibilité de la CC Obtenir une CC mettant en évidence un message général Limiter le contenu de la CC De formaliser les explications de la CC De rendre la CC cohérente (liens, flèches, couleurs, etc.) Déstabilisation pour les auteurs: on ne peut pas tout dire et tout montrer… 9
Quels apports des technologies? Il faut placer un seul concept de premier niveau en haut de la feuille. Les concepts de différents niveaux de généralité doivent être placés à des niveaux hiérarchiques distincts. Les concepts de même niveau sont alignés. Les concepts généraux sont placés en haut et les concepts plus spécifiques plus bas dans la carte. Une carte doit se limiter à 12-15 éléments. Pour représenter de grands domaines de connaissances, on peut faire plusieurs cartes de différents niveaux de généralité. L’étiquette de chaque concept doit être placée à l’intérieur d’une forme graphique simple. Chaque lien doit être étiqueté. Un exemple (connaissance la plus spécifique dans un contexte donné) doit être lié au concept plus général par un lien portant en guise d’étiquette l’abréviation latine « e.g. » et doit être représenté à l’aide d’une forme graphique représentant un rectangle à bordure pointillée. Les liens créés pour représenter des relations d’intégration entre les différents niveaux hiérarchiques de la carte sont en pointillé. Il faut réviser la carte de manière à ce qu’il y ait peu ou pas de liens qui se croisent. Un article de Joseph Novak traduit en français et accessible en ligne présente la théorie qui sous-tend les cartes conceptuelles, la façon de les construire et plusieurs exemples de ce type de cartes construites avec le logiciel Cmap. Il faut placer un seul concept de premier niveau en haut de la feuille. Les concepts de différents niveaux de généralité doivent être placés à des niveaux hiérarchiques distincts. Les concepts de même niveau sont alignés. Les concepts généraux sont placés en haut et les concepts plus spécifiques plus bas dans la carte. Une carte doit se limiter à 12-15 éléments. Pour représenter de grands domaines de connaissances, on peut faire plusieurs cartes de différents niveaux de généralité. L’étiquette de chaque concept doit être placée à l’intérieur d’une forme graphique simple. Chaque lien doit être étiqueté. Un exemple (connaissance la plus spécifique dans un contexte donné) doit être lié au concept plus général par un lien portant en guise d’étiquette l’abréviation latine « e.g. » et doit être représenté à l’aide d’une forme graphique représentant un rectangle à bordure pointillée. Les liens créés pour représenter des relations d’intégration entre les différents niveaux hiérarchiques de la carte sont en pointillé. Il faut réviser la carte de manière à ce qu’il y ait peu ou pas de liens qui se croisent. Un article de Joseph Novak traduit en français et accessible en ligne présente la théorie qui sous-tend les cartes conceptuelles, la façon de les construire et plusieurs exemples de ce type de cartes construites avec le logiciel Cmap. Sources : Quels apports des technologies? Facilité de construction (phase initiale et suivante) Apport de l’hypertexte – lien vers ressources annexes : descriptions, textes, images, page web, etc. Support à la construction collaborative (certains outils) 10
Sources : Quelques outils Cmaptools (gratuit) Il faut placer un seul concept de premier niveau en haut de la feuille. Les concepts de différents niveaux de généralité doivent être placés à des niveaux hiérarchiques distincts. Les concepts de même niveau sont alignés. Les concepts généraux sont placés en haut et les concepts plus spécifiques plus bas dans la carte. Une carte doit se limiter à 12-15 éléments. Pour représenter de grands domaines de connaissances, on peut faire plusieurs cartes de différents niveaux de généralité. L’étiquette de chaque concept doit être placée à l’intérieur d’une forme graphique simple. Chaque lien doit être étiqueté. Un exemple (connaissance la plus spécifique dans un contexte donné) doit être lié au concept plus général par un lien portant en guise d’étiquette l’abréviation latine « e.g. » et doit être représenté à l’aide d’une forme graphique représentant un rectangle à bordure pointillée. Les liens créés pour représenter des relations d’intégration entre les différents niveaux hiérarchiques de la carte sont en pointillé. Il faut réviser la carte de manière à ce qu’il y ait peu ou pas de liens qui se croisent. Un article de Joseph Novak traduit en français et accessible en ligne présente la théorie qui sous-tend les cartes conceptuelles, la façon de les construire et plusieurs exemples de ce type de cartes construites avec le logiciel Cmap. Il faut placer un seul concept de premier niveau en haut de la feuille. Les concepts de différents niveaux de généralité doivent être placés à des niveaux hiérarchiques distincts. Les concepts de même niveau sont alignés. Les concepts généraux sont placés en haut et les concepts plus spécifiques plus bas dans la carte. Une carte doit se limiter à 12-15 éléments. Pour représenter de grands domaines de connaissances, on peut faire plusieurs cartes de différents niveaux de généralité. L’étiquette de chaque concept doit être placée à l’intérieur d’une forme graphique simple. Chaque lien doit être étiqueté. Un exemple (connaissance la plus spécifique dans un contexte donné) doit être lié au concept plus général par un lien portant en guise d’étiquette l’abréviation latine « e.g. » et doit être représenté à l’aide d’une forme graphique représentant un rectangle à bordure pointillée. Les liens créés pour représenter des relations d’intégration entre les différents niveaux hiérarchiques de la carte sont en pointillé. Il faut réviser la carte de manière à ce qu’il y ait peu ou pas de liens qui se croisent. Un article de Joseph Novak traduit en français et accessible en ligne présente la théorie qui sous-tend les cartes conceptuelles, la façon de les construire et plusieurs exemples de ce type de cartes construites avec le logiciel Cmap. Sources : Quelques outils Cmaptools (gratuit) Inspiration (version d’essai) Mot (gratuit) Liste du « lewebpedagogique » Liste du Mashable 11
Ressources supplémentaires Il faut placer un seul concept de premier niveau en haut de la feuille. Les concepts de différents niveaux de généralité doivent être placés à des niveaux hiérarchiques distincts. Les concepts de même niveau sont alignés. Les concepts généraux sont placés en haut et les concepts plus spécifiques plus bas dans la carte. Une carte doit se limiter à 12-15 éléments. Pour représenter de grands domaines de connaissances, on peut faire plusieurs cartes de différents niveaux de généralité. L’étiquette de chaque concept doit être placée à l’intérieur d’une forme graphique simple. Chaque lien doit être étiqueté. Un exemple (connaissance la plus spécifique dans un contexte donné) doit être lié au concept plus général par un lien portant en guise d’étiquette l’abréviation latine « e.g. » et doit être représenté à l’aide d’une forme graphique représentant un rectangle à bordure pointillée. Les liens créés pour représenter des relations d’intégration entre les différents niveaux hiérarchiques de la carte sont en pointillé. Il faut réviser la carte de manière à ce qu’il y ait peu ou pas de liens qui se croisent. Un article de Joseph Novak traduit en français et accessible en ligne présente la théorie qui sous-tend les cartes conceptuelles, la façon de les construire et plusieurs exemples de ce type de cartes construites avec le logiciel Cmap. Il faut placer un seul concept de premier niveau en haut de la feuille. Les concepts de différents niveaux de généralité doivent être placés à des niveaux hiérarchiques distincts. Les concepts de même niveau sont alignés. Les concepts généraux sont placés en haut et les concepts plus spécifiques plus bas dans la carte. Une carte doit se limiter à 12-15 éléments. Pour représenter de grands domaines de connaissances, on peut faire plusieurs cartes de différents niveaux de généralité. L’étiquette de chaque concept doit être placée à l’intérieur d’une forme graphique simple. Chaque lien doit être étiqueté. Un exemple (connaissance la plus spécifique dans un contexte donné) doit être lié au concept plus général par un lien portant en guise d’étiquette l’abréviation latine « e.g. » et doit être représenté à l’aide d’une forme graphique représentant un rectangle à bordure pointillée. Les liens créés pour représenter des relations d’intégration entre les différents niveaux hiérarchiques de la carte sont en pointillé. Il faut réviser la carte de manière à ce qu’il y ait peu ou pas de liens qui se croisent. Un article de Joseph Novak traduit en français et accessible en ligne présente la théorie qui sous-tend les cartes conceptuelles, la façon de les construire et plusieurs exemples de ce type de cartes construites avec le logiciel Cmap. Sources : Références Profetic, dossier pédagogique Educnet, la carte heuristique Ressources supplémentaires Une revue des caractéristiques principales des outils (Basque et Pudelko (2003a) Un article de Joseph Novak (traduit en français) Présentation PPT Hervé (Platteaux) 12