Destruction de la couche d'ozone La destruction ou la dégradation de la couche d’ozone est un amincissement de la couche d'ozone qui résulte d'un déséquilibre entre la production et la destruction de l’ozone dans la stratosphère 1,2. Il existe deux types d’appauvrissement de la couche d’ozone. Le premier est un appauvrissement lent et régulier de l’ozone stratosphérique : il est de l’ordre de 4 % par décennie, et se produit constamment depuis les années Le deuxième est une perte très importante de l’ozone au niveau des pôles ; ce phénomène est saisonnier et est appelé trou d’ozone. En écologie, un biotope est, littéralement en grec ancien, un type de lieu de vie défini par des caractéristiques physiques et chimiques déterminées relativement uniformes. Ce milieu héberge un ensemble de formes de vie composant la biocénose : flore, faune, fonge (champignons), et des populations de micro-organismes. Un biotope et la biocénose qu'il accueille forment un écosystème caractéristique. L'évolution de cet écosystème tend vers un climax momentané, qui change avec notamment le climat, manifestant un nouvel équilibre du biotope. Ainsi, la vie peut continuer avec des modifications de la démographie et de la biodiversité des espèces. Le terme biotope vient d'Arthur George Tansley. Un biotope est à distinguer d'un biome, qui est un large regroupement d'écosystèmes caractéristique d'un type de climat et de sol.
En écologie, la biocénose (ou biocœnose) est l'ensemble des êtres vivants coexistant dans un espace écologique donné, plus leurs organisations et interactions. Ensemble, le biotope et la biocénose forment un écosystème La biodiversité est un terme générique pour désigner la diversité et la richesse en espèces vivantes qui peuplent la Terre, un territoire ou un écosystème. Cette notion s'applique aux différentes espèces végétales et animales, allant des organismes monocellulaires aux organismes les plus complexes L'empreinte écologique est un indicateur et un mode d'évaluation environnementale qui comptabilise la pression exercée par les hommes envers les ressources naturelles et les « services écologiques » fournis par la nature.