titre « Il n'est pas de plus grande douleur que de se souvenir des temps heureux dans la misère.» -- Dante, l’Enfer
1.1.1 1. Rythme respiratoire. volume réserve inspiratoire 1.1.1. Indiquer le nom des volumes d’air mesuré grâce à x et y. Volume courant 1.1.1 1.1.2. Comparer les deux tracés. Les fréquences sont les mêmes. Le volume courant de Devdas est plus important. 1.1.3. Comparer les fréquences respiratoires des deux sujets.. 1.1.4. Formuler une hypothèse expliquant le comportement de Devda. Elle présente un essoufflement chronique Sans doute lié à une insuffisance respiratoire.
2. Teneurs en gaz. Témoin Devda veine cave aorte O2 CO2 A 1,2 1,5 3 1 2,6 B 153 21,5 200 19,7 141 192 capacité totale 206 - 2.1.1. Pourquoi dit-on que le sang au niveau de l’aorte est « oxygéné » tandis qu’au niveau de la veine cave il est « peu oxygéné » ? 2.1.1 Le sang de l’aorte provient de la circulation respiratoire Celui de la cave provient des tissus 2.1.2. Qu’appelle-t-on capacité totale en O2 ? Analyser ces résultats. Il s’agit de la quantité d’O2 fixé C’est la même car c’est le même sang 2.1.3. Quels sont les formes de transport de O2 dans les cas A et B ? A : dissout B : combiné A : dissout B : combiné à H2O = carbonate 2.1.4. Même question pour le CO2.
Formation d’un composé carbaminé B : combiné à H2O = carbonate 2. Teneurs en gaz. Témoin Devda veine cave aorte O2 CO2 A 1,2 1,5 3 1 2,6 B 153 21,5 200 19,7 141 192 capacité totale 206 - 2.1.5 2.1.5. Dans le cas de CO2 il manque un type de transport, lequel ? Formation d’un composé carbaminé 2.1.6. Comparer les situations des deux gaz. Que peut-on en déduire ? Devda : CO2 pareil O2 : teneurs plus faibles Essoufflement du à un défaut de fixation de O2 2.1.7. Faire un premier bilan de l’état deDevda. A : dissout B : combiné à H2O = carbonate 2.1.4. Même question pour le CO2.
3. Rythme respiratoire. 3.1.1. Donnez la définition de pression partielle. Pression exercée par un gaz s’il était seul. 3.1.2. Donnez la relation entre pression partielle et pression totale. P = SPi 3.1.3. Laquelle des deux hémoglobines fixe-t-elle le mieux l’hémoglobine ? 3.1.1 L’hémoglobine témoin est plus efficace, elle est « au-dessus » de l’autre.
Des sous-unités différentes Fixation moins efficace. 4. Intoxication. 4.1.1. Indiquer le nombre de sous-unités de l’hémoglobine. 4 sous-unités 4.1.2. Peut-on parler d’homopolymère ? NON Des sous-unités différentes 4.1.1 4.1.3. Quel est exactement le type de modification ? Fe2+ -----> Fe3+ 4.1.4. Quelle est la conséquence sur le transport de dioxygène ? Fixation moins efficace.
5.1.1 5. Dosage des nitrites. 5.1. Dosage des nitrites. 5.1.1. Résumer l’ensemble des réactions en un seul schéma de façon à montrer que ces réactions s’enchaînent. 5.1.1 540 nm NO2- + H+ HNO2 5.1.2. Indiquer la longueur d’onde employée par le dosage. Justifier.
5.2.1 5. Dosage des nitrites. 5.2. Méthode directe. À partir d'une solution mère (S) de concentration C = 50,0 mgL-1 en ions nitrite, préparer par dilution 100 mL de solution étalon (Se) à Ce=2,00 mgL-1. 5.2. Méthode directe. 5.2.1. Calculer le coefficient de dilution. D = Cf / Ci = 2 / 50 = 1/25 5.2.2 Calculer la concentration dans les tubes avant addition du réactif. C= Cét x Vi / Vf Ctube 1 = 2 x 1 / 5 = 0,4 g.ml-1 5.2.1 Tubes 1 2 3 4 5 Volume solution étalon (mL) Volume eau distillée ( mL) Réactif ( mL) 0,5 C tube 0,4 0,8 1,2 1,6 2,0 Tubes 1 2 3 4 5 Volume solution étalon (mL) Volume eau distillée ( mL) Réactif ( mL) 0,5
% erreur = (exp – attendue) / attendue x 100 5. Dosage des nitrites. 5.2. Méthode directe. 5.2.3. Calculer la concentration en nitrite de l’eau. E = Abs / 0,303 E1 = 0,638 / 0,303 = 2,11 mg.L-1 E2 = 2,09 mg.L-1 ----->moy = 2,10 mg.L-1 5.2.3 5.2.4 Calculer la concentration en nitrite du contrôle. 5.2.5 Calculer le pourcentage d’erreur. % erreur = (exp – attendue) / attendue x 100 = (5,38 -5) / 5 x 100 = 7,06 % C = Abs / 0,303 x 1/D C1 = 0,320 / 0,303 x 5 = 5,28 mg.L-1 C2 = 0,332 / 0,303 x 5 = 5,48 mg.L-1 ----->moy = 5,38 mg.L-1 5.2.6. La méthode est-elle précise ? 7,06 %, c’est pas terrible !
----> impropre à la consommation. 6. Etude microbiologique de l’eau. 6.1. / 6.2. Numérations. 6.2.1. Calculer les teneurs en germe de l’eau selon les deux méthodes. 10-2 10-3 10-4 220 20 1 235 28 4 En surface 6.2.1 N = ((220+235)/10 +20+28)/4 * 1/D * 1 /V = 233 750 UFC.mL-1 10-3 10-4 10-5 10-6 10-7 + + + - - - En milieu liquide NPP = 2,3 CPP = 2,3 * 1/D = 230 000 b.mL-1 6.2.2. Comparer les résultats et conclure. A peu près le mêmes 6.2.3. Cette eau est-elle aux normes sanitaires indiennes ? N >> 50 000 ----> impropre à la consommation.