La Finance Comportementale ROY Jérome EL OMARI Yanis GOELLER Clément
Introduction
Les piliers de la finance Les trois piliers Des anomalies couramment observées Les biais remettant en cause ces trois piliers
Les trois piliers La maximisation de l ’espérance d’utilité Les cinq axiomes Règle de Bayes : P(A/B)=[P(B/A).P(A)]/P(B) L’efficience du marché Les trois types d’efficience Définition L’hypothèse d’absence d’opportunité d’arbitrage
B. Des anomalies couramment observées Les anomalies calendaires Les effets jours ( FRENCH 1980 ) Les effets mois ( KAIM 1983 ) L’effet de taille et l’effet PER ( BANZ 1980 ) Les anomalies météorologiques ( HIRSCHLEIFER & SHUMWAY 2003 )
C. Les biais remettant en cause ces trois piliers Heuristique de représentativité Heuristique d’ancrage et d’ajustement Heuristique de disponibilité Réaction excessive et rentabilité des titres Effet de disposition et sous performance surconfiance et échanges excessifs
II. Les théories alternatives de la finance comporetmentale Les alternatives a l’espérance d’utilité La finance comportementale et le choix de portefeuille Le sentiment de l’investisseur
A. Les alternatives à l’espérance d’utilité Resultats expérimentaux Théorie de l’utilité espérée dépendante du rang La théorie des perspectives conclusion
Les alternatives à l’espérance d’utilité Résultats expérimentaux
Résultats expérimentaux : a) Effet de certitude b) Attitude face au risque c)Effet d’isolation d) Les différents types de comportements e) Conclusion
e) Conclusion Evaluation des loteries en fonction de la variation de richesse. Surpondération des évènements à faible probabilité d’occurrence. Les pertes ont un effet négatif sur le bien-être plus important que l’effet lié à un gain de même montant. Prise de risque côté perte, riscophobie côté gain.
Théorie de l’utilité espérée dépendante du rang: Quiggin 1982 Yaaris 1984 Allais 1987 Idée principale : les perspectives de gains ou de pertes sont pondérées en fonction de leur rang.
Loterie A Gain Proba 10 20 30 1/3
La théorie des perspectives : Les agents réagissent différemment aux perspectives qui suivraient la réalisation de leurs gains ou leurs pertes. Passage du biais cognitif au biais emmotionnel. Ceci aboutit à des attitudes irrationnelles.
Conclusion Deux théories alternatives 1°) Modèle RDEU Traitement non linéaire des probas 2°) Théorie des perspectives Intégration de l’aversion aux pertes et attitudes face au risque différentes selon que les loteries engendrent des résultats positifs ou négatifs. Petit bémol Difficulté pour classer les résultats possibles car trop grand nombre de titres sur les marchés fiananciers.
B. Finance comportementale et choix de portefeuille Rappel de la théorie de Markowitz SPA et théorie comportementale du portefeuille Théorie SPA de Lopes D(s)=P(W>s) E[W]=Spi.Wi la théorie comportementale du portefeuille (Shefrin et Statman) Max E(W) Sc P(W<A)<a
C. Le sentiment de l’investisseur ( Delong, Summers, Waldman) Prise en compte des émotions de l’investisseur Incertitude sur la réaction des agents non-informés Marchés financiers inefficients