Les partenaires globaux de l’IPC Résultats d’Analyse de l’insécurité alimentaire aiguë en milieu urbain – Djibouti ville Mai 2013 Les partenaires de l’IPC en République de Djibouti Les partenaires globaux de l’IPC
Participants à l’atelier d’analyse IPC Djibouti 2011 …..% - des représentants de ministères clés basés à Djibouti,(MAPE-RH, Ministère de l’Intérieur, SEGRC, MAE/P, ADDS, ISV-CERD, DISED) ; ….% - représentants gouvernementaux des régions …% - participants en provenance du Système des Nations Unies (FAO, UNICEF, UNHCR, PAM, OMS, PNUD ) ; ….% - des ONG internationales et nationales (FEWSNET, IPC GSU) ….% - de l’Université du Djibouti. ….% - de bailleurs intéressés en la sécurité alimentaire (EC, USAID)
Motivation de l’analyse de l’insécurité alimentaire urbaine La ville de Djibouti et ses périphéries hébergent plus de 75% de la population du pays ; Les crises de sécheresse ont causé la perte des animaux et des moyens d’existence et les populations les plus affectées ont afflué les périphéries de la ville. L’analyse de l’insécurité alimentaire en milieu urbain devrait mesuré l’impact des ces phénomènes sur la sécurité alimentaire des lieux ; L’analyse de la situation établie, l’analyse de la réponse serait plus appropriées.
L’unité d’analyse - Communes La commune constitue l’unité d’analyse, les quartiers ayant fait objets des enquêtes ont orienté les décisions des analystes
Classification de la sévérité: 5 phases Tableaux de référence IPC de l’insécurité alimentaire aiguë pour la classification des zones ou de ménages
Eléments clés qui déterminent la situation de sécurité alimentaire actuelle Prolongation de la sécheresse pendant plus de plus 4 ans provoquant l’exode des familles ayant perdu les animaux ; Plus de 90% des denrées alimentaires sont approvisionnées à partir de l’extérieur, ce qui fait que l’inflation (augmentation des prix) à l’intérieur et extérieur du pays diminue sensiblement influence le niveau d’accès alimentaire ; Niveau de pauvreté très élevé (…….) Une malnutrition dans les quartiers les plus pauvres comme…. L’exode rural, accéléré par la perte des moyens d’existence (cheptel essentiellement), augmente le risque d’insécurité alimentaire en milieu urbain (périurbain), cette analyse nécessite une plus grande investigation ;
Preuves ayant soutenues l’analyse Rapport EFSA Urbain du PAM
Carte IPC urbain – Mai 2013
Balbala : PHASE 3 (!) Description.
Preuves clés (valeurs, sources, année) Classification des différents indicateurs de résultats pour la sécurité alimentaire Indicateur Phases Preuves clés (valeurs, sources, année) Consommation Alimentaire 3 Selon Les données collectées par le PAM , nous avons constate que 21% de la population résidente dans les quartiers pauvres de la commune de Balbala ont une consommation inadéquate dont 11% avec une alimentation pauvre. Cette évaluation a aussi révélé que ces ménages avec une alimentation inadéquate ont un déficit en FER, vitamine A et protéine. ( ESAD 2012,PAM). Evolution des moyens d’existence Une autre enquête réalisée par la DISED en 2012 a aussi montre que 42% de la population vivant dans l’arrondissement 5 est en situation de pauvreté extrême ainsi que 37,3% de la population de l’arrondissement 4 (EDAM 3, 2012). Dans certaines zone s de Balbala, une importante population immigre e s’est installée suite a la dégradation de leur mode de vie ( sècheresse, perte de bétails , …etc) Nutrition Dans le domaine de la nutrition, Balbala a un taux de 10,6% de MAG dans l’enquete SMART 2010. Mortalité 1 0.03/10000/jr SMART 2010 Classification finale CRISE
Boulaos: PHASE 1& 2 Disponibilité : La disponibilité n’est pas un facteur limitant Accès : La hausse annuelle de 3.9 % du niveau de la hausse prix, limite l’accès aux aliments de 1ère nécessité; ( source EDAM 2012) L’évolution du revenue ne suit pas l’évolution des prix de denrées; Utilisation : La zone représente 41% des ménages qui s’alimentent via une un branchement externe ONEAD(CODE 35 ; EDAM 2012) L’arrondissement 2 et 3 ont un taux de 12% en déchets jetés dans le rue. (CODE 40 , EDAM 2012) Les groupes de ménages possédant des latrine simple est en moyenne de 47 % , ceux possédant des latrine avec chasse d’eaux est de 19 %.
Preuves clés (valeurs, sources, année) Classification des différents indicateurs de résultats pour la sécurité alimentaire Indicateur Phases Preuves clés (valeurs, sources, année) Consommation Alimentaire 1 Près de 84% ont en sécurité alimentaire acceptable ; ( code 47 , EFSA PAM 2012 ) Près de 82 % ont un score de consommation alimentaire acceptable Evolution des moyens d’existence ( 1 Arrondissement ) 2 ( Arrondissement 2&3) La commune a un taux de pauvreté relative de 56% en moyenne( CODE 11 , FEWSNET 2008/ 2012) L’extrème pauvrété entre 2002 et 2012 augmente dans le 1er Arrondissement alors qu’elle diminue dans les 2 autres arrondissements ( CODE 17 , EDAM3-IS/2012) Nutrition MAG : 8.7 (CODE 42 SMART 2010) ( des enquêtes sont en cours ) Mortalité TBM : 0.03 ( CODE 43 , SMART 2010) Classification finale ARRONDISSEMENT 1 ARRONDISSEMENT 2 & 3
Ras Dila: Phase 1 * Plus de 90% de la population n’est pas exposée aux problèmes de l’insecurité alimentaire Source Edam 2002 ; * Les moyens d’existence des habitants aisés sont affaiblis par la hausse du prix du carburant et des produits de base
Recommandations générales:
Recommandations pour les prochaines étapes de l’IPC :
Merci beaucoup !