Thème Sujet à développer Etat écologique des cours d’eaux en Europe étude comparative Sujet à développer Kinga Gergely, DAST Intervenant Vincennes 18/09/2012 Séminaire XXX Lieu date
Résultats Pour commencer, je voudrais mettre l’accent sur le fait que l’analyse est fait au niveau de masses d’eau - cours d’eau. Premièrement, il est important de donner des éléments de contexte des objectives par les Etats membres, pour montrer le volume des éléments sur lesquels la FR travaille. Sur les histogrammes j’ai utilisé une représentation décroissante pour une meilleure visualisation. La première histogramme représente les nombre des masses d’eau par EMs. On voit, que la FR n’est précédé que par la SE (10824 et 15563). La deuxième histogramme porte sur la comparaison les nombre des cours d’eau et de la longueur totale des cours d’eau par EMs. Ici la FR est première parmi les EMs étudiés avec sa 241684 km totale.
Si on considère encore le rapport entre le territoire et la longueur totale des cours d’eau dans les EMs, il est évident que non seulement la FR est le premier, mais aussi que les EMs qui sont les plus proches au niveau du territoire à la FR (ES, SE) ont une longueur totale de cours d’eau beaucoup moins élevé. La seule proportion qui ressemble à celle de la FR et celui du Royaume-Uni et de l’AT, les deux ayant un territoire moins étendu que celui de la FR.
Sur la première histogramme on peut voire que l’état initial de la FR est presque identique à celui de l’AT, dont le territoire est presqu’un sixième de celui de la FR. La FR a 0,4% d’état écologique inconnu, tandis que l’AT en a 0,23%. Aussi, comme on a vu sur le dia précédantr, l’AT a une proportion de territoire et longueur de cours d’eau très similaire à celle de la FR. Si on observe la ES et la SE, les duex EMs dont le territoire est très similaire à celui de la FR, on voit que les différences ne sont pas très prononcées (55% pour la SE, pour bon état), par contre en ES, comme en IT, les pourcentages des états écologiques inconnus sont plus prononcés. Au niveau des objectives et potentiels écologiques, on voit que les ambitions de la FR sont nettement plus élevées que celles de l’AT, qui avait – comme on a vu – le même état initial. Cependant ES, de la taille similaire de la FR, mais ayant une longueur totale bien inférieure est plus ambitieux, malgré ces 20% d’états inconnus.
Sur le premier histogramme on voit l’objectif et le potentiel écologique « bon et plus », l’état initial « bon et plus » avec les états inconnus, tandis que le deuxième histogramme représente uniquement l’augmentation de la catégorie « bon état écologique et plus» souhaité à atteindre jusqu’à 2015. FR avec sa 22% est plutôt située vers la moyenne (c’est à dire entre la 51% de l’IT et la 2% de la HU). Il faut noter cependant que 8 parmi les 10 autres EMs étudiés ont un niveau d’ambition moins que celui de la FR. Aussi, quand on regarde cet histogramme, il faut prendre en compte que l’IT qui se trouve en première place a le niveau le plus élevé de l’état inconnu suivi par la HU et l’ES.
Cet histogramme est de l’analyse de Yannick Nouaillas. On peut voir que parmi les pays les plus ambitieux et se situant avant la FR au niveau d’augmentation de l’état écologique bon et plus, l’ES et l’IT ont à peu près la même quantité des pressions qui s’exercent sur leurs cours d’eau. Concernant l’IT il y a une différence plus prononcé au niveau de « prélèvement d’eau » et des « gestions des cours d’eau » (les deux catégories sont plus élevés en FR. Pour ES, les pressions ponctuelles sont plus élevées. La même chose s’applique pour l’AT, où les « pressions ponctuelles » s’exercent sur la moitié des cours d’eau, c’est-à-dire sur deux fois de plus de cours d’eau que l’en FR. En ce qui concerne les sources diffuses sont plus que deux plus élevés en FR qu’en AT.
Le niveau de confiance est représenté de deux façons Le niveau de confiance est représenté de deux façons. D’abord, les données de l’état initial (bon et plus, moins que bon et état inconnu) sont représentées selon leurs niveau de confiance pour chaque EMs. Quatre niveau de confiance existe: confiance élevée, moyenne, basse et pas d’information sur la confiance. Pour des contraintes de place et de temps que trois états membres y sont représentés. Pour deux EMs (BE, NL) il n’y a pas d’information sur le niveau de confiance pour 100% des données. Pour d’autres EMs, comme l’AT, pas tous les catégories existent. Dans le cas de la FR, on voit que la plupart des données portant sur le bon état écologique ont soit un niveau de confiance moyen, soit bas. (la catégorie pas d’information sur confiance porte sur les 0,4% des cours d’eau d’état inconnu).
Aussi, les données portant sur l’état initial à chaque niveau de confiance étaient analysés pour chaque EMs. Considérant les histogrammes, on voit que relativement peux de données de la FR se situent dans le domaine de niveau de confiance élevé, et se sont surtout de la catégorie « moins que bon ». En ce qui concerne le niveau de confiance moyen, l’IT et l’ES, les deux EMs avec l’augmentation la plus prononcé pour le bon état écologique sont situés après la FR et si on regarde les histogrammes portant sur les niveaux bas et sans information HAJTANI
On voit que la plupart des données de la FR se trouvent en niveau de confiance bas, mais pas loin de l’IT. En ce qui concerne la catégorie pas d’information sur la confiance, la FR est très bien située, par contre l’ES a un grand nombre de données qui y appartiennent, dont la proportion des données portant sur l’état initial « bon et plus » est non-négligeable. Pour conclure, en ce qui concerne le suite du travail: les réponses données au questionnaire envoyé aux EMs, seront l’objet de la comparaison.
Merci de votre attention! Est-ce qu’il y a des changements (qui peuvent changer les résultats de l’état biologique) prévus au niveau de la réglementation actuelle? Est-ce que les EM travaillent en ce moment sur des nouveaux indices en raison d’insatisfaction concernant les indices actuelles? Quelle est le caractère opposable aux autorisations administratives des objectives inscrits dans les plans de gestion hydrographiques?