La formation du Canada 1850-1890
Les pressions pour la confédération
Les pressions pour la confédération En 1849, la situation se décrit comme suit: Le Haut-Canada (se que nous on appelle Ontario aujourd’hui) se réunis avec le Bas-Canada (le Québec, N.-B., N.-E., T.-N. et la côte du Labrador). Cette nouvelle région unifiée s’appelle la Province du Canada.
Les pressions pour la confédération En 1837, une des pressions les plus agressives était celle venant du clergé. D’un côté tu as les français avec leur christianisme catholique et de l’autre tu as les anglais avec leur christianisme anglican. La dispute était surtout au sujet du territoire. En autre mots, à quel endroit est-ce-que les gens célèbrent leur religion.
Les pressions pour la confédération L’affaire d’assimilation était toujours dans les agendas des anglais. C’est-à-dire, l’Angleterre donnait toujours des conditions aux français que s’ils voulaient demeurer sur leur terre, ils devaient tout simplement faire allégeance à la souveraineté britannique. Certain français l’ont fait, mais la majorité on toujours évitée de le faire.
Les pressions pour la confédération La politique était un autre problème. Au Haut-Canada, nous avons des représentants anglais qui domine la politique. Au Bas-Canada, c’est l’opposé. Impérialisme (Haut-Canada) versus Nationalisme (Bas-Canada). Aux États-Unis, il y a un mouvement de sécession qui met de grande pression sur la philosophie politique Impériale de la province du Canada.
Les pressions pour la confédération Les pressions de la Grande Bretagne Au début, la Grande Bretagne voyait les colonies comme sources de revenu pour l’empire britannique. C’est le mercantilisme. Mais dans les années 1840 à 1860, cette philosophie a changée. À cette époque, les colonies étaient vues comme source négative de revenue. C’est dernier étaient encouragé de se gouverner comme nation unique.
Les pressions pour la confédération Ce changement de philosophie en Grande Bretagne n’a pas du tout plu aux commerçants Nord-Américain. Ils perdaient leur avantage britannique d’échange si l’attitude était que la province du canada se gère elle-même. Le résultat fut simplement que maintenant, le partenaire d’échange le plus important au Canada était les américains.
Les pressions pour la confédération Les États-Unis La nouvelle réalité est que les britanniques ont éliminé le libre échange avec la province du Canada et que les américains sont leur partenaire primaire. Alors, des nouvelles règles doivent être établis. On parle du traité de réciprocité. (1854)
Les pressions pour la confédération Traité de réciprocité Permet libre accès aux marchés américains des céréales et du bois. Stimule l’économie de la province du Canada Lie l’économie canadienne à celle de l’Amérique. Abolis en 1865 par le congrès américain
Vérification (15 points) Quelles provinces regroupent le haut-canada et le bas-canada? (6 points) C’est quoi veut dire assimilation pour le Canada? (2 points) C’est quelle philosophie économique qui a changé en Grande Bretagne dans les années 1850-1860? (2 points) En quelle année a pris le traité de réciprocité et pourquoi? (3 points) Qui était le premier ministre du Canada en 1850-1867)? (2 points)
Vérification corrigée H-C (Ontario), B.C. (Qué., NB, NE, IPE, TN) De forcer les francophones de devenir anglophone. Mercantilisme 1854 et parce que les colonies étaient vue comme une dépense et non pas un profit. Il y en avait pas! Canada n’existe pas encore.
Les pressions pour la confédération La guerre de Sécession (1861-1865) Un évènement qui démontre l’influence des américains sur la culture canadienne. Trois évènements majeurs: L’affaire de Trent L’incident du Chesapeake L’attaque de St-Alban
La guerre de Sécession L’affaire de Trent (1861) Deux diplomates et leur secrétaire se font arrêter en route à l’Angleterre après une mission diplomatique aux États-Unis. Ils sont incarcéré à Boston. Le gouvernement britannique exigea leur remise en liberté immédiate. 14 000 soldats britannique sont venu au Canada afin d’aller se battre aux É.-U. Un mois plus tard, les unionistes (gouv. Féd.) on relâché les prisonniers.
La guerre de Sécession L’incident du Chesapeake (1863) Les confédérés ont volé un navire, le Chesapeake, et se dirigea vers la Nouvelle-Écosse. Leur plan était de vendre leur marchandise et d’acheter des armes. Aussi, ils voulaient transformer le navire en navire de guerre. Deux navire du Nord (l’unionisme), on capturé le Chesapeake et on faite une recherche pour des fugitifs. Tout ceci a eu lieu dans les eaux britannique. Un autre exemple que le Sud et le Nord allait ignorer la neutralité du Canada et la Grande Bretagne.
La guerre de Sécession
La guerre de Sécession L’attaque de St-Alban (1864) Trois hommes confédérés volent trois banques (200 000$) au Vermont. Ils se sauvent vers Canada (Montréal). Rendu au Canada, ces hommes se sont faits arrêté. Cependant, les unionistes voulaient les mètrent à morts. Si l’acte de tuer ces hommes n’aurait pas été conclu comme une violation du respect de neutralité du Canada, Lincoln aurait donné l’ordre. Mais, cela aurait seulement aidé le Sud.
Les pressions pour la confédération Les conférences Dans cette section, nous allons étudier trois conférences importantes. Il s’agit: La conférence de Charlottetown La conférence du Québec La conférence de Londres Nous allons prendre notes des dates, les promesses, les détails, les attitudes ainsi que les personnages majeurs.
Les conférences La conférence de Charlottetown 1864 Personnages: Charles Tupper et Robert Dickey (N.-É.) John A. Macdonald, George-Étienne Cartier, Alexander Galt et George Brown (Ontario, Québec) Le but était d’unifier les Maritimes (N.-B., N.-É. Et I.-P.-É.)
Les conférences La conférence de Charlottetown La conférence était seulement supposé d’avoir les représentants des maritimes. Cependant, les membres de l’Ontario et Québec voulaient être présent. Ontario et Québec n’ont rien dit le premier jour. Mais la deuxième, ils ont présenté les maritimes avec un plan d’union de l’Amérique du nord. Les échanges sur l’unification des maritimes ont été éliminé de la conférence. Maintenant le but était d’unifier l’Amérique du Nord Britannique.
Les conférences La conférence de Charlottetown Afin de rendre le but d’unifier l’Amérique du nord britannique réaliste, certains représentants ont faites des présentations supplémentaires: Le chef du mouvement était John A. Macdonald et George Étienne Cartier. Alexander Galt (finances), George Brown (structure du gouvernement)
Les conférences
Les conférences La conférence de Charlottetown avait comme but d’unifier les maritimes. Mais après la présentation de Macdonald et ses représentants, cette idée a été abolis. Le reste du temps les rencontres ont été au sujet d’unifier l’Amérique du Nord Britannique. La majorité du temps, c’était des fêtes pendant cette conférence.
Les conférences La conférence du Québec 1864 (quelque mois après Charlottetown) Personnages Les mêmes gens de la conférence de Charlottetown. 72 résolutions ont été présentées. Cartier a insisté que le Québec ait un gouvernement local assez puissant afin de protéger leur langue et culture civil. La conférence était beaucoup plus sérieuse que celle de Charlottetown.
Les conférences La conférence de Londres Décembre 1866- Mars 1867 Conférence en Grande Bretagne pour solidifier les règles de la confédération (hôtel Westminster). L’aspect compliqué a été la question du Québec.
Les conférences Les représentants canadiens voulaient que le Canada soit une fédération. Mais les britanniques ont rejeté l’idée car il pensait que les américains seraient insulté. Une confédération était le meilleur choix pour tout. Fédération- un gouvernement qui décide tout Confédération- plusieurs gouvernement qui travaillent ensemble La Nouvelle-Écosse et le Québec n’étaient pas en faveur totale pour la confédération. Le nom du pays a été déterminé comme suit:
Les conférences John A. Macdonald- « Kingdom of Canada » Rejeté par les britanniques- insulter les Américains Leonard Tilley (politicien du Nouveau- Brunswick) « La dominion du Canada » Accepté par tout les représentants.
Les conférences Faits intéressants de la conférence de Londres: John A. Macdonald c’est marié à Agnes Bernard le 16 Février 1867. Les politiciens en 1867 avaient un salaire de 6$ par jours. Pendant une sortie en Londres, John A. Macdonald lança des morceaux de papiers dans la foule pour s’amuser (une course à cheval). C’est la reine Victoria qui a choisis Ottawa comme capitale du Canada. Ses raisons: facile à se défendre contre les américains et il y a autant d’anglais que de français dans la région.
Quiz!
Acte de l’Amérique du nord britannique Donne les pages aux étudiants. L’étudiant devrait prendre le temps d’identifier les différences entre les responsabilités des provinces et du gouvernement fédérale.
Les 4 premières provinces et les élections de 1867 Les 4 premières provinces du Canada étaient le Nouveau-Brunswick, la Nouvelle-Écosse, l’Ontario et le Québec. L’Île-du-Prince-Édouard ne faisait pas encore partie du pays. En ce qui concerne les élections, en 1867 ce n’était pas encore un droit d’être capable de voter. C’était un privilège! Les gens qui pouvaient voter: Les hommes L’homme devait avoir au moins 400$ de valeur
Les 4 premières provinces et les élections de 1867 Les femmes, les indiens et les noirs n’avaient pas le droit du vote en 1867 au Canada. Les hommes qui votaient le faisait de façon ouverte. C’est-à-dire, debout et devant tout le monde. Évidemment, il y avait beaucoup d’intimidation.
Les 4 premières provinces et les élections de 1867 Les élections ont durées du 7 Août jusqu’au 20 Septembre. George Brown (Partie Libérale) contre John A. Macdonald (Partie Conservateur). C’était seulement dans les années 1870 que le vote fut quelque chose de secret.
Macdonald et Howe Joseph Howe 1804-1873 Journaliste et chef du mouvement de la liberté de la presse. Est devenu politicien en Nouvelle-Écosse en 1836. A été contre les résolutions du Québec et il est devenu le chef du mouvement anti-confédération.
Macdonald et Howe Howe n’avait jamais participé à aucune conférence. Il était occupé avec ses responsabilité de pêches et océans. Sa technique pour se faire entendre était par propagande (son papier journal). Même si il était bien entendu par le reste du Canada, Macdonald l’a ignoré. Le mouvement anti-confédération était très fort en N.-É. Tellement que 18 des 19 sièges au Parlement étaient anti-confédération. Éventuellement Macdonald lui a donné un siège dans le cabinet du parlement fédéral. C’était le geste qui a créé la paix pour Macdonald et la N.-É.
Travail Débat
Travail Débat Sujet: Louis Riel Un fondateur du Canada ou un traitre? Durée: 1 période de recherche et 1 période de débat Valeur: 10 points
L’achat des Terres de Rupert 1870 L’achat de ces terres ont été une surprise pour les habitants de cette région. L’exploitation des ressources naturelle (fourrure- bison et les mines) par les américains est la raison principale de cette vente. Ce n’était pas accepté par tout.
L’achat des Terres de Rupert Pour 1.5 million de dollars, John A. Macdonald a fait l’achat des Terres de Rupert. De l’Ontario jusqu’à la côte ouest. Ce geste n’était surtout pas accepté par les Métis de l’ouest. Pourquoi? Les blancs et leur maladies se rapprochaient De plus en plus de gibiers disparaissaient Leur condition de vie était menacé
L’achat des Terres de Rupert L’opposition des Métis était justifié. Louis Riel fut leur chef de « rébellion ». Les Métis et Louis voulait: La création d’une province La protection de la religion catholique La protection de la langue française La garantis que le peuple Métis peut garder possession de leur terres.
L’achat des Terres de Rupert Rébellions #1- La rébellions de la Rivière Rouge (1869-1870) L’achat a été fait comme s’il n’avait aucune personne qui habitait ces terres. Maintenant, au lieu de repousser la CBH, la rébellion devait repousser un nouveau gouvernement.
L’achat des Terres de Rupert Au début, il y avait du succès. Mais avec les autres pressions (manque de ressources naturelles et l’expansion américaine), il était évident qu’une certaine négociation devait commencer. Riel était le chef de cette organisation. Tout allait bien sauf l’incident de Thomas Scott.
L’achat des Terres de Rupert Thomas Scott Homme aventurier, immigré de l’Irlande et connue pour avoir une passion « orangemen » / protestant de l’Ontario. Toujours été en conflits avec les Métis. Après plusieurs arrestations, Riel a donné l’ordre de l’exécuter.
L’achat des Terres de Rupert
L’achat des Terres de Rupert Ce geste par la rébellion avait été interprété par le gouvernement canadien comme une intolérance des Métis et Riel d’accepter le nouveau style de vie canadien et l’expansion de son territoire. Macdonald avait envoyé des troupes pour faire l’arrestation de Riel et ses lieutenants mais ces derniers s’étaient sauvé aux États-Unis.
L’achat des Terres de Rupert Avec un si petit territoire (la province du Manitoba- 1870), les Métis ne pouvaient pas succomber à leur besoins. Ils ont fini par immigré plus vers l’ouest du territoire. Même si le gouvernement canadien avait donné reconnaissance de la culture Métis. Cette reconnaissance était limité.
La rébellion Nord-Ouest 1885 L’expansion des chemins de fers vers l’ouest fait encore une menace pour la qualité de vie des Métis et autres tribus indiens. Aussi, les impôts pour le transport des biens était beaucoup trop dispendieux comparé a l’Ontario et les Maritimes. Riel revient au Canada pour être le chef de la rébellion.
La rébellion Nord-Ouest Riel n’était pas le même homme qu’il était en 1870. Il était hospitalisé et à deux reprises, placé dans des hôpitaux psychiatriques. Il était devenu un homme théologique. Moins politique. L’église catholique ne le supportait plus autant qu’avant pour cette raison. Riel a convaincu son peuple de former un gouvernement et contester le fédéral. Ce geste par Riel a été interprété par Macdonald comme un acte de guerre.
La rébellion Nord-Ouest Un autre facteur contribuant de l’intolérance du gouvernement canadien était du au fait que Riel était devenu un citoyen américain en 1884. Les amérindiens et Métis ne pouvaient rien faire contre la milice du gouvernement canadien. En 1885, Riel c’est présenté devant la police à cheval du Nord-Ouest. Il est jugé coupable de trahison en dépits des efforts de ces avocats de faire le point qu’il n’était pas en bonne santé mentale.
La rébellion Nord-Ouest Un autre problème qu’avait Riel et la rébellion fut au sujet de la localité du chemin de fer. Le gouvernement fédérale le voulait construit trop au nord de la province du Saskatchewan et Alberta.
Les provinces du Canada en 1885 Le Nouveau-Brunswick, Nouvelle-Écosse, Québec et Ontario (1867) Territoire du Nord-Ouest et le Manitoba (1870) Colombie-Britannique (1871) Île-du-Prince-Édouard (1873) **Pourquoi il n’y a pas de provinces établis après 1873 jusqu’à 1885?**
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