Le médecin généraliste Face Au don d’organes SUDRIAL Jérôme Thèse pour le doctorat en médecine 6 juillet 2005
INTRODUCTION 2 335 EME Seulement 1192 prélèvements En France 6 592 patients en attente de greffe (en 2004) Opposition familiale 2 335 EME Seulement 1192 prélèvements Pourquoi ce paradoxe? Opposition familiale Constat : le médecin généraliste peut limiter ce refus
BUT DE L’ETUDE diminuer l’incidence de l’opposition familiale Rechercher des pistes pour diminuer l’incidence de l’opposition familiale A travers le MG
METHODE Sondage de 10% des médecins généralistes du Val d’Oise Questionnaire internet sur un site dédié : genorg Questionnaire informatif et Anonyme Evaluation des connaissances Investissement potentiel pour le don d’organes
RESULTATS (1) Période de 9 mois 712 appels téléphoniques 100 réponses 272 médecins contactés . 97 % se considèrent comme des médecins de famille 89 % sont favorables au don d’organes
insuffisantes RESULTATS (2) Connaissances : Pourcentage d’inscrits au RNR ? 56 % justes Pourcentage d’EME non prélevés ? 42 % justes Pourcentage de refus familiaux ? 53 % justes Terme EME familier ? 69 % 2 Examens pour diagnostic d’EME ? 32%
Réel et actif RESULTATS (3) Investissement : 77 % sont prêts à s’investir 84 % pensent avoir une place auprès de la famille 79 % prêts à témoigner de la volonté du patient
DISCUSSION Echantillon est représentatif de la population sondée Formation des médecins pour répondre aux attentes des patients "en vue de don d'organes" Il faut impliquer le Médecin de famille Investissement Place de dépositaire de la volonté du patient Prise de position lors de la consultation
CONCLUSION Ces pistes apparaissent intéressantes et méritent d’être étudiées L’agence de Bioéthique remplace l’EFG et peut laisser envisager un regain d’intérêt pour le don