l'alcoolisme comme une maladie et le définit comme des « troubles mentaux et troubles du comportement » liés à l'utilisation d'alcool [1]. Cette perte de contrôle s'accompagne généralement d'une dépendance physique caractérisée par un syndrome de sevrage à l'arrêt de la consommation (pharmacodépendance), une dépendance psychique, ainsi qu'une tolérance (nécessité d'augmenter les doses pour obtenir le même effet).troubles du comportement [1]dépendance syndrome de sevragepharmacodépendancedépendancetolérance
LES FACTEURSAU CONRAIRE Des facteurs psychosociaux peuvent exercer également une influence notable comme l'isolement ou le sentiment de solitude, le chômage, les violences conjugales. Des représentations cognitives de l'alcool comme symbole de convivialité, de plaisir ou de virilité sont aussi fréquemment retrouvées. Au niveau du fonctionnement cognitif, un faible sentiment d'efficacité personnelle est perçu (donc une faible confiance à résister à l'envie d'alcool) et des attentes élevées envers l'alcool cognitif
AU VOLANT. Même sans ivresse, l'alcoolisation aggrave le risque d'accident, notamment sur la route et dans les métiers dangereux. Par exemple sur 600 pêcheurs de Boulogne-sur- Mer médicalement suivis, 50 % des éthyliques avaient subis un accident du travail entrainant une invalidité permanente partielle (IPP), contre 20 % chez les non éthyliques [12]. [12]