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Transcription de la présentation:

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Réalisé avec le soutien institutionnel de Les Temps Forts de l ’ ESSM Sommaire La s é lection des informations a é t é r é alis é e sous la responsabilit é d ’ un comit é é ditorial multidisciplinaire, constitu é de : Pierre Bondil (Chamb é ry) Marie-H é l è ne Colson (Marseille) Jean-Roger Dintrans (Paris)

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Les Temps Forts de l ’ ESSM Dysfonction endoth é liale et dysfonction é rectile d ’ origine vasculaire IPDE-5 et satisfaction de la partenaire IPDE-5 et pr é f é rence des partenaires Maladie de Lapeyronie, douleurs et injections de cortico ï des Ejaculation pr é matur é e et degr é de satisfaction chez les r é pondeurs Dysfonction é rectile et attitudes des hommes et des femmes Dysfonction é rectile, testost é rone et cancer de la prostate Oncosexologie et attitude des soignants Dysfonction é rectile et traitement continu prolong é voir Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Dysfonction endoth é liale et dysfonction é rectile d ’ origine vasculaire D ’ apr è s une communication d ’ Antonio Aversa (Rome, Italie) (Master Lecture ML-03) ESSM 2007 Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Physiopathologie de la dysfonction é rectile d'origine vasculaire Ath é roscl é rose - Alt é rations de la relaxation endoth é lod é pendante - Alt é rations de la relaxation neurog é nique Modifications structurelles Modifications fonctionnelles ARTERES St é nose art é rielle Atrophie et fibrose cellules musculaires lisses ARTERES Vasodilatation alt é r é e Relaxation alt é r é e R é duction flux entrant Exc è s flux sortant Hypertension art é rielle Hypercholest é rol é mie Diab è te Insuffisance art é rielle ESSM D ’ apr è s la pr é sentation d ’ A. Aversa Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Dysfonction endoth é liale et dysfonction é rectile d ’ origine vasculaire M é thodologie Etude ouverte, randomis é e, en cross-over, sur 20 hommes souffrant d ’ une dysfonction é rectile Tadalafil 20 mg, en prise r é guli è re ou à la demande, pendant 4 semaines Evaluation de la fonction endoth é liale et en particulier des marqueurs de la fonction endoth é liale : vascular cell adhesion molecule (VCAM), endothelin-1 (ET-1), insuline et C-Reactive Protein (CRP) ESSM D ’ apr è s la pr é sentation d ’ A. Aversa Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Tadalafil et marqueurs de la fonction endoth é liale 0 CRPET-1INSULINE TAD Prise r é guli è re TAD A la demande VCAM ∆/Etat initial (%) P = 0,0001 ESSM D ’ apr è s la pr é sentation d ’ A. Aversa Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Dysfonction endoth é liale et dysfonction é rectile d ’ origine vasculaire Conclusion La diminution des marqueurs de la fonction endoth é liale a é t é plus marqu é e apr è s un traitement r é gulier par tadalafil qu ’ apr è s un traitement à la demande, et s ’ est maintenue 2 semaines apr è s l ’ arrêt Le tadalafil en prise r é guli è re am é liore la fonction endoth é liale ESSM D ’ apr è s la pr é sentation d ’ A. Aversa Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions IPDE-5 et satisfaction de la partenaire D ’ apr è s la communication de Marie Chevret-Measson (Lyon, France) (Abstract MP ) ESSM 2007 Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Sild é nafil et satisfaction de la partenaire M é thodologie Etude ouverte, multicentrique, de 14 semaines testant la satisfaction des partenaires de 57 hommes souffrant de dysfonction é rectile Les hommes ont é t é trait é s par sild é nafil à la demande, entre 25 et 100 mg La satisfaction de la partenaire a é t é é valu é e par un questionnaire d é di é : l ’ Index of Sexual Life (ISL) ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de M. Chevret-Measson Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Sild é nafil et satisfaction de la partenaire Echelle Sexual Life Satisfaction p < 0,0001 ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de M. Chevret-Measson Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Sild é nafil et satisfaction de la partenaire Conclusion L ’ am é lioration de la satisfaction des partenaires est objectiv é e par l ’ Index of Sexual Life (ISL) qui est une é chelle sensible et reproductible L ’ am é lioration des scores de cette nouvelle é chelle est corr é l é e avec l ’ am é lioration de la fonction é rectile selon l ’é chelle IIEF et le domaine de l ’ estime masculine de la SEAR Les corr é lation avec les satisfactions des 2 partenaires selon EDITS sont tr è s fortes, ind é pendantes de l ’ âge et de la s é v é rit é initiale ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de M. Chevret-Measson Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions IPDE-5 et pr é f é rence des partenaires Tadalafil versus sild é nafil D ’ apr è s une communication de Helen Conaglen (Cambridge, Nouvelle-Z é lande) (Abstract MP ) ESSM 2007 Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions IPDE-5 et pr é f é rence de la partenaire M é thodologie Etude ouverte, randomis é e, multicentrique sur 100 couples h é t é rosexuels, dont le partenaire masculin souffre de dysfonction é rectile Les hommes ont é t é trait é s par tadalafil ou sild é nafil à la demande, sur 12 semaines, puis ils ont chang é de groupe pour essayer l ’ autre traitement pendant 12 semaines L ’ efficacit é a é t é mesur é e sur le domaine de la fonction é rectile de l ’é chelle IIEF et la satisfaction de la partenaire a é t é é valu é e par le domaine partenaire de l ’é chelle Sexual Life Satisfaction ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de H. Conaglen Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions IPDE-5 et pr é f é rence des partenaires Pr é f é rence par groupes du cross-over ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de H. Conaglen Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions IPDE-5 et pr é f é rence de la partenaire Conclusion 79 % des femmes ont exprim é une pr é f é rence pour la prise de tadalafil par leur partenaire et 16 % l ’ ont fait en faveur du sild é nafil Ces pr é f é rences ont é t é corr é l é es à celles de leur partenaire masculin Les raisons exprim é es pour cette pr é f é rence é taient au-del à de la seule qualit é de l ’é rection selon l ’é chelle IIEF ce qui incite à proposer l ’ implication de la partenaire dans le choix initial du traitement IPDE-5 ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de H. Conaglen Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Maladie de Lapeyronie, douleurs et injections de cortico ï des D ’ apr è s une communication de Pierre Bondil (Chamb é ry, France) (Abstract MP ) ESSM 2007 Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Maladie de Lapeyronie, douleurs et injections de cortico ï des M é thodologie Etude ouverte chez 46 hommes consultant pour des douleurs li é es à la maladie de Lapeyronie Evaluation de la douleur avant et apr è s injection intracaverneuse de cortico ï des, sur une é chelle visuelle analogique (EVA) de la douleur Technique : injection intracaverneuse de 100 mg d ’ hydrocortisone dans et autour du nodule, 1 fois par semaine pendant au moins 3 semaines ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de P. Bondil Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Maladie de La Peyronie, douleurs et injections de corticoïdes n = 45 rétrospective n = 46 prospective Effet sur la douleur ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de P. Bondil Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Maladie de La Peyronie et injections de corticoïdes Disparition de la douleur en fonction du nombre d’injections % MoisGuérison ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de P. Bondil Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Maladie de Lapeyronie, douleurs et injections de cortico ï des Conclusion Cette é tude prospective, ouverte, confirme le b é n é fice sur la douleur observ é dans la pr é c é dente é tude pilote La mauvaise r é putation des cortico ï des dans les phases aigues de la maladie de Lapeyronie ne semble pas justifi é e Le b é n é fice pourrait être imm é diat (diminution rapide de la douleur dans 76 % des cas) et à plus long terme, grâce à une diminution des s é quelles fibreuses secondaire à la r é duction de l ’ inflammation ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de P. Bondil Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Ejaculation pr é matur é e et crit è res de satisfaction chez les r é pondeurs à la dapox é tine D ’ apr è s une communication de Jacques Buvat (Lille, France) (Abstract P ) ESSM 2007 Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Ejaculation pr é matur é e et crit è res de satisfaction chez les r é pondeurs M é thodologie Analyse post-hoc de l ’é tude multicentrique, randomis é e dapox é tine, 30 ou 60 mg à la demande, versus placebo Les r é pondeurs ont é t é d é finis comme les sujets ayant pr é sent é une am é lioration d'au moins deux points dans le contrôle de l' é jaculation ET une diminution d'au moins un point de la souffrance personnelle en relation avec le trouble de l' é jaculation Cette nouvelle m é thode d ’é valuation permet de mieux rendre compte de l'impact du traitement, les r é sultats n' é tant plus dilu é s par les donn é es des sujets non r é pondeurs ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de J. Buvat Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Ejaculation prématurée et répondeurs Délai avant éjaculation intravaginale chez les répondeurs Ejaculation prématurée et répondeurs Délai avant éjaculation intravaginale chez les répondeurs Avant traitementA 24 semaines Délai avant éjaculation intravaginale RépondeursNR 5,98  6,34 1,82  1,95 0,83  0,49 0,97  0,50 ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de J. Buvat Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Ejaculation prématurée et répondeurs Satisfaction chez 3 répondeurs sur 4 Ejaculation prématurée et répondeurs Satisfaction chez 3 répondeurs sur 4 (n = 260)(n = 794) (n = 267)(n = 787) ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de J. Buvat Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Ejaculation prématurée, répondeurs et sujets normaux Un degré de satisfaction assez proche Ejaculation prématurée, répondeurs et sujets normaux Un degré de satisfaction assez proche ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de J. Buvat Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Ejaculation pr é matur é e et degr é de satisfaction chez les r é pondeurs Conclusions Cette m é thode permet de mieux rendre compte de l'impact du traitement, les r é sultats n' é tant plus dilu é s par les donn é es des sujets non r é pondeurs : alors que le d é lai avant é jaculation intravaginale est de l'ordre de 3,5 minutes pour l'ensemble des malades trait é s, il atteint 6 minutes chez les sujets r é pondeurs Les b é n é fices observ é s ne se limitent pas à cette possibilit é de prolongement du rapport. Les scores t é moignent tous d'un v é cu positif du traitement : am é lioration de la perception du contrôle de l' é jaculation, diminution de la gêne personnelle et de la gêne relationnelle en rapport avec le trouble de l' é jaculation et rapports sexuels plus satisfaisants ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de J. Buvat Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Dysfonction é rectile, attitudes des patients, attitudes des partenaires D ’ apr è s les communications de Ian Eardley (Leeds, UK) et David Edwards (Oxforfshire, UK) (Abstract P et P ) ESSM 2007 Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Dysfonction é rectile et attitudes des hommes M é thodologie Donn é es collect é es aupr è s de 630 hommes selon un questionnaires é tabli d ’ apr è s 20 interviews en face-face Analyse de l ’ attitude des patients apr è s prise d ’ un premier traitement Dans cette population d ’ hommes ayant tous pris au moins un traitement et dont l ’ âge moyen est de 55 ans, le d é lai moyen avant la recherche active d ’ une prise en charge é tait d ’ un an et demi ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de D. Edwards Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Dysfonction é rectile et attitudes des hommes En cas de 1 è re prise non satisfaisante Perte de l ’ estime de soi 68 % Perte de confiance dans le traitement 58 % Se sentent d é prim é s 32 % Se sentent incurables 24 % Ne re-consultent pas 33 % ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de D. Edwards Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Dysfonction é rectile et attitudes des hommes Raisons de la r é signation Principale raison de la « r é signation » : explications insuffisantes lors de la prescription initiale Prescription sans aucune information : 46 % Aucune information sur la DE et sa prise en charge : 15 % Au final, 66 % des hommes ont recherch é une information sur la DE apr è s la consultation ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de D. Edwards Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Dysfonction é rectile et attitudes des femmes M é thodologie Enquête par envoi d ’ un questionnaire aux partenaires f é minines des hommes qui avaient particip é à l ’ enquête MALES (Men ’ s Attitudes to Life Events and Sexuality) en 2004 Ce questionnaire à 65 items visait à faire le point sur les croyances et les attitudes de femmes vis- à - vis de la dysfonction é rectile de leurs conjoints ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de I. Eardley Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Dysfonction é rectile et attitudes des femmes Discordance hommes / femmes Il s ’ agit d ’ un probl è me li é au vieillissement 45,2 % Je n ’ ai pas d ’ id é e concernant la cause de la DE 53,2 % Ce probl è me n ’ est pas si important qu ’ il affecte ma vie sexuelle 49,4 % Je donnerais tout pour traiter ce probl è me d ’é rection 51,3 % Il est assez facile de parler des probl è mes d ’é rection avec ma/mon partenaire 43,7 % Je voudrais trouver une solution mais je ne sais pas o ù 56,1 % ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de I. Eardley Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Dysfonction é rectile et attitudes des hommes et des femmes Conclusions La dysfonction é rectile a un impact n é gatif non seulement sur le malade, mais é galement sur sa partenaire, et doit donc être regard é e comme une v é ritable maladie de couple L ’ approche qui consiste à informer à parit é les 2 partenaires lors de la premi è re prescription est essentielle pour le succ è s th é rapeutique ESSM D ’ apr è s les pr é sentations de D. Edwards et I. Eardley Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Dysfonction é rectile, testost é rone et cancer de la prostate D ’ apr è s la communication de Claude Schulman (Bruxelles, Belgique) (Abstract R-01-03) ESSM 2007 Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Dysfonction érectile, testostérone et cancer de la prostate Incidence du cancer de la prostate et testostérone Miller et al., J Natl Cancer Inst 1993, 85:1023 Madersbacher er al., Urologe [A] 2001, 540 1,600 1,400 1,200 1, Incidence cancer par Testostérone (pg/ml]) Incidence cancer Testostérone Age (ans) ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de C. Schulman Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Dysfonction érectile, testostérone et cancer de la prostate Testostérone basse : un marqueur de cancers plus agressifs Les patients avec un score de Gleason de 8 ou plus ont des taux bas de testostérone  5 n = 156 * p < 0,01  8 * Testostérone sérique (ng/dl) Score de Gleason Hoffman MA, et al. J Urol 2000, 163,: Schatzl G et al. Prostate. 2001;47:52-8 ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de C. Schulman Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Dysfonction érectile, testostérone et cancer de la prostate Modification du PSA après 1 an de traitement substitutif chez des hommes avec ou sans néoplasie intraépithéliale prostatique (PIN) Rhodel ML and Morgentaler A, J Urol 2003, 170: ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de C. Schulman Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Dysfonction érectile, testostérone et cancer de la prostate Conclusion Le lien entre testost é rone et cancer de la prostate serait remis en cause Ceci ouvre la perspective d'utiliser la testost é rone apr è s r é section prostatique, en cas d ’ hypogonadisme symptomatique ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de C. Schulman Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Oncosexologie et attitudes des soignants D ’ apr è s la communication de Pierre Bondil (Chamb é ry, France) (Abstract PP ) ESSM 2007 Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Oncosexologie et attitudes des soignants M é thodologie Apr è s un cancer, au même titre que le traitement de la douleur ou de la maladie, pr é server la vie sexuelle est un un enjeu majeur de qualit é de vie En pr é alable à l ’ ouverture d ’ une consultation d ’ oncosexologie dans un hôpital g é n é ral, une enquête a é t é r é alis é e (n =112) sur les notions des soignants (m é decins, infirmi è res, psychologues … ) concernant la sexualit é des patients canc é reux et leur capacit é d ’é coute et de prise en charge Le questionnaire concernait la sexualit é dans son sens le plus large : image corporelle, relations amoureuses, versant ludique. Il s ’ agit d ’ un questionnaire p é dagogique, le questionnaire FGP pour Fr é quence-Gravit é -Probl è me ESSM D’après la présentation de P. Bondil Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Oncosexologie et attitudes des soignants R é sultats (score moyen) Fréquence de la demande : 1,4 sur 2 Attitude proactive : 0,5 sur 2 Réactivité : 1,2 sur 2 Prise au sérieux : 1,9 sur 2 Difficultés pour orienter le patient : 1,8 sur 2 Connaissances techniques et théoriques : - Médecins : 0,5 sur 2 - Non médecins : 0,1 sur 2 ESSM D’après la présentation de P. Bondil Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Oncosexologie et attitudes des soignants Conclusions Le projet de mise en place d ’ une structure d ’ onco-sexologie à l ’ hôpital recueille un v é ritable pl é biscite (1,9 sur 2) Il existe un int é rêt r é el pour la sexualit é des patients canc é reux : sur une é chelle de 2, l ’ int é rêt est cot é à 1,8. En revanche les connaissances, elles, sont tr è s insuffisantes (0,4 sur 2 pour les connaissances th é oriques, 0,1 sur 2 pour les connaissances pratiques) Si cette enquête t é moigne d ’ un v é ritable int é rêt, il faut combler les lacunes des connaissances de la majorit é des personnels soignants au contact des patients canc é reux ESSM D’après la présentation de P. Bondil Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Dysfonction é rectile et traitement continu prolong é D ’ apr è s la communication de Hartmut Porst (Hambourg, Allemagne) (Abstract P ) ESSM 2007 Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Dysfonction é rectile et traitement continu prolong é M é thodologie Analyse pool é e du suivi en ouvert de 2 é tudes à long terme tadalafil en traitement continu regroupant malades à 1 an suivi de 4 semaines sans aucun traitement malades à 2 ans Evaluation de l ’ efficacit é sur IIEF et SEP Recensement des effets secondaires ESSM D’après la présentation de H. Porst Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Score IIEF (domaine de la FE) : Questions 1-5 et 15 de l ’ IIEF, mesurant la fonction é rectile Dysfonction é rectile et traitement continu prolong é Etude LVCV : score IIEF (domaine de la FE) Ensemble des patients * P < 0,001 versus placebo Bras 10 mg non pr é sent é car non retenu par l ’ AMM ESSM D’après la présentation de H. Porst Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions SEP Question 2: ” Avez-vous é t é capable d ’ introduire votre p é nis dans le vagin de votre partenaire ? ” Ensemble des patients SEP Q2 : Pourcentage moyen par patient * p<0.001 versus placebo Dysfonction é rectile et traitement continu prolong é Etude LVCV : score SEP - Question 2 Bras 10 mg non pr é sent é car non retenu par l ’ AMM ESSM D’après la présentation de H. Porst Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions SEP Question 3: ” Votre é rection a-t-elle dur é suffisamment longtemps pour que le rapport soit r é ussi ? ” Ensemble des patients SEP Q3 : % moyen par patient de r é ponse “ oui ” * p<0.001 vs. placebo Dysfonction é rectile et traitement continu prolong é Etude LVCV : score SEP - Question 3 Bras 10 mg non pr é sent é car non retenu par l ’ AMM ESSM D’après la présentation de H. Porst Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Pourcentage de patients avec un score IIEF FE ≥ Patients avec un score IIEF FE < 26 au d é but de l ’é tude Dysfonction é rectile et traitement continu prolong é Etude LVCV : patients normalis é s à la fin de l ’é tude * p<0.001 versus placebo Bras 10 mg non pr é sent é car non retenu par l ’ AMM ESSM D’après la présentation de H. Porst Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Etude 1 (LVCV) Etude 2 (LVFP) Analyse group é e Patients avec un score IIEF EF < 26 à l ’ entr é e dans l ’é tude 55,2 % 49,5 % 52,1 % Pourcentage de patient avec score IIEF EF normal en fin d ’é tude * * normal est d é fini par un score IIEF EF ≥ 26 Dysfonction é rectile et traitement continu prolong é Analyse pool é e : efficacit é à 12 mois score IIEF EF ESSM D’après la présentation de H. Porst Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions EI survenant chez ≥ 3% des patients Analyse group é e des donn é es Cialis 5mg OAD (N=472) Dyspepsie30 (6,4 %) C é phal é es26 (5,5 %) Douleurs dorsales26 (5,5 %) Hypertension17 (3,6 %) Syndrome pseudo grippal16 (3,4 %) Sorties d ’ essai dues aux EI18 (3,8%) Donn é es internes - Eli Lilly and Company, Indianapolis, IN. « Pooled 12-month data from LVCV and LVFP » Dysfonction é rectile et traitement continu prolong é Analyse pool é e à 12 mois : EI les plus fr é quents ESSM D’après la présentation de H. Porst Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions EI survenant chez ≥ 3% des sujets (groupe tadalafil 5mg OAD) Tadalafil OAD à long terme (5 mg) 1 (N = 238) Tadalafil OAD à long terme (5/10/20 mg) 2 (N = 1173) Hypertension15 (6,3 %)48 (4,1 %) Rhinopharyngites14 (5,9 %)134 (11,4 %) Sinusites14 (5,9 %)NR* Dorsalgies12 (5,0 %)96 (8,2 %) Reflux gastro-esophagien11 (4,6 %)NR* Arthralgies9 (3,8,%)41 (3,5 %) Dyspepsie9 (3,8 %)139 (11,8 %) Infections respiratoires hautes 8 (3,4 %)NR* Sorties d ’ essai en raison d ’ EI14 (5,9 %)74 (6,,3%) * NR = EI Non Rapport é dans la publication (<2%) 1 Donn é es internes - Eli Lilly and Company, Indianapolis, IN : « 24-month data from LVFP » 2 Montorsi, F et al. Eur Urol 2004;45: Dysfonction é rectile et traitement continu prolong é Analyse pool é e à 24 mois : EI les plus fr é quents ESSM D’après la présentation de H. Porst Sommaire

Tous droits réservés - Décembre © mvs-productions Les donn é es concernent 234 malades à 1 an et 238 malades à 2 ans de traitement continu Parall è lement à une persistance de l ’ am é lioration du score IIEF, aucun d é c è s n ’ est survenu au cours des 2 ans de suivi, de même qu ’ aucun effet secondaire s é rieux en rapport avec le tadalafil Les effets secondaires rapport é s dans plus de 5 % des cas sont d é j à tous connus, et non n é cessairement en rapport avec le tadalafil (dyspepsie, c é phal é e, lombalgie, syndrome grippal, HTA, pharyngite et sinusite) Dysfonction é rectile et traitement continu prolong é Conclusion ESSM D ’ apr è s la pr é sentation de H. Porst Sommaire