CAFIPEMF Session 2015
REUNION d’INFORMATION DU 12 DECEMBRE 2014
Plan de l’intervention Calendrier 2015 Textes réglementaires Structure de l’examen Nature des épreuves Attentes du jury Accompagnement des préparataires
CALENDRIER DE LA SESSION 2015 DU CAFIPEMF Du vendredi 13 février 2015 au vendredi 6 mars 2015 inclus : Délai de dépôt du dossier d’inscription. Le dossier d’inscription comprendra obligatoirement le sujet de mémoire. Il sera accompagné de la présentation de la problématique, et si possible d’un plan. Les candidats font connaître, lors de l’inscription, l’option qu’ils ont éventuellement choisie.
CALENDRIER DE LA SESSION 2015 DU CAFIPEMF (SUITE) Agrément des sujets mercredi 11 mars à 13h30 : première commission d’agrément des sujets de mémoire et commission d’harmonisation des critères de notation. jeudi 12 mars : information des candidats concernant l’agrément, ou le refus d’agrément de leur sujet de mémoire. jeudi 19 mars à 16h00 : deuxième commission d’agrément des sujets de mémoire.
CALENDRIER DE LA SESSION 2015 DU CAFIPEMF (SUITE) Les épreuves Du lundi 20 avril au vendredi 29 mai inclus : épreuves pratiques d’admissibilité. Mercredi 3 juin à 13h30 : réunion du jury d’admissibilité. Lundi 14 septembre avant 16h00 : date limite du dépôt des mémoires en six exemplaires. Du lundi 21 septembre au vendredi 30 octobre inclus : épreuves d’admission. Mercredi 4 novembre à 13h30 : délibération du jury et publication des résultats de l’ensemble des épreuves.
Références des textes réglementaires Décret n°85-88 du 22 janvier 1985 modifié par le décret n°91-38 du 14-01-1991 Arrêté du 22 janvier 1985 modifié par l’arrêté du 04-07-1991 Arrêté du 29 octobre 2001 Délibération n°343 du 30 décembre 2002 Délibération n°344 du 30 décembre 2002 Délibération n°345 du 30 décembre 2002 Circulaire n° 2002-125 du 05-06-2002 Convention du 27 janvier 2003
Structure de l'examen - Entretien - Épreuve pratique : - Épreuve d’admissibilité - Partie pratique : deux séances en classe - Entretien - Épreuves d'admission - Rédaction et soutenance, devant le jury, d'un mémoire - Épreuve pratique : - Critique d'une leçon ou - Conduite d'une animation pédagogique
DUREE DES EPREUVES Admissibilité ● 2 séances de 1 H à 1 H 30 ● 1 entretien de 30 mn Admissibilité pour les titulaires d’un CAFIPEMF ● 1 séance de 45 mn Admission ● 1ère épreuve (30 mn dont 10 de présentation ) ▪ soutenance du mémoire ● 2ère épreuve (de 1 H 30 à 2 H 00) au choix du candidat ▪ critique de leçon (environ 20 mn), entretien avec le stagiaire, pause inférieure à 15 mn, entretien avec la commission ▪ animation, pause inférieure à 15 mn, entretien avec la commission
Epreuve d’admissibilité A - Partie pratique (Durée : une heure à une heure trente) En présence du jury, le candidat fait la classe à ses propres élèves (ou, s'il n'exerce pas dans une classe ou une classe ordinaire, devant une classe choisie par le président du jury en accord avec lui). Cette partie pratique doit comprendre deux séances situées dans la progression normale de la classe et porter, au choix du candidat : - la première : sur le français ou sur les mathématiques ; - la seconde : sur l'une des activités (autres que le français et les mathématiques) prévues au programme de l'école primaire ou du collège pour les classes de SEGPA. Pour les candidats ayant choisi une option, la seconde séquence porte sur cette option.
Epreuve d’admissibilité (suite) B - Entretien (Durée : trente minutes) L'entretien avec le jury suit immédiatement la partie pratique. Cet entretien porte sur les séances précédentes ainsi que sur les documents professionnels liés à leur mise en œuvre. La notation de 0 à 20 pour l'épreuve d'admissibilité est affectée du coefficient 3. Toute note inférieure à 15 avant application du coefficient est éliminatoire. La note n’est pas communiquée au candidat mais la commission indique la proposition d’admissibilité ou non adressée au jury.
Épreuves d'admission Épreuve pratique Rédaction et soutenance d'un mémoire Épreuve pratique critique d'une leçon conduite d'une animation pédagogique
A - Rédaction et soutenance, devant le jury, d'un mémoire rédigé par le candidat et portant sur l'un des domaines au programme de l'école primaire ou du collège pour les SEGPA. Le sujet doit être préalablement approuvé par le jury, présidé par le vice-recteur ou son représentant. Ce mémoire doit faire appel à l’expérience professionnelle du candidat et témoigner de ses capacités de réflexion. Le candidat a le libre choix du domaine d'activité ou du champ disciplinaire. La notation de 0 à 20 pour la soutenance d'un mémoire est affectée du coefficient 2. La note n’est pas communiquée au candidat. .
La note n’est pas communiquée au candidat. B - Épreuve pratique Cette épreuve, qui se déroule devant le jury, consiste, au choix du candidat : - soit en la critique d'une leçon ou d’une activité faite par un professeur des écoles ou un instituteur stagiaire ; - soit en la conduite d'une animation pédagogique au sein d'un groupe en formation initiale ou en formation continue. Si le mémoire porte sur le français ou les mathématiques, l'épreuve pratique doit obligatoirement porter sur l'une des autres activités prévues au programme de l'école primaire (ou du collège pour les SEGPA). Si le mémoire porte sur l'un des autres domaines d'activité prévus au programme de l'école primaire (ou du collège pour les SEGPA), l'épreuve pratique doit obligatoirement porter, au choix du candidat, sur le français ou les mathématiques. Pour les CAFIPEMF spécialisés, la seconde épreuve d’admission (animation d’une discussion pédagogique ou critique de leçon) porte obligatoirement sur l'option. Cela signifie que le mémoire ne porte pas obligatoirement sur l’option. La notation de 0 à 20 pour l'épreuve pratique est affectée du coefficient 3. La note n’est pas communiquée au candidat.
Nature des épreuves Épreuve d’admissibilité L'épreuve d'admissibilité a pour objet d'évaluer l'activité d'un enseignant dans une classe et plus largement sa professionnalité. Cette évaluation prend en compte la capacité à définir des objectifs, à mettre en œuvre des démarches pédagogiques dans les situations d'apprentissage choisies pour atteindre ces objectifs, à évaluer les effets des démarches et des situations retenues, à les situer dans la progressivité des apprentissages et dans le cadre des programmes.
Nature des épreuves(suite) Épreuve d’admissibilité (suite) Elle porte tout à la fois sur la maîtrise des contenus, la pertinence de la démarche pédagogique, la justesse de l'observation des comportements et des résultats, la qualité des relations entre le maître et les élèves. On évaluera la capacité à éclairer la démarche pédagogique éventuellement avec le support de documents professionnels que le candidat présentera au jury (préparations, évaluations, programmations d'activités...). L'intérêt pour le projet de l'école ainsi que la connaissance de l'environnement social et culturel peuvent être questionnés.
Préparation, mise en œuvre, auto-analyse ELEMENTS D’ANALYSE POUR L’ÉVALUATION DE L’ÉPREUVE D’ADMISSIBILITÉ DU CAFIPEMF L’observation et l'entretien auxquels le jury procède ont pour but de lui permettre de répondre à la question suivante : Le candidat est-il en possession des fondamentaux du métier d’enseignant ? On peut distinguer trois entrées qui concernent les trois temps spécifiques du métier d’enseignant : avant, pendant et après les séances concernées. Préparation, mise en œuvre, auto-analyse La préparation Définition des objectifs Prévision du dispositif pédagogique et des moyens d’évaluation
La mise en œuvre Qualité de la relation maître-élève Habitudes de travail des élèves Pertinence de la démarche pédagogique et didactique Justesse de l’observation des comportements et du travail des élèves Justesse des actions de régulation du travail proposé aux élèves Pertinence de la démarche d’évaluation Pertinence de la gestion équilibrée du temps L'auto-évaluation Analyse des séances par le candidat Capacité à interroger sa pratique et qualité du questionnement Connaissances didactiques et pédagogiques Capacité à écouter les questions posées Capacité à expliciter sa pratique
Nature des épreuves Épreuves d’admission Les épreuves d'admission doivent permettre de déceler, parmi les candidats, ceux qui peuvent allier à leurs qualités d'enseignant des qualités de formateur d'adultes et d'animateur pédagogique.
Le mémoire Il devra, de façon impérative, prendre appui sur l'expérience professionnelle du candidat. L'entretien permettra de vérifier l'efficience de cette condition. Toutefois, il ne s'agit pas d'un simple travail descriptif. Articulé sur une problématique nettement repérée et sur des contenus maîtrisés, le mémoire est une épreuve d'approfondissement, de recherche personnelle et d'élargissement de la culture du candidat, à partir de l'expérience vécue, en vue d'une analyse critique pouvant conduire, soit à des interrogations amorçant éventuellement un travail ultérieur, soit à des conclusions de portée relativement générale.
Le mémoire (suite) En même temps qu'une épreuve d'examen, destinée à informer le jury sur les capacités du candidat à observer, à s'informer, à analyser sa pratique pour l'affermir, le mémoire doit être un élément essentiel d'auto-formation, avant l'entrée dans une fonction de formateur de maîtres. Il témoigne de la capacité à prendre en compte la polyvalence du métier de professeur des écoles, quel que soit le domaine choisi. Compte tenu des charges professionnelles des candidats, il est souhaitable de limiter l'ampleur du mémoire à une vingtaine de pages.
Evaluer un mémoire de CAFIPEMF ELEMENTS D’ANALYSE POUR L’EVALUATION DES EPREUVES D’ADMISSION DU CAFIPEMF La méthodologie L’analyse de l’expérience personnelle La formalisation écrite La soutenance
La méthodologie Bien qu’agréé, le sujet doit être justifié en tant que thème d’étude, ou comme questionnement, voire comme problématique de « recherche », entre autres par une formulation d’hypothèses pertinentes par rapport aux questions traitées. En tout état de cause, ces questions doivent comporter une dimension didactique et pédagogique forte. Mise en place d’un processus d’analyse : du descriptif à l’analyse proprement dite. Traitement de l’information, son recueil et son utilisation : organisation générale de la démarche choix et pertinence des techniques et outils utilisés : bibliographie, analyse des compétences des élèves, définitions d’objectifs didactiques et sélection de techniques pédagogiques… Distanciation personnelle par rapport à la pratique professionnelle (par exemple se garder des jugements de valeur ou des certitudes fermées). Réflexion générale concernant l’acte d’enseigner : choix pédagogique en rapport avec les objectifs, leurs articulations y compris avec l’organisation du travail dans la classe…
Le sujet Ses fondements didactiques et pédagogiques par rapport aux objectifs d’enseignement du cycle mais également en fonction des besoins de la formation générale des enfants. Une pratique éclairée par une théorie, et non une pratique asservie par une théorie quelle qu’elle soit. Qualité et pertinence des analyses. Précision et bien-fondé des notions et concepts utilisés. Articulation des concepts entre eux : maîtrise ou au moins apprentissage du processus de théorisation. Utilisation à bon escient des référents théoriques. Conscience des limites des « conclusions » du mémoire et de sa propre pratique. Evaluation de l’impact des actions sur les compétences des élèves. Intérêt de l’analyse et des pratiques auxquelles le mémoire se réfère : développement des compétences professionnelles du candidat, enrichissement des processus d’apprentissage des enfants, diversification des pratiques d’enseignement…
L'analyse de l’expérience personnelle Place de l’action décrite et analysée dans l’activité globale de la classe, du cycle, de l’école, par rapport aux objectifs cognitifs, à la formation de l’enfant, aux différents projets qui concernent la classe. Repérage et analyse des difficultés rencontrées. Organisation du travail : prise en compte des progrès et des difficultés des enfants, gestion du temps, régulation, place des partenaires extérieurs à la classe (s’il y a lieu), différenciation pédagogique…
Formalisation écrite Respect des contraintes formelles : une vingtaine de pages. Si et seulement si nécessaire, des annexes, pas trop nombreuses, qui éclairent le propos sans l’alourdir. Construction : élaboration du plan, articulation des différentes parties et des paragraphes, liaisons, transitions, introduction, conclusion… Présentation externe : pagination, mise en page, sommaire, table des matières, illustrations, schémas, bibliographie… Orthographe, syntaxe, vocabulaire…
La soutenance Qualité générale de l’expression orale : clarté, exactitude et diversité du vocabulaire. Maîtrise des notions didactiques. Précisions et argumentation des réponses. Authenticité des points de vue défendus par le candidat. Maîtrise du para verbal : attitude, regard… Interaction avec le jury Qualité des échanges Capacités d’écoute, de disponibilité, de décentration.
L'épreuve pratique : Il s'agit de déceler l'aptitude du candidat à conduire un échange professionnel avec des enseignants ou des stagiaires. Il doit se donner les moyens d'une relation posée en terme de dialogue entre professionnels de l'enseignement. La conduite du dialogue est différente selon qu'il s'agit de jeunes maîtres en formation initiale ou de maîtres expérimentés en formation continue. Le choix même, opéré par le candidat, entre la critique d'une leçon et la conduite d'une animation pédagogique, pourra être éclairé et justifié au cours de l'entretien avec le jury. Dans les deux cas, l'épreuve porte sur l'option quand il s'agit d'un CAFIPEMF spécialisé. Pour le CAFIPEMF option langues vivantes étrangères, la langue choisie doit être une des langues prévues dans les programmes et enseignées dans les écoles de Nouvelle-Calédonie. Le candidat doit être capable d'intervenir auprès du stagiaire aussi bien sur les éléments liés à la qualité de la langue qu'il pratique et enseigne que sur les éléments didactiques et pédagogiques.
Pour la critique de leçon, le candidat assiste à la séance en présence du jury. Il dispose des moyens d'investigation qu'il juge nécessaires à sa critique (examen de la préparation du professeur des écoles, des travaux des élèves, du matériel pédagogique disponible, etc.). La critique de leçon suit immédiatement l'observation de la séquence. Il ne s'agit pas d'un exposé en forme, mais d'un dialogue avec le professeur des écoles pour l'aider à analyser sa séquence de classe et à en définir les prolongements. Il revient au candidat d'analyser la prestation de l'enseignant avec lui dans une approche formative que permettent les conseils prodigués. L'entretien se poursuit hors la présence du professeur des écoles, pour permettre au candidat de s'expliquer librement devant le jury.
ELEMENTS D’ANALYSE POUR L’ÉVALUATION DES ÉPREUVES D’ADMISSION DU CAFIPEMF La critique de leçon La conduite d‘une animation pédagogique
La critique de leçon Aucun contact préalable ne pourra être pris avec le stagiaire dont on observe la « leçon ». Le candidat pourra cependant rencontrer le directeur de l’école 15 minutes avant le début de la « leçon » afin d’organiser la mise en place du jury. Pour tous les candidats, la critique de « leçon » se déroulera dans un niveau différent de celui de son propre exercice.
La commission attend du candidat qu'il soit capable, sur une durée d'environ vingt minutes, de créer un climat d'écoute et de dialogue avec son jeune collègue, ce qui implique un minimum de mise en confiance et de convivialité. Ce climat ne doit cependant en aucun cas tourner à la complaisance sur le fond. Les exigences en termes de critique constructive demeurent entières. Il faut pouvoir dire tout ce que l'on a à dire pour aider l'enseignant en formation à progresser, sans complaisance ni démagogie, sans agressivité ni dogmatisme. .
La commission apprécie particulièrement les candidats qui parviennent à faire réfléchir le stagiaire sur sa leçon, à la lui faire analyser, à construire avec lui des pistes de recherche et de solution pour les problèmes rencontrés. Pointer les aspects positifs d'une séance, ses faiblesses ou problèmes, aider à leur analyse, définir des axes de remédiation, trouver un juste équilibre de parole entre les deux interlocuteurs, terminer par une conclusion synthétique des points importants de l'entretien, voilà ce que les examinateurs attendent prioritairement de cette épreuve
animation pédagogique La conduite d‘une animation pédagogique Un contact préalable pourra être pris avec les stagiaires pour une information mutuelle sur les conditions dans lesquelles la séance sera préparée et conduite. Ce contact préalable ne devra, en aucun cas, prendre la forme d'un examen blanc. Le candidat sera chargé de conduire une animation pédagogique avec un groupe de dix à quinze personnes. Excepté pour les CAFIPEMF spécialisés pour lesquels l'animation doit désormais porter sur l'option, le candidat aura le choix du champ disciplinaire dans lequel se situe l'épreuve, pourvu que ce choix soit compatible avec les dispositions des articles 4 et 5 de l'arrêté du 29 octobre 2001. Il sera informé, deux semaines à l'avance environ, du domaine d'activités et de la progression dans lesquels s'inscrit l'animation qu'il doit conduire.
La conduite d’une animation pédagogique (suite) Le candidat est libre et responsable de l'organisation du fonctionnement du groupe (travail individuel, travail de groupe,...). Comme pour la critique de classe, le candidat devra faire la preuve qu'il est capable de s'appuyer sur une information théorique réelle. A ce sujet, on n'attend pas de lui l‘utilisation d'un vocabulaire pédagogique savant, mais la maîtrise de concepts essentiels pour fonder une pratique de classe.
Au cours de l'épreuve, le jury appréciera particulièrement l'aptitude à instaurer une communication de qualité avec le groupe, à identifier les interventions positives et à en favoriser l'exploitation, à faire surgir les problématiques essentielles, à opérer les synthèses. Pour la critique de leçon comme pour l'animation, la durée de l'épreuve, entretien inclus, est comprise entre une heure trente et deux heures.
Harmonisation des critères de notation Epreuves d’admissibilité Épreuve pratique (durée de 1 H 00 à 1 H 30 et 30 minutes d’entretien) 1ère séance: 6 points 2ème séance: 6 points Entretien avec le jury: 8 points Note sur 20 affectée du coefficient 3 Toute note inférieure à 15 est éliminatoire. La commission indique au candidat la proposition qu’elle adressera au jury d’admissibilité, mais, seul ce dernier se prononce sur les résultats.
Harmonisation des critères de notation (suite) Epreuves d’admission 1) épreuve orale de soutenance du mémoire Mémoire: 8 points Soutenance: 4 points Entretien: 8 points Durée: 30 minutes dont 10 de présentation Note sur 20 affectée du coefficient 2 2) une épreuve pratique au choix du candidat, soit la critique d’une leçon soit la conduite d’une « animation pédagogique » (entre 1 H 30 et 2 H 00) Note sur 20 affectée du coefficient 3 La commission indique au candidat la proposition qu’elle adressera au jury d’admission, mais, seul ce dernier se prononce sur les résultats.
Harmonisation des critères de notation (suite) Candidat titulaire d’un CAFIPEMF Epreuves d’admissibilité Une épreuve pratique Une séance de 45 mn portant sur l’option choisie: 12 pts Un entretien de 30 mn: 8 pts Note sur 20 affectée du coefficient 3 Toute note inférieure à 15 avant application du coefficient est éliminatoire Epreuves d’admission Mémoire (note obtenue antérieurement) : 20 pts coefficient 2 Epreuve pratique portant sur l’option choisie: 20 pts coefficient 3
Candidat admis Le candidat est déclaré admis lors du jury d’admission si, pour l’ensemble des épreuves d’admissibilité et d’admission, il obtient un total minimum de 95 points sur 160