Vérifie tes connaissances Page 274-276 # 1-13
Un écosystème est une communauté d’organismes qui interagissent les uns avec les autres et avec les composantes abiotiques de leur environnement. Deux exemples de grands écosystèmes serait une forêt ou un océan. Deux exemples de petits écosystèmes serait un étang ou un arbre mort. Les composantes abiotiques dans un écosystème comprennent a) la température, la lumière et l’oxygène c) l’eau, le sol et les nutriments d) l’humidité, l’espace et la salinité
Écosystème forestier Composantes biotiques Composantes abiotiques Producteurs: arbres, herbe, fleurs, baies, noix. Soleil (lumière) Eau (rivière) Air (dioxyde de carbone, oxygène Sol (roches, nutriments) Herbivores: cerfs, écureuils Omnivores: ours, castor Carnivores: vautour, aigle ou faucon, loup Décomposeurs: vers de terre, champignons, etc…
a) Le vers de terre est un décomposeur car il recycle la matière morte en nutriment du sol. b) Les arbres sont les producteurs car ils sont capable de faire la photosynthèse pour transformer l’énergie solaire en nourriture. c) Le cerf est un consommateur car il ne peut pas produire sa propre nourriture, il doit manger pour obtenir son énergie. herbe cerf loup Aucun de ces organismes sont des consommateurs.
Les producteurs sont d) les graminées. Les producteurs sont les algues, ils sont à la base des chaines alimentaires. Les consommateurs sont les larves de moustiques, les vairons et la perche.
10. Plantes insectes chauve-souris grand-duc Plantes mulot belette grand-duc Plantes lièvre belette grand-duc Plantes tétras grand-duc
11. 12. Les arbres sont un exemple de producteur, soit des plantes formés de feuilles capable de faire la photosynthèse pour produire la nourriture et l’oxygène. Ils est aussi un habitat pour de multiples petits organismes lorsqu’il est vivant et aussi en décomposition. Puis il nous donne l’ombre en journées chaudes! 50 KJ d’énergie du grand-duc 500 KJ d’énergie des belettes 5 000 KJ d’énergie des mulots 50 000 KJ d’énergie des brins d’herbes
Tout changement dans un écosystème affecte les niveaux trophiques inférieurs et supérieurs du réseau alimentaire présent.