Manuportage en Réanimation Louis Fouché Marseille DESC réanimation Médicale Nice Juin 2007
Introduction Comment ça marche ? Attribuabilité du manuportage dans les infections nosocomiales en réa Impact des mesures de lutte
Micro-organismes en maraude Portage par le malade Environnement colonisé Dossier… SARM, citrobacter sp, Enterococcus sp, Klebsiella sp, Proteus mirabilis, enterobacter, acinetobacter, … Patient de dialyse, diabétique, patient de réa, peau saine colonisée à staph 10-6 squames essaimée par jour avec des bactéries Dans le milieu, celle qui résistent à la dessication
Contamination des mains du personnel Cultures des mains du personnel Quelle activité la plus contaminante ? Patient colonisé à SARM, 17 % des contacts quel qu’ils soient retrouvent de la contamination + quand soins de plaies de cathé de secretions digestives ou respiratoires Daschner en réa : 21 % colonisés à staph 100 % porteront du stappph, 60% du bg-
Temps de survie de la bête sur les mains E. Coli, Klebsielles, + de 50 % à 2 et 6’ Pyo transmissible à 180’ quand dans de la salive Enterococcus sp, Survie > 60’
Le lavage des mains Mesure efficace quand bien réalisée Solution ou gel hydro-alcoolique Anneaux et bagues, faux ongles…
Des mains au patient Contamination croisée Contamination autre site du même patient malgré lavage mains Augmentation du risque si les mains sont mouillées
Modification de la dynamique de transmission Dans les modèles proposés: Nombre de patients par nurse Compliance au lavage de main Patient colonisé ou non …
5 réa 1 an Berlin Typage génomique 15% de transmission croisée
Impact des mesures prises ? Semmelweiss 1847
Compliance à l’hygiène des mains Pittet, Lancet 2000
Conclusion La colonisation est un phénomène fréquent les infections nosocomiales attribuables au manuportage en réanimation Représentent 15 % des infections nosocomiales Le lavage des mains est une prévention efficace Les campagnes de formation améliorent la compliance au lavage de mains
Bibliographie