Histoire de la Bible : formation et transmission (ou la Bible, de sa rédaction à nos mains)
Histoire de la Bible I- La rédaction des textes bibliques II- La formation des Canons III- La transmission des textes bibliques IV- La traduction des textes bibliques
III- La transmission des textes bibliques A- Le processus de transmission –La fiabilité des éditions modernes
III- La transmission des textes bibliques A- Le processus de transmission ou la fiabilité des éditions modernes –La fiabilité des éditions modernes –Copie de copie de copie = problème
III- La transmission des textes bibliques A- Le processus de transmission ou la fiabilité des éditions modernes –La fiabilité des éditions modernes –Copie de copie de copie = problème –Heureusement on a 5000 manuscrits !
III- La transmission des textes bibliques A- Le processus de transmission –La fiabilité des éditions modernes –Copie de copie de copie = problème –Heureusement on a 5000 manuscrits ! –On a des manuscrits des 2e et 3e siècles
III- La transmission des textes bibliques A- Le processus de transmission –La fiabilité des éditions modernes –Copie de copie de copie = problème –Heureusement on a 5000 manuscrits ! –On a des manuscrits des 2e et 3e siècles –Même le texte de l’Ancien Testament est relativement bien établi (surtout grâce à Qumrân)
III- La transmission des textes bibliques A- Le processus de transmission B- La critique textuelle
III- La transmission des textes bibliques A- Le processus de transmission B- La critique textuelle –Critique moderne à partir d’Érasme : édition critique du Nouveau Testament en grec (1516)
III- La transmission des textes bibliques A- Le processus de transmission B- La critique textuelle –Critique moderne à partir d’Érasme : édition critique du Nouveau Testament en grec (1516) –L’édition redonne le Nouveau Testament en grec aux théologiens et a une influence profonde sur l’étude de la Bible, la théologie et l’Église au 16e siècle
III- La transmission des textes bibliques A- Le processus de transmission B- La critique textuelle –Critique externe : évaluation des manuscrits (qualité, ancienneté) –Critique interne