Stell RUEIL-MALMAISON Unité d’Enseignement 1.1. Psychologie.

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BELLEGO Maxime Psychologue Clinicien Doctorant en Psychologie sociale de la Santé IFSI C.H.D. Stell RUEIL-MALMAISON 1ère année
Transcription de la présentation:

Stell RUEIL-MALMAISON Unité d’Enseignement 1.1. Psychologie. IFSI C.H.D. Stell RUEIL-MALMAISON 1ère année. 2009-2010 Unité d’Enseignement 1.1. Psychologie. Concepts de base en psychologie sociale. BELLEGO Maxime Psychologue Clinicien Doctorant en Psychologie sociale de la Santé maximebellego@neuf.fr

SOMMAIRE. 1. L’Homme de la Psychologie Sociale. 2. L’Homme dans la famille. 3. L’Homme social.

1. L’Homme de la Psychologie Sociale. 1.1. Psychologie sociale de la vie quotidienne. 1.2. Les représentations sociales.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. => Milgram, Bickman et Berkowitz (1967).

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Milgram, Bickman et Berkowitz (1967). C1=1 personne : 0%

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Milgram, Bickman et Berkowitz (1967). C1 = 1 personne : 0% C2 = 5 personnes : 80%

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Croire qu’un acte est approprié si nous voyons d’autres personnes le faire.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Série TV : « Friends », « How i met your mother », « Hélène et les garçons »…

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Série TV : « Friends », « How i met your mother », « Hélène et les garçons »… => Rires préenregistrés.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Smyth & Fuller (1972). Rit plus longtemps et plus souvent.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Smyth & Fuller (1972). Rit plus longtemps et plus souvent. Jugées plus drôles.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Croire qu’un acte est approprié si nous voyons d’autres personnes le faire.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Exploitée par amorçage : . Bar . Eglises…

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Force : Raccourci commode

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Force : Raccourci commode Faiblesse : Vulnérable au profiteurs.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Festinger, Riecken et Schachter (1956). La secte de Chicago.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Festinger, Riecken et Schachter (1956). Trop impliqués pour revenir en arrière.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Festinger, Riecken et Schachter (1956). Trop impliqués pour revenir en arrière. Conviction renforcée.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Festinger, Riecken et Schachter (1956). Groupe : maintenir la croyance et convaincre à nouveau.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Festinger, Riecken et Schachter (1956). Groupe : maintenir la croyance et convaincre à nouveau. Individu : renonce et reconnaît ses torts.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Festinger, Riecken et Schachter (1956). Preuve matérielle

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Festinger, Riecken et Schachter (1956). Preuve matérielle

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. Festinger, Riecken et Schachter (1956). Preuve matérielle => Preuve sociale.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : conditions favorables. Similarité Incertitude.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : conditions favorables. Similarité : fonctionne mieux lorsque nous observons le comportement des gens qui nous ressemblent. (Cialdini, 1990).

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : conditions favorables. Similarité. Hornstein, Fisch & Holmes (1968). Le portefeuille.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. Hornstein, Fisch & Holmes (1968). C1=bon anglais/semblable : 70%

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. Hornstein, Fisch & Holmes (1968). C1=bon anglais/semblable : 70% C2=mauvais anglais/dissemblable:33%

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : conditions favorables. Similarité. Plus disposés à suivre l’exemple d’un individu semblable que dissemblable Cialdini (1990).

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : conditions favorables. Similarité Incertitude.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : conditions favorables. Incertitude. Situation confuse : s’en remettre aux actions d’autrui pour déterminer la conduite à tenir.

Et les autres ?

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : conditions favorables. Incertitude. Ignorance collective.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : Ignorance collective. Le meurtre de Kitty Genovese (1964).

Comment l’expliquer ?

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : Ignorance collective. Latané & Darley

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : Ignorance collective. Latané & Darley Responsabilité diluée.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : Ignorance collective. Latané & Darley Responsabilité diluée. Preuve sociale

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : Ignorance collective. Latané & Darley Responsabilité diluée. Preuve sociale => ignorance collective.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : Ignorance collective. « État dans lequel chaque individu conclut de l’impassibilité générale que tout va bien. » Latané & Darley (1968).

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : Ignorance collective. Latané & Darley (1970). Expérience sur l’épilepsie.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : Ignorance collective. Latané & Darley (1970). C1 = 1individu : 85%

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : Ignorance collective. Latané & Darley (1970). C1 = 1individu : 85% C2 = 5 individus : 31%.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : Ignorance collective. Latané & Darley (1970). L’expérience de la fumée.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : Ignorance collective. Latané & Darley (1970). C1 = 1individu : 75%

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : Ignorance collective. Latané & Darley (1970). C1 = 1individu : 75% C2 = 3 individus : 38%

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : Ignorance collective. Latané & Darley (1970). C1 = 1individu : 75% C2 = 3 individus : 38% C3 = 3 + 2 complices

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : Ignorance collective. Latané & Darley (1970). C1 = 1individu : 75% C2 = 3 individus : 38% C3 = 3 + 2 complices => 10%.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale :

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : La secte du Temple du Peuple, Jonestown, Guyane (1970).

Explications ?

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : Dans la jungle => Incertitude.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale : Dans la jungle => Incertitude. San Francisco – Guyane => Similarité.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La preuve sociale. La règle de réciprocité.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La règle de réciprocité. S’efforcer de payer en retour les avantages que l’on reçoit d’autrui. 

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La règle de réciprocité. Aucune société humaine n’y échappe. Alvin Gouldner.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La règle de réciprocité. Capacités d’adaptation, socialisation. Tiger & Fox.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La règle de réciprocité. Coca et loterie. Regan (1971).

Résultats ?

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La règle de réciprocité. C1 = coca : billets

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La règle de réciprocité. C1 = coca : billets C2 = coca : billets (2x-)

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La règle de réciprocité : Caractéristiques.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La règle de réciprocité : Grande puissance d’action.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La règle de réciprocité : Grande puissance d’action. Oblige à recevoir.

1.1. Psychologie Sociale de la vie quotidienne. La règle de réciprocité : Grande puissance d’action. Oblige à recevoir. Pousse à rendre vite et plus.

1. L’Homme de la Psychologie Sociale. 1.1. Psychologie sociale de la vie quotidienne. 1.2. Les représentations sociales.

1.2. Les représentations sociales. Qu’est ce qu’une représentation ?

1.2. Les représentations sociales. Qu’est ce qu’une représentation ? Repose sur processus d’échanges et d’interactions qui aboutissent à la construction d’un savoir commun propre à un groupe social.

1.2. Les représentations sociales. Qu’est ce qu’une représentation ? Qu’est ce qu’une représentation sociale ?

1.2. Les représentations sociales. Qu’est ce qu’une représentation ? Qu’est ce qu’une représentation sociale ? Moliner (2001). « Ensemble de connaissances attestées ou illusoires relatives à l’environnement des individus…

1.2. Les représentations sociales. Qu’est ce qu’une représentation ? Qu’est ce qu’une représentation sociale ? « Connaissances collectivement produites selon processus socialement déterminés… »

1.2. Les représentations sociales. Qu’est ce qu’une représentation ? Qu’est ce qu’une représentation sociale ? « Elles orientent les perceptions de l’environnement, les actions individuelles ou les collectives et les communications. »

1.2. Les représentations sociales. Qu’est ce qu’une représentation ? Qu’est ce qu’une représentation sociale ? Comment se construit une RS ?

1.2. Les représentations sociales. Qu’est ce qu’une représentation ? Qu’est ce qu’une représentation sociale ? Comment se construit une RS ? Elejabarrieta (1996).

1.2. Les représentations sociales. Apparition d’un objet inconnu.

1.2. Les représentations sociales. Apparition d’un objet inconnu. Objet devient saillant.

1.2. Les représentations sociales. Apparition d’un objet inconnu. Objet devient saillant. Communication collective et partage des connaissances constitutives de la RS.

1.2. Les représentations sociales. Communication collective :

1.2. Les représentations sociales. Communication collective : Communications interpersonnelles.

1.2. Les représentations sociales. Communication collective : Communications interpersonnelles. Débat public.

1.2. Les représentations sociales. Communication collective : Communications interpersonnelles. Débat public. Presse.

1.2. Les représentations sociales. Recherche appliquée domaine Santé.

1.2. Les représentations sociales. Recherche appliquée domaine Santé. Représentations des relations intimes sexuels dans des populations de jeunes adultes en France et Grèce. Apostolidis (2001).

1. L’Homme de la Psychologie Sociale. 1.1. Psychologie sociale de la vie quotidienne. 1.2. Les représentations sociales.

SOMMAIRE. 1. L’Homme de la Psychologie Sociale. 2. L’Homme dans la famille. 3. L’Homme social.

2. L’Homme dans la famille. 2.1. L’approche psychanalytique de la famille.

2. L’Homme dans la famille. 2.1. L’approche psychanalytique de la famille. 2.2. Quand la famille va mal.

2. L’Homme dans la famille. 2.1. L’approche psychanalytique de la famille. 2.2. Quand la famille va mal. 2.3. L’anti-Œdipe : l’Homme vers le monde.

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. L’attachement.

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. L’attachement. Tout lien établi entre la mère et son enfant lors de ses premiers jours.

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. L’attachement : Spitz (1942). Le syndrome d’Hospitalisme.

2.1. L’approche psychologique de la famille. L’attachement : Harlow (1956). Besoins et attachement.

2.1. L’approche psychologique de la famille. L’attachement : Harlow (1956). C1 : Fourrure =

2.1. L’approche psychologique de la famille. L’attachement : Harlow (1956). C1 : Fourrure =

2.1. L’approche psychologique de la famille. L’attachement : Harlow (1956). C1 : Fourrure = C2 : Fil de fer =

2.1. L’approche psychologique de la famille. L’attachement : Harlow (1956). L’attachement n’est pas dépendant uniquement d’un besoin physique…

2.1. L’approche psychologique de la famille. L’attachement : Harlow (1956). … l’attachement est également et surtout un besoin d’interaction constitutif.

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. Les liens parents enfants.

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. Les liens parents enfants : Freud. Constitutifs de l’appareil psychique du sujet et du sujet lui-même.

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. Les liens parents enfants : Freud. Détermine les relations d’objets, les mécanismes de défense de l’adulte.

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. Les liens parents enfants : Freud. Complexe d’Oedipe et la triangulation Oedipienne.

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. Mère Père Enfant

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. Mère Père Enfant

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. Mère Père Enfant

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. Mère Père Enfant

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. Les liens parents enfants : Freud. Identification.

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. Les liens parents enfants : Freud. « Processus central par lequel le sujet se constitue et se transforme en assimilant ou en s’appropriant…

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. Les liens parents enfants : Freud. « … en des moments clés de son évolution, attributs ou traits des êtres humains qui l’entourent. »

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. Les liens parents enfants : Freud. Cf. Laplanche et Pontalis.

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. La parentalité.

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. La parentalité : Winnicott, (1967). Good enough

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. La parentalité : Winnicott, (1967). Good enough = suffisamment bonne.

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. La parentalité : Winnicott, (1967). Good enough = suffisamment bonne. Suffisamment mauvaise !!!

2.1. L’approche psychanalytique de la famille. La parentalité : Winnicott, (1967). Pas de frustration = pas de structuration sujet/objet.

2. L’Homme dans la famille. 2.1. L’approche psychanalytique de la famille. 2.2. Quand la famille va mal. 2.3. L’anti-Œdipe : l’Homme vers le monde.

2.2. Quand la famille va mal. L’enfant porte-symptôme.

2.3. Quand la famille va mal. Mère Père Enfant

2.3. L’anti-Œdipe : l’Homme vers le Monde. « L’inconscient comme usine et pas comme théâtre ».

2.3. L’anti-Œdipe : l’Homme vers le Monde. « L’inconscient comme usine et pas comme théâtre ». Deleuze & Guattari (1972).

2.3. L’anti-Œdipe : l’Homme vers le Monde. « L’inconscient comme usine et pas comme théâtre ». Vers des agencements.

2.3. L’anti-Œdipe : l’Homme vers le Monde. « L’inconscient comme usine et pas comme théâtre ». Vers un constructivisme.

2.3. L’anti-Œdipe : l’Homme vers le Monde. Affaires privées ou globalité du monde ?

2.4. L’Homme vers le Monde. Mère Père Enfant

2.3. L’anti-Œdipe : l’Homme vers le Monde. Affaires privées ou globalité du monde ? Vers une nouvelle définition du désir.

2.3. L’anti-Œdipe : l’Homme vers le Monde. Affaires privées ou globalité du monde ? Vers une nouvelle définition du sujet.

2.3. L’anti-Œdipe : l’Homme vers le Monde. Affaires privées ou globalité du monde ? Vers une nouvelle définition de l’Homme social.

SOMMAIRE. 1. L’Homme de la Psychologie Sociale. 2. L’Homme dans la famille. 3. L’Homme social.

3. L’Homme social. Approche dynamique des groupes.

3.1. Approche dynamique des groupes. « ensemble structuré de personnes ayant la possibilité de se percevoir et d’interagir directement… 

3.1. Approche dynamique des groupes. « … ces personnes participant à une activité connue grâce à un système de règles ou de normes formelles ou informelles. » Abric, 2003.

3.1. Approche dynamique des groupes. Ensemble de personnes = groupe ?

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe : 7 caractéristiques (De Visscher).

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe : 7 caractéristiques. 1. Unité de temps et de lieu.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe : 7 caractéristiques. 2. Volonté ou raison d’être et de rester ensemble.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe : 7 caractéristiques. 3. But commun.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe : 7 caractéristiques. 4. Possibilité d’une perception et d’une représentation de chacun des membres du groupe par les autres.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe : 7 caractéristiques. 5. Perception d’une certaine groupalité.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe : 7 caractéristiques. 6. Possibilité d’interaction directe verbale ou non verbale.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe : 7 caractéristiques. 7. Durée de vie minimale permettant à l’ensemble de développer des normes et règles communes.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin, 1947.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Le contexte :

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Le comportement d’un individu ou d’un groupe est toujours déterminé par son environnement psychologique et social.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Groupe = ensemble de personnes interdépendantes.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Approche systémique : un élément change => le système change.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Fonctions du groupe.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Progression.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Progression. Entretien.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Progression : réaliser une tâche, résoudre un problème.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Entretien : maintient du groupe en tant que groupe.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Comment ?

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Facilitation : permet l’échange et l’expression de l’ensemble des membres du groupe.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Régulation : gérer les tensions et les conflits internes au groupe, les gérer pour sauvegarder le groupe.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Groupe : organisme sous tension.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Tensions => Besoins.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Tensions => Besoins. Besoins => Leader.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Le groupe produit le Leader.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Leader : individu dans un groupe donné, à un moment donné qui permet de résoudre les besoins dominants.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Leader = Chef ?

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Chef : pouvoir institutionnelle.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Leader : pouvoir relationnel.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Conflit interne lorsque Leader et Chef dans même groupe.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Résolution du conflit : Chef => Leader.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Résolution du conflit : Pouvoir institutionnel => relationnel.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Lipitt & White (1972) : Styles de leadership.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Style de leadership  climat relationnel et performance spécifique.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Commandement autocratique :

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Le chef prend toutes les décisions. Il reste à l’écart de la vie du groupe, ne participe pas à la vie du groupe.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Leadership démocratique :

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Décisions dépendent de l’avis du groupe, les positions sont toutes explicitées et justifiées.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Le chef participe à la vie du groupe.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Commandement du laisser-faire :

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Participation à minima dans l’organisation. Le chef n’intervient jamais dans le fonctionnement du groupe qui est totalement libre.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Quels effets sur le groupe ?

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Commandement autocratique :

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Perf si présence du chef et tâche quantitative.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Perf si présence du chef et tâche quantitative. Originalité et Créativité :

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Commandement autocratique : Apathie

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Commandement autocratique : Apathie Agressivité.

3.1. Approche dynamique des groupes. Agressivité Chef Membres

3.1. Approche dynamique des groupes. Agressivité Chef Membres

3.1. Approche dynamique des groupes. Agressivité Chef Membres

3.1. Approche dynamique des groupes. Conflit interne.

3.1. Approche dynamique des groupes. Conflit interne. Chute cohésion groupale.

3.1. Approche dynamique des groupes. Conflit interne. Chute cohésion groupale. Création d’un bouc émissaire.

3.1. Approche dynamique des groupes. Agressivité Chef Bouc émissaire

3.1. Approche dynamique des groupes. Agressivité Chef Groupe extérieur

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Leadership démocratique.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Perf quantitative : indépendant présence/ absence chef.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Perf quantitative : indépendant présence/ absence chef. Originalité et Créativité :

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Agressivité : exprimée et régulée.

3.1. Approche dynamique des groupes. Pas de tension intragroupe.

3.1. Approche dynamique des groupes. Pas de tension intragroupe. Pas d’investissement bouc émissaire.

3.1. Approche dynamique des groupes. Pas de tension intragroupe. Pas d’investissement bouc émissaire. Forte cohésion.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Commandement laisser-faire.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Perf quantitative/qualitative, présence/absence du chef.

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Satisfaction :

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Satisfaction : Agressivité :

3.1. Approche dynamique des groupes. Groupe est dynamique : Lewin. Satisfaction : Agressivité : => Bouc émissaires.

3.1. Approche dynamique des groupes. Quel style de leadership ?

3.1. Approche dynamique des groupes.

3.1. Approche dynamique des groupes. Style de leadership  Style de tâche Qualitatif / quantitatif.

3.1. Approche dynamique des groupes. Le leadership : relation établie entre le leader et les participants du groupe.

3.1. Approche dynamique des groupes. Le leadership. 3 Facteurs : Hollander, 1980.

3.1. Approche dynamique des groupes. Situation

3.1. Approche dynamique des groupes. Situation : type de tâche, structure sociale, règles…

3.1. Approche dynamique des groupes. Situation Leader

3.1. Approche dynamique des groupes. Leader : sa légitimité, sa compétence, sa motivation, caractéristiques de sa personnalité…

3.1. Approche dynamique des groupes. Situation Leader Participants

3.1. Approche dynamique des groupes. Participants : leurs attentes, compétences, motivations, caractéristiques de la personnalité…

3.1. Approche dynamique des groupes. Situation Leadership Leader Participants

3.1. Approche dynamique des groupes. Situation Leadership Leader Participants

3.1. Approche dynamique des groupes. Vie du groupe (Mc Kenzie, 1990). Système évolutif à 6 phases.

Phase 1. Engagement.

3.1. Approche dynamique des groupes. Processus d’affiliation des membres.

3.1. Approche dynamique des groupes. Processus d’affiliation des membres. Structuration de la tâche.

3.1. Approche dynamique des groupes. Processus d’affiliation des membres. Structuration de la tâche. Activation des frontières externes.

3.1. Approche dynamique des groupes. Psychologique. Acceptation des autres.

3.1. Approche dynamique des groupes. Psychologique. Acceptation des autres. Découverte de soi.

3.1. Approche dynamique des groupes. Psychologique. Acceptation des autres. Découverte de soi.

3.1. Approche dynamique des groupes. Emotionnelle. Crainte de ne pas être accepté. Être mal jugé.

Phase 2. La différenciation.

3.1. Approche dynamique des groupes. Prises de position conflictuelle et radicalisation des opinions.

3.1. Approche dynamique des groupes. Prises de position conflictuelle et radicalisation des opinions. Capacité groupe à tolérer le conflit.

3.1. Approche dynamique des groupes. Prises de position conflictuelle et radicalisation des opinions. Capacité groupe à tolérer le conflit. Négociation et résolution de conflit.

3.1. Approche dynamique des groupes. Prises de position conflictuelle et radicalisation des opinions. Capacité groupe à tolérer le conflit. Négociation et résolution de conflit. Activation des frontières interpersonnelles.

3.1. Approche dynamique des groupes. Psychologique. Découverte de soi.

3.1. Approche dynamique des groupes. Emotionnelle. Colère (remplace peur du jugement).

3.1. Approche dynamique des groupes. Emotionnelle. Colère (remplace peur du jugement). Domination (remplace soumission).

Phase 3. Individuation.

3.1. Approche dynamique des groupes. Confrontation du sujet aux problèmes des autres.

3.1. Approche dynamique des groupes. Confrontation du sujet aux problèmes des autres. Introspection.

3.1. Approche dynamique des groupes. Confrontation du sujet aux problèmes des autres. Introspection. Activation des frontières internes.

3.1. Approche dynamique des groupes. Psychologique. Découverte de soi.

3.1. Approche dynamique des groupes. Emotionnelle. Contrôle de soi (vs colère).

Phase 4. Le transfert.

3.1. Approche dynamique des groupes. Attraction affectives interpersonnelles.

3.1. Approche dynamique des groupes. Attraction affectives interpersonnelles. Personnalisation des relations.

3.1. Approche dynamique des groupes. Attraction affectives interpersonnelles. Personnalisation des relations. Activation des frontières interpersonnelles.

3.1. Approche dynamique des groupes. Emotionnelle. Sociabilité (vs repli sur soi).

3.1. Approche dynamique des groupes. Emotionnelle. Sociabilité (vs repli sur soi). Confiance (vs méfiance).

Phase 5. Réciprocité.

3.1. Approche dynamique des groupes. Question soulevée par les membres : Responsabilité. Autonomie dans les relations personnelles.

3.1. Approche dynamique des groupes. Psychologique. Activation des frontières interpersonnelles.

3.1. Approche dynamique des groupes. Emotionnelle. Domination.

Phase 6. La résolution.

3.1. Approche dynamique des groupes. Désengager le groupe. Intérioriser le vécu groupal.

3.1. Approche dynamique des groupes. Désengager le groupe. Intérioriser le vécu groupal. Activation des frontières externes.

3.1. Approche dynamique des groupes. Psychologique. Acceptation des autres.

3.1. Approche dynamique des groupes. Emotionnelle. Joie.

3.1. Approche dynamique des groupes. Bilan psychoaffectif de la vie du groupe.

3.1. Approche dynamique des groupes. 1. Dépersonnalisation.

3.1. Approche dynamique des groupes. 1. Dépersonnalisation : sentiment e perte d’identité.

3.1. Approche dynamique des groupes. Dépersonnalisation. Menace.

3.1. Approche dynamique des groupes. Dépersonnalisation. Menace : crainte du jugement de l’autre.

3.1. Approche dynamique des groupes. Dépersonnalisation. Menace. Dépendance.

3.1. Approche dynamique des groupes. Dépersonnalisation. Menace. Dépendance : illusion groupal « bon groupe ».

3.1. Approche dynamique des groupes. 3. Illusion groupale (Anzieu, 1968).

3.1. Approche dynamique des groupes. 3. Illusion groupale (Anzieu, 1968). Constitution d’un bouc émissaire.

3.1. Approche dynamique des groupes. 3. Illusion groupale (Anzieu, 1968). Constitution d’un bouc émissaire. Idéologie égalitariste.

3.1. Approche dynamique des groupes. 3. Illusion groupale (Anzieu, 1968). Constitution d’un bouc émissaire. Idéologie égalitariste. Refus de la sexualité et de constitutions de couples.

3.1. Approche dynamique des groupes. Dépersonnalisation. Menace. Dépendance : illusion groupal « bon groupe ».

3.1. Approche dynamique des groupes. Dépersonnalisation. Menace. Dépendance. Abandon.

3.1. Approche dynamique des groupes. Dépersonnalisation. Menace. Dépendance. Abandon : angoisse de séparation.

3.1. Approche dynamique des groupes. Dépersonnalisation. Menace. Dépendance. Abandon : angoisse de séparation. « On se téléphone ? »

3.1. Approche dynamique des groupes. L’effet « Janis » (1972). Pearl Harbor.

3.1. Approche dynamique des groupes. L’effet « Janis » (1972). Leadership trop directif. Cohésion trop forte. Groupe coupé des autres groupes.

3.1. Approche dynamique des groupes. Importance de la communication.

3.1. Approche dynamique des groupes. Importance de la communication. Communication déformée.

3.1. Approche dynamique des groupes. Importance de la communication. Communication déformée. La rumeur.

3.2. La rumeur. Allport, 1965. « Affirmation générale que l’on présente comme vraie, sans qu’il y ait de données concrètes permettant de vérifier son exactitude ».

L’adhésion à la rumeur : la rend crédible en la transformant. Kapferer (1987). L’adhésion à la rumeur : la rend crédible en la transformant.

3.2. La rumeur. 3 lois d’altération du message (Allport & Postman, 1965).

3.2. La rumeur. 3 lois d’altération du message (Allport & Postman, 1965). Loi d’appauvrissement ou de nivellement.

3.2. La rumeur. Loi d’appauvrissement ou de nivellement. => La rumeur devient + courte, plus facile à raconter (70% détails supprimés en 5 transmissions).

Individus conservent détails confirmant leurs attentes. 3.2. La rumeur. Loi d’appauvrissement ou de nivellement. Individus conservent détails confirmant leurs attentes.

=> Propagations finales : récit court facilement reproductible. 3.2. La rumeur. Loi d’appauvrissement ou de nivellement. => Propagations finales : récit court facilement reproductible.

3.2. La rumeur. 3 lois d’altération du message (Allport & Postman, 1965). Loi d’appauvrissement ou de nivellement. Loi d’accentuation.

=> Renforcement de certains détails. 3.2. La rumeur. Loi d’accentuation. => Renforcement de certains détails.

3.2. La rumeur. 3 lois d’altération du message (Allport & Postman, 1965). Loi d’appauvrissement ou de nivellement. Loi d’accentuation. Loi d’assimilation.

3.2. La rumeur. Loi d’assimilation. => Réorganisation d’informations assimilées à :

3.2. La rumeur. Loi d’assimilation. 1. Thème central : accentuer ou réduire les détails de manière à les faire correspondre à l’idée principale du récit.

3.2. La rumeur. Loi d’assimilation. 2. Par condensation : faire fusionner deux détails plutôt que d’en retenir deux.

3.2. La rumeur. Loi d’assimilation. 3. Par anticipation : les détails prennent la forme de notre façon de percevoir le monde.

3.2. La rumeur. Loi d’assimilation. 4. A des stéréotypes verbaux : assimiler les détails aux stéréotypes d’un groupe social.

3.2. La rumeur. Kapferer, 1987. La rumeur est un « media du non-dit ».

3.2. La rumeur. Kapferer, 1987. La rumeur est un « media du non-dit ». Révélateur d’un système d’interprétation…

3.2. La rumeur. Kapferer, 1987. La rumeur est un « media du non-dit ». … agissant pour canaliser la peur et l’incertitude…

3.2. La rumeur. Kapferer, 1987. La rumeur est un « media du non-dit ». … face à des situations ambiguës.

3.3. L’influence sociale. Conformité. Obéissance.

3.3. L’influence sociale. L’influence sociale : « L’action d’une personne devient une prescription pour l’orientation de la conduite d’une autre personne. »

3.3. L’influence sociale. L’influence sociale : « Recouvre tout ce qui produit un changement de la conduite en vertu de pressions dominantes dans un contexte donné. » Fischer, 1987.

3.3. L’influence sociale. La conformité. Asch, 1951. Les traits.

3.3. L’influence sociale. La conformité.

3.3. L’influence sociale. La conformité.

3.3. L’influence sociale. La conformité. Résultats : 1/3 : avis du groupe. 68% : réponses correctes.

3.3. L’influence sociale. La conformité. Modification d’un comportement par laquelle l’individu répond aux pressions d’un groupe…

3.3. L’influence sociale. La conformité. … en cherchant à se mettre en accord par l’adoption des normes qui lui sont proposées ou imposées.

3.3. L’influence sociale. L’obéissance.

Ou soumission à l’autorité. 3.3. L’influence sociale. L’obéissance. Ou soumission à l’autorité.

3.3. L’influence sociale. L’obéissance. Milgram, 1965. Les chocs électriques.

3.3. L’influence sociale. L’obéissance. Résultats : 62 % obéissent jusqu’au bout.

3.3. L’influence sociale. L’obéissance. Comment laisser de côté sa morale pour une obéissance à une autorité supérieure ?

3.3. L’influence sociale. L’obéissance. Conditions de la socialisation :

3.3. L’influence sociale. L’obéissance. Conditions de la socialisation : . Intériorisation de la soumission.

3.3. L’influence sociale. L’obéissance. Conditions de la socialisation : . Intériorisation de la soumission. . État agentique (pas juge de la signification des actes).

3.3. L’influence sociale. L’obéissance. Conditions de la socialisation : . Responsabilité des actes attribuée à celui qui les commande.

3.3. L’influence sociale. L’obéissance. Les facteurs de changement de l’obéissance :

3.3. L’influence sociale. L’obéissance. Les facteurs de changement de l’obéissance : . La légitimité de l’autorité ( 48%).

3.3. L’influence sociale. L’obéissance. Les facteurs de changement de l’obéissance : . La légitimité de l’autorité ( 48%). . La proximité de la victime.

3.2. La rumeur. Rotter, 1954. Attribution causale. Asch, 1956. Conformisme : brebis galeuse.