Résultats des actions 2005 – 2008 (suite) ANALYSE DES QUESTIONNAIRES DES PROFESSIONNELS 16 structures (sur 19) dont : 13 écoles maternelles 3 structures de petite enfance 2/3 des structures : groupe projet 8 % des groupes « projet » pilotent laction
Participation au projet 1318 enfants : 1212 en écoles maternelles 1013 familles Tranche dâge : 2-6 ans Lien direct avec les projets des structures Multi partenariat : dont les parents Une cinquantaine de partenaires
Valorisation des projets : les enfants, les professionnels et les partenaires Expositions, cahier de vie scolaire, site Internet, petit journal, espace de convivialité pour laccueil des parents, espace de collation libre, CD, etc. Activités élaborées en lien avec le programme scolaire ou le projet de structure Eveil des 5 sens, confection dun jardin jusque la récolte, classification des aliments, temps de « dégustation », confection de recettes, chants, poésies, lectures, mathématiques, semaine du goût, temps forts dans la structure, etc.
Selon les sites, implication des parents en amont, pendant et/ou en aval Quelques exemples : *Participation aux dégustations et aux réalisations de recettes, « ateliers cuisine » et la réalisation de livres de recettes *Apport de fruits et légumes *Rencontres avec la diététicienne *Une semaine de valorisation du projet a eu lieu du 21 au 26 mai. *Encadrement lors de sorties…
Les financements attribués ont permis : de proposer : Des temps forts dans la structure Des interventions de partenaires (CHAAFIP, Diététicienne…) Lachat de matériel Lachat de denrées alimentaires dont les fruits et les légumes Déplacements …. Récapitulatif des dépenses effectuées : en (12013 écoles maternelles ; 2389 sces enfance) en (9877 écoles maternelles ; 935 petite enfance) en (9251 écoles maternelles ; 298 petite enfance)
Les limites du projet : Le recueil en continu des IMC des enfants a été problématique Il manque : une enquête « en direct » auprès des familles des enfants et des professionnels Les changements successifs de professionnels au sein du projet
Perspectives pour les actions sur le secteur des moins de 6 ans Entre 2005 et 2008 : « Des fruits et des légumes pour un cœur sain » Des moyens financiers (interventions de professionnels, etc.) Une aide technique pour la mise en œuvre des activités Selon les structures,anticipation de la fin des financements Entre 2008 et 2010 : « Manger bien, bouger bien, je vais bien… » Un temps de coordination du CAPEP est prévu pour apporter un soutien méthodologique aux structures le souhaitant Suite aux comités de pilotage et techniques, le coordinateur prendra contact avec lensemble des intervenants du secteur de la petite enfance et des écoles maternelles
Conclusion : 93 % des familles : poursuivre la démarche pour Volonté commune dagir pour la santé et le bien-être des enfants Le coût des fruits et des légumes : un frein potentiel ? Parents/Professionnels sont daccord sur lintérêt pour la santé de manger des fruits et des légumes. La quasi totalité des enfants ayant bénéficié du projet durant ces trois dernières années mange régulièrement des fruits et des légumes à lécole. Selon certains enseignants, lobésité nest pas un sujet simple à traiter. Cela demande du temps et les familles ne se mobilisent pas assez malgré les sollicitations.
Deuxième Phase : « Manger bien bouger bien, je vais bien… » Objectifs sur
Pourquoi cette deuxième phase ? La prévention de lobésité : problème de santé publique majeur (PNNS) Le territoire « Politique de la Ville ». La consommation de fruits et de légumes faible Un étroit partenariat local Une ambition : un projet initié en 2005 prévu pour 12 ans Nouveau projet : deux ans, cycle 2 Ladhésion cette année de Beuvrages au programme EPODE (Ensemble, Prévenons lObésité Des Enfants)
Objectifs spécifiques Faire en sorte : Que les enfants qui ont bénéficié du projet « Des fruits et légumes pour un coeur sain » depuis septembre 2005 et qui entrent au CP en septembre 2008, aient acquis à la fin du CE 1 des connaissances et une représentation correcte de ce quest lhygiène alimentaire Que leurs parents soient également informés et participent à des activités sur le thème des rythmes biologiques, de lhygiène de vie et de lactivité physique sur lensemble des territoires
La majorité des professionnels : - appropriation des objectifs de laction - intégration dans le projet de structure. 93 % des familles : poursuivre la démarche Un pari : ces comportements, ces habitudes seront reproduits lorsque lenfant deviendra lui-même adulte. Le travail ne fait que commencer !