DROIT D ’AUTEUR ET BREVET DROIT DES LOGICIELS DROIT D ’AUTEUR ET BREVET
BREVET OU DROIT D ’AUTEUR DANS UN PREMIER TEMPS, LE LOGICIEL N ’EST PAS PROTEGE PAR LE DROIT DES BREVETS LE LOGICIEL N ’A PAS UN CARACTERE INDUSTRIEL QUANT A SON OBJET LOI FRAN9AISE DU 2 JANVIER 1968
BREVET OU DROIT D ’AUTEUR CONVENTION DE MUNICH DU 5.10.1973, ARTICLE 52 LES USA ADOPTENT LE DROIT D ’AUTEUR POUR LES SOFTWARE LES AUTRES PAYS SUIVENT L ’EXEMPLE AMERICAIN ( FIN DES ANNEES SOIXANTE-DIX)
DROIT D ’AUTEUR LE LOGICIEL EST PROTEGE PAR LE DROIT D ’AUTEUR DANS LA MESURE OU IL EST ORIGINAL LA NOTION D ’ORIGINALITE LA NOTION D ’ORIGINALITE ET L ’APPORT INTELLECTUEL
LOGICIEL ET DROIT D ’AUTEUR LOI FRANCAISE DE 1985 DIRECTIVE DU 14 MAI 1991, SUR LES PROGRAMMES D ’ORDINATEUR LOI DE 1994 DES NORMES FAVORABLES AUX ENTREPRISES : LES CREATIONS DE LOGICIELS PAR LES SALARIES REVIENNENT AUX EMPLOYEURS
LES DROITS PATRIMONIAUX LE DROIT DE REPRODUCTION, LIMITE A UNE COPIE DE SAUVEGARDE DROIT DE REPRODUCTION ET USAGE PEDAGOGIQUE : N ’EST PAS PREVU EN DROIT FRANCAIS. FORMULE DE LA LICENCE MIXTE.
LES DROITS PATRIMONIAUX LA REPRODUCTION : LA DECOMPILATION EST POSSIBLE SOUS CONDITIONS : PAS D ’ACCES AU CODE SOURCE LES INFORMATIONS NECESSAIRES A L ’INTEROPERABILITE NE SONT PAS ACCESSIBLES LA PERSONNE PEUT UTILISER LE LO.
LES DROITS PATRIMONIAUX L ’AUTORISATION DE L ’AUTEUR N ’EST PAS NECESSAIRE LORSQUE LES ACTES SONT NECESSAIRES POUR PERMETTRE A L ’ACQUEREUR D ’UTILISER LE PROGRAMME D ’ORDINATEUR D ’UNE MANIERE CONFORME A SA DESTINATION, PAR EXEMPLE POUR CORRIGER DES ERREURS
LES DROITS PATRIMONIAUX DROIT DE REPRESENTATION : COMMUNICATION DIRECTE DE L ’ŒUVRE AU PUBLIC. SURTOUT VALABLE POUR LA DOCUMENTATION AUXILIAIRE.
LES DROITS PATRIMONIAUX DROIT DE DISTRIBUTION LE TITULAIRE DES DROITS SUR UN LOGICIEL EST MAÎTRE DE LA DECISION DE METTRE OU NON SON LOGICIEL SUR LE MARCHE L ’AUTEUR NE PEUT CONTRÔLER LA CIRCULATION DU SUPPORT (IL NE PEUT INTERDIRE LE PRÊT.
LE DROIT MORAL DROIT PERPETUEL, INALIENABLE, IMPRESCRIPTIBLE SPECIFICITES DU DROIT MORAL EN MATIERE DE LOGICIELS L ’AUTEUR NE PEUT S ’OPPOSER A LA MODIFICATION DU LOGICIEL L ’AUTEUR NE PEUT EXERCER SON DROIT DE RETRAIT ET DE REPENTIR
DUREE DE LA PROTECTION SOIXANTE-DIX ANS A PARTIR DU DECES DE L ’AUTEUR, S ’IL S ’AGIT D ’UNE PERSONNE PHYSIQUE SOIXANTE-DIX ANS A PARTIR DE LA PUBLICATION, S ’IL S ’AGIT D ’UNE PERSONNE MORALE
LA CONTREFACON LA CONTREFACON EST UN DELIT ELLE IMPLIQUE LA REPRODUCTION ILLICITE D ’UN LOGICIEL LA SAISIE-CONTREFACON EST EXECUTEE EN VERTU D ’UNE ORDONNANCE RENDUE SUR REQUETE PAR LE PRESIDENT DU TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE
VERS LA BREVETABILITE BREVETABILITE ECARTEE POUR LE LOGICIEL BRUT MAIS LA BREVETABILITE DES SOFTWARE DEVIENT LEGALE AUX USA, AU JAPON AU SEIN DE L ’UE, C ’EST UNE PRATIQUE REPANDUE
VERS LA BREVETABILITE S ’IL NE S ’AGIT PAS SEULEMENT D ’UN LOGICIEL BRUT, MAIS D ’UN LOGICIEL COMBINE A UN AUTRE ELEMENT BREVETABLE OU APPARTENANT A UN ELEMENT BREVETABLE, LE LOGICIEL PEUT ETRE BREVETE ROLE DE LA CHAMBRE DE RECOURS
VERS LA BREVETABILITE TECHNIQUE DE L ’OEB (OFFICE EUROPEEN DES BREVETS) DECISIONS « VICOM » ET « KOCH » VERS UN CHANGEMENT DE L ’ARTICLE 52 DE LA CONVENTION DE MUNICH VERS UNE NOUVELLE DIRECTIVE