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Publié parGabin Déry Modifié depuis plus de 7 années
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Comment les services de promotion de la santé à l’école (PSE) peuvent-ils répondre aux besoins de santé spécifiques des adolescents primo-arrivants ? Une recherche-action menée dans deux centres de santé bruxellois Florence Noirhomme-Renard, Emmanuelle Martin, Alain Deccache Université catholique de Louvain (UCL), Ecole de Santé Publique, Unité RESO Problématique de départ Méthodes Élaboration d’un nouvel « outil » d’évaluation des besoins de santé des adolescents primo-arrivants, incluant les dimensions physique, mentale, sociale, environnement, qualité de vie… (questionnaire traduit en 7 langues) Test d’un nouveau modèle du bilan de santé scolaire et du suivi Vulnérabilité des adolescents récemment immigrés : Changement d’environnement physique, social Biculturalisme, bilinguisme Fuite d’un pays en guerre… Bilan de santé scolaire « classique » pas adapté : Approche encore trop « bio-médicale » Barrière linguistique… Littérature : « bonne santé » à l’arrivée mais dégradation avec le temps [1] Contexte Service PSE (Promotion de la Santé à l’Ecole) et Centre PMS (Psycho- Médico-Social) Commune de Saint-Gilles, Bruxelles Classes-passerelles Objectifs de la recherche-action Mieux détecter les besoins de santé spécifiques des adolescents Améliorer les pratiques préventives Modèle bio-psycho-social de la santé Quelques résultats [2-4] Santé des adolescents Amélioration des pratiques Au niveau du bilan de santé : Administration du questionnaire de santé et de qualité de vie « debriefing » entre le médecin et l’infirmière Bilan de santé adapté selon les besoins mis en évidence Concertation systématique entre le médecin, l’infirmière, la psychologue, l’assistant social après les bilans de santé suivi médico-psycho-social Au niveau collectif : mise en place d’activités de promotion/éducation pour la santé En … Le projet se poursuit chaque année… Bénéfices pour les intervenants: « une meilleure connaissance des adolescents et de leurs difficultés », « une motivation et une valorisation du travail importantes », « une amélioration des relations partenariales » Bénéfices pour les adolescents: « une meilleure réponse à leurs besoins », « une amélioration du suivi des recommandations médicales faites à l’issue du bilan de santé », « un recours accru au service PMS (permanences de l’infirmière et de l’assistant social) » Qualité de vie selon le soutien social (existence dans l’entourage de « quelqu’un sur qui compter » Qualité de vie selon le temps écoulé depuis l’arrivée en Belgique Préoccupations de santé Références : [1] F.Noirhomme-Renard, A.Deccache, La santé physique, mentale et les comportements de santé des adolescents immigrants de première génération, Archives de pédiatrie, 14, 2007, pp [2] F.Renard, A.Deccache, La qualité de vie des adolescents récemment immigrés en Belgique – Une étude prospective menée en milieu scolaire, Neuropsychiatrie de l’Enfance et de l’Adolescence, 54, 2006, pp [3] F.Renard, E.Martin, C.Cueva, A.Deccache, Santé et qualité de vie des adolescents récemment immigrés en Belgique : dépistage et prévention en médecine scolaire, Archives de pédiatrie, 12, 2005, pp [4] M.Born, A.Deccache, H.Desmet, P.Humblet, JP.Pourtois, Recomposer sa vie ailleurs. Recherche-action auprès des familles primo-arrivantes, L’Harmattan, Paris, novembre 2006. Cette recherche-action a été menée dans le cadre du projet UNISOL (Universités Solidaires pour la santé des défavorisés) soutenu par l’Université catholique de Louvain et le Fonds Houtman (ONE), en partenariat avec l’Université libre de Bruxelles, l’Université de Liège et l’Université de Mons-Hainaut. F.Noirhomme-Renard travaille actuellement au Département des Sciences de la Santé Publique de l’Université de Liège. Contact :
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