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Mutation des Emplois et des Compétences

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Présentation au sujet: "Mutation des Emplois et des Compétences"— Transcription de la présentation:

1 Mutation des Emplois et des Compétences
dans la Cosmétique Enjeux et leviers pour maintenir la compétitivité des entreprises du pôle 13 décembre 2016 Etude de Gestion Prévisionnelle des Emplois et des Compétences pour la Cosmetic Valley par la Maison des Entreprises et de l’Emploi de l’Agglomération Chartraine

2 Sommaire Méthodologie
Le secteur « Parfumerie-Cosmétique » - Un cœur d’activité solide en terme d’emplois Evolution des métiers et des compétences – Quels enjeux pour maintenir la performance de la filière ? Anticipation des mutations de l’emploi - Les leviers et pistes d’actions

3 Méthodologie 61,2% Au sein de la filière 7,9% 73% 88,8% Industrie
Des ouvriers Des techniciens et agents de maîtrise Au sein de la filière 73% 7,9% Des ingénieurs et cadres de production Au sein de l’industrie 70% industrie cosmétique 11,6% industrie pharmaceutique 9,6% industrie du papier et carton 4,4% fabrication de produits en caoutchouc…. 88,8% Industrie 7,3% Service 3,9% Commerce Des ingénieurs et cadres d’études et de recherche des effectifs sont répartis sur 3 catégories de métiers _ L’idée principale et fondatrice de la démarche c’est de réaliser une étude sur les métiers les plus représentés au sein des entreprises de la Cosmétique Valley _ Pour réaliser ce diagnostic et identifier les métiers, on est partie de l’approche territoriale et spécifiquement départementale comme a pu vous le présenter Lydie _ J ai donc cartographier la filiere pour en recenser 55 membres dont 92% de PME _ Parmi ces membres, on recense 88,8% d’industries, 7,3% de services et 3,9% de commerce – A titre d’information, en région Centre (75%industries) et en région parisienne (55% d’industries). On a donc bien conscience des biais pouvant induire ce type de démarche. _ Au sein de cette industrie, secteur le plus fortement représenté on retrouve 70% d’emplois au sein d’activités cosmétiques, 11% d’emplois au sein d’activité pharmaceutique, 9,6% d’emplois au sein des activités de papier et carton et 4,4% au sein des activités de fabrication de caoutchouc, plastique. _ Cette filière industrielle cosmétique telle qu’elle est représentée a en commun d’employé 73% des effectifs répartis dans 3 domaines d’activités – métiers qui vous l’aurez compris font l’objet de l’étude. Mais avant de nous interesser à ces métier, je souhaitais d’abord faire un rapide état des lieux du secteur de la cosmétique et plus spécifiquement du cœur d’activité de la cosmétique : la fabrication de parfum et de produits pour la toilette (définition NAF INSEE). Car cette entrée secteorielle est importante car elle reflète la santé en terme d’emploi (nous parlerons dans cette présentation toujours d’emploi pour déterminer la croissance ou la performance) et donc la capacité de recrutement à court et moyen terme de toute la filière. 3,9% Des ouvriers de la manutention

4 Le secteur cosmétique Un cœur d’activité (fabrication de parfum et produits pour la toilette) solide en terme d’emplois On va constater que le coeur d’activité est solde en terme d’emplois

5 Etat des lieux Dimensionnement du secteur

6 20 922 emplois sur le périmètre de la Cosmetic Valley
Fabrication de parfums et produits pour la toilette - Cartographie 2 entreprises 197 emplois 153 entreprises emplois emplois sur le périmètre de la Cosmetic Valley emplois 622 entreprises 19 entreprises 1 321 emplois 18 emplois 1 entreprises 199 emplois 4 entreprises 1 097 emplois 8 entreprises 12 entreprises 639 emplois 9 entreprises 665 emplois 420 emplois 4 entreprises 4 entreprises 100 emplois 17 entreprises 1 230 emplois 12 entreprises 2 604 emplois Fin 2015 On comptabilise 622 entreprises pour emplois en France sur ce secteur Sur le périmètre de l CV on comptabilise emplois répartis comme suit sur les département D2PARTEMENT 92 hauts de seine : emplois pour 27 étab 93 seine saint denis : emplois 75 paris : emplois 94 val de marne: 900 emplois 6 entreprises 658 emplois 1 entreprise

7 Comparatif – l’agroalimentaire et l’industrie pharmaceutique
L’industrie cosmétique : L’industrie pharmaceutique : L’industrie agroalimentaire :

8 Le cœur de l’activité cosmétique : un secteur en croissance
Evolution Le cœur de l’activité cosmétique : un secteur en croissance

9 Evolution des effectifs de la « fabrication de parfums et de produits pour la toilette » (source ACCOSS) PACA BOURGOGNE_FRANCHE_COMTE PAYS_DE_LA_LOIRE Eure-et-Loir LANGUEDOC_ROUSS_MIDI_PY AUVERGNE_RHONE_ALPES CENTRE_VAL_DE_LOIRE BRETAGNE GRAND_EST Fabrication de parfums… Industrie du papier et carton Industrie pharmaceutique Depuis 2009 quelle a été la croissance de l’emploi Croissance continue en Eure-et Loir Supérieure à la région qui est également en croissance alors que la France a souffert davantage. (quasi stagnation) Meme exercice sur le territoire de la CV = croissance (en terme de volume = 200 emplois en moins depuis 2013) Surtout, si l’on compare le secteur d’activité du parfum à celui de l’industrie dans sa globalité, le contraste est saisissant. Industrie agroalimentaire Fabrication de produits en caoutchouc… Industrie

10 Le cœur de l’activité cosmétique est performant au sein d’une industrie en restructuration
Etat des lieux des performances des secteurs d’activité en terme d’emploi Le taux de croissance du secteur au niveau territorial est supérieur au taux de croissance sectoriel national Txterr > Txnat Le taux de croissance du secteur au niveau territorial est inférieur au taux de croissance sectoriel national Txterr < Txnat Le taux de croissance du secteur est positif Txterr > 0 Le taux de croissance du secteur est négatif Txterr < 0 Fabrication électr., électron., inform. Métallurgie Le taux de croissance du secteur au niveau territorial est supérieur au taux de croissance sectoriel national Txterr > Txnat Le taux de croissance du secteur au niveau territorial est inférieur au taux de croissance sectoriel national Txterr < Txnat Le taux de croissance du secteur est positif Txterr > 0 Industrie agroalimentaire (E&L) Industrie pharmaceutique (E&L) Le taux de croissance du secteur est négatif Txterr < 0 Industrie agroalimentaire (CV) Industrie pharmaceutique (CV) Le taux de croissance du secteur au niveau territorial est supérieur au taux de croissance sectoriel national Txterr > Txnat Le taux de croissance du secteur au niveau territorial est inférieur au taux de croissance sectoriel national Txterr < Txnat Le taux de croissance du secteur est positif Txterr > 0 Groupe 1 : « bonne compétitivité territoriale » Secteurs qui connaissent un niveau de croissance supérieur au niveau national Groupe 2 : « peut mieux faire » Secteurs en croissance, mais en deçà du niveau national Le taux de croissance du secteur est négatif Txterr < 0 Groupe 4 : « résiste à la baisse » Secteurs perdant des emplois, mais dans des proportions inférieures au niveau national Groupe 3 : « faiblesse territoriale » Secteurs perdant des emplois, et plus faibles qu’au niveau national Le taux de croissance du secteur au niveau territorial est supérieur au taux de croissance sectoriel national Txterr > Txnat Le taux de croissance du secteur au niveau territorial est inférieur au taux de croissance sectoriel national Txterr < Txnat Le taux de croissance du secteur est positif Txterr > 0 Fabrication de parfums et de produits pour la toilette  (E&L) Le taux de croissance du secteur est négatif Txterr < 0 Fabrication de produits en caoutchouc et plastique (E&L et CV) Industrie du papier et du carton (E&L et CV) On vient de voir que le secteur est en croissance du point de vue de l’emploi. Comment situer cette performance du point de vue territoriale. A travers cette matrice très simple nous pouvons échelonner cette performance et la comparée en classant les activité compétitives (en croissance et supérieures au niveau national) ) celles plutot en faiblesse (en décroissance et dont le rythme est inférieur au niveau national). Ce prisme est interessant pour évaluer la filiere et soulever des points d’alertes = Le cœur d’activité est performants et compétitif territorialement. Ici il est compétitif du point de vue départemental mais également du point de vue régional et du territoitre de la CV. Ce qui n’est pas le cas des autres activités participant actvement à la filiere comme la fabrication de produits en caoutchouc et plastique qui est en décroissance mais qui resiste mieux ou l’industrie du papier carton qui est en faiblesse sur le territoire. Pour ce qui est des autres activités de process (la pharma ou l’agroalimentaire) dont les emplois sont proches de l’industrie cosmétique. Volontairement ils sont classés aux antipodes = en bonne compétition en Eure et loir et en faiblesse du point de vue régional. Concernant d’autres activités de l’industrie : faiblesse

11 L’industrie cosmétique Des recrutements constants
Prospective L’industrie cosmétique Des recrutements constants Globalement perfromante et créatrice d’emploi hier et aujourd’hui, l’industrie cosmétique sera t elle dynamique les prochaines années. Pour mesurer cela, j’ai travailler avec l’Observatoire de l’ORFE en région Centre, et nous avons déterminé 3 scenaris à l’horizon 2025

12 Les besoins en recrutement par secteur par an à l'horizon 2025, en région Centre-Val de Loire
Données ORFE Retraite à 62 ans Retraite à 65 ans Retraite à 62 ans Retraite à 65 ans Retraite à 62 ans Retraite à 65 ans Industrie Cosmétique Industrie pharmaceutique Un scenario tendanciel (au fil de l’eau), un scenario de croissance économique et un scenario de crise en y adjoignant deux hypothèses : une retraite à 62 ans et une retraite à 65 ans Les constats sont les suivants : Les industries connnexes de la filiere cosmetique : le caoutchouc plastique et le papier et carton qui sont les plus en souffrance ces dernieres années : les variations de l’emploi sont tres différentes selon les scenariis : et notamment l age de départ en retraite qui conditionne véritablemet les besoins. Ici les besoins et la croissance de l’emploi seront directement adossés aux départs en retraite. Peu de créations nettes d’emplois. Et meme des destrucitons d’emploi si les scenariis sont bas. Les industries pharmaceutique : les perspectives de besoins sont bien plus élevés. Cependant, on constate une chose surprenante au 1er abord qui est qu’en cas de croissance économique il y aurait de la destruction d’emploi : sans avoir creuser et sans vouloir presager de certitudes (prospective) : explication = investissement outils de production et gain de productivité Concernant l’industrie cosmétique : si les besoins sont inférieurs du point de vue tendanciel, en revanche, les variations d’une hypothese à une autre et d’un scnerio à l’autre sont faibles. Les besoins en main d’œuvre seront permanents. TRANSITION = CETTE MAIN D’ŒUVRE, PARLONS EN JUSTEMENT. Fabrication de produits en caoutchouc et en plastique Travail du bois, industries du papier et imprimerie Scénario tendanciel Scénario haut Scénario bas

13 Approche métiers Evolution des métiers et des compétences
QUELS ENJEUX POUR MAINTENIR LA PERFORMANCE DE LA FILIERE ? Gage de performance économique, l’emploi est un sujet primordial pour vous. Rouage essentiel à la bonne réussite de vos entreprises il est également vecteur et garant d’une partie de l’image de l’entreprise. Pour maintenir cette performance il est important de mesurer et anticiper l’évolution des métiers : Nous allons ici étudier successivement les métiers d’ouvriers, de techniciens et agents de maitrise et de cadres et ingénieurs.

14 Les ouvriers des industries cosmétiques
43% Les ouvriers représentent 43% des effectifs des entreprises de la filière cosmétique.

15 Les ouvriers non qualifiés
Les conditionneurs Perspectives nationales Réduction des effectifs Mutation des métiers Montée en qualification Prospective régionale Emplois saisonniers Moyenne tous domaines 35,6% 67% Indices de chômage Moyenne tous domaines 15,7% 51% d’hommes 49% de femmes 37% Taux d’intérim Moyenne tous domaines 1,8% Moyenne industrie 3,4% 10,6% 48,4% non diplômés Intéressons nous d’abord aux ouvriers non qualifiés : Les agents de conditionnement Dressons leur profil et pointons les principales évolutions de ces métiers ces dernières années avant de nous projeter. _ 49% de femmes : le taux de féminisation y est élevé : plus élevé qu’en moyenne (47%) et particulièrement significatif dans l’industrie (chiffres ?) _ Le niveau de ces ouvriers est faible : Un actif sur deux ne possédant pas de diplôme. Certes les jeunes entrants (moins de 30 ans) possèdent un niveau plus élevé mais restent encore 26,8ù% a ne posséder aucun diplôme. _ La pyramide des âge est déséquilibrée mais surtout, en dix ans, elle s’est fortement déséquilibrée sous le poids croissant des actifs de plus de 50 ans passés de 15 à 26% ces 12 dernières années. Premier indicateur d’emploi significatif : le taux de croissance des effectifs depuis 1999 : ils sont en baisse constante Les conditions d’emploi maintenant : d’abord le taux de précarité (contrat courts et CDD inférieurs à 6 mois) élevé. Presque deux fois plus élevé qu’en moyenne. Une précarité expliquée en partie par l’utilisation massive de l’intérim. 10,6% quand il est de 1,8% tous domaines et 3,4% industrie. Pour en revenir à la pyramide des âges : 0,8 actifs de moins de 30 ans pour 1 actif de plus de 50 ans. Il y a 15ans cet indicateur etait de 2. Sous l’impulsion de la décroissance de l’emploi le déséquilibre s’est creusé. Sur le marché du travail maintenant : peu de surprise : emplois précaires et sensibles : les emplois sont saisonniers 67% et le taux de chômage y est tres élevé avec l’accroissement constant des demandeurs d’emplois. Liens de cause a effet : avec le taux de feminisation et le taux d’actifs de moins de 30 ans : le chomage des femmes : 46% et le chômage des jeunes 44% pROJETTONS NOUS MAINTENANT COMME NOUS AVONS PU LE FAIRE AVEC LES SECTEURS ET REGARDONS LES BESOINS A 2025 La principale information est que bien que ces métiers soient pklutot en décroissance structurellement. Conjoncturellement, les besoins sur ces profils seront constants (100) et ce quelque soit l’état conjoncturel. Du point de vue national : les perspectives sont dans la mouvance des tendances passées. Réduction des effectifs. DU COTE DES OUVRIERS QUALIFIES MAINTENANT 26% ont plus de 50 ans Taux de précarité Moyenne tous domaines 11,7% 19,3% 54,4% ont entre 30 et 50 ans 19,6% ont moins de 30 ans Evolution de l’emploi Moyenne tous domaines +7,6% -36,4%

16 Les ouvriers qualifiés
Les conducteurs de ligne Difficultés de recrutement Moyenne tous domaines 35,6% Prospective régionale Perspectives nationales Maintien des effectifs Capacité des entreprises à se renouveler et à innover 76% 57,7% d’hommes 42,3% de femmes Taux d’intérim Moyenne tous domaines 1,8% Moyenne industrie 3,4% 6% 39,8% niveau V Taux de féminisation élevé également La clé d’entrée sur ces postes est le niveau V puisque 40% des actifs possèdent ce niveau (CAP BEP). Si jusqu’ici ce niveau de diplôme était plébiscité, aujourd’hui, la moitié des jeunes actifs de moins de 30 ans en poste possède un bac ou plus (donc niveau IV) en lien avec les mutations technologiques. Si la pyramide des âges est déséquilibré, en revanche elle est relativement stable depuis quelques années. En terme d’évolution, après avoir connu une période de baisse, leur volume est en légère progression depuis On parlera davantage d’une stabilité. Stabilité corroboré par le niveau de précarité dans la moyenne mais qui tend à se développer sous l’impulsion du taux d’intérim qui a doublé ces dix dernières années. Le lien de cause a effet est tout trouvé : Sur le marché du travail, les difficultés de recrutement sont importantes. La moitié des besoins sur Eure et loir. Difficultées accrues en Eure-et-Loir plus que que loiret ou seine maritime. Vient du fait du nombre plus important de projets d’autre part : Difficultés qualitatives car ce ne sont pas les demandeurs d’emploi qui manque : 553 demandeurs d’emploi en eure et loir dont 226 supplémentaires depuis Difficultés de recrutement importantes à souligner quand on sait que ce sont les premiers postes recrutés en volume D’un point de vue prospectif : 130 : lien conjoncturel un peu plus marqué sur ces postes. Confirmé au niveau national. 23,3% ont plus de 50 ans Taux de précarité Moyenne tous domaines 11,7% 12,6% 58,4% ont entre 30 et 50 ans 17,3% ont moins de 30 ans Evolution de l’emploi Moyenne tous domaines +7,6% +1,5% depuis 2007

17 Les conducteurs de ligne
Les conditionneurs Femme Des compétences techniques Plus de 50 ans En emploi pérenne Mutation des métiers et montée en compétence des ouvriers des industries cosmétiques En contrat précaire De niveau IV Sans diplôme

18 Les techniciens et agents de maîtrise
18%

19 Les techniciens et agents de maîtrise
Les techniciens de production, de labo… Perspectives nationales Prospective régionale Croissance des effectifs Sécurité, qualité et développement devraient amener à une montée en compétences et à une plus grande polyvalence de l’ensemble des personnels Difficultés de recrutement Moyenne tous domaines 35,6% 64% Taux de tension Moyenne tous domaines 2,6 1,1 67,9% d’hommes 32,1% de femmes 44,2% niveau III et plus Pour moi : poste stratégique interface entre formulateur et production garant du passage entre R et D et production. 7 emplois sur 10 techniciens La part des femmes bien que relativement faible est en constante progression (22% en 1999) Le niveau de formation est assez élevé : 64,6% ont au minimum un niveau IV dont 44,2% un niveau III et plus. Un constat amplifié par le niveau des jeunes générations puisque 81% des actifs de moins de 30 ans ont un niveau III te plus. _ La pyramide des âges est équilibrée. Le vieillissement des actifs n’a pas entrainé de déséquilibre majeur et le volume des départs en retraite est relativement contenu. Les emplois sont stables du point de vue de la croissance Du point de vue des conditions d’exercice A priori attractifs, le marché du travail traduit pourtant des difficultés de recrutement du au croisement à la fois de tensions quantitatives et qualitatives. Des difficultés préoccupantes quand on sait qu’après les ouvriers qualifiés ce sont les postes les plus recrutés. Une réalité sur une grande partie du territoire de la CV (250 projets) : difficultés sur le loiret, le loir et cher, l eure Du point de vue prospectif : 100 : besoins permanents au niveau régional et des perspectives de croissance au niveau national. 19,3% ont plus de 50 ans Taux de CDI Moyenne tous domaines 78,6% 92,6% 62,5% ont entre 30 et 50 ans 17,6% ont moins de 30 ans stable depuis 2007 Evolution de l’emploi Moyenne tous domaines +7,6%

20 Les techniciens de production, de laboratoire…
Maintien et développement des compétences de production et attractivité des potentiels Hommes Entre 30 et 40 ans Emplois stables Niveau de formation élevé

21 Les ingénieurs et cadres
8% Ouvriers, techniciens et agents de maitrise, maintenant voyons les ingénieurs et cadres : 8% des effectifs

22 Les ingénieurs et cadres de production
Perspectives nationales Difficultés de recrutement Moyenne tous domaines 35,6% Prospective régionale Nombreuses créations d’emplois au bénéfice d’une économie intégrant des méthodes de production de plus en plus pointues 95% Taux de tension Moyenne tous domaines 2,6 1,7 83,2% d’hommes 25,4% Taux de renouvellement Moyenne tous domaines 26% 16,8% de femmes 0,5 Taux de relève Moyenne tous domaines 0,8 68% niveau III et plus Les ingénieurs et cadres de la production d’abord _ Des métiers masculins mais qui s’est nettement féminisé depuis quelques années, La part des femmes a doublé ces 15 dernières années. _ Profession diplômée : arrivée en emploi des jeunes entrant : 95,2% niveau III et plus _ Pyramide des âges très déséquilibrée : on va revenir dessus juste après L’évolution des emplois : - Les Effectifs sont en hausse Des emplois stables - Une pyramide donc très déséquilibrée : cependant : deux précaution : Entrée plus tardive sur le marché du travail de la population davantage diplômé D’autre part notons : plus de jeunes de 25 à 34 ans parmi les ingénieurs et cadres techniques de l’industrie - Surtout ce qui attire l’attention sur ces métiers : difficultés de recrutement et les tensions sachant qu’une faible partie des offres ne transite par Pôle emploi. L’embauche des ingénieurs et cadres de production représentant 12% des recrutement dans l’industrie cosmétique, cette statistique attire forcément l’attention. Sur le territoire de la CV = 166 projets avec une forte concentration sur la Normandie et la région Centre. DONT 80% eure et loir et seine maritime. Les difficultés sont concentrées sur la région centre et spécifiquement l'Eure et loir 25,4% ont plus de 50 ans Taux de CDI Moyenne tous domaines 78,6% 98% 62,8% ont entre 30 et 50 ans 11,8% ont moins de 30 ans Evolution de l’emploi Moyenne tous domaines +7,6% En hausse

23 Les ingénieurs et cadres d’études et recherche Perspectives nationales
Difficultés de recrutement Moyenne tous domaines 35,6% 100% Perspectives nationales 28,2% 80,3% d’hommes Taux de renouvellement Moyenne tous domaines 0,8 19,7% de femmes Développement de l’emploi soutenu 0,5 Taux de relève Moyenne tous domaines 0,8 82,7% niveau III et plus Le profil des actifs pour Ces métiers vont avoir les memes caractéristiques que les ingénieurs et cadres d eprod globalement _ Comme pour les ingénieurs et cadres de prod : métiers masculins. _ Actifs tres diplômés Surtout en progression constante ces 15 dernières années. Notons : 89% des moins de 30 ans ont un niveau III et plus. _ Pyramide des âges déséquilibrée. _ Ces actifs progresse de manière constante depuis 1999 à un rythme soutenu. _ les emplois sont stables _ la répartitioon des ages : Attention évidemment car du fait des études plus longues, les personnels d’étude te de recherche entrent plus tard sur le marché dy travaul et quittent plus tardivement leur emploi en fin de carrière que les ingénieurs et cadres de production ceci dit Le développement des postes à pourvoir dans ces métiers, que ce soit pour pallier les départs en fin de carrière ou pour occuper les emplois supplémentaires, devrait donc être particulièrement favorable à l’emploi de jeunes très diplômés. _ Sur le territoire de la CV = 50 projets avec une forte concentration sur la Normandie et la région Centre. DONT 80% Eure et loir et seine maritime. Les difficultés sont concentrées sur la région centre et spécifiquement l'Eure et loir quand on regarde sur les secteurs purement industriels mais des lors que l’on étend ce croisement au services ( plus de 2000 besoins) et don que l’on prend en compte les sièges et les cabinets d’études alors les difficultés sur ces postes sont accrus et surtout sur l’ensemble du territoire de la CV (96% val d’oise, 70% yvelines, 83%¨Loiret, seine st denis 90%, val de marne, paris, essonne, hauts de seine) 28,2% ont plus de 50 ans Taux de CDI Moyenne tous domaines 78,6% 98,7% 58,9% ont entre 30 et 50 ans 12,9% ont moins de 30 ans Evolution de l’emploi Moyenne tous domaines +7,6% +17,2%

24 Les ingénieurs et cadres
Hommes Attirer les potentiels et les jeunes diplômés et fidéliser les salariés Plus de 50 ans Emplois stables Niveau de formation élevé La part des femmes dans les formations supérieures scientifiques a notamment progressé régulièrement même si ces formations accueillent encore très majoritairement des hommes (DEPP, 2012). Les femmes ne représentent ainsi qu’environ 30 % des étudiants dans les écoles d’ingénieurs et dans les classes préparatoires scientifiques aux grandes écoles. Dans ces métiers, pas toujours épargnés par les stéréotypes de genre [11], la présence des femmes devrait continuer à se développer au cours des prochaines années, avoisinant en % des effectifs parmi les ingénieurs et cadres techniques de l’industrie (tableau 2). Prospective national en , les jeunes ayant achevé leurs études initiales depuis un à quatre ans représentent 9 % des effectifs parmi les ingénieurs et cadres techniques de l’industrie et 12 % parmi les personnels d’étude et de recherche (tableau 2). Plus élevée que dans l’ensemble de la population en emploi (8 %), cette proportion est aussi largement supérieure à celle observée dans d’autres métiers de cadres pour lesquels l’accès se fait davantage par promotion interne (cadres administratifs, commerciaux, bancaires…). Le niveau de diplôme des débutants est très élevé parmi les chercheurs, ingénieurs et cadres techniques de l’industrie, au moins égal à bac plus cinq pour une très large majorité.

25 Techniciens de production et de maintenance Entre mutations, montée en compétence, fidélisation et attractivité Marché du travail Marché du travail Précarité Décroissance Ecoles, universités Montée en compétence Attirer les potentiels Ingénieurs et cadres Opérateurs de production Renouvellement des actifs Entreprises Filière Difficultés de recrutement Fidélisation des salariés Tensions au recrutement

26 Approche métiers Anticipation des mutations de l’emploi
LES LEVIERS ET PISTES D’ACTIONS

27 Attractivité Gestion des compétences
Une filière encore plus lisible ? Une réponse collective ? Informer et communiquer sur les métiers Identifier les facteurs d’attractivité des entreprises et de la filière Diversifier les pratiques de recrutement LES ENJEUX Gestion des compétences Une réponse intra et inter-entreprises ? Maintenir voir croitre les effectifs d’ouvriers qualifiés tout en palliant aux difficultés de recrutements pour maintenir le rythme de production Renforcer la qualification des salariés Sécuriser les parcours professionnels Favoriser les évolutions de carrières Attirer les potentiels et les jeunes diplômés et fidéliser les salariés Absorber la baisse structurelle des ouvriers non qualifiés tout en maintenant une volumétrie suffisante pour maintenir le cycle de production LES LEVIERS Attirer les potentiels pour maintenir et développer les compétences stratégiques


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