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Dr. Paul R. Carr Youngstown State University

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Présentation au sujet: "Dr. Paul R. Carr Youngstown State University"— Transcription de la présentation:

1 L’identité, les relations interculturelles et la justice sociale : Le rôle du pouvoir
Dr. Paul R. Carr Youngstown State University Beeghly College of Education One University Plaza Youngstown, OH, 44555 Tel:

2 Point de départ Comment parler de l’identité et en quoi consiste-t-elle ? Qu’est-ce que la justice sociale ? Quel est le lien entre l’identité et la justice sociale ? Comment faire de la recherche, du travail ou de l’éducation interculturelle ?

3 Perspectives La culture contre la race
La construction sociologique de l’identité Est-ce que la langue est une culture ? Le pouvoir et le privilège de la race blanche L’expérience vécue La sociologie contre la psychologie L’anglais contre le français L’Amérique du nord contre l’Europe Le contexte canadien

4 Terminologie Des centaines des termes dans toutes les langues pour décrire l’identité La sociopolitique des relations interculturelles Le pouvoir de se nommer et de nommer « l’autre » La race est souvent connecté à la notion du pourcentage de sang mixte Endogamie : se marier à l’intérieur du groupe Exogamie : se marier à l’extérieur du groupe race mixte, multiracial, interracial, biracial, Mulatto (mulâtre), Half-breeds, Mixed-bloods (sang mixte), Mestizo (espagnol) et Métis (français) Peut-on parler de l’interculturel sans parler de la race ?

5 La justice sociale Quelles sont les composantes de la justice sociale ? Comment faire de la justice sociale ? Quelles sont les liens entre les groupes qui militent pour la justice sociale ? Pourquoi l’éducation est un domaine clé pour avancer la justice sociale ? La pédagogie des opprimés (Freire) Les discontinuités culturelles (Ogbu) Le racisme systémique (Dei) L’identité et la justice sociale (Vincent) La démocratie et la justice sociale (Portelli et Solomon)

6 Contexte historique L’histoire et des réalités contemporaines
Haiti (plus 140 classifications raciales en 1804; des républiques noir et mulâtres) Cuba (les Espagnols, les aborigènes et les Africains) Mexico (les aborigènes et les Africains) Canada (les aborigènes et les Français -> les Métis) Afrique du sud (trois groupes sous l’Apartheid, y compris les « Coloreds ») La France et l’Afrique (les « pieds noirs ») Les États-Unis (le racisme institutionnalisé et la suprématie de race blanche)

7 Quelques faits historiques
Des peuples autochtones ici depuis à ans Champlain est accompagné au Canada en 1605 par Mathieu de Costa, un homme d’origine africaine, qui agit comme interprète entre les Français et les Micmac 1628 : l’achat du premier esclave au Québec, un garçon du Madagascar 1734 : Marie-Joseph Angélique, une esclave, dans une tentative de fuir l’esclavage, soupçonnée d’avoir incendié plusieurs édifices à Montréal, est pendu Relations entre les Français et les peuples autochtones Les noirs sont au Canada depuis longtemps ; d’autres groupes ont aussi marqué l’histoire du pays, ce qui pourrait remettre en question la notion des « deux peuples fondateurs »

8 Comment comprendre l’interculturel ?
Comment faire de l’interculturel avec les autochtones ? L’interculturel entre les anglophones et les francophones, en quoi consiste-t-il ? Qui est anglophone ? Selon qui ? A quelle fin ? De plus grandes ouvertures (dans les centres urbains) La collecte de données sur l’identité raciale n’est pas généralement acceptée Comment traite-t-elle la société québécoise de la hétérogénéité du peuple ? Est-ce la compréhension de l’interculturel se transforme d’un lieu a l’autre (p.ex., le Québec, la France, le Canada, les E-U, les DOM-TOMs) ? Multiculturalisme, antiracisme, interculturalisme : qu’est ce qui les distingue ?

9 Problématique (Ontario français)
En dépit de la croissance évidente du nombre de minorités raciales francophones, il y a très peu de recherche Les minorités raciales francophones tentent depuis 1990 de consolider leurs réseaux pour revendiquer pour des changements La question de la diversité ethnoculturelle semble être plus contentieuse du coté francophone, surtout en ce qui a trait à l’identité francophone Des implications importantes si la communauté franco-ontarienne n’accentue pas le niveau et le rythme d’intégration des minorités raciales La question linguistique et culturelle est-elle la même pour les deux groupes (les Franco-Ontariens et les minorités raciales francophones) ? Question méthodologique : comment identifier les francophones ?

10 Problématique (Ontario français)
La Constitution et les « ayants-droits » Les comités d’admission et la l’incohérence L’accent sur la langue française versus l’intégration des élèves L’assimilation des Franco-Ontariens : l’exogamie, l’analphabétisme, la préférence pour l’anglais, le manque de services, la qualité des écoles de langue française, la valorisation de la culture… Les écoles d’immersion ( élèves versus dans les écoles de langue française) Le niveau de décrochage important des écoles francophones vers les écoles de langue anglaise en 9eme année

11 Est-ce difficile de parler de la race ?
Des conflits historiques et le refus de se réconcilier Les élections et le race (les électeurs votent-ils selon la race ?) L’Hurricane Katrina (les américains ont-ils découvert le racisme ?) La peau claire contre la peau foncée ? La différence entre multiculturel et multiracial L’adoption : des bébés noirs ou autochtones avec les familles de race blanche ? Quelle est l’identité des filles d’origine chinoise qui ont été adoptées par les familles américaines depuis 15 ans ? Sont-ils, les enfants biraciaux, tous noirs ? La règle d’une goutte (“One-drop rule”) Tator and Henry, La couleur de la démocratie (The Colour of Democracy, 2005)

12 La classification des gens
Le recensement américaine 2000 : le premier à permettre aux participants de choisir plus d’un des six catégories pour identifier l’origine raciale : blanc noir asiatique « Native American (North, Central or South America) » « Pacific Islander » Autre Le recensement de la G.-B : des catégories de race mixte précises : « Mixed White and Black Caribbean » « Mixed White and Black African » « Mixed White and [South] Asian » « Other Mixed » « Other ethnic group »

13 Canada (Recensement 2001) 2001 Canada Census
“For persons who belong to more than one group, mark all the circles that apply. Do not report "bi-racial" or "mixed" in the space provided.” The Employment Equity Act defines visible minorities as "persons, other than Aboriginal peoples, who are non-Caucasian in race or non-white in colour". Responses: Chinese, South Asian, Black, Filipino, Latin American, Southeast Asian, Arab, West Asian, Japanese, Korean, Visible minority (not indicated elsewhere), Multiple visible minority, All others

14 Canada (Recensement 2006) Cette personne est-elle un :  (Cochez plus d'un cercle ou précisez, s'il y a lieu.  Ces renseignements servent de fondement à des programmes qui donnent à chacun une chance égale de participer à la vie sociale, culturelle et économique du Canada.)   Blanc       Chinois       Sud-Asiatique (p. ex., Indien de l'Inde, Pakistanais, Sri-Lankais, etc.)       Noir     Philippin     Latino-Américain     Asiatique du Sud-Est (p. ex., Vietnamien, Cambodgien, Malaysien, Laotien, etc.)     Arabe     Asiatique occidental (p. ex., Iranien, Afghan, etc.)     Coréen     Japonais      Autre — Précisez

15 Canada – Population de minorités visibles (2001)
Chinois  Noirs   Philippines   Pop. Total Total - VMs  Asiatiques du sud CANADA 29,639,030 3,983,845 1,029,395 917,070 662,215 308,575

16 Toronto (Recensement 2001)
Groupe racial Population % Minorités visibles 1,051,125 42.8 Chinese 259,710 10.6 South Asian 253,920 10.3 Black 204,075 8.3 Filipino 86,460 3.5 Hispanic 54,350 2.2 West Asian 37,205 1.5 SE Asian 33,870 1.4 Korean 29,755 1.2 Arab 22,355 0.9 Japanese 11,595 0.5 Other minorities 37,985 Autres 1,405,680 57.2 Total 2,456,805 100

17 Canada – Origine ethnique (2001)
Origines ethniques Réponses totales Réponses singulières Réponses multiples Population totale 29,639,035 18,307,540 11,331,490 Canadian 11,682,680 6,748,135 4,934,550 English 5,978,875 1,479,520 4,499,355 French 4,668,410 1,060,755 3,607,655 Scottish 4,157,210 607,235 3,549,975 Irish 3,822,660 496,865 3,325,800 German 2,742,765 705,595 2,037,170 Italian 1,270,370 726,275 544,090 Chinese 1,094,700 936,210 158,490 Ukrainian 1,071,060 326,200 744,860 N.A. Indian 1,000,890 455,805 545,085 Dutch 923,310 316,220 607,090 Polish 817,085 260,415 556,670 East Indian 713,330 581,665 131,665 Norwegian 363,760 47,230 316,530 Portuguese 357,690 252,835 104,855 Welsh 350,365 28,445 321,925 Jewish 348,605 186,475 162,130 Russian 337,960 70,890 267,070 Filipino 327,545 266,140 61,410 Métis 307,845 72,210 235,635 15

18 Canada – Origine ethnique (2001)
Origines ethniques Réponses totales Réponses singulières Réponses multiples Population totale 29,639,035 18,307,540 11,331,490 Swedish 282,760 30,440 252,320 Hungarian 267,255 91,795 175,460 American 250,010 25,200 224,805 Greek 215,105 143,780 71,320 Spanish 213,100 66,545 146,555 Jamaican 211,725 138,180 73,545 Danish 170,780 33,795 136,985 Vietnam. 151,410 119,120 32,290 British 150,585 58,295 92,290 Austrian 147,580 25,320 122,260 Lebanese 143,630 93,895 49,740 Romanian 131,830 53,320 78,505 Belgian 129,780 30,190 99,590 Finnish 114,690 31,985 82,700 Swiss 110,800 24,600 86,200 Korean 101,715 95,200 6,515 Québécois 98,670 65,480 33,195 African (Bl) 97,185 37,380 59,805 Croatian 97,045 58,170 38,880 Iranian 88,225 73,450 14,775 Japanese 85,225 53,175 32,050 Haitian 82,405 70,750 11,650 16

19 La race et la société La religion
Le processus de remplacer le Pape Jean Paul II ; la possibilité de choisir le « premier » pape de race noir Trois papes de race noire, tous des saints : Victor 1 (A.D ); Miltiades (A.D ); et St. Gelasius (A.D ) Pourquoi des églises ségrégées ? Le sport 1998: 2% des entraineurs des collèges importants sont des gens de couleur ; 51% des joueurs « Washington Redskins » et d’autres noms racistes sont célébrés Les propriétaires sont presque exclusivement de race blache La justice Les avocats aux É.-U. : 90% blancs ; 4% noirs ; 3% Latinos ; 2% Asiatiques Les juges: 83% blancs ; 9% noirs ; 5% Latinos ; 2% Asiatiques ; 1% autochtone 2003: la majorité de crimes haineux raciaux ont été dirigée vers les noirs

20 La race et la société Les affaires et l’emploie
L’argent, les investissements et le marché boursier Le chômage et l’emploie ; des obstacles et des tendances historiques L’équité en matière d’emploie Propriétaires de maison Pour les noirs (en bas de 50%), pour les Latinos et les Asiatiques (58%), et les blancs (75%) La valeur des maisons est aussi une considération importante

21 La race et la société La publicité
Des stéréotypes offensantes jusqu’à très récemment (« Frito Bandito », « Aunt Jemima », « Fu Manchu », « Redskin Indians ») Barbie (et d’autres jouets) : plus diverse et moins blanche avec le temps Quelle couleur pour colorer la peau (« flesh-tone ») ? Le maquillage et des matériaux éducationnels Le médias L’affaire (« Doc ») Mailloux Le cas de deux soldates américaines blessées en Iraq : Shoshana Johnson (noire) reçoit peu de reportages, et doit lutter pour recevoir de l’aide financière de l’armée ; Jessica Lynch (blanche) est l’objet de filmes pour illustrer son “héroïsme”, et reçoit des accolades au niveau national

22 L’éducation et l’identité
Le rendement académique La pertinence du curriculum Les enseignants et leur compréhension de l’identité L’éducation comme bien social versus l’employabilité La structure de l’éducation La justice social comme but de l’éducation

23 Qui peut faire de l’interculturel ?
L’éthique et la légitimé d’entreprendre de la recherche sur l’ « autre » John Howard Griffen, Noir comme moi (Black Like Me?, 1962) Rinaldo Walcott, Noir comme qui ? (Black Like Who?, 1997) Althea Prince, Noir comme moi et moi (Black Like I and I, 2001) John Hoberman, Les athlètes de Darwin (Darwin’s Athletes, 1997) Dinesh D’Souza, La fin de racisme (The End of Racism, 1995) Qui peut (et devrait) parler de l’identité ?

24 Discussion La langue française et les cultures francophones : compatibilité ? Est-il important d’avoir une représentation visible et bien placée des minorités raciales francophones au sein des organismes et structures ? Le variable racial dans les contexte francophone et celui des anglophones Les nouveaux arrivants : quoi faire ? Qui est « l’autre » ? Est-ce la construction sociologique de l’identité est bien comprise par les preneurs de décisions ? L’éducation doit-elle fournir aux participants une expérience plus vaste et démocratique, axée sur la justice sociale ? Quand nous parlons de l’interculturel, serait-il nécessaire de traiter en même temps de la justice sociale ?

25 MERCI BEAUCOUP !


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