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Semaine du 8 février. Le 8 février 2016 Brian Gallant et Denis Coderre débattent du projet d'oléoduc Énergie Est à Tout le monde en parle Le premier.

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1 Semaine du 8 février

2 Le 8 février 2016

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4 Brian Gallant et Denis Coderre débattent du projet d'oléoduc Énergie Est à Tout le monde en parle Le premier ministre du Nouveau-Brunswick, Brian Gallant, et le maire de Montréal, Denis Coderre, sont des invités de l'émission de variétés Tout le monde en parle, dimanche soir, à la télévision d'ICI Radio-Canada. Le projet d'oléoduc Énergie Est de l'entreprise TransCanada est l'un des sujets abordés durant l'émission. TransCanada propose de construire un pipeline de 4600 kilomètres évalué à 15,7 milliards de dollars et qui transporterait 1,1 million de barils de pétrole par jour à partir de l'Ouest canadien jusqu'à Saint- Jean, au Nouveau-Brunswick, en passant notamment par le Québec.

5 Source http://ici.radio-canada.ca/regions/atlantique/2016/02/07/004-acadie- brian-gallant-tout-le-monde-en-parle.shtml

6 Le 10 février 2016

7 La Ville de Bouctouche, au Nouveau-Brunswick, devra prendre des décisions difficiles dans son prochain budget afin de contrer un déficit budgétaire. Un texte de Ghislain CoutureCourriel et de Pierre-Philippe LeBlanc TwitterCourriel La municipalité qui compte un peu plus de 2400 habitants connaît un déficit d'environ 760 000 $, a expliqué le maire, Aldéo Saulnier, lors d'une entrevue accordée à l'émission Le Réveil Nouveau-Brunswick d'ICI Acadie. « On dit 760 000 $, mais en réalité c'est 576 000 $. Il y a 200 000 $... On a un édifice à vendre sur le boulevard Irving. Il était censé être vendu en 2014. À la dernière minute, la personne qui était intéressée a reculé. Là, notre comptabilité avait déjà mis ça dans nos livres comme un revenu. C'est devenu un déficit », a précisé M. Saulnier. La municipalité a dû utiliser des fonds qu'elle avait en réserve. « À la fin de 2014, au mois de décembre, on aurait dû aller [à la Commission des emprunts de capitaux par les municipalités]. Puis, on n'y est pas allé. C'est là qu'on a manqué le bateau, comme on dirait, parce qu'on était censé aller aux emprunts de capitaux pour le camion [d'incendie], l'équipement du camion [d'incendie] et pour un autre projet qui était sur le chemin du Couvent. En réalité, tout le monde a été payé, mais on a pigé dans nos réserves. L'argent qu'on doit aujourd'hui, c'est l'argent de nos réserves », a ajouté Aldéo Saulnier. Réduire les dépenses et augmenter les revenus Le conseil municipal doit réduire le budget des loisirs de 42 % pour parvenir à absorber le déficit. On va notamment annuler la prochaine subvention de 22 000 $ qui devait être accordée au Pays de la Sagouine. Personne n'est épargné par les compressions, souligne le maire. « On a touché tout le monde qu'on pouvait toucher. Le Pays de la Sagouine, j'ai rencontré M. Caissie et je lui ai expliqué les raisons pourquoi. C'est certain que ça fait un petit peu de dommage. Ce n'est pas plaisant pour quelqu'un de vouloir dire qu'on ne donne rien cette année. Mais c'est déjà arrivé auparavant », affirme M. Saulnier. La masse salariale de Bouctouche sera réduite de 115 000 $ comparativement à l'année dernière. Par exemple, un contrat de cinq ans qui est arrivé à échéance en décembre ne sera pas renouvelé. Les contribuables seront aussi touchés. L'impôt foncier va augmenter de presque 9 ¢ par tranche de 100 $ de l'évaluation. « Je demande aux gens de la municipalité de Bouctouche de ne pas paniquer avec ça. La situation de la ville de Bouctouche est encore en bon état. C'est juste qu'on a un exercice qui doit être pris très sérieusement pour [équilibrer] nos livres en 2016 », conclut le maire Saulnier.

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9 KABOUL — Une jeune femme de 22 ans a eu le nez tranché par son mari dans un village dans la province de Faryab, dans le nord de l'Afghanistan. La victime, Reza Gul, a été transportée dans un hôpital, saignant abondamment, pendant que son mari, Mohammad Khan, âgé de 25 ans, prenait la fuite. Les autorités de l'hôpital de Maïmana où la malheureuse a été admise tentent d'organiser son transfert dans un hôpital de Turquie, à plus de 2000 kilomètres de là, pour qu'elle reçoive des soins supplémentaires. M. Khan était apparemment rentré d'Iran il y a trois mois. Il avait depuis fréquemment battu et torturé sa femme, en plus de prendre une nouvelle épouse qui n'est âgée que de sept ans. Il est actuellement traqué par les forces de l'ordre et par des militants talibans qui proposent de le juger en respect avec la loi coranique. Un dirigeant local a prévenu que M. Khan risque de tomber entre les mains des talibans, puisque ceux-ci contrôlent le village en question. La violence domestique est monnaie courante en Afghanistan où les droits constitutionnels des femmes sont régulièrement bafoués. De plus, les ressources d'aide sont à peu près inexistantes. Hafizullah Fetrat, qui dirige la Commission des droits de la personne de la province de Fayrab, affirme qu'au cours de la seule dernière année, le cas de violence ont augmenté de 30 pour cent dans le nord de l'Afghanistan en raison de la pauvreté, de l'ignorance et du manque de travail. La province de Fayrab compte parmi les plus pauvres d'Afghanistan et partage une frontière avec le Turkménistan. La présence des talibans est de plus en plus significative dans cette région et plusieurs habitants dénoncent la corruption de leurs dirigeants.

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11 La police indienne a employé une technique inédite pour retrouver une chaîne en or, contraignant un voleur à ingérer 40 bananes pour restituer le précieux bijou qu'il avait avalé lors de sa poursuite avec les policiers. L'homme avait démenti avoir arraché la semaine passée une chaîne que portait une femme dans une rue à Bombay mais la radiographie effectuée à l'hôpital a prouvé le contraire. Un lavement avait dans un premier temps été sans succès. Les médecins ont alors suggéré une opération mais la police a estimé que ce serait trop coûteux et opté plutôt pour l'ingestion forcée de bananes. «Il a dû manger plus de 40 bananes dans la journée», a expliqué lundi un haut responsable de la police de Bombay, Shankar Dhanavade, à l'AFP. «La chaîne a finalement été retrouvée. Nous l'avons obligé à la laver et à la désinfecter», a ajouté le policier. Le suspect de 28 ans a comparu vendredi devant un tribunal et est toujours en garde à vue, a précisé Dhanavade. Selon la presse, ce n'est pas une première. En juillet, un voleur avait déjà dû manger deux dizaines de bananes et boire plusieurs litres de lait mélangé à un laxatif, selon le quotidienHindustan Times.

12 Le 10 février 2016

13 Un zinnia orange a fleuri dans la Station spatiale internationale (SSI), a annoncé dimanche l'astronaute américain Scott Kelly sur Twitter. Il est devenu du même coup la première fleur à éclore en dehors de l'atmosphère terrestre. Faire pousser des fleurs dans l'espace n'est pas chose aisée. Les zinnias cultivés dans la SSI ont eu de la difficulté à pousser en raison de la microgravité et de la forte humidité dans l'habitacle. Ils semblent toutefois s'être ressaisis grâce aux bons soins des astronautes. Le zinnia est une fleur annuelle qui pousse facilement sur Terre. Très présente au Mexique, on la retrouve aussi dans plusieurs autres pays de l'Amérique latine. Ses pétales peuvent arborer différentes couleurs : orange, blanc, jaune, rouge, violet ou lilas. Pourquoi faire pousser des plantes dans l'espace? Cette floraison s'inscrit dans un programme plus large baptisé « Veggie » (diminutif pour vegetables, légumes en français), qui vise à faire pousser des plantes dans l'espace en vue de missions habitées vers la planète Mars. À terme, l'Agence spatiale américaine (NASA) souhaiterait que les astronautes puissent s'alimenter de manière autonome dans l'espace. Des laitues ont déjà été cultivées avec succès dans la SSI. Les premières feuilles ont été mangées l'an dernier. Des tomates devraient également s'ajouter au menu des astronautes au cours de 2016. Des laitues ont déjà été cultivées avec succès dans la SSI Toutes ces plantes sont cultivées par hydroponie, c'est-à-dire à l'aide de substances nutritives, sans le support d'un sol. La NASA évalue que cette technique nécessite moins d'eau et d'engrais, pour un résultat trois fois plus rapide.

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15 Le Forum économique tire la sonnette d'alarme sur le sort des océans dans le monde. L'utilisation massive de plastiques est telle que les océans abriteront plus de détritus plastiques que de poissons en 2050, s'est alarmé mardi le Forum économique mondial de Davos. «Le système actuel de production, utilisation, et abandon des plastiques a des effets négatifs importants: de 80 à 120 milliards de dollars d'emballages plastiques sont perdus chaque année. Et au delà du coût financier, si rien ne change, les océans contiendront plus de plastique que de poissons (en poids) d'ici 2050», selon un communiqué. Refonte totale Le forum de Davos qui débute mercredi ses travaux, dévoile une étude réalisée avec la fondation de la navigatrice Ellen MacArthur et le concours du cabinet McKinsey. Selon ce rapport, le ratio tonnes de plastique- tonnes de poissons était de un pour cinq en 2014, sera de un pour trois en 2025, et dépassera un pour un en 2050. Le forum estime nécessaire «une refonte totale des emballages et des plastiques en général» et la recherche d'alternatives au pétrole comme matériau de base pour leur production car si rien ne change, cette filière consommera 20% de la production pétrolière en 2050. Filière de recyclage Du fait de l'usage unique des sacs plastiques, «95% de la valeur des emballages plastiques, estimée entre 80 et 120 milliards de dollars par an, est perdue» déplore le WEF, appelant à la mise en place de véritables filières de recyclage et de réutilisation. «Les modèles de production et de consommation linéaire sont de plus en plus remis en question (...) et cela est particulièrement vrai pour les filières où il y a de gros volumes de peu de valeurs comme l'emballage plastique», estime dans un communiqué la navigatrice Ellen MacArthur, plaidant aussi pour la mise en place d'une économie circulaire, réutilisant les matérieux. Ellen MacArthur a accédé à la gloire en battant le record du tour du monde à la voile en 2005. Prohibition des sacs plastiques Plusieurs pays tentent actuellement de limiter l'usage des sacs plastique. En France par exemple les sacs plastiques à usage unique devraient être prohibés en mars. Au Royaume-Uni, la législation impose de faire payer les utilisateurs de sacs plastiques, afin de tenter de réduire leur utilisation. L'exécutif britannique espère ainsi réduire de 80% le nombre de sacs distribués, au nombre de 7,6 milliards actuellement, soit 140 sacs par personne et par an. Les municipalités de l'agglomération montréalaise, qui abrite la moitié de la population du Québec, ont elles décidé d'interdire l'usage des sacs plastiques non biodégradables à compter de 2018. Encore porté par la COP21 de Paris, l'environnement, et plus spécifiquement l'adaptation au changement climatique devrait être un des thèmes importants du forum de Davos.

16 Canada 2 e meilleur pays au monde? http://globalnews.ca/news/2465526/canada-named-2nd-best- country-in-the-world-report/ http://globalnews.ca/news/2465526/canada-named-2nd-best- country-in-the-world-report/

17 Le 11 février

18 Une entreprise japonaise a annoncé lundi qu'elle lancerait la première ferme entièrement automatisée, où des robots feront tout depuis l'arrosage jusqu'à la récolte. D'ici la mi-2017, cette installation fermée devrait commencer à produire 30 000 laitues par jour, a précisé la société Spread, basée à Kyoto avec pour ambition d'en faire pousser un demi-million quotidiennement d'ici cinq ans. Cette ferme, d'une surface d'environ 4400 mètres carrés, sera équipée d'étagères du sol au plafond sur lesquelles pousseront les salades. «Les graines continueront d'être semées à la main, mais tout le reste du processus, y compris la récolte, sera réalisé par des robots», a déclaré à l'AFP un des responsables de la firme, Koji Morisada. L'automatisation réduira les coûts de main-d'oeuvre de moitié environ et les dépenses en énergie de près d'un tiers, a précisé M. Morisada. Ces laitues cultivées sans pesticides contiendront, affirme l'entreprise, plus de bêta-carotène que les laitues cultivées de façon classique. Le Japon est confronté à un manque de main-d'oeuvre du fait du vieillissement de sa population.

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20 La Cour suprême indienne a accepté mardi de réétudier la loi pénalisant l'homosexualité, suscitant l'espoir des associations gaies et lesbiennes d'obtenir l'abrogation de cette législation remontant au XIXe siècle. Les juges ont accepté d'examiner une requête contestant l'arrêt de cette même Cour qui avait, en 2013, jugé légal l'article du Code pénal permettant d'incarcérer les homosexuels. «Nous pensons que c'est un sujet important qui doit être étudié en formation constitutionnelle», a dit son premier président T.S. Thakur. «Nous allons constituer une formation de cinq juges pour étudier la question». Des membres de la communauté gaie, certains portant une écharpe arc-en-ciel, ont applaudi et fêté cette décision devant le palais de justice. «C'est un premier pas dans la bonne direction. Nous sommes encore loin du but, mais cela va dans le bon sens», a dit Manish Malhotra, un défenseur des droits des homosexuels. Un autre militant, Dhrubo Jyoti, craignait que la requête soit rejetée dès ce mardi. «Nous espérons que les honorables juges vont l'étudier et garantir nos droits constitutionnels». Cette décision est le dernier épisode d'une longue bataille entre l'Inde conservatrice et religieuse, et la communauté gaie et lesbienne, à propos d'une loi rédigée par les Britanniques en 1860. La Haute Cour de Delhi avait légalisé l'homosexualité il y a six ans, en estimant que la loi contrevenait aux droits fondamentaux des Indiens. Cette décision avait donné de l'espoir à la communauté gaie, qui avait alors commencé à militer publiquement contre la discrimination et la violence dont elle est victime. Mais la décision de la Cour suprême de rétablir l'interdiction en 2013, estimant qu'un changement de la loi était du ressort du législateur, lui a donné un nouveau coup d'arrêt. Les poursuites visant des homosexuels sont rares en Inde, mais les militants soulignent que cette disposition est utilisée par la police pour harceler et menacer la communauté gaie. Faire de l'homosexualité un crime rend les homosexuels vulnérables aux tentatives de chantage, selon eux.

21 http://www.msn.com/fr- ca/actualites/insolite/abul-lhomme-arbre-sera- bient%C3%B4t-op%C3%A9r%C3%A9/ss- BBoXwyE#image=7

22 Au bout des mains et des pieds, Abul Bajandar présente d’importantes difformités: atteint d’une maladie rare, ce jeune Bangladais de 26 ans est un «homme arbre». L’épidermodysplasie verruciforme recouvre ses mains et ses pieds, leur donnant un aspect d’écorce. Il s’agit de verrues qui sont apparues sur son corps il y a plus de dix ans: «Au début, elles étaient petites, mais ces cinq ou six dernières années, elles ont commencé à grossir à un rythme accru», raconte Abul. Marié et père d’une fillette, il a dû abandonner son travail car les verrues l’ont privé de l’usage de ses mains. «J’ai besoin d’aide au quotidien, pour manger ou aller aux toilettes. Le poids lourd des verrues affaiblit mes bras et la douleur grandit quand je bouge.» Il est aidé tous les jours par son épouse et sa mère. Abul Bajandar est le quatrième cas connu de cette maladie, six ans après que la chaîne Discovery Channel a raconté l’histoire de Dede, un Indonésien de 37 ans. Avant Dede, un Roumain avait été diagnostiqué en mars 2007, puis un pêcheur indonésien la même année. Le virus peut entrer dans le corps suite à une blessure, et se propager sur le corps. A terme, ces verrues peuvent devenir cancéreuses et nécessitent donc d'être retirées chirurgicalement. Le traitement le plus efficace de cette maladie est l’excision de toutes les verrues, des opérations que la famille d’Abul Bajandar ne pouvait se permettre. Ses proches ont donc fait appel à une chaîne de télévision locale afin de médiatiser son cas et d’appeler à la générosité des téléspectateurs. Une méthode qui a marché, puisqu’Abul Bajandar a été admis dans un hôpital de Dhaka afin d’être opéré au sein d’une unité de grands brûlés. Les médecins ne pensent pas pouvoir le guérir complètement, car les verrues peuvent réapparaître avec le temps, mais au moins lui permettre d’utiliser ses mains.

23 Le 12 février 2016

24 Séoul et Tokyo ont à l'instar de Washington mis en garde mercredi la Corée du Nord contre les conséquences d'un éventuel tir de missile balistique, quelques semaines après son quatrième essai nucléaire. Le régime nord-coréen a averti trois agences de l'ONU de son intention de lancer entre les 8 et 25 février une fusée transportant un satellite. Rappelant que tout lancement utilisant la technologie balistique constituait «une violation des résolutions de l'ONU», le gouvernement sud-coréen a exhorté mercredi Pyongyang à renoncer à son projet. «Si le Nord (le) poursuivait (...), il en paierait le prix fort», a-t-il prévenu dans un texte lu par un haut responsable sud-coréen de la sécurité nationale, Cho Tae-Yong. Le Premier ministre japonais Shinzo Abe a de son côté qualifié ce projet de «sérieuse provocation» et convoqué un Conseil de sécurité nationale, l'instance réduite aux principaux ministres, pour évaluer la situation. L'annonce nord-coréenne fait suite à des rumeurs ces derniers jours sur la préparation par Pyongyang d'un test de missile balistique, qui serait un nouveau pas vers son objectif de se doter de missiles nucléaires. Elle constitue une surenchère de Pyongyang face à la communauté internationale qui tente de durcir les sanctions contre le régime le plus isolé au monde, après son annonce le 6 janvier d'un quatrième test de bombe nucléaire. «L'habitude des coups doubles» «C'est un comportement classique», estime John Delury, professeur associé à l'Université Yonsei de Séoul. «En attendant une riposte complète à l'essai nucléaire, vous placez également un tir de missile. Le Nord a l'habitude de ces coups doubles.» À la pointe des efforts diplomatiques pour alourdir les sanctions du Conseil de sécurité, les États-Unis n'ont pas tardé non plus à réagir mardi soir. Ce serait «un argument encore plus fort en faveur d'une action du Conseil de sécurité des Nations unies (...) pour imposer de réelles conséquences (...) et de dures sanctions supplémentaires», a déclaré dans un entretien aux trois agences de presse mondiales AP, Reuters et l'AFP le secrétaire d'État adjoint pour l'Asie, Daniel Russel. Il a dénoncé l'agissement «déstabilisateur» de Pyongyang et sa «violation flagrante» du droit international: «La Corée du Nord défie le Conseil de sécurité de l'ONU, défie son voisin chinois, défie la communauté internationale, au détriment de la paix et de la sécurité régionales.» L'Organisation maritime internationale (OMI) avait indiqué plus tôt avoir été avertie par le régime communiste de son intention de lancer un satellite entre les 8 et 25 février, entre 07h00 et 12h00 locales. Ces dates laissent penser que la Corée du Nord souhaiterait le faire à l'occasion de l'anniversaire le 16 février du dirigeant défunt Kim Jong-Il, père de Kim Jong-Un. «Pas sûr que la Chine bouge» En décembre 2012, la Corée du Nord était parvenue à placer un satellite sur orbite au moyen d'une fusée Unha-3, une opération assimilée par Washington à un tir de missile balistique. Elle affirme que ses missiles sont capables d'atteindre les États-Unis. Un nouveau lancement pourrait accroître la pression sur Pékin, principal allié de Pyongyang, qui semble résister aux demandes américaines d'un alourdissement de ces sanctions. «Pas sûr cependant que la Chine bouge», a estimé M. Delury. «Un essai nucléaire est une bien plus grosse affaire qu'un tir de missile, donc je ne pense pas que cela modifie les choses du point de vue chinois, quoi qu'en disent les États-Unis.» L'entêtement de la Corée du Nord dans son programme nucléaire contrarie vraisemblablement la Chine. Mais l'idée que le renversement de Kim Jong-Un permette l'avènement, à leur frontière, d'une Corée réunifiée alignée sur les États-Unis est plus intolérable encore pour les dirigeants chinois.

25 http://ici.radio- canada.ca/nouvelles/science/2016/01/29/001 -greffe-transplantation-tete-corps-sergio- canavero.shtml

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27 L'idée peut ressembler à un scénario de science-fiction digne de Frankestein, mais elle pourrait bientôt devenir réalité chez l'humain. Un neurochirurgien italien a greffé avec succès la tête d'un singe sur le corps d'un autre singe. Un texte de Francine PlourdeTwitterCourriel de l'émission Les années lumière Cette opération bien particulière a été réalisée par l'équipe du Dr XiaoPing Ren Ren de l'Université de Harbin en Chine, supervisée par le Dr Sergio Canavero. Les expérimentateurs ont laissé vivre le singe greffé une vingtaine d'heures avant de le débrancher. À ce jour, ces expériences sur des souris ont été répétées des centaines de fois avec de bons résultats, explique le Dr Canavero. Ce n'est pas la première fois qu'une greffe semblable est réalisée. En 1970, le neurochirurgien américain Robert White en avait effectué une, mais le primate paralysé n'a survécu que quelques jours. Aujourd'hui, le médecin italien et son équipe chinoise estiment avoir amélioré la procédure. Ils affirment être parvenus, sur des souris, à ressouder les deux extrémités de moelle épinière sectionnées et ainsi redonner l'usage de leur membre aux rongeurs. Des travaux controversés Sergio CanaveroLe Dr Sergio Canavero Photo : Keystone/Bm Micon/Ropi Les recherches du directeur du groupe de neuromodulation de Turin soulèvent la controverse en Europe et en Amérique. C'est pour cette raison qu'il poursuit ses travaux en Chine. Cette chirurgie se déroule en cinq étapes : Il faut dans un premier temps refroidir la tête à 12 ou 15 degrés, afin de protéger le cerveau. Cette technique est utilisée en chirurgie cardiaque lorsque le coeur cesse de battre et n'irrigue plus le cerveau. Elle permet d'abaisser le métabolisme et éviter la mort des neurones. Il faut ensuite couper la tête et les nerfs à l'aide d'une nanolame, bien plus tranchante qu'un scalpel médical actuel. La coupure doit être nette. Il faut ensuite installer une circulation sanguine croisée entre donneur et receveur. Durant cette étape, les vaisseaux sanguins de la tête sont reliés aux vaisseaux du nouveau corps par des tubes en silicone. À l'aide de la méthode Gemini, pratiquée actuellement seulement sur des souris, les chirurgiens fusionnent les nerfs et la moelle épinière de la tête. Des produits, comme du polyéthylène glycol et du chitosane, permettent cette fusion. Il faut ensuite stimuler électriquement la moelle épinière. Une molécule, le perfluorocarbure, est également utilisée pour protéger les neurones. Le prochain défi : l'humain

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29 Le gouvernement grec fait face jeudi à une nouvelle grande grève générale déclenchée pour protester contre la réforme du régime de retraite exigée par les créanciers du pays. Il s'agit du troisième débrayage du genre depuis que le premier ministre Alexis Tsipras a été reporté au pouvoir, l'été dernier. Le mouvement, qui se produit au moment où ces créanciers sont à Athènes pour faire un premier bilan des mesures adoptées par le gouvernement, est d'une ampleur considérable et la colère des manifestants est palpable. « Retraites de 300 euros à 80 ans, qu'est-ce que c'est bien le capitalisme! » — Slogan scandé par les manifestants dans les rues d'Athènes Les syndiqués de la fonction publique ont répondu à l'appel des syndicats et plusieurs corporations professionnelles - médecins, avocats, assureurs, vétérinaires, etc. - ont aussi pris la rue. Les hôpitaux ne traitent que les urgences. Les stations-service sont fermées, les transports publics sont paralysés, les taxis sont invisibles dans les rues, les ferries sont à quai et des dizaines de vols intérieurs ont été suspendus. Des tracteurs bloquaient déjà la route à la hauteur d'un poste-frontière avec la Bulgarie mardi.Des tracteurs bloquaient déjà la route à la hauteur d'un poste-frontière avec la Bulgarie mardi. Photo : Alexandros Avramidis / Reuters Les agriculteurs, mobilisés depuis plusieurs jours déjà, continuent de bloquer des routes, créant de longues files d'attente de camions aux frontières nord du pays. « Nous ne pouvons pas vivre, nous ne pouvons pas survivre avec ce que le gouvernement nous demande. » — Socratis Aleiftiras, agriculteur « Ils ont massacré ma génération » La réforme contestée prévoit une baisse considérable du montant maximal que pourront recevoir les retraités. Il passera de 2700 à 2300 euros (4132 $ à 3519 $), soit une baisse de 15 %. Le gouvernement créera en contrepartie une pension de base garantie de 384 euros (588 $) par mois. Les contributions à la sécurité sociale des travailleurs et des entreprises vont cependant pratiquement tripler au cours des années à venir, et des hausses d'impôt de 350 millions d'euros (535 M$) sont aussi prévues.


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