L’invasion de Normandie

Présentation au sujet: "L’invasion de Normandie"— Transcription de la présentation:

1 L’invasion de Normandie
Le Jour J L’invasion de Normandie

2 Le Jour J En 1942, après le désastre de Dieppe, les Alliés ont commencé à planifier une autre invasion contre la France. Le 6 juin 1944, ce que nous appelons « le Jour J», ils ont lancé Operation Overlord, une attaque contre les plages de Normandie.   Normandie

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4 Le Jour J L’objectif de l’invasion est d’établir les armées alliées en France, afin d’avancer vers Paris. Cette avance obligeront les armées d'Adolf Hitler à lutter simultanément sur trois fronts : au nord de la France, en Russie et en Méditerranée (l’Italie). Ainsi divisées, les armées allemandes ne pourront tenir longtemps contre les forces alliées.

5 Le Jour J Trois armées participent à Operation Overlord : les Canadiens, les Américains et les Britanniques. Les Canadiens sont chargés avec l’attaque sur la plage « Juno ». Plus de 15, 000 soldats canadiens ont contribué à l’attaque. La tâche des Canadiens : de prendre la plage, puis pénétrer jusqu‘à l'aérodrome de Carpiquet, 18 km vers l'intérieur.

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7 Le Jour J La tâche est énorme, car les Allemands ont établi une ligne de défense de canons, de barbelés et de mines sur la côte de France, ce qu’on appelle la « Forteresse Europe ». La tâche est devenue encore plus difficile à cause du mauvais temps. Le débarquement des Canadiens a été retardé d’une heure et demie. Ils ont perdu, alors, l’élément de la surprise. Mais, en dépit des pertes élevées et des violents combats, les Canadiens ont pris contrôle de la plage.

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9 Le Jour J À la fin de la journée, les soldats Canadiens ont avancé presque 18 km, en arrêtant juste avant l’aérodrome de Carpiquet. Les pertes canadiens : blessés, 359 tués.

10 Le Jour J Enfin, presque tous les objectifs alliés sont achevés.
Ils ont pris contrôle de 80 km de plage, et ils ont commencé l’avance à l’intérieur. Ils ont débarqué plus de 155,000 soldats, 6,000 véhicules et 3,600 tonnes de matériel en France. Ils ont forcé les Allemands de lutter sur trois fronts : en France, en Italie et en l’Union soviétique.