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Association pour la protection de l’environnement du lac Sergent

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Présentation au sujet: "Association pour la protection de l’environnement du lac Sergent"— Transcription de la présentation:

1 Association pour la protection de l’environnement du lac Sergent

2 Claude Phaneuf Biologiste - communicateur Auteur «Habiter en milieu naturel»

3 Résultats des Échantillonnages 2011 et 2012 --- Évolution 2002-2011
Lac Sergent Résultats des Échantillonnages 2011 et 2012 --- Évolution

4 Échantillonnages et analyses
Robert Lapalme, MAP, M. Env Conseiller en environnement et écologie aquatique Exova Québec (analyses chimiques) Bénévoles de l’APPELS – Jocelyn Houle, Rébecca Fillion, Julien Richard, Paul Isabelle

5 Association pour la protection de l’environnement du lac Sergent
Financement Ville de Lac-Sergent - Association pour la protection de l’environnement du lac Sergent

6 Paramètres mesurés Phosphore total (mg/L ou μg/L) … .001 = 1
Coliformes fécaux (UCF/100 ml) Oxygène dissous (%) Température de l’eau (fosse) Transparence Lyophilisation

7

8

9 27 échantillonnages Coliformes fécaux
1 sous la cible de 40 UFC/100 ml 15 = dépassement faible 11 = dépassement aigu À considérer : Débit des tributaires

10 Sources de pollution Faible : animaux, fumiers sur pelouse
Aigu : vraisemblablement - fosses septiques Étude Roy-Vézina

11 Diagnostic installations septiques Étude Roy-Vézina
16,9 %  conformes au Q-2 r.22 ou à faible impact environnemental 80%  niveau de risque environnemental non négligeable mais de faibles risques pour la santé publique 2%  non conformes présentant un risque pour la santé publique et l’environnement

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13 Diagramme de classement du niveau trophique des lacs

14 24 échantillonnages Phosphore
Cible = 20 μg/L (0.020 mg/L) TR11 = résultat aberrant (erreur) 1 = sur la cible 13 = dépassement faible 10 = plus du double À considérer : débit des tributaires

15

16 Oxygène à la fosse (%)

17 Quelques observations
Fosse : Baisse de la décomposition aérobie à partir de juin Pas de relargage de phosphore important (août : 23 μg/L malgré < 26% O2) Lac : Peu profond et bien oxygéné Température élevé jusqu’au fond

18 Matières en suspension (MES)
Débris en suspension dans la colonne d’eau (sol, débris organiques, autres)  érosion, sédiments, végétation, travaux de remblais-déblais sans protection À 5 mg/L  effets chroniques sur la vie aquatique À 25 mg/L  effets toxiques (apport en P, colmatage des frayères, production d’algues, stress sur les poissons …) AUCUN ÉCHANTILLONNAGE EN 2011

19 Test de lyophilisation
1 300 mg ( μg ) Phosphore / kg de plante (mesuré le 9 août) 1,3 g de phosphore peut produire 1 kg de plante Être humain = 0,8 kg/P/an (615 kg/plante) (20 μg P/L ou 0,02 mg P/L = 1 cuillère à thé de phosphore dans une piscine olympique)

20 CONCLUSIONS Le suivi des coliformes fécaux démontre que la contamination par les installations septiques est une source majeure de pollution pour le lac

21 La charge en phosphore des tributaires démontre l’apport de chacun des sous-bassins qui reste à préciser en fonction du débit de chacun d’eux (eaux usées) MES  vigilance sur les chantiers de construction et stabilisation des berges Contrôle du phosphore (toutes les sources) Anoxie à la fosse  suivi mais ne semble pas problématique

22 Alexandre Gauthier, M.Sc, ing.
Études des sédiments Université Laval Alexandre Gauthier, M.Sc, ing.

23 30 septembre 2011 Le phosphore dans l’eau n’est pas à un niveau critique puisqu’il est sous la limite de détection de la «méthode par acide ascorbique» (10μg/L). Les concentrations en métaux lourds dans les sédiments ne semblent pas très élevées. Sauf le plomb, le cadmium et le zinc.

24 Critères pour l’évaluation de la qualité des sédiments d’eau douce - Métaux (mg/kg)
CER CSE CEO CEP CEF Cuivre Nickel ND ND 47 ND ND Plomb Cadmium 0,33 0,60 1,7 3,5 12 Zinc Chrome CER : Concentration d’effets rares. CSE : Concentration seuil produisant un effet. CEO : Concentration d’effets occasionnels. CEP : Concentration produisant un effet probable. CEF : Concentration d’effets fréquents.

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26 Résultats – métaux lourds
CER : Concentration d’effets rares. CSE : Concentration seuil produisant un effet. CEO : Concentration d’effets occasionnels. CEP : Concentration produisant un effet probable. CEF : Concentration d’effets fréquents. # Cu Pb Zn Ni Cr Cd [ mg/kg sol sec] 1 (3.5) 5,82 17,19 55,29 7,92 9, , 2 (2.0) 16,69 85, ,10 58,64 50, , 3 (7.5) 25, , ,77 24,46 29, , 4 (5.0) 23, , ,16 22,73 25, , 5 (5.5) 21, , ,59 22,06 21, , 6 (2.8) 21, , ,66 20,16 17, , 7 (1.8) 16,44 73, ,63 16,15 17, , 8 (2.0) 22, , ,05 23,30 21, ,

27 Suivi de la qualité de l'eau 2002-2011

28 Paramètres Transparence : turbidité Chlorophylle a : productivité
Phosphore total : nutriment (facteur limitant) Carbone organique dissous : déjections, résidus végétaux, boues, …)

29 Diagramme de classement du niveau trophique des lacs

30 Transparence estivale moyenne (disque de secchi – mètres)
Nombre (mesures) 2002 4,5 8 2003 4,0 9 2004 3,4 10 2005 11 2006 2007 3,9 6 2008 2,9 2009 4,3 7 2010 2011 3,2 Moyenne pluriannuelle : 3,6 m MÉSOTROPHE

31 Concentration estivale moyenne de chlorophylle a (μg/l) (MÉSOTROPHE)

32 Concentration estivale moyenne de phosphore total (μg/l) (OLIGOTROPHE)

33 Concentration estivale moyenne de carbone organique dissous (mg/l)

34 Échantillonnage – 2 juillet 2012
Site Phosphore total (μg/L) UFC/100 ml Pont (4 Saisons) 50 470 Fosse (surface) 40 Pt Goulet N (Tr11) 400 Caporral (fossé rue) 30 90 Colonie (ruisseau plage) 27 Charge 110

35 L’ensemble des mesures effectuées au cours des années permet
de documenter la variabilité de la qualité de l’eau d’un lac. Les variables de la qualité de l’eau mesurées (chlorophylle a, phosphore total trace, etc.) fluctuent normalement selon les conditions climatiques, aussi bien à l’intérieur d’une même saison que d’une année à l’autre. À titre d’exemple, une mesure de la transparence prise par temps calme peut différer de celle obtenue après une période de brassage de l’eau provoquée par des vents violents, surtout dans les lacs peu profonds. Tant et aussi longtemps que les données accumulées au fil des ans demeurent à l’intérieur des limites de la variabilité interannuelle normale, on parle de conditions stables. En dehors de ces limites, on parle de changement significatif ou de tendance à la hausse ou à la baisse. Cependant, il faut plusieurs années de cueillette de données pour déterminer la variabilité normale d’un lac.

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37 Enjeux

38 Perte d’usages

39 + Perte d’usages

40 ++ Perte d’usages - eau potable
Coliformes fécaux : 0 Coliformes totaux : 10 Bactéries hétérotrophes aérobies et anaérobies : 500

41 +++ Perte de valeur

42 Les études ne sauveront pas le lac ! …
Mais peuvent orienter l’action et la mobilisation des citoyens et des élus

43 Pas de solutions miracles !
Que conclure ? Pas de solutions miracles !

44 Faucardage et dragage

45 Lutte biologique

46 Peu utiles … pas de relargage
Aérateurs Peu utiles … pas de relargage

47 Agir … Réduire l’apport en phosphore pour ralentir le vieillissement (construction, eaux usées, engrais) Appliquer les règlements (Q2r22, bande riveraine …) Sensibiliser à la vulnérabilité du lac Réduire l’érosion Maintenir les couverts forestiers Utiliser les bateaux motorisés - précaution

48 Adopter des comportements adéquats

49 QUESTIONS ?


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