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Traversée du Massif Vosgien

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Présentation au sujet: "Traversée du Massif Vosgien"— Transcription de la présentation:

1 Traversée du Massif Vosgien
1er au 9 Juin Kms – M+

2 JOUR 0 BESANCON-WISSEMBOURG
06H00 du matin, réveil après une courte nuit excité par l’idée de se lever pour partir effectuer la TMV. 7H00 devant la gare de Besançon. Appel chez Laurent qui me dit qu’il est sur le vélo direction la gare (panne de réveil ?)Là, le périple commence. Premier train jusqu'à Belfort – 2heures d’attente devant un café en terrasse dans un superbe froid humide. Deuxième train avec dix minutes de retard. Je m’inquiète pour la correspondance en direction de Strasbourg, le contrôleur me réconforte en me confirmant l’attente du troisième train. A Mulhouse petite musculation en empruntant les escaliers pour prendre le Strasbourg. Dans la capitale Européenne, petit bonjour à notre Troupe de marine retraité devant un bon demi bien frais sur une terrasse ensoleillée. Début de matinée sur les chapeaux de roues. Après un réveil à 6H55, je saute du lit et me jette dans mes vêtements. A 7H05 je passe le poste de sécurité, « je ne serais pas à la gare à 7H00 ! ». Après deux heures de train je bois mon premier café, enfin ! en face de la gare de Belfort. Ensuite s’en suit une succession de train jusqu'à notre destination finale, ou nous découvrons une jolie petite ville touristique :Wissembourg. Les gens parlent très peu notre langue et beaucoup celle de Gueuth. Après une visite rapide nous dégustons quelque unes des spécialités locales et rejoignons l’hôtel très confortable. Laurent C’est le climat « BUSH » !!! Enfin grâce à notre quatrième train nous arrivons à Wissembourg. Hôtel super classe. Nous visitons canaux, église, maisons, restaurant (Bekof ?!...) et après une bonne douche, repos mérité dans un bon lit. A toi Laurent pour ta première prose  Lionel

3 JOUR 1 WISSEMBOURG-OBERSTEINBACH
Mise dans l’ambiance dès le matin pour la recherche du déjeuner du midi. Ouf, une boulangerie/café faisait des casse-croûtes pour 2.9€. C’était dans notre budget ! Après un petit café croissant, départ de notre TMV. Trente et un kilomètres pour neuf cents mètres de dénivelé positif fait de grands chemins forestiers, de belles descentes grasses et de très belles forets de grands pins ont été notre lot de la journée. Écrit par nous, pionniers VTT de la traversée des Vosges. Réveil difficile – petit déjeuner pas trop mal et parcours en VTT agréable et joli, mais bientôt test gastronomique ce soir à OBERSTEINBACH. Aux résultats !!! Laurent Nous avons fait une halte « boissons » dans une ferme/auberge/resto/bar devant la ruine d’un beau château et avons continué notre périple vers le gîte de Mme Beering à Obersteinbach. Installation, douche et préparation de la nuitée. Il faut se dépêcher, j’ai faim. Schuss et à demain. Lionel

4 JOUR 2 OBERSTEINBACH-LICHTENBERG
Belle journée assez technique et bonne pause casse croûte en terrasse d’un « troqué » avec quelques mousses et des « Shtraullssears » ou quelque chose comme ça en dessert. Après s’être bien restauré, le départ en cote fut violent mais malgré des problèmes d’itinéraire, pas de casse, ni mécanique, ni physique. Je touche du bois ! L’arrivée à l’hôtel fut très difficile puisque je suis descendu du vélo. La montée était trop dure ! Après une bonne douche et une promenade autour du château, nous attendons le souper avec impatience. J’ai faim rrrrrrrrrrrrrrr…. Laurent Départ matinal à 8H30 après un bon petit déjeuner. Il fait beau et les chemins sont praticables (pour l’instant). Les quinze premiers kilomètres se passent sans encombres et nous déjeunons à « SCHURFURMURBURQUELQUECHOSECOMMECA  les bains » avec deux casse croûtes et une bière. Pour le dessert il faut demander à Laurent, il vous dira comment cela s’appelle… Par la suite quelques petits problèmes. Tout d’abord, nous nous trompons d’itinéraire (au final sept kilomètres de plus au milieu des bois), ensuite les chemins et les routes sont bloqués par l’ONF pour cause de tempête. Donc : branches au sol – arbres déracinés et chemins transformés en torrent asséché. Soit une grosse rigole avec plein de sable au milieu. Difficile en fin de journée ! Enfin nos premières bêtes sauvages (deux sangliers en train de manger sur un plateau herbeux en haut d’une foret). L’hôtel restaurant dans lequel nous nous sommes arrêtés date des années cinquante soixante mais la « mémé » est sympa. Bizarre, elle parle Français avec un drôle d’accent Alsacien… Lionel

5 JOUR 3 LICHTENBERG-DOSSENHEIM
Un petit déjeuner type Allemand, plus de gras que de vitamines, mais une « mémé serveuse » remarquable. Le départ c’est très bien passé puisque nous n’avions pas fait un kilomètre et demi que nous avions poussés déjà deux fois les vélos. Aujourd’hui était un grand jour car mon GPS affiché pour la première fois les cents kilomètres dans les Vosges. Nous avons fêtés !!! Une bonne gamelle pour Laurent dans la merdouille de vache/sangliers et une double crevaison pour moi-même. Balade agréable mais nous avons sortis les K-way pour les derniers kilomètres nous reliant au Château. Ce soir Choucroute et lit en 140 pour nous deux. PS : Nous avons aussi traversés la « Jungle Alsacienne » sur cinq cents mètres. Lionel Réveil comme d’habitude à 7H00 du matin sauf que mon collègue Lionel a commencé sa journée à 5H30 en rangeant ces affaires dans les sacs. Cool man !!! Il m’a dit que les cloches de l’église l’avaient réveillées. N’importe quoi pourvu que cela mousse… Dans la salle à manger nous attend un superbe petit déjeuner. La totale, sucré, salé et café. Départ 8H H35 je poussais déjà le vélo. Trop dure la montée… Après une vingtaine de kilomètres sur un circuit sablonneux ou nous avons trouvé ce stylo avec lequel j’écris ( distribué par l’hôtel FOUR QUEENS de LAS VEGAS dans le NEVADA), nous avons mangés au sommet d’une colline ou une bière bien fraîche prise dans le village nous a bien desaltéré. Le parcours se poursuivra bien tranquillement jusqu’en bas de la route du château de Hunebourg, pour finir sur un goudron frais et humide par une montée de plus de six kilomètres. Trash la montée ! Laurent

6 JOUR 4 DOSSENHEIM-OBERSTEIGEN
Bon réveil et bonne nuit passée au château de Hune Bourg. Petit déjeuner pris avec les « anciens » et grosse descente pour rejoindre la vallée. La matinée est très vite passée. Petit détour par Saverne pour manger notre casse croûte et admirer les belles bâtisses des rues piétonnes, puis départ pour Egenthal le bas en empruntant de belles ascensions. Après avoir gravi la chapelle du Mont st Michel nous continuons sur plus de cinq cents mètres de dénivelé pour arriver en fin d’après midi sur notre gîte. Le climat est froid, venteux, le ciel est gris mais après une longue attente la bouchère charcutière nous livre notre Choucroute traditionnelle. S’en suit l’arrivée du propriétaire du gîte, très gentil par ailleurs (on va enfin avoir de l’eau chaude pour la douche !). Nous dégustons joyeusement notre marmite de charcuterie choux ainsi que nos 75 cl de bière jusqu'à plus faim et soif et après un bon lavage nous nous couchons…repus ! Laurent Ma journée commence bien. Pneu avant crevé ! Je répare avant le petit déjeuner. Ce dernier d’ailleurs était bien bon… Ah oui, au fait, dans quelques décennies, je ne veux pas être un « pion » d’un club du troisième age. Il s ne sont jamais en retard pour manger, voire en avance, et il ne reste rien dans les assiettes. Journée très bien fournie physiquement : 60 Kms et 1400 mètres de dénivelé positif et encore une fois largage par manque de panneautage. Mais mon ami le GPS était là ! Apres avoir retrouve le tracé, il ne nous restait plus qu’à trouver le gîte. C’est fait, porte ouverte mais personne, nous nous installons et attendons le proprio (18H00). Ce soir dodo compensateur et demain normalement, petite journée. Le compteur affiche quand même 190 Kms. Lionel

7 JOUR 5 OBERSTEIGEN-GRENDELBRUCH
La nuit réparatrice au gîte « du grand tétras » passée, nous sommes partis frais comme des gardons (8° en moins et il pleut) en direction de Grendelbruch. Après une montée moyenne dans les bois, la descente de sept kilomètres nous permis de nous glorifier dans le froid ! A mi chemin, halte obligatoire pour boire un bon chocolat chaud, une heure après nous enfourchons nos motos à deux cylindres – mollet gauche, mollet droit – pour effectuer la dernière ligne droite et là, surprise… je ne sens plus la pluie, je n’ai plus froid, par contre le cul…Normal, les cinq derniers kilomètres sur une montée de douze et demi pourcent. Au fou !!! Arrivé au gîte, nous prenons une bonne douche bien chaude et un superbe repas alsacien cuisiné par la restauratrice à la même table qu’un couple de Parisiens et de Quebecquois. Lionel A l’issue de notre petit déjeuner, départ la tête dans le guidon sous une pluie abondante qui ne nous quittera pas de notre étape. Il a fait frais, voir froid et l’arrivée sur le gîte très attendu, nous a donné du courage pour le lendemain. Nous avons fortement appréciés cette demeure douillette et chaude avec le poêle allumé et nos affaires pendues pour sécher. La spécialité du soir était, en français : « des escargots de viandes » Délicieux ! Laurent

8 JOUR 6 GRENDELBRUCH-LE HOHWALD
Le départ se fait doucement par une immense montée en direction du mont st odile. Le temps est froid et humide. Mon appareil photo neuf (deux jours) vient de rendre l’âme. La randonnée perd un peu d’intérêt pour moi…et mes souvenirs alors ! La journée se termine bien quand même puisque l’humidité est partie partiellement et le soleil essaye de pointer son nez. Laurent Sur une sortie sans envie de nos lits avec édredon de chez Anne marie et un : « allez bon voyage » de nos colocataires parisiens et canadiens, nous enfourchons nos vélos pour rejoindre la ville d’Ottrot pour déjeuner. Hélas, pas de café mais uniquement un « Coop ». Donc, banc public, bière et casse croûte puis vingt kilomètres de montée et de mal de fesses pour voir Odile au Mont Saint. Ah oui, record battu sur sentier : 55.4 km/h Lionel

9 JOUR 7 LE HOHWALD-AUBURE
Départ en empruntant directement la montée dans le massif. Dur, dur. Extrêmement de montées, pas de terrain plat, encore moins de descentes. Journée difficile physiquement. Entre deux pauses, nous visitons un château en ruine qui possède encore sa tour de garde nous permettant de voir un panorama magnifique. L’après midi va se passer tout en ascension jusqu’au plus haut village d’alsace : Aubure. Un accueil très agréable nous attend, la douche est excellente et le repas nous achève avant de nous effondrer sur nos lits à 20H30. Laurent Effectivement, nous démarrons très fort par une montée à plus de dix pourcent sur quatre kilomètres. Chaleur, transpiration et odeur…Nous descendons tranquillement sur vingt cinq kilomètres vers le village de moitié d’itinéraire. Nous déjeunons pénard car nous savons que la deuxième moitié va être terrible (28kms – 1000M+) et je ne me suis pas trompé ! Je hais le sable, la boue, les cailloux, l’eau, le château du Haut Koenigsbourg et toutes les montées. Mes fesses me font horriblement mal mais je serre les dents. Ouf, nous arrivons, fini la torture, demain sera aussi une énorme journée mais nous pourrons au moins voir le paysage car il n’y aura pas de brumes…peut être ? Lionel

10 JOUR 8 AUBURE-LE GASCHNEY
Nous partons effectivement dans les brumes. Ça monte, ça monte et il fait de plus en plus froid. Le paysage est magnifique, il est sombre et brumeux, visibilité : 20 mètres. Nous sommes un peu déçu du climat, qu’a cela ne tienne, nous continuons en direction des Cols du bonhomme, du calvaire et des lacs blancs, noirs et verts. Je commence à ressentir l’effet des deux milles cent mètres de dénivelé positif et je pousse mon vélo. Laurent aussi d’ailleurs ! Trois fois, chemins non « montables ». Arrivé aux cascades, mon corps me dit que ce serait bien d’apercevoir notre hôtel, mais là, nouvelle angoisse ! Aucun panneau de signalisation, l’emplacement sur mon GPS erroné, nous faisons tout à la carte et plusieurs fois au téléphone avec le restaurateur pour nous orienter au milieu des pistes de ski, foret de conifères et chemins. Enfin l’hôtel est à notre vue, au dessus de nous alors que nous sommes au départ du téléski. Fin de journée à mille cents mètres d’altitude. Lionel Très bon départ depuis le gîte « les brimbelles » avec un temps assez maussade et brumeux. Nous attaquons directement par de la montée, cela devient une habitude ! Nous prenons notre déjeuner au col du calvaire ou des VTtistes fainéants montent en téléphérique. Lionel leur lance quelques noms d’oiseaux… Au menu : tarte flambée et spaghettis bolognaise (ça tient bien à l’estomac), café, glace. Remise en jambes sur des petites pistes techniques (rares dans les Vosges), visite de lacs et chute d’eau et après un dénivelé important, que nous faisons à pied, nous arrivons à l’hôtel-restaurant « du Gaschney » situé en haut des pistes de ski ! Heureusement la vue de notre chambre nous fait oublier la douleur de nos cuisses et toutes les difficultés de la journée. Laurent

11 JOUR 9 LE GASCHNEY-THANN
Aventure encore une fois extraordinaire. Je ne me lasse pas de découvrir mon pays. Que la France est belle et que le VTT me réjouis. Après avoir donc traversé les Vosges et le Jura, vivement l’année prochaine que je continue mon périple montagneux sur ce que l’on appelle les Préalpes. Lionel Bilan: - 2 kg perdus. - 2 chambres à air trouées. - 1 appareil photo cassé. - 1 pneu arrière « lisse ». - 2 vélos à laver, réviser. - 1 bronzage à continuer. Et… Deux esprits libres dans un corps régénéré !


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