La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La communication scientifique directe et les archives ouvertes Marne la vallée, le 13-06-06 ENPC, ParisTech, Polytechnicum.

Présentations similaires


Présentation au sujet: "La communication scientifique directe et les archives ouvertes Marne la vallée, le 13-06-06 ENPC, ParisTech, Polytechnicum."— Transcription de la présentation:

1 La communication scientifique directe et les archives ouvertes Marne la vallée, le 13-06-06 ENPC, ParisTech, Polytechnicum

2 Un modèle, la base « ArXiv » La « base de preprints de Los Alamos » Démarrage en 1991, dans un domaine très spécialisé, par Paul Ginsparg (Los Alamos National Laboratory) Conçue initialement pour éviter la circulation des prétirages (preprints).. quelle a en fait rendus obsolètes ! (*) A rapidement grossi et rempli une fonction beaucoup plus large A conquis une grande partie de la physique, une partie des maths Communication scientifique directe: rapidité et gratuité de la circulation de linformation (*) Les notions de preprint, de reprint, de postprint, etc.. ont perdu beaucoup de leur actualité dans la pratique des chercheurs.

3 ArXiv (suite) Plus de 300.000 manuscrits 4000 nouveaux textes chargés chaque mois Est devenu un « passage obligé » pour toutes une série de spécialités en physique et en maths …… mais ArXiv a également de nombreuses insuffisances et ne remplit pas tous les services quon pourrait en attendre. Doù lapparition de bases périphériques, type SPIRES (gérée par le SLAC), etc..

4 Lautoarchivage des documents scientifiques Les dépôts sont effectués par les auteurs eux-mêmes (ou quelquefois par les bibliothécaires et secrétaires de laboratoires) Les documents sont consultables presque immédiatement et gratuitement du monde entier Ils sont centralisés dans quelques bases mondiales; la pérennité à long et très long terme des documents est assurée Stabilité des adresses http: indispensable pour les citations Miroirs dans le monde entier Complémentarité: beaucoup des documents sont par ailleurs publiés dans les revues traditionnelles. La référence dentrée nest pas la publication avec sa typologie - peu importe dailleurs que les documents soient preprints ou postprints, ou post-post-prints. Une archive ouverte nest pas une base bibliographique, mais un outil de communication scientifique (pleins textes).

5 Autoarchivage (suite) Système dalerte automatique, recherches rapides, souplesse en cas de voyage, etc. Pas de retrait (la responsabilité des déposants remplace celle des comité de lecture); mais possibilité de versions différentes Un filtrage scientifique élémentaire est effectué à lentrée (quelques minutes au plus par document) Complémentaire des revues traditionnelles: pas dévaluation soignée par des rapporteurs, mais une évaluation élémentaire.

6 Un schéma mondial AUTEURSAUTEURS LECTEURSLECTEURS Base commune de documents, mondiale, gratuite, permanente JournauxEpijournaux Services à valeur ajoutée Vues personnalisées (le niveau du bas est gratuit, pas nécessairement celui du haut)

7 Archives institutionnelles et archives ouvertes La recherche est totalement internationale. Une archive institutionnelle est perçue par les chercheurs comme trop étroite (« provinciale »). Il faut donc bâtir une archive disciplinaire très ouverte, mais qui puisse bénéficier de lappui des établissements de recherche (Universités, EPST, Grandes Ecoles, etc.). Pour cela, il faut construire des interfaces ou chaque établissement puisse opérer dans un environnement propre et personnalisable, et retrouver automatiquement sa propre production. De plus, une validation officielle doit être possible (notion de « tampon »). Le mot dordre est donc: un appui institutionnel à une archive ouverte !

8 Rendre au passage des services aux institutions, laboratoires et chercheurs Les chercheurs et les laboratoires veulent pouvoir, par un seul dépôt, extraire des listes de publications paramétrables (candidatures, demandes de contrat, rapports quadriennaux) et alimenter leurs rapports annuels (CRAC pour le CNRS). La base doit permettre dextraire automatiquement la production dun laboratoire, dun établissement, ou dun auteur. La structure des métadonnées doit donc en tenir compte (laboratoires en listes fixes, etc.); on ne peut pas se contenter des standards courants (DC étendu ou pas, OAI, etc.). Il faut pouvoir enrichir les métadonnées dun dépôt en fournissant les références de publication (le document passe de preprint a postprint dans la base), mais ce ne doit pas être le point dentrée. La base doit également pouvoir acueillir des notices bibliographiques sans plein texte, pour compléter les listes de publication.

9 Le CCSD (créé en 2000) et ses missions 1.mettre le CNRS et la France en pointe dans lutilisation des nouvelles méthodes de communication scientifique 2.sappuyer sur lexpérience de la base ArXiv en physique et mathématiques ; travailler, non pas en concurrence, mais en coopération avec nos collègues américains 3.faire diffuser ces techniques nouvelles au sein dun plus grand nombre de disciplines, idéalement de toutes celles étudiées au CNRS ; associer autant que possible les autres EPST et les universités au mouvement 4.assurer la conservation des documents et la stabilité des adresses http à long terme 5.rendre le monde de la recherche plus indépendant des éditeurs commerciaux de journaux scientifiques

10 Localisation du CCSD Centre de calcul de lIN 2 P 3, campus de La Doua (Université Claude Bernard, Villeurbanne) Une unité propre CNRS de grandes technicité et sécurité Capacités de stockage et de sauvegarde exceptionnelles Connectivité excellente

11 Organisation des AO au CNRS Le CCSD, chargé de la mise en œuvre pratique, et des formations (Daniel Charnay, directeur) Le CPAO (comité de pilotage des archives ouvertes), regroupant toutes les directions scientifiques des départements (F. Laloë, président; M. Picco, vice-président). Un chargé de mission du DG pour coordonner toutes les initiatives au niveau de létablissement (F. Laloë), ainsi que les négociations entre établissements. Un acccord très général est en cours de signature pour lutilisation commune de Hal.

12 Hal, une démo Consultation Dépôt Recherches, alertes, etc.. Extraction dune liste de publications

13 Versions successives des documents Chaque article peut donner lieu à plusieurs versions successives, qui sont toutes conservées et accessibles sur le serveur. Chaque version reçoit une certification de date Possibilité dévolution dun article même après publication dans un journal, derratum, etc. Documents annexes possibles Retrait dun article Soumission automatique à des journaux traditionnels

14 Extraction de liste de publications Un outil dextraction de listes de publications dauteurs, de laboratoires, etc. est proposé Pour compléter les listes et mettre des références bibliographiques sans plein texte, on peut charger des « notices » dans Hal (non visibles en consultation ordinaire) Loutil dextraction permet lincorporation automatique de listes de publications dans la fiche personnelle annuelle des chercheurs CNRS (application CRAC) Il permet de faciliter létablissement des listes de publication pour les documents de contractualisation quadriannuelle des laboratoires, les demandes ANR,..

15 Comment sapproprier Hal Extractions automatiques (auteur, labo, établissement) Tampons et collections Environnements Utilisation de lAPI

16 Différentes extractions de Hal Vue générique (e.g. par discipline); recherches, etc. Extractions automatiques: http://hal.ccsd.cnrs.fr/aut/omont http://hal.ccsd.cnrs.fr/lab/IAP http://hal.ccsd.cnrs.fr/UJF http://hal.ccsd.cnrs.fr/CNRS http://hal.ccsd.cnrs.fr/CDF « Collections » validées par des « tampons » http://hal.ccsd.cnrs.fr/LKB Environnements de dépôt et de consultation

17 « Tampons » les tampons permettent à leurs propriétaires de sélectionner certains documents, indépendamment de leur présence dans Hal ils ont la valeur que leur propriétaire leur donne ils permettent des validations, soit par un laboratoire soit par institution, soit par journal la validation peut se faire version par version

18 « Collections » Des extractions automatiques par laboratoire, par auteur, par tampon, etc. sont possibles Possibilté de créer des « collections » ou des présentoirs électroniques Exemple du LKB

19 Environnements de Hal Base générale HAL (cœur commun de métadonnées) Interface CNRS Interface Tematice Interface Democrite Interface SHS Interface Democrite Interface Tematice Interface CNRS Interface SHS Correspondance des métadonnées DEPÔT CONSULTATION

20 Dépôt de liens vers ArXiv Il est possible de rendre visible dans Hal un document déjà déposé dans ArXiv Outil spécial permettant de récupérer des métadonnées, et de les enrichir Combinaison avec les tampons pour créer des collections

21 Ce que vous pouvez faire avec HAL/TEL déposer des thèses déposer des articles, récents ou anciens, avec ou sans transfert vers ArXiv; versions multiples possibles déposer des liens vers ArXiv et faire apparaître les articles dans HAL déposer des listes de références biblio (sans texte intégral) utiliser des « tampons » pour certifier des documents faire des « collections » ou « présentoirs électroniques » extraire des listes de publications pour des chercheurs ou des laboratoires remplir automatiquement votre fiche CRAC si vous êtes chercheur CNRS faciliter la confection dactes de congrès lancer des épijournaux…


Télécharger ppt "La communication scientifique directe et les archives ouvertes Marne la vallée, le 13-06-06 ENPC, ParisTech, Polytechnicum."

Présentations similaires


Annonces Google