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INSTITUTIONS SCOLAIRES ET VITALITÉ FRANCOPHONE À MONCTON, 1981-2001 Thèse de maîtrise Vincent Roy Département de Géographie Faculté des Arts Université

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Présentation au sujet: "INSTITUTIONS SCOLAIRES ET VITALITÉ FRANCOPHONE À MONCTON, 1981-2001 Thèse de maîtrise Vincent Roy Département de Géographie Faculté des Arts Université"— Transcription de la présentation:

1 INSTITUTIONS SCOLAIRES ET VITALITÉ FRANCOPHONE À MONCTON, 1981-2001 Thèse de maîtrise Vincent Roy Département de Géographie Faculté des Arts Université dOttawa Directeur de thèse : Huhua Cao Membres du comité de thèse : Eric Crighton et Anne Gilbert 20 juin 2008

2 Plan de la soutenance de thèse 1.Introduction et cadre conceptuel 2.Structure de lanalyse et méthodologie 3.Évolution de lespace sociolinguistique 4.Le rôle des institutions 5.Résultats et contributions 6.Limites et pistes pour les prochaines recherches 7.Discussion

3 La présence croissante des minorités francophones en milieu urbain au Canada fait en sorte que les spécialistes de la langue française en milieu minoritaire sinquiètent quant à la vitalité des populations francophones dans les villes. Peuvent-elles résister à lassimilation? Plusieurs auteurs ont des opinions différentes. Le but de notre thèse est de contribuer à cette discussion en offrant un portrait de la vitalité communautaire francophone de Moncton (NB) depuis les 20 dernières années (1981-2001). Cette thèse vise deux objectifs spécifiques : - Lanalyse de la répartition spatiale des francophones de la région urbaine de Moncton. - Le rôle de la présence des institutions scolaires de langue française sur cette répartition. 1. Introduction et cadre conceptuel (1-2) 1. Introduction et cadre conceptuel (1-2) Figure 1.1 (p.8) : Région urbaine de Moncton, Nouveau-Brunswick (Canada)

4 1. Introduction et cadre conceptuel (2-2) 1. Introduction et cadre conceptuel (2-2) Figure 1.2 (p.30) : Rôle de la géographie sur la vitalité linguistique Vitalité linguistiqueAssimilation linguistique Le rôle de la géographie Institutions scolaires de langue française Population minoritaire francophone Minorité Francophonie Canadienne Milieu urbain Effet démographique Migration 1 2 3

5 2. Structure de lanalyse et méthodologie Question générale (?) Quel est leffet des institutions de langue française sur la vitalité francophone de la région urbaine de Moncton? Période détude 1981-2001 Données Code postal - Institutions de langue française encore ouvertes en 2001 (date détablissement) Notes du facteur ethnolinguistique - Résultats de lanalyse en composantes principales - Géocodage (SIG) - Création de zones tampons (500 mètres) Question spécifique numéro 2 Est-ce quil y a une relation entre la répartition spatiale des francophones et la localisation des institutions au fil des années? Données Cycle de vie - âge; forme du ménage Socio-économique -éducation; population active; type de profession Ethnolinguistique* - langue; origine ethnique - Analyse en composantes principales (ACP) - Analyse centrographique Question spécifique numéro 1 Quelles sont les tendances de lévolution de la répartition spatiale (concentration ou déconcentration) de la population francophone dans la région urbaine de Moncton? Données - Notes du facteur ethnolinguistique - Taux dassimilation linguistique net (TAN) Langue maternelle – Langue parlée à la maison Langue maternelle = Taux dassimilation linguistique net (TAN) -Calcul du TAN - Création de zones tampons - Corrélation Question spécifique numéro 3 Est-ce que les francophones du Grand Moncton habitant près des institutions sont portés à être mieux protégés de lassimilation linguistique? * Seul ce facteur ethnolinguistique sera utilisé pour lanalyse centrographique et les autres sections de la thèse. Figure 1.3 (p.36) : Structure de lanalyse

6 3. Évolution de lespace sociolinguistique (1-2) Les résultats de lACP pour le facteur ethnolinguistique 1.% de la variance expliquée pour le facteur même 2.Valeurs de saturation = +1 (F) vs -1 (A) au niveau des variables 3.Notes en facteur = +3 (F) vs -3 (A) pour les unités géographiques % de la variance expliquée + élevé En 2001, cest le facteur ethnolinguistique qui décrit le mieux la structure sociospatiale de la région. % de la variance expliquée + élevé 3e rang en 1981, 2e rang en 1991 et 1er rang en 2001 Langues maternelles (anglaise et française) = valeurs + élevées (81-01) Variables bilingues = francophone (+), mais diminue en importance (91-01) Langues parlées à la maison (anglaise et française) augmentent (91-01) Origines ethniques diminuent aussi en importance (91-01) Voir la Figure 3.2

7 3. Évolution de lespace sociolinguistique (2-2) Figure 3.2 (p.79) : Analyse centrographique : Notes du facteur ethnolinguistique, Grand Moncton, 1981-2001 Écart des axes Grand écart = concentration Petit écart = déconcentration Forme des ellipses Rectangle = concentration Cercle = déconcentration Question spécifique numéro 1 Quelles sont les tendances de lévolution de la répartition spatiale (concentration ou déconcentration) de la population francophone dans la région urbaine de Moncton?

8 4. Le rôle des institutions (Géographie comparée des institutions et de lespace sociolinguistique) Figure 4.1 (p.91) : Répartition des institutions anciennes et récentes par rapport à lespace francophone, Grand Moncton, 1981-2001 Notes du facteurL'ensemblede la villeInstitutionAvant 1981*InstitutionAprès 1981** EthnolinguistiqueMonctonDieppeMonctonDieppeMonctonDieppe 1981-0,052,040,332,21 20010,021,700,501,680,531,77 Variation (1981-2001)0,07-0,340,17-0,53 Tableau 4.2 (p.95) : Analyse en composantes principales : Moyenne des notes du facteur ethnolinguistique, Moncton et Dieppe, 1981-2001 Les résultats représentent la moyenne des notes du facteur ethnolinguistique qui se trouve à 500 mètres ou moins de chacune des institutions anciennes(*) ou récentes (**) Parmi les 12 institutions fondées avant 1981, 3 se situent dans un espace qui était anglophone en 1981. Ces institutions se trouvent toutes dans louest de la ville de Moncton. En 2001, aucune institution ne se trouve dans un espace anglophone. Question spécifique numéro 2 Est-ce quil y a une relation entre la répartition spatiale des francophones et la localisation des institutions au fil des années?

9 * Représente le nombre dunités géographiques. ** Signifie le nombre de zones tampons pour chacune des institutions présentes sur le territoire en 2001. Tableau 4.4 (p.108) : Corrélation entre lespace sociolinguistique et le taux dassimilation linguistique, Moncton et Dieppe, 2001 Le R représente la relation entre les deux variables. Plus élevé est le R, plus quil y a une forte corrélation (relation) entre les deux variables étudiées. Concernant le Sig, il représente en pourcentage, le nombre de fois quil y a des erreurs dans la corrélation. Le Sig ne peut majoritairement pas dépasser 10% derreur. 4. Le rôle des institutions (Espace sociolinguistique et assimilation linguistique) Figure 4.3 (p.110) : Corrélation entre lespace sociolinguistique et le taux dassimilation linguistique pour les 38 institutions, 2001 2001 L'ensemble des villes deInstitution Moncton & Dieppe MonctonDieppe R-0,133-0,668-0,714-0,531 Sig0,1370,0000,000,051 N 126* 38**24**14** F Déc. Fran. A Con. Fran. TAN Institutions scolaires D_Garderie Colibris 2001 M_Université de Moncton NF Question spécifique numéro 3 Est-ce que les francophones du Grand Moncton habitant près des institutions sont portés à être mieux protégés de lassimilation linguistique? M_École St. BernadetteM_Garderie Chez Lisa (B)

10 5. Résultats et contributions (1-2) Par rapport aux institutions, le rôle de celles-ci a souvent été abordé dun point de vue social et politique, mais très peu sur le plan géographique. En effectuant une analyse de corrélation entre lespace sociolinguistique et le taux dassimilation linguistique, nous avons pu démontrer que cette relation entre ces deux composantes est plus significative près des institutions, ce qui démontre que les institutions ont une certaine influence sur la vitalité communautaire francophone dans une zone tampon de 500 mètres ou moins. Bref, en utilisant des méthodes de recherche différentes pour étudier la vitalité communautaire francophone dans une situation minoritaire, nous avons aussi réussi, à laide de ces méthodes, à justifier le rôle géographique des institutions sur la population francophone.

11 5. Résultats et contributions (2-2) Découvert deux autres éléments intéressants à laide de lACP : La population bilingue se range du côté de la population francophone. Le facteur ethnolinguistique est le plus important pour décrire lespace social dans le Grand Moncton en 2001. Découvert deux éléments intéressants à laide de lACP et lanalyse centrographique : La population francophone se regroupe au fil des années. Elle se déplace vers le nord de la ville de Moncton au cours de la période détude.

12 6. Limites et pistes pour les prochaines recherches Quelques limites de la recherche Le (TAN) seulement pour une génération et bilingue = français Nombre et choix dinstitutions Zones dinfluence = 500 mètres Certaines pistes pour les prochaines recherches Étudier dautres types dinstitutions (par exemple les Caisses populaires acadiennes…) Comparer les différentes zones dinfluences (1 Km…)

13 7. Discussion Merci aux membres du comité de thèse Questions ? Commentaires… http://www.freewebs.com/vincentroy


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