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Module de cours 11 Capsule 1

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Présentation au sujet: "Module de cours 11 Capsule 1"— Transcription de la présentation:

1 Module de cours 11 Capsule 1
Retour sur le Web 2.0 Module de cours 11 Capsule 1

2 Plan Introduction au module de cours Du Web 1.0 au Web 2.0
Des innovations techniques… ... et des changements sociologiques et comportementaux des internautes Perspectives

3 Introduction Introduction au module de cours :
Ce module de cours s’inscrit dans une série de 3 modules de cours : Module 11 : Web 2.0, géoweb et géoweb participatif Module 12 : Néogéographie et cartographie grand public Module 13 : Information géographique volontaire Après avoir abordé les aspects sociaux des SIG et leur relation avec le territoire, reflexion sur le développement de la géomatique sur Internet. Dans l’idée de société de l’information géographique et de démocratisation des TIG, Internet et le Web représentent de nouveaux environnements et supports pour la diffusion des TIG auprès du grand public.  Focalisation sur la composante cartographie en ligne (Web-Mapping)

4 Introduction 1,5 milliards d’internautes en 2009 :

5 Introduction Une répartition mondiale qui s’équilibre :

6 Du Web 1.0 au Web 2.0 D’un Web statique à un Web interactif (1/2) :
Dans sa conception initiale, le web 1.0 comprenait des pages web statiques rarement mises à jour. Le Web traditionnel (1.0) se positionnait comme un média de consultation où l’utilisateur était simple consommateur d’informations. Le web était considéré principalement comme un outil de diffusion et de visualisation de donnés. Course au contenu. Centralisation de l’information. Course à l’accès à l’information. Les individus sont connectés individuellement à leurs sites favoris. Démocratisation de l’ .

7 Du Web 1.0 au Web 2.0 D’un Web statique à un Web interactif (1/2) :
Pour simplifier, on peut considérer le Web traditionnel (1.0) comme un média de consultation et le Web 2.0 comme une plate-forme de contribution entre différents utilisateurs. Le Web 2.0 se définit à la fois par un mode d’usage interactif et par du contenu généré par les utilisateurs et s’articule autour de notions comme « la participation, la convergence, l’utilisabilité et l’économie » (Camy, 2008). Plus globalement, certains parlent d’une philosophie 2.0 (Leiba, 2007)  en mettant en avant le succès de site comme Facebook, Wikipedia, Myspace ou encore You Tube. Le Web 2.0 vise l'interaction entre les utilisateurs et repose sur un fonctionnement collectif.

8 Du Web 1.0 au Web 2.0 L'expression "Web 2.0" renvoie à la seconde phase du Web, aussi bien en terme d'architecture qu'en terme d'applications qui y sont développées. Web 1.0 Web 2.0 Centralisé Individuel Contenu Lire Transmission de l’information Statique Distribué Social Services et API Ecrire Syndication et aggrégation de l’information Dynamique, inter-connecté

9 Du Web 1.0 au Web 2.0 Théorie énoncée par Tim O’Reilly (2004):
“Web 2.0 is the business revolution in the computer industry caused by the move to the internet as platform, and an attempt to understand the rules for success on that new platform. Chief among those rules is this: Build applications that harness network effects to get better the more people use them.” « Le Web 2.0 est l'ensemble des technologies et les usages du World Wide Web qui ont suivi la forme initiale du web, en particulier les interfaces permettant aux internautes ayant peu de connaissances techniques d’interagir de façon simple à la fois avec le contenu et la structure des pages mais aussi entre eux, créant ainsi notamment le Web social .» (Wikipédia)

10 Du Web 1.0 au Web 2.0 3 niveaux de fonctionnement collectifs (Joliveau, 2008) : L’autonomie représente le premier niveau, où chacun contribue individuellement mais sans but commun. Flickr, YouTube,… La mise en réseau où les divers échanges et contributions se structurent en liens ouverts. Les réseaux sociaux comme Myspace ou Facebook constitue un deuxième niveau de fonctionnement collectif. La coordination où chacun contribue individuellement mais avec un but commun et une certaine coordination constitue un dernier niveau. Les wikis comme Wikipédia. Le développement des systèmes de gestion des contenus (CMS).

11 Du Web 1.0 au Web 2.0 Une nouvelle place pour l’utilisateur :
Les sites web 2.0 agissent plus comme des points de présence, ou portails web centrés sur l’utilisateur plutôt que sur les sites web traditionnels. L’utilisateur est placé au cœur de la stratégie du développement su Web 2.0 en se servant d’internet comme plateforme d’échanges. Une approche plus centralisée sur le contenu que sur l’aspect. Les nouveaux gabarits web 2.0 (template) tentent d’apporter un soin graphique, des effets, en restant compatibles avec cette diversité de supports. L’internaute est acteur, il contribue à alimenter en contenu les sites, blogs, wikis…

12 Du Web 1.0 au Web 2.0 Modélisation du renouveau du Web :

13 Des innovations techniques
De usages basés sur des services : L’infrastructure du web 2.0 est complexe et changeante. Elle inclut les logiciels de serveur, la syndication de contenu, les protocoles de messagerie, des standards de navigation, et des applications clientes diverses. Ces approches complémentaires fournissent au web 2.0 des capacités de stockage, de création et de diffusion qui vont au-delà de ce qui était précédemment attendu des sites web. Un site pourrait être considéré comme relevant d'une approche web 2.0 s’il utilise un certain nombre des techniques : L’utilisation de CSS, d’un balisage XHTML sémantiquement valide et des microformats. Les techniques d’applications riches telles qu’AJAX. La syndication et l’agrégation de contenu RSS/Atom. La catégorisation par étiquetage.

14 Des innovations techniques
Utilisations de technologies plus interactive : Rich Internet application (RIA), ou application Internet riche. Une application web qui offre des caractéristiques similaires aux logiciels traditionnels installés sur un ordinateur. La dimension interactive et la vitesse d'exécution sont particulièrement soignées dans ces applications web. AJAX (Asynchronous JavaScript And XML). Avantages en termes d'interactivité, de souplesse de publication de contenus. Évite un aller-retour de requêtes entre le poste client de l'utilisateur et le serveur du site Web. Plus d’installation de plug-in ou de programmes spécifiques tels que des activeX ou du Flash. Offrir une meilleure expérience utilisateur. Laisser l’internaute avoir une démarche proactive vis-à-vis du service.

15 Des innovations techniques
RSS et notification : Realy Simple Syndication permet aux utilisateurs de souscrire à une page web et d'être notifiés de tout changement sur cette page. Le fichier RSS, appelé également flux RSS, canal RSS ou fil RSS, contient les informations destinées à être diffusées.     Ce système permet de diffuser en temps réel les nouvelles des sites d'informations ou des blogs, ce qui permet de consulter rapidement ces dernières sans visiter le site. Le format « RSS » permet de décrire de façon synthétique le contenu d'un site web, dans un fichier au format XML, afin de permettre son exploitation par des tiers (syndication). Les blogs proposent ainsi généralement des outils natifs permettant de générer des fils RSS.

16 Des innovations techniques
Tags : Utilisation des tags ou étiquettes ou mots clefs pour améliorer la recherche sémantique. Le but est de créer une nouvelle forme de nomenclature, appelée « folksonomy » en anglais. De plus en plus présentés sous la forme d’un nuage de mots clefs (en anglais Tag cloud). Ces étiquettes sont des petites expressions de texte qui décrivent un concept, sont attachées à un concept et utilisées pour chercher dans un contenu Exemple emblématique de ce phénomène de "tagging" : le site del.icio.us.

17 Des innovations techniques
Mashups : Application composite qui selon une logique de mixage combine du contenu et des services de diverses sources. Google, EBay ou Amazon publient des API (Application Programming Interface) d'accès à leur service et la documentation de leur mise en œuvre. Programmation légère : L'ouverture des API(application de programmation informatique) permet aux plus technophiles des internautes de coupler des applications existantes pour en créer de nouvelles. Les types de langages et d'interfaces les plus répandus dans le Web 2.0 sont des langages légers.

18 Des innovations techniques
Blogs : Journal de bord sur Internet qui agglomère une série de billets. Information datée et classée par ordre antéchronologique Principe de base : publier le plus facilement possible un contenu sur le Web. Les visiteurs ont la possibilité de laisser un commentaire ou de compléter l'information. Dynamise le contenu et favorise l’intervention de plusieurs intervenants par le biais des commentaires. Un blogue contient des catégories, à l’intérieur desquelles ont retrouvent des billets. Les billets sont parfois accompagnés d’hyperliens, de photos, de photos ou de sons. Trackbacks : permet de relier des articles sur le même sujet postés dans des blogs différents.

19 Des innovations techniques
Syndication et l'agrégation de contenu RSS/Atom : Transformation des habitudes de lecture. Web à la demande (personnalisé et personnalisable). Il ne suffit plus d’avoir un site web pour être visible, il faut le rendre visible.

20 Evolutions sociologiques des internautes
Un nouveau rôle sociétal pour les TIC : Les TIC (par le biais du Web ) pénètrent davantage dans la vie quotidienne des citoyens. Elles transforment la manière d’habiter, de se déplacer, de pratiquer et même de participer à la vie des territoires. Le concept de Web 2.0 ou de Web participatif représente une avancée dans l'utilisation des NTIC. Avec la vague d’innovations techniques et le développement d’usage des technologies participatives, le Web 2.0 devient une plate-forme d’échange collective où les utilisateurs deviennent acteurs du réseau. Les usages du Web 2.0 se démocratisent de plus en plus dans notre quotidien (blogs, réseaux sociaux, vidéos et musique en ligne, publication de photos,…).

21 Evolutions sociologiques des internautes
De l’usager passif à l’usager actif : La vulgarisation des usages en matière de blogs, wikis ou cartographie est aussi un facteur clé dans l’apprentissage de l’internaute et sa transformation en producteur de contenu. Les internautes ne se contentent plus de lire des pages Web, ils donnent leurs avis, apportent des savoirs, publient des photos, des vidéos et géolocalisent de multiples informations. Ils interagissent avec le contenu, en créent une partie, l’organisent, l’indexent et le combinent avec des créations personnelles. Cette participation au sein du Web 2.0 prend diverses formes et se caractérise par différents niveaux d’implication (information, consultation, contribution ou encore collaboration). Mais les utilisateurs ne se limitent pas à la création de contenus, certains développent des applications en ligne et des logiciels. Le Web 2.0 est en évolution permanente tant sur le plan des contenus que des technologies.

22 Evolutions sociologiques des internautes
Des contenus générés par les utilisateurs : Le contenu généré par les utilisateurs (User Generated Content-UGC-) se réfère à un ensemble de médias dont le contenu est principalement, produit ou influencé par les utilisateurs finaux. Il est opposé au contenu traditionnel produit, vendu ou diffusé par les entreprises de média traditionnelles. Ce mouvement reflète la démocratisation des moyens de production audiovisuelle grâce aux nouvelles technologies. En supplément des ces moyens, le contenu généré par les utilisateurs utilise aussi souvent des logiciels libres et s'appuient sur de nouvelles licences de droit d'auteur (Creative Commons). Le contenu généré par les utilisateurs est aussi considéré, par ceux qui le pratiquent, comme un moyen pour améliorer leurs compétences, s'instruire et explorer de nouveaux domaines. Wikipédia elle-même constitue un très bon exemple de contenus générés par les utilisateurs.

23 Evolutions sociologiques des internautes
Vers un Web participatif : Le web devient un medium participatif dans lequel les utilisateurs sont à la fois lecteurs et auteurs. Cette participation n'est pas restreinte aux médias, elle touche également de plus en plus la communication. Le web en tant que plateforme, la plupart des services Web 2.0 émergents offrent une partie de leurs fonctionnalités à travers d'APIs que des développeurs tiers peuvent mettre à profit dans leurs propres applications. Valeur cumulée de l'intelligence collective (Lévy, 1994), les actions cumulées des utilisateurs et les données qu'ils produisent (des tags par exemple) ajoutent de la valeur au système global.

24 Perspectives Web 2.0 et territoire (1/2) :
Au niveau local, le Web 2.0 est de plus en plus utilisé comme un outil de participation citoyenne qui réinterroge la notion de démocratie participative (Ogez, 2008). Les gestionnaires des territoires sont bien conscients des évolutions rapides des pratiques et des besoins de leurs administrés en termes de NTIC. En général très orientées vers l’information, les sites institutionnels deviennent de plus en plus participatifs. Les nouveaux instruments de communications citoyennes s’appuyant sur les technologies participatives prennent la forme de blogs citoyens ou de wikis territoriaux. Ils concernent des thématiques diverses comme les conseils de quartiers, le co-voiturage, l’identité culturelle ou encore les transports en communs (Bariltault, 2007).

25 Perspectives Web 2.0 et territoire (2/2) :
Les nouveaux usages de ces technologies génèrent de nouveaux espaces participatifs se caractérisant par un dialogue entre utilisateurs, une mise en avant des auteurs, une grande accessibilité et des ergonomies nouvelles. Des néologismes comme territoire 2.0 (Guillaud, 2008), villes 2.0 ou collectivités 2.0 se plaçant dans la continuité de l’idée d’e-gouvernement font leur apparition. Ils rénovent le concept de gouvernance territoriale en offrant de nouveaux outils et de nouvelles méthodes pour la mobilisation des citoyens (Belkhbiri, 2007). Ces deux termes sont issus de différents projets liés au programme « Villes 2.0 » initié en 2006 par la Fondation Internet Nouvelle Génération (FING) dont les thèmes de réflexion portent sur l’avenir des villes et des technologies.

26 Perspectives Wikinomics (Tapscott et Williams, 2007) :
« Economie de la collaboration entre groupes humains », Système économique reposant sur une collaboration massive et un usage intensif des technologies open source comme les Wiki. Ces outils technologiques sont utilisés pour permettre une fusion entre la production et la consommation. Beaucoup d'organisations ont adopté quatre principes de la wikinomie : l'ouverture, l'interaction entre pairs qui permet de réviser continuellement le travail, l'utilisation partagée et l'activité globale Pour les tenants de ce concept, les entreprises monolithiques et autonomes sont en voie d'extinction : les entreprises qui suivent cette nouvelle vision de l'entreprise n'ont pas à faire face aux même limites. Elles centrent les tâches du personnel interne en organisant la valeur du travail au mérite.

27 Perspectives Vers un Web 3.0 :
Le Web 3.0 désigne le futur du Web comme évolution du Web 2.0, on parle aussi de Web sémantique. Il désigne un ensemble de technologies visant à rendre le contenu des ressources du Web accessible et utilisable par les programmes et agents logiciels, grâce à un système de métadonnées formelles, utilisant notamment la famille de langages développés par le W3C. La définition précise d'une application Web 3.0 est encore très débattue, cependant, il est généralement admis qu'une solution Web 3.0 doit montrer certaines caractéristiques : Mobilité, elle doit être indépendante de tout type de support (taille d'écran, sortie imprimante, etc.) ; Universalité, elle doit être indépendante de tout système d'exploitation, et de tout matériel (fabriquant, marque, logiciel, ou de plugin) ; Accessibilité, strictement en conformité avec le W3C, ce qui permet de rendre d'autres logiciels accessibles à l'aide de Microformats.

28 Perspectives Vers un Web 3.0 : Web 4.0 Web 3.0 Web 2.0 Web 1.0 PC Era
The Intelligent Web Web 4.0 Reasoning Productivity of Search The Semantic Web Web 3.0 Semantic Search The Social Web Natural language search Web 2.0 The World Wide Web Tagging Web 1.0 Keyword search The Desktop PC Era Directories Files & Folders Databases Amount of data

29 Stéphane Roche Boris Mericskay


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