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Que c’est bon de partir se promener dans la campagne main dans la main avec Olivier ! Catherine se dit qu’elle a beaucoup de chance d’avoir un frère.

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3 Que c’est bon de partir se promener dans la campagne main dans la main avec Olivier ! Catherine se dit qu’elle a beaucoup de chance d’avoir un frère comme lui ! Il sait le nom de toutes les petites fleurs que l’on trouve au bord du chemin, il recon- naît les oiseaux rien qu’à les entendre chanter, ou à les voir voler… Et en plus, aujourd’hui, il lui a promis une surprise. Je ne sais pas vous, mais Catherine est comme moi, elle adore les surprises ! Elle essaie de questionner Olivier, mais celui-ci lui répond avec raison que, s’il lui dit la surprise… eh bien… ce ne sera plus une surprise !!! Et Catherine est bien obligée de se dire qu’il a raison !

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5 Ce sont les vacances, et Olivier est rentré ce samedi de l’université avec des envies de ciel bleu, de fleurs et d’abeilles. Hier déjà, ils sont allés dans les prés admirer les fleurs du printemps, et essayer d’identifier les papillons qui butinaient. En rentrant, Catherine les dessine et cherche avec l’aide d’Olivier, dans ses grands livres, des renseignements pour noter sur son dessin, et elle trouve cela passionnant.

6 En rentrant, elle a voulu aider à arroser le jardin, mais… enfin… disons que cela ne s’est pas très bien terminé ! Heureusement, il faisait encore chaud, et maman a bien ri au lieu de se fâcher. Mais Catherine jure les grands dieux que le tuyau était vivant dans sa main et qu’il lui a échappé. Elle ne connaît pas la force de la pression de l’eau ! Oui ! Mais avec tout ça… Et la surprise, Olivier, c’est pour bientôt ?

7 - Regarde ! dit Olivier. Elle est là, ma surprise ! Approche tout doucement ! Merveille ! La fillette voit, au milieu des branches, un nid avec un œuf tout blanc et rose. Ou lilas ? Ou mauve ? C’est si délicat comme couleur qu’elle ne sait pas définir ! - N’y touche surtout pas, dit Olivier, la maman ne reviendrait pas ! Mais nous viendrons tous les jours, et sans doute nous verrons d’autres œufs s’ajouter à celui-ci. Et peut-être la maman commencer à couver ! Quelles magnifiques vacances en perspective !!!

8 Une entorse toute bête, en mettant son pied dans un trou dissimulé sous la neige, et voilà Yourik immobilisé à la maison. Il entend ses copains s’amuser dehors en rentrant de l’école… Il a mal au cœur. Bien sûr, il y a maman et ses histoires. Elle lui raconte comment, il n’y a pas si longtemps, les esquimaux (ou Inuits) vivaient sous des igloos… Maintenant, ils ont des maisons où l’on peut faire du feu, et seuls les hommes, pendant les longues périodes de chasse, se fabriquent des igloos pour s’abriter.

9 Ou comment, près de sa maman, elle apprenait à fabriquer les solides aiguilles d’os qui pou- vaient coudre les peaux les plus épaisses pour la confection des vête- ments. Mais enfin, tout cela ne vaut pas les jeux avec les copains, dans la belle neige toute fraîche. Pourtant, le papa de Yourik, en rentrant de la pêche, se rend bien compte que son fils trou- ve le temps long, même si, en vrai petit homme, il ne se plaint pas…

10 Que se passe-t-til ? Que peut-il bien comploter, avec Warouk ? Le grand frère rit de plaisir et les conciliabu- les vont bon train… Le lendemain après-midi, Yourik entend un joli petit bruit de grelot qu’il ne connaissait pas, il entend des rires, des appels. Maman le prend délicatement, en faisant attention à la cheville malade et sort avec lui devant la porte… Vous ne le croiriez pas ! En tout cas, Yourik n’en croit pas ses yeux ! Le plus docile chien de papa est attelé à un traineau garni de fourrures, et maman dépose son précieux fardeau sur ce traineau !!! Warouk marche à côté du chien pour le guider, et tous les copains de Yourik sont autour de lui, escortant son équipage, ou jouant en faisant des glissades ou des combats de boules de neige ! Oh ! Merci, merci, papa ! Pense Yourik émerveillé. Mer- ci, Warouk ! Merci les copains ! La vie est belle !

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12 Cunégonde est inquiète. Com- me souvent, maman lui a per- mis d’aller donner un petit supplément de graines aux volailles, mais elle ne voit pas Noiraude. Noiraude est sa poule préférée, mais maman dit qu’elle va devoir la tuer, car elle ne pond pas. Est-ce que par hasard… Il faut qu’elle sache ! - Mirka, dit-elle à son petit chien, cherche ma Noiraude, cherche !!! Et voilà Mirka qui s’en va furetant de ci de là…

13 Aurait-il compris l’ordre de Cunégonde Cherche-t-il vraiment la Noiraude ? D’ailleurs, elle ne le voit plus, et se demande où il est parti ! Mais elle entend tout à coup des caquètement indignés, des aboiements triomphants. Elle se précipite, juste pour voir la Noiraude partir dignement et Mirka surveiller une vieille caisse dissimulée dans la haie. Et dans la caisse… Devinez-vous ce qu’il y a dans la caisse ? Oui, je suis sûre que vous savez ! Un œuf, mes enfants ! Un œuf tout tiède encore, que Cunégonde ramasse triomphalement. A petits pas, avec précaution, pour ne pas casser sa trouvaille, Cunégonde marche vers sa maman, et crie triomphalement : - Maman ! Maman ! La Noiraude, elle a pondu ! Alors, tu ne peux plus la tuer ! Ma belle Noiraude est sauvée !

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15 Non et non ! Violaine ne veut pas aller à l’école ! Pourquoi faire, je vous le demande ? N’est-il pas plus agréable de jouer dans le jardin, d’habiller ses poupées, de faire un pique-nique à ses ours ? D’ailleurs, c’est décidé ! Si on la force à aller à l’école, elle y dormira toute la journée ! Parfaitement ! Pourtant, elle joue moins bien qu’avant. Christophe, son grand frère, son compagnon de jeux, ne vient plus jouer avec elle.

16 Cette année, elle est allée seule à la décou- verte des premières mûres, et des premiers colchiques dans les prés. Et pourquoi ? Parce que maintenant, il parait que Monsieur sait lire ! Vous pensez, il prétend savoir ce que veulent dire ces petits signes noirs sur le papier ! Violaine est jalouse de ses livres. Elle regrette leurs jeux et leurs pro- menades…

17 Alors, Christophe a pris Violaine sur ses genoux. Il lui a montré le livre qu’il est en train de lire, un livre empli d’images et de signes mystérieux. Et voilà qu’il lui raconte une belle histoire, une histoire de fées et de preux chevaliers… - Mais tu sais tout cela par cœur ? Demande Violaine admirative. - Mais non, voyons, c’est écrit là, et je te le lis ! - Tu lis ces drôles de signes ? Ils veulent dire quelque chose, tu crois ? Et ça, cela veut dire quoi ? Dit-elle en pointant son doigt vers le titre. - C’est le titre de l’histoire, cela veut dire : la fée et les dragons. - Lis ! Implore Violaine. Elle écoute, captivée, elle regarde Christophe suivre du doigt les lignes, elle regarde les images qui vont si bien avec l’histoire, et, tout à coup, elle descend des genoux de son frère et s’élance vers la salle où coud sa mère : - Maman ! Maman ! Demain je vais à l’école ! Et demain soir je saurai lire !

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19 Mais quelle mouche a donc piqué Cadichon ? Il est devenu fou, ma parole ! Il a bondi au milieu de la cour, effrayé poules et canards, fait fuir le cochon apeuré, et, tout fier, a pris la poudre d’escampette ! Mais où donc a-t-il pu aller ? Le Père Léonard est vraiment inquiet. Vic- torine, qui aime tendre- ment son petit ânon, est désolée…

20 Tout en allant avec son père jusqu’à la ferme voisine, Victorine renouvelle ses appels. Elle appelle son petit âne avec les noms les plus tendres… En vain, il ne semble pas se cacher par là. Car d’ordinaire il accourt à sa voix. Il sait bien qu’elle a toujours une pomme pour lui ! Mais tout à coup… Qu’est-ce qu’on entend ? Un braiement sonore, une cavalcade. Voilà Cadichon, qui vient fourrer son museau dans le panier de Victorine et quémander ses caresses ! Le Père Léonard est tout fier, et félicite sa fille.

21 Toute fière, Victorine ramène son ânon jusqu’à la ferme. Elle le gronde et le cajole en même temps… - C’est très mal, ce que tu as fait ! Et on s’en est bien vu pour récupérer le cochon, qui était terrorisé ! Mais qu’est-ce qui t’a pris ? Il ne faut plus recommencer ! Car tu es le plus mi- gon des petits ânes, et je t’aime trop ! Mais tout de même, tu mériterais que je te prive de picotin ! Et pourtant, savez-vous ce que fait la fillette, en arrivant à la ferme ? Elle verse double ration d’avoine dans la mangeoire du vagabond !!! Je me demande si, à ce régime, il ne risque pas de recom- mencer souvent !

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23 Images de sources diverses. Texte : Jacky Musique : Florian Bernard au synthétiseur Diaporama de Jacky Questel, ambassadrice de la Paix Jacky.questel@gmail.com http://jackydubearn.over-blog.com/ Site : http://www.jackydubearn.fr/http://www.jackydubearn.fr/

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