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Mme Michu Le bon sens bien de chez nous Par Nanou et Stan Progression manuelle.

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2 Mme Michu Le bon sens bien de chez nous Par Nanou et Stan Progression manuelle

3 Cette histoire commence dans la Corrèze profonde, Occupé à ruiner sa terre d'élection, Hollande rêvait déjà de la France et du Monde, D'appauvrir maintenant le reste de la nation.

4 C'est qu'il aimait les pauvres, cet enfant de notable, Il les aimait tellement, qu'il en voulait encore, C'est qu'il mesurait bien qu'une voix est changeable, Contre l'espoir vain d'une vie de confort.

5 Voilà notre Pépère, l'absent des ministères, Se rêver dans la peau des grands hommes de la France, pensant que cette terre, plusieurs fois millénaire, Méritait maintenant une nouvelle espérance.

6 Alors il entama sa marche triomphale, Promit le changement et la justice partout, Il mentait tant et tant, qu'à une heure vespérale, D'un mois de mai maudit, la France choisit le mou.

7 La Bastille envahie de drapeaux étrangers, Les artistes généreux avec l'argent public, Le retour à Paris à bord de jets privés, Lançaient le quinquennat du petit boulimique.

8 Et celui qui voulait rassembler le pays, Soignant son premier geste au sommet du perron, Méprisa le vaincu et la France avec lui, Présenta son séant en tournant les talons.

9 Les choses était lancées et l'euphorie passée, Hollande découvrit les ficelles du métier, La crise que jusqu'alors il ne voulait pas voir, Nourrissait ses journées jusque dans ses cauchemars.

10 Le monde a bien bougé depuis 81, Mais cette gauche momifiée ne veut pas changer d'ère, Il reste une unique chose qu’elle sait faire très bien, C'est détruire les emplois et semer la misère.

11 En 10 tous petits mois, en moins d'un an seulement, Ils auront réussi avec un grand talent, A reléguer la France dans le camp des perdants, Tout en scandant encore « le changement c'est maintenant ».

12 Mais sur ce point au moins ils n'auront pas menti, Le changement est criant depuis ce jour maudit, Où le peuple berné, a porté au pouvoir, Le chef le plus mauvais de notre longue histoire.

13 Lui Président voulait rompre avec le passé, Prendre de la hauteur, montrer sa dignité Et se vautra très vite dans la médiocrité, Montrant qu'il avait feint son souci d'unité.

14 Lui Président voulait incarner le pouvoir, De sa normalité avait fait un devoir, La France découvrit que ce très grand flemmard, Ne gouvernait même pas dans son propre plumard.

15 Lui Président voulait rompre avec ces années, Où la France était forte, écoutée des alliés, Il réussit l'exploit d'un revers de la main, De fâcher notre France et son voisin germain.

16 Lui Président voulait être proche des gens, Se faire aimer aussi des petits et des grands, Mais sa légèreté aux affaires de l'Etat, Dans l'abîme des sondages pour longtemps le plongea.

17 Lui Président voulait conduire de grands débats, Mais le mariage pour tous que la France ne veut pas, Devra passer quand même et si le peuple gronde, C'est qu'il est vérolé par des idées immondes.

18 La machine est en panne, l'économie en crise, La croissance un souvenir, ils n'ont plus la maîtrise, Et si en mai dernier, les Français ont choisi, Ceux qui vont nous ruiner, c'est qu'ils avaient menti.

19 Alors ne laissons pas ces vendeurs de misère, Détruire plus encore le pays des Lumières, Faisons jaillir la flamme, rallumons cette braise, Renvoyons au plus vite, Pépère dans sa Corrèze

20 Les bombes à retardement du quinquennat Tout n'était donc pas de la faute de Jean-Marc Ayrault! La crise gouvernementale qui s'est ouverte ce lundi 25 août alors que le gouvernement Valls a été nommé il y a moins de cinq mois pour suppléer le prétendu manque d'autorité de son prédécesseur, frappe par sa rapidité et sa violence. C'est une crise structurelle, une crise grave qui n'est pas seulement liée au jeu personnel de deux ministres, Arnaud Montebourg et Benoit Hamon, qui auraient voulu être à la fois dehors et dedans, servir et contester. C'est une crise qui démontre la faiblesse de la gauche, son amateurisme, son impréparation face à la crise, son incapacité à la surmonter collectivement. Une gauche du chacun pour soi, une gauche du sauve qui peut. Il ne reste plus grand chose de l'autorité du président de la République qui porte sa part de responsabilité Car tout ce qui n'avait pas été tranché avant l'élection présidentielle, tout ce qui avait été mis sous le tapis pendant la campagne présidentielle, éclate aujourd'hui à la figure de François Hollande. La bombe a beau être à retardement, elle est dévastatrice. L'absence de croissance a servi de détonateur. Deux années de quasi-stagnation économique, de chômage de masse et de poussée lepéniste fournissent à Arnaud Montebourg des arguments de poids pour renouveler la charge contre " le dogme de l'orthodoxie budgétaire", mettre en avant "le grave risque déflationniste dans la zone euro", réclamer, avec Benoit Hamon, " une politique de soutien à consommation partout en Europe " et assumer la rupture avec le président qu'il a servi pendant deux ans en invoquant " la responsabilité collective d'interrompre ce coulage économique par l'austérité " …../….

21 Tout le monde est perdant Privé de Montebourg, François Hollande est sur la défensive car, à peine élu, il avait imprudemment promis le retour imminent de la croissance au nom de " la théorie des cycles " et comme la croissance ne vient pas, il peut dire tout ce qu'il veut, on ne le croit plus. Le président de la République, pourtant, agit. Il tente de réduire les déficits et la dette qui vient de franchir la barre des 2000 milliards d'euros. Il a parfaitement conscience que sa progression est une menace grave pour la souveraineté. François Hollande a aussi fini par prendre à bras le corps le problème de la compétitivité qui signe un autre affaiblissement français. L'effondrement des marges sape l'appareil productif, creuse le déficit commercial et rend vaine, tant qu'il n'est pas réglé, l'idée d'une relance de la consommation car ce sont alors les entreprises étrangères qui profiteraient d'un surcroit de demande. Mais la politique de l'offre à laquelle a fini par se rallier le président de la République reste un gros mot pour une partie de la gauche. Elle fait figure d'épouvantail, elle s'apparente à une forme de trahison car elle suppose une politique d'aide massive aux entreprises totalement contraire à tout ce qui avait été dit pendant la campagne. Comme en outre le patronat peine à jouer le jeu et s'enferme dans l'escalade de la surenchère avec pour seul mot d'ordre " toujours plus", personne, à part François Hollande, Manuel Valls et Gérard Collomb, le maire de Lyon, n'ose assumer franchement cette révolution copernicienne qui marque le quinquennat. Tout le monde est perdant car voilà que grossit le débat artificiel entre " politique de l'offre " et " politique de la demande ". Comme si mener la première était de droite et exécuter la seconde était de gauche, alors que le bon système serait sans doute de mixer les deux mais avec doigté et dans le cadre d'un contrat politique de long terme qui pourrait s'intituler: restauration d'une souveraineté menacée. Tout le contraire du "changement c'est maintenant" clamé de façon hasardeuse pendant la campagne présidentielle. …./…..

22 L'Europe, l'autre grand malentendu Là-dessus se greffe un autre débat, profond, récurrent, la querelle européenne dont François Hollande avait personnellement fait les frais en 2005 lorsque, patron du PS, il avait appelé à dire "oui" au traité constitutionnel européen et que le pays, à l'unisson des socialistes dissidents, avait répondu " non ". Le différent n'est toujours pas soldé car ce que réclame aujourd'hui Arnaud Montebourg c'est l'émancipation, autrement dit le bras de fer avec Angela Merkel, la remise en cause de "l'axiome L'affranchissement des contraintes du pacte de stabilité. La pression est d'autant plus forte que Marine le Pen accroit son emprise sur l'électorat populaire en contestant radicalement l'euro et son fonctionnement. C'est l'autre grand malentendu de l'élection de 2012: François Hollande est profondément européen mais pour toute une partie de la gauche qui a voté pour lui en 2012, le soutien était subordonné à sa capacité à faire "plier " l'Allemagne, comme si le voisin allemand, en bien meilleure santé, était responsable de tous les maux français. Cette victoire était évidemment illusoire car d'année en année, le différentiel se creuse entre les deux pays, rendant la France un peu plus faible et l'Allemagne un peu plus méfiante. Ce que perçoit Angela Merkel à travers les revendications françaises, c'est le manque de sérieux de son principal allié, la quête d'un nouveau blanc-seing pour laisser filer les déficits, sans rien régler. Nanou et Stan le 26/08/2014


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