La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

La présentation est en train de télécharger. S'il vous plaît, attendez

Théorie des systèmes d’information 6 INFORMATIQUE DE COMMUNICATION

Présentations similaires


Présentation au sujet: "Théorie des systèmes d’information 6 INFORMATIQUE DE COMMUNICATION"— Transcription de la présentation:

1 Théorie des systèmes d’information 6 INFORMATIQUE DE COMMUNICATION
ULB 11 avril 2003

2 Plan du cours I - Le système informatique d’aide à la décision
Apport du SIAD à l’analyse Exploitation éditoriale du SIAD III – Informatique de communication Messagerie Annuaire électronique Agenda partagé Forums Documentation électronique Dissémination sélective Rédaction coopérative Gestion de la connaissance Workflow Réunion assistée par ordinateur Outillage du manager Exploitation d’enquête Accès externe à l’Intranet Sécurité Administration Place de l’informatique de communication dans le SI Difficulté de la mise en place II - Le système d’exploitation Architecture de von Neumann Fonctions du système d’exploitation

3 Le cours dans les couches du SI
Système d’exploitation Ordinateur Réseau Programmes applicatifs Informatique de communication SIAD 4 avril 11 avril déjà vu Urbanisme

4 I – Système informatique d’aide à la décision

5 Finalités du SIAD Assurer et publier la synthèse des informations contenues dans le SI Segments d’utilisateurs : Les responsables du pilotage opérationnel (managers locaux) Données brutes quotidiennes ou hebdomadaires ; indicateurs, tableaux de bord, alarmes ; mesure de la productivité, suivi de la qualité, allocation des ressources Les responsables de la stratégie (comité de direction, chargés d’étude, contrôle de gestion) Données redressées et vérifiées, mensuelles ; indicateurs, tableaux de bord ; confection d’études, économétrie ; visualiser le positionnement de l’entreprise (parts de marché), les tendances du marché (évolution de la demande, satisfaction des clients) ; éclairer la décision stratégique (investissement, partenariats, alliances, diversification de l’offre etc.)

6 Système informatique d’aide à la décision
Restitutions Hypercubes SIAD Tableaux Entrepôt Sas Traitements Silos d’échange Applications BD des applications

7 Apport du SIAD à l’analyse
Hypercubes BD du SIAD Traitements et corrections BD des applications sources

8 Les « Hypercubes » Tableaux à plus de deux dimensions
Ventilation d’une population selon plus de deux critères Permettent de croiser des critères (« axes ») et de découper des sous-populations (« segments ») Facilitent l’édition de tableaux croisés (deux dimensions) selon des critères divers

9 Exploitation éditoriale du SIAD
Outils d’analyse et d’interprétation Diversification éditoriale Rapports et commentaires

10 Exemple 1 : Infotel Support à la force de vente d’un opérateur télécoms Capitalisation des connaissances dans la base de données du centre d’appel Diffusion de rapports selon divers découpages : Responsables des lignes de produit Directions régionales Résultats : Améliorations apportées à la formation des vendeurs Diffusion de notes explicatives Mesures correctrices (définition des services, tarification, commercialisation)

11 Exemple 2 : tableau de bord d’Elseneur (1)
Défauts à corriger Tableau de bord du PDG illisible Biais de mesure Effets pervers des habitudes comptables Principe de prudence Mauvais traitement des variations saisonnières R/R, R/P Difficultés à surmonter Enlisement du contrôle de gestion Opposition des fournisseurs d’information Solution Tableau de bord sélectif Partie stable, partie variable Correction CVS systématique Extraction de la tendance récente Commentaire des incidents Le « club du bloc-notes »

12 Exemple 2 : tableau de bord d’Elseneur (2)
Utilité Discussion sérieuse au comité de direction (3/4 d’heure sur 4 heures) Élimination des controverses sur les données Mémorisation des données essentielles par les dirigeants Repérage et interprétation partagés des inflexions de tendance Ne dicte pas, mais facilite la décision (aide indirecte) Cadre conceptuel commun Perception collective précoce des problèmes Difficultés Opposition du contrôle de gestion Le rattachement au CDG donnerait trop de poids aux données financières, mais conflit de territoire avec la direction de la stratégie Rivalité sur l’estimation mensuelle des coûts Un projet concurrent, lourd, peu commenté, automatique

13 Exemple 3 : datawarehouse d’Elseneur (1)
Objectif Fournir à la force de vente une évaluation de la part de marché Fournir à la direction du marketing un outil d’analyse du comportement des clients et de segmentation Utilisateurs : personnels des directions régionales, élaboration des contrats avec les clients, tarification, marketing, économistes Sources Données fournies par les médiateurs du marché, commandes des clients Enjeu : alimenter des analyses Positionnement concurrentiel de l’entreprise, comportements d’achat, effet de la fidélisation, qualité du service, rentabilité des campagnes marketing, segmentation des clients, ventes en partenariat, canaux de distribution etc.

14 Exemple 3 : datawarehouse d’Elseneur (2)
L’existant Infocentres des applications opérationnelles : cloisonnés, peu évolutifs, peu ergonomiques On connaît la commande du client, mais non le client lui-même : besoin d’un moteur d’identification Réalisation Le projet démarre en 1998, mise en service en 2002 Coût 25 millions d’euros, utilisateurs Plusieurs progiciels Extractions et traitements Production des tableaux SGBD Une usine informatique 400 heures de CPU par mois 2 téra octets, 1000 tables de référence 200 passages de chaînes différentes à orchestrer

15 Exemple 3 : datawarehouse d’Elseneur (3)
Difficultés de la réalisation Développements jetables Prétention à organiser la production à la place des opérateurs Prétention à stabiliser la technique tout en assurant une large couverture fonctionnelle Un « moratoire » exigé par la maîtrise d’ouvrage Choix fonctionnels Les données sont brutes, sans redressement Les anomalies doivent être corrigées par les applications sources Pas de croisement entre sources Mise en œuvre progressive de 40 modules exploitables Pas d’hypercubes ; définition de 10 tableaux par module, puis de l’univers des données correspondant ; requêtes complémentaires (peu utilisées) Vers un datawarehouse d’entreprise Étendre la démarche du commercial vers la production, la maintenance, la GRH, la finance, la stratégie

16 II – Informatique de communication

17 Historique Premières applications sur mainframe
Messagerie, workflow Réservées aux informaticiens La bureautique (années 70 : « personal computing » et « office automation » ; années 80 : « office information system ») De la bureautique à la bureautique communicante (« network computing ») avec le développement des RLE (« LAN ») et des réseaux d’entreprise étendus (« WAN ») Philosophies Thomas Malone, MIT (technique) Terry Winograd, Stanford (organisation) Groupware (collectique) : années 90 Lotus Notes et la réplication (1986) Arrivée de l’Internet et du Web (années 90) L’Intranet (fin des années 90)

18 Applications Messagerie Documentation électronique Workflow
Annuaire électronique Agenda partagé Forums Documentation électronique Dissémination sélective Rédaction coopérative Gestion de la connaissance Workflow Réunion assistée par ordinateur Outillage du manager Exploitation d’enquête Accès externe à l’Intranet Sécurité Administration Chiffrement

19 Couches de la bureautique communicante
Réseau physique Système d’exploitation du réseau Applications Messagerie Documentation électronique Rédaction coopérative Réunion assistée par ordinateur Etc. Logiciels de communication Routage de messages Transfert de fichiers Gestion des annuaires

20 Place de l’informatique de communication dans le SI
Informatique de calcul Référentiels

21 Le fonctionnement du réseau
Protocole pour le réseau local Ethernet et Token ring Protocoles pour les RPV (réseaux privés virtuels) X25, ATM, frame relay Bits, trames et paquets Circuit virtuel et datagramme Protocole de l’Internet TCP/IP

22 Petite histoire des protocoles de réseau local
Aloha (Abramson, Hawaï 1970) Processus de Poisson : P(k) = Gk e–G / k! ; nombre moyen de trames pendant une durée de trame = G P(0) = e–G S = Ge–2G Aloha discrétisé (Roberts, 1972) S = Ge–G CSMA (« Carrier Sense Multiple Access »), 1975 CSMA-CD (« Collision Detection ») : Ethernet, Bob Metcalfe au PARC de Xeroc en 1973, publié en 1980

23 Ethernet

24 Allure du trafic sur un réseau Ethernet
Silence :         une trame est en cours de transmission :                                 une collision est en cours :                                                                                                                                                                                                         

25 La messagerie Politique d’utilisation de la messagerie
Communication interpersonnelle asynchrone, interne ou externe Souplesse du langage naturel Pièges : agressivité, impulsivité ; besoin d’un savoir vivre, d’une animation Annuaire électronique Alimentation du « profil » Élément du référentiel Agenda partagé Couplé à un ordinateur de poche Mise en réseau : organisation des réunions Forums Boîte aux lettres ouverte Complément à la documentation professionnelle Besoin d’une animation vigilante

26 La documentation électronique
Politique de mise en place de la documentation électronique Avantages par rapport à la documentation sur papier Utilisation des liens hypertexte et des moteurs de recherche Dissémination sélective Éviter l’excès d’information Segmentation des utilisateurs internes, diffusion de documents adaptés (« newsletter ») Rédaction coopérative Gestion des versions successives d’un document Gestion de la « concurrence » entre rédacteurs Contrôle de la qualité du document (densité, mise en forme etc.) Relation avec le workflow Gestion de la connaissance Déjà facilitée par la documentation électronique Identification et mise en réseau des experts

27 Les workflows bureautiques
Baliser le circuit des documents (table d’adressage) Normaliser leur présentation (masque de saisie) Adapté aux procédures bien définies Traitement des demandes de congé ou de mutation, des lettres de réclamation des clients, préparation du budget annuel, instruction des demandes de crédit, des contrats avec les fournisseurs et partenaires. Inadapté si l’on n’est pas dans un contexte « procédural »

28 La réunion assistée par ordinateur
Facilite le « brainstorming », la procédure de vote Nécessite un animateur qualifié Convient bien pour les réunions à caractère formel (suivi de projet, pointage de listes de décisions) Ne convient pas aux réunions de négociation, de prise de contact

29 L’outillage du manager
Le manager, grand utilisateur des outils bureautiques Messagerie, agenda, documentaiton électronique SIAD, systèmes de gestion de projet, Excel, PowerPoint Exploitation d’enquête Construction d’échantillon par tri dans l’annuaire Masque de saisie des réponses Gestion des relances Exploitation automatisée Enquêtes internes, enquêtes auprès des clients, etc. Accès externe à l’Intranet Mise à disposition de l’Intranet pour les cadres en déplacement Problèmes de sécurité

30 La sécurité Administration du groupware
Identification, authentification, habilitation Gestion des profils s’appuyant sur l’annuaire Ripostes au piratage : Firewalls, antivirus, isolement des données les plus sensibles (hiérarchie des serveurs) Le chiffrement : systèmes à clé publique Utilisation des fonctions unidirectionnelles à porte arrière (« trapdoor »)

31 Système à clé publique « One-way function with trapdoor »
y = f(x) facile à calculer, x = f(y) impossible à calculer en pratique Il existe une fonction x = g(y, z) facile à calculer si l’on connaît z Bob veut recevoir d’Alice le message M ; il lui donne sa clé publique c. Alice code le message T = f(M, c), f unidirectionnelle Bob possède la clé privée z qui ouvre la porte arrière de f et permet de lire le message : M = g(T, c, z)

32 Difficultés de la mise en place
Résistances des informaticiens « ce n’est pas de l’informatique » Épouvantail du trafic Résistance des dirigeants Non perception de l’utilité de la messagerie, de l’agenda électronique, de l’annuaire Résistance aux workflows Difficulté de la rédaction coopérative Incompétence de la dir com La dir com a une culture « papier », elle résiste à l’électronique Mise en place progressive On commence par la messagerie, puis on découvre les possibilités de l’informatique communicante

33 II – Système d’exploitation

34 Le système d’exploitation
Ne pas ignorer la technique ! Le SI repose sur une réalité physique (fils, circuits etc.) Le SE vise à faciliter l’utilisation de l’ordinateur Il reçoit le programme compilé (suite d’instructions en langage machine) Déclenche l’exécution d’autres programmes pour gérer Les processus en cours Les équipements périphériques La mémoire Le « noyau » (« kernel ») regroupe les programmes qui interagissent avec les éléments matériels de l’ordinateur L’utilisateur ne voit que l’interface homme-machine (fenêtres) et le répertoire des fichiers

35 Architecture de von Neumann (1945)
Processeur Unité de commande Unité arithmétique Unité d’entrée/sortie Registres Mémoire Instructions et données

36 Exécution pseudo-simultanée des programmes
Le processeur exécute les instructions de façon séquentielle (von Neumann, 1945)… … mais il est très rapide Exemple : déplacer le curseur en fin de ligne Raccourci clavier (0,25 secondes) : instructions, Déplacement du curseur : instructions Vitesse du processeur : 500 MIPS En 0,25 secondes, il traite 124,97 Méga-instructions de plus Arrêter un programme, gérer les priorités dans la file d’attente Défauts des SE « non pré-emptifs » (MS-DOS, premières versions de Windows)

37 Gestion de la mémoire Mémoire virtuelle Mémoire cache Persistance
Adresses virtuelles traduites si besoin est en adresses réelles Un espace d’adressage (virtuel) aussi grand que l’on veut Les programmes ne connaissent que les adresses virtuelles, traduites à la volée en adresses réelles par la MMU (« Memory Management Unit ») Mémoire cache De petites mémoires très rapides (quelques Mo) associées au processeur Difficultés de la gestion des mémoires caches Persistance Mémoires sur disque L’appel d’une donnée doit être indifférent à la nature de la mémoire où elle réside, les E/S étant réalisées par le SE de façon automatique

38 Lectures recommandées
Algorithmes Donald E. Knuth, The Art of Computer Programming, trois volumes, Addison Wesley 1997 Systèmes d’exploitation Andrew Tanenbaum, Les systèmes d'exploitation, InterEditions 1989 Laurent Bloch, Les systèmes d'exploitation des ordinateurs, Vuibert 2003 Langages de programmation Daniel Friedman et Matthias Felleisen, The Little Schemer, MIT Press 1996 Harold Abelson et Gerald Jay Sussman, Structure and Interpretation of Computer Programs, MIT Press 1996 Bertrand Meyer, Conception et programmation par objet, InterEditions 1990 Unified Modeling Language (UML) Grady Booch, Ivar Jacobson, James Rumbaugh, Jim Rumbaugh, The Unified Modeling Language User Guide, Addison-Wesley 1998 Pascal Roques et Franck Vallée, UML en action, Eyrolles 2003


Télécharger ppt "Théorie des systèmes d’information 6 INFORMATIQUE DE COMMUNICATION"

Présentations similaires


Annonces Google