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Chapitre Cinquième Morphologie nominale (A. Meurant - UCL 2006-2007)

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1 Chapitre Cinquième Morphologie nominale (A. Meurant - UCL )

2 1. Bref rappel A. Tout mot fléchi comprend deux parties
l'une stable, le thème (radical + préfixes ou suffixes éventuels) l’autre mobile, la désinence (indicateur de la fonction dévolue au mot dans un énoncé). B. Le thème est tout ce qui précède la désinence, mais il arrive qu’il ne soit pas nettement séparé de celle-ci (au nom. sing. par exemple) : on parle alors de forme opaque. C. En ce cas, puisque la segmentation du mot est difficile on parlera de terminaison ou de finale plutôt que de désinence. Ces termes désignent l’ensemble des éléments situés en fin de mot. (A. Meurant - UCL )

3 Cas Fonctions Exemples
2. Définition des cas Cas Fonctions Exemples Le maître (dominus) aide son intendant. L’intendant n’est pas un maître (dominus). Sujet ou attribut du sujet d’un verbe à un mode personnel Nominatif Vocatif Interpellation ou apostrophe Maître (domine), aide ton intendant. L’intendant aide le maître (dominum). Autrefois, on considérait les intendants comme des maîtres (dominōs ). Accusatif COD (=GCD) et son attribut L’intendant visite l’atelier du maître (dominī). Génitif GCN L’intendant donne un outil au maître (dominō). L’intendant travaille pour le maître (dominō). Datif GCI Cplts circonstanciels (temps, lieu, cause, agent, …) L’intendant est chassé par le maître (dominō). Ablatif (A. Meurant - UCL )

4 Le nom (A. Meurant - UCL )

5 Thèmes nominaux en –a avec de nombreuses formes opaques.
1ère déclinaison Thèmes nominaux en –a avec de nombreuses formes opaques. Les noms qui lui appartiennent sont féminins, sauf les noms d’hommes, qui sont masculins, ainsi nauta, –ae (le marin). Elle accueille aussi quelques noms propres grecs comme Aenēās, Aenēae. Une forme archaïque du génitif singulier en –ās se maintient dans les formes pater/mater familiās. (A. Meurant - UCL )

6 1ère déclinaison Les noms de villes singuliers disposent d’un locatif (cas du lieu où l’on est, homonyme du génitif singulier de la langue classique et commutable avec ibi) : Rōmae : « à Rome ». La poésie connaît aussi quelques formes, plus rares, de génitif singulier en –āī : Albāī Longāī (« à Albe-la-Longue »). Au datif et à l’ablatif pluriel, on trouve les formes deīs et deābus, filiīs et filiābus où le masculin se distingue du féminin. Par ailleurs, ces deux cas sont, dans toutes les déclinaisons, toujours iden­tiques sous l’effet du syncrétisme. (A. Meurant - UCL )

7 Thèmes nominaux en –o/e (« voyelle thématique »).
2e déclinaison Thèmes nominaux en –o/e (« voyelle thématique »). Dès lors dite « thématique », la deuxième déclinaison regroupe tous les noms dont le génitif singulier se termine par –ī, soit des masculins dont le nominatif singulier se termine par –us ou –er des neutres dont le nominatif singulier se termine par –um et un mot isolé uir, uirī (« l’homme, le mari »). (A. Meurant - UCL )

8 Présence de nombreuses formes opaques :
2e déclinaison Présence de nombreuses formes opaques : dominus > domino + s dominīs > domino + is Les noms d’arbres, comme laurus, ī sont féminins et il existe quelques neutres en –us (uīrus, uīrī : « le poison » ; uolgus, uolgī : « le peuple » ; pelagus, ī : « la mer »). Les noms en –ius ont un vocatif singulier en –ī : Vergīlī et fīlī (mī) par exemple. Existence de locatifs comme dans la 1ère déclinaison : Tarentī (« à Tarente »). (A. Meurant - UCL )

9 3e déclinaison Accueille les noms dont le génitif singulier est terminé par –is. Les plus nombreux ont un thème terminé par une consonne (déclinaison consonantique). D’autres, (thème terminé par –i), appartiennent à la déclinaison en –i. Les deux catégories ont fusionné, mais des vestiges du thème en –i subsistent : à l’ablatif singulier (–ī) comme aux nominatifs, vocatifs et accusatifs pluriels (–ia) de certains neutres (mare – animal). au génitif pluriel dans les terminaisons archaïques en –īs de l’accusatif masculin et féminin pluriel remplacé par –ēs au Ier siècle a.C.n. (A. Meurant - UCL )

10 Imparisyllabiques (mīles – mīlitis) – parisyllabiques (nāuis – nāuis).
3e déclinaison Isolement des nominatifs et vocatifs singuliers et absence de formes opaques. Imparisyllabiques (mīles – mīlitis) – parisyllabiques (nāuis – nāuis). Mais iuuenis, iuuenis fait iuuenum au génitif pluriel, comme canis, canis fait canum Les masculins et féminins du type urbs, urbis (deux consonnes avant la terminaison du génitif singulier) ont un génitif en –ium, sauf patrum, mātrum, frātrum, parentum). Quelques parasyllabiques en –es (clādēs, is) présentent les deux types de génitifs pluriels. (A. Meurant - UCL )

11 féminins : ās – aus – is – ēs – ō – x – consonne + x
3e déclinaison Règle des genres : masculins : or – ōs – er féminins : ās – aus – is – ēs – ō – x – consonne + x neutres : l, e, n, c, t, ar, ur ,us. Nombreuses exceptions : par le sens sont (notamment)masculins : pariēs, parietis (« le mur ») – pēs, pedis (« le pied ») – grex, gregis (« le troupeau ») – collis, collis (« la colline ») – lapis, lapidis (« la pierre ») – piscis, piscis (« le poisson ») – orbis, orbis (« le cercle ») – mēnsis, mēnsis (« le mois ») – fīnis, fīnis (« la limite ») – amnis, amnis (« le fleuve ») – ignis, ignis (« le feu ») – sanguis, sanguinis (« le sang ») – leō, leōnis (« le lion ») – sermō, ōnis (« le discours ») – ōrdō, inis (« l’ordre ») – mōns, mōntis (« la montagne ») – fōns, fōntis (« la source ») – pōns, pontis (« le pont ») – dēns, dentis (« la dent ») – sōl, is (« le soleil ») – lepus, oris (« le lièvre »)   (A. Meurant - UCL )

12 3e déclinaison sont (notamment) féminins : arbor, arboris (« l’arbre ») – les noms en –ūs dont le génitif singulier est en –ūtis, –ūdis (salūs, ūtis : « le salut » ; palūs, ūdis : « le marais »). sont (notamment) neutres : aes, aeris (« l’airain ») – iter, itineris (« le voyage ») – uēr, uēris (« le printemps ») – cor, cordis (« le cœur ») – aequor, oris (« la plaine, la mer ») – marmor, oris (« le marbre ») – ōs, ōris (« la bouche ») – os, ossis (« l’os »). (A. Meurant - UCL )

13 Formes particulières :
3e déclinaison Formes particulières : Quelques noms parisyllabiques ont un accusatif singulier en –im et un ablatif singulier en –ī : Tiberim – Tiberī. Ont l’ablatif singulier en –e ou en –ī : ignis, is ; nāuis, nāuis ; amnis, amnis. Iuppiter, Iouis : « Jupiter ». Le défectif uīs (« la force ») n’existe au singulier qu’à l’accusatif (uim) et à l’ablatif (uī). rūs, rūris connaît un locatif rūrī (« à la campagne »). Les mots grecs peuvent conserver les formes de leurs décli­naison originale. Ex. : l’accusatif singulier Sōcratēn de Sōcratēs, is (« Socrate »).  (A. Meurant - UCL )

14 Regroupe les noms dont le génitif singulier se termine en –ūs.
4e déclinaison Thèmes nominaux en –u partout apparents sauf aux datifs et ablatifs pluriels. Regroupe les noms dont le génitif singulier se termine en –ūs. Ils sont masculins, sauf quelques féminins (manus, manūs) et quelques neutres en –ū (cornū, cornūs).  À côté de ses formes régulières, domus présente aux trois derniers cas du singulier comme à l’accusatif et au génitif pluriels des formes de la 2e déclinaison : domī, domō, domōs, domōrum. Ce mot connaît aussi un locatif domī (« chez soi »). Quelques noms verbaux ne se rencontrent qu’à l’ablatif accompagné d’un possessif ou d’un génitif : meō iussū : « sur mon ordre » ; eius rogātū : « à sa demande » ; māior (minor) nātū : « l’aîné (le cadet) ». (A. Meurant - UCL )

15 Regroupe les noms dont le génitif singulier se termine par –eī.
5e déclinaison Thèmes nominaux en –ē, lequel s’abrévie aux accusatif, génitif et datif singuliers. Regroupe les noms dont le génitif singulier se termine par –eī. Seuls rēs et diēs ont une déclinaison complète au pluriel. À côté de ses formes régulières, domus présente aux trois derniers cas du singulier comme à l’accusatif et au génitif pluriels des formes de la 2e déclinaison : domī, domō, domōs, domōrum. Ce mot connaît aussi un locatif domī (« chez soi »). Les noms de cette déclinaison sont féminins sauf diēs qui est masculin ou féminin au singulier. (A. Meurant - UCL )

16 Adjectifs et pronoms (A. Meurant - UCL )

17 A. L’adjectif 1. Présentation
Les adjectifs latins se répartissent en deux classes : La première regroupe ceux qui se déclinent au féminin comme les noms de la première déclinaison, au masculin et au neutre comme les noms de la deuxième déclinaison. La deuxième regroupe ceux qui se déclinent comme les noms de la troisième déclinaison (thème en –i/thème consonantique). (A. Meurant - UCL )

18 A. L’adjectif 2. 1ère Classe Adjectifs en –us (er), a, um
Modèles : magnus, a, um / pulcher, chra, chrum / līber, a, um Une série d’adjectifs très courants ont, comme beaucoup de pronoms, un génitif singulier en –īus et un datif singulier en –ī : tōtus, a, um : « tout entier » ; ūnus, a, um : « un seul » ; sōlus, a, um : « seul » ūllus, a, um : « un quelconque » ; nūllus, a, um : « aucun » ; uter, utra, utrum : « lequel des deux » ; uterque, utraque, utrumque : « l’un et l’autre » ; neuter, neutra, neutrum : « ni l’un, ni l’autre » ; alter, a, um : « l’autre de deux, le second » ; alius, a, aliud : « l’autre » dont le génitif singulier est alterīus et le datif singulier aliī. (A. Meurant - UCL )

19 A. L’adjectif 3. 2e Classe Thème vocalique en –I
à deux terminaisons (modèle fortis, forte), mais trois sont possibles : ācer, ācris, ācre (« âpre, vif, violent »). à une terminaison (modèle ingēns). Emplyés comme adjectifs, les participes présents ont l’ablatif en –i , mais en –e s’ils sont employés dans l’ablatif absolu ou comme nom : ardentī studiō : « avec un zèle ardent », mais ardente domō : « la maison brûlant » sapientī consiliō : « par un sage dessein », mais ā sapiente monērī : « être averti par un sage ». règle des 3 I : –ī / –ium / –ia. (A. Meurant - UCL )

20 A. L’adjectif 3. 2e Classe Thème consonantique
Modèle : māior, māius : pas de règle des 3 I Cette catégorie regroupe les comparatifs et quelques adjectifs à une seule terminaison : uetus, ueteris : « vieux » ; dīues, itis : « riche » ; pauper, is : « pauvre » ; particeps, ipis : « participant » ; princeps, ipis : « premier » ; S’y rattachent, mais ont l’ablatif singulier en –ī : inops, inopis (« dénué de ressources »), supplex, icis (« suppliant »), memor, memoris (« qui se souvient »). (A. Meurant - UCL )

21 A. L’adjectif 3. 2e Classe Thème consonantique
Modèle : māior, māius : pas de règle des 3 I Cette catégorie regroupe les comparatifs et quelques adjectifs à une seule terminaison : uetus, ueteris : « vieux » ; dīues, itis : « riche » ; pauper, is : « pauvre » ; particeps, ipis : « participant » ; princeps, ipis : « premier » ; S’y rattachent, mais ont l’ablatif singulier en –ī : inops, inopis (« dénué de ressources »), supplex, icis (« suppliant »), memor, memoris (« qui se souvient »). (A. Meurant - UCL )

22 4. Degrés de comparaison Les degrés de l’adjectif
positif : altus, alta, altum = élevé(e) comparatif de supériorité : altior, altior, altius = plus élevé(e) que positif = assez élevé(e), fort élevé(e), trop élevé(e) superlatif absolu : altissimus, altissima, altissimum = très élevé(e) superlatif relatif : altissimus, altissima, altissimum = le plus élevé(e) (A. Meurant - UCL )

23 4. Degrés de comparaison Formation des degrés de l’adjectif
altus, altī alt - ior, alt - ius alt - issimus, alt – issima, alt -issimum Se décline comme un adjectif de la 2ème classe alt - ioris sans respecter la règle des 3 I fēlīx, fēlīcis fēlīc - ior, fēlīc - ius fēlīc - issimus, fēlīc - issima, fēlīc -issimum fēlīc - ioris (A. Meurant - UCL )

24 4. Degrés de comparaison Formes particulières bonus, a, um
melior, melius optimus, a, um malus, a, um pēior, pēius pessimus, a, um magnus, a, um māior, māius maximus, a, um minimus, a, um paruus, a, um minor, minus multī , ae, a plūrēs, plūra plūrimī, ae, a (A. Meurant - UCL )

25 4. Degrés de comparaison Formes particulières miser, a, um
miser - rimus, a, um miser - ior, miser - ius ācer - rimus, a, um ācer, ācris, ācre ācr - ior, ācr - ius facil - limus, a, um facil - ior, facil - ius facilis, e simil - limus, a, um similis, e simil - ior, simil - ius (A. Meurant - UCL )

26 = 4. Degrés de comparaison Construction Gāius doctior est quam Marcus
2ème terme de comparaison Gaius est plus savant que Marcus = Gāius doctior est Marcō (A. Meurant - UCL )

27 Horātius est assez (fort, trop, un peu) courageux
4. Degrés de comparaison Intensif X Horātius fortior est Horātius est assez (fort, trop, un peu) courageux (A. Meurant - UCL )

28 4. Degrés de comparaison Superlatif relatif
Omnium Gallōrum fortissimī sunt Belgae Ex omnibus animālibus fidēlissimus est canis (A. Meurant - UCL )

29 4. Degrés de comparaison > < Quelques tournures particulières
Longior quam lātior aciēs = un front plus long que large Validior manuum = la plus forte des deux mains Māior nātū = l’aîné de deux > < Maximus nātū = l’aîné de plusieurs multō fēlicissimus = de beaucoup le plus heureux longē fēlicissimus = de loin le plus heureux uel summa paupertās = la pauvreté même la plus grande = le plus grand possible quam maximus (A. Meurant - UCL )

30 B. L’adjectif numéral 1. Numéraux cardinaux
ūnus, a, um / duo, ae, o/ trēs, trēs, tria se déclinent comme les centaines à partir de ducentī, ae, a (« 200 ») et mīlia (« milliers ») dont le complément est au génitif (duo mīlia passuum). ambō, ae, ō signifie « tous les deux » et se décline comme duo ūnus se rencontre au pluriel avec des noms qui n'existent qu'au pluriel ou dont le sens est particulier au pluriel : ūna castra ūnae litterae (A. Meurant - UCL )

31 B. L’adjectif numéral 2. Numéraux ordinaux 3. Distributifs
Le latin connaît aussi une catégorie particulière d'adjectifs numéraux, les distributifs comme singulī, ae, a (« un par un, chacun séparément ») ; bīnī, ae, a (« deux par deux »). Ceux-ci s'emploient notamment en lieu et place des adjectifs numéraux cardinaux avec les noms qui n'ont pas de singulier : bīna castra. (A. Meurant - UCL )

32 C. Pronoms personnels 1. 1ère et 2e personnes ego/nōs tū/uōs
On n’utilise les formes nostrum/uestrum qu’au génitif partitif ou de totalité (génitif complément d’un nom, d’un pronom ou d’un adverbe signifiant une quantité : cum māximā parte mīlitum) : Quis nostrum ? Les formes nostrī/uestrī sont utilisées dans les autres cas. (A. Meurant - UCL )

33 C. Pronoms personnels 1. 3e personne
sē = réfléchi direct quand il renvoie au sujet de la proposition où il se trouve : Bis uincit quī sē uincit. sē = réfléchi indirect quand il renvoie au sujet de la principale à partir d’une infinitive, d’une proposition en ut/nē (+ subj.), d’une subordonnée du discours indirect : Exclāmāuit Nasīca sē domī nōn esse. Attention aux formes mēcum, tēcum, sēcum, nōbīscum, uōbīscum. (A. Meurant - UCL )

34 D. Pronoms et adjectifs-pronoms possessifs
À la 3e personne, suus, sua, suum renvoie au possesseur sujet (direct ou indirect). Pour renvoyer à un possesseur qui n’est pas le sujet, on utilise le pronom anaphorique is, ea, id aux génitifs singulier et pluriel : Suum patrem uidet >< Eius patrem uidet E. Démonstratifs et autres déterminatifs –īus/–ī Vocabulaire (A. Meurant - UCL )

35 tālis, tāle (« tel ») / quālis, quāle (« quel ») > fortis
anaphoriques quand ils renvoient à un être ou une chose déjà cités (démonstratif ou « il, elle, lui, la… ») : Procās deinde rēgnat. Is Numitōrem prōcreat. cataphoriques quand ils annoncent une subordonnée. Dans ce dernier cas, il devient l’antécédent (fréquemment sous-entendu) d’un pronom relatif (pronom : « celui » - déterminant : article français) : Ad eōs quōs cēperat - Eī mūnītiōnī quam fēcerat Labienum praefēcit   Cas particuliers :  tālis, tāle (« tel ») / quālis, quāle (« quel ») > fortis tantus, a, um (« si grand ») / quantus, a, um (« [si grand] que ») > magnus tot (« si nombreux ») / quot (« [si nombreux]que ») = indéclinables. (A. Meurant - UCL )

36 F. Relatifs et interrogatifs
Un pronom relatif après ponctuation forte peut ne pas introduire de subordonnée. On l’appelle généralement relatif de liaison (ou faux relatif) et il se traduit par et + la forme de is, ea, id correspondante : Quōrum aduentū E. ¨Pronoms et adjectifs pronoms indéfinis –īus/–ī Vocabulaire Attention à nēmō (« personne ») et nihil (« rien »)  (A. Meurant - UCL )


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