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Parties de loin... où en sommes-nous? Où voulons- nous aller? L’implication des femmes dans les instances syndicales et politiques.

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Présentation au sujet: "Parties de loin... où en sommes-nous? Où voulons- nous aller? L’implication des femmes dans les instances syndicales et politiques."— Transcription de la présentation:

1 Parties de loin... où en sommes-nous? Où voulons- nous aller? L’implication des femmes dans les instances syndicales et politiques

2 Plan de la présentation 1.Situation des femmes Dans les structures de la FTQ Dans les trois paliers de gouvernement 2.Principaux obstacles 3.Moyens pour développer une plus grande implication des jeunes femmes

3 La situation des femmes dans les structures de la FTQ

4 Principaux constats en 1989 Les femmes représentent 30% des membres de la FTQ. L’implication des femmes est plus grande : –Dans les sections locales de petite taille –Dans les syndicats majoritairement féminins Cependant, on observe une concentration de femmes dans certains postes électifs : secrétaire-archiviste, secrétaire trésorière et comité de condition féminine; Et une sous-représentation aux comités de griefs, de santé et sécurité et dans les postes de déléguées d’atelier ou libérés à temps plein.

5 Principaux constats en 1989 Structures de la FTQ : –La participation des femmes ne s’est améliorée qu’au niveau des postes salariés –Alors qu’elle tend à stagner ou à diminuer dans les structures décisionnelles et consultatives. Bureau de la FTQ : 18,8% en 1989 Congrès : le % de déléguées passe de 24% (1985) à 20,4% (1987) Conseil général : le % de déléguées passe de 17,8% (1982) à 14,9% (1989) Comités et colloques : la participation des femmes tourne autour de 20% Postes de permanents syndicaux : le pourcentage se situe à 12,8%

6 Où en sommes-nous en 2006? Bureau de la FTQ (postes électifs) –En 2006, la proportion de femmes est de 25% (4/16). Si on compare à 1989, il y a donc une femme de plus. Il importe toutefois de noter que 3 des 4 femmes occupent les trois postes à la vice-présidence réservés aux femmes… Postes salariés à la FTQ –En 2006, le personnel de la FTQ se compose de 23 femmes et de 23 hommes. –Toutefois, on observe certaines concentrations.

7 Où en sommes-nous en 2006 dans les instances politiques?

8 Assemblée nationale et conseil des ministres : –La proportion de députées passe de 4,5% (1976) à 32% (2004). –Depuis 1994, la proportion de femmes au conseil des ministres a presque toujours été au-dessus de 30%. –En 2006, la proportion de femmes au conseil des ministres atteint un sommet : 38,5%. Parlement fédéral : –Depuis 1997, la proportion de femmes stagne autour de 20% Scène municipale : –La proportion de femmes occupant des postes de maires passe de 1,5% (1980) à 13,1% (2005). –La proportion de femmes occupant des postes de conseillers passe de 3,8% (1980) à 26,6% (2005).

9 En somme, la représentation des femmes dans les postes électifs des trois niveaux de gouvernement s’améliore. Cependant, on est encore loin de la parité homme-femme.

10 Principaux obstacles Obstacles socioéconomiques : –Responsabilités familiales –Préjugés, sexisme, comportements stéréotypés –Concentration des femmes dans un petit nombre d’emplois où les salaires sont plus bas Obstacles du milieu syndical : –Le travail syndical exige une grande disponibilité (longues journées et fins de semaine) et une grande flexibilité (horaires imprévisibles).

11 Moyens pour développer une plus grande implication des jeunes femmes dans le milieu syndical

12 Moyens 1.Élaborer une politique syndicale de remboursement des frais de gardiennage et des autres frais liés au militantisme (déplacement, repas, etc.) 2.Offrir un service de gardiennage lors d’activités syndicales de grande envergure (congrès, colloques, etc.) 3.Instaurer une politique d’accueil et d’intégration destinée aux nouvelles et nouveaux syndiqués 4.Offrir une formation aux jeunes femmes sur la manière de monter dans les structures syndicales

13 5.Mettre sur pied un programme de «marrainage» jumelant une syndicaliste d’expérience avec une ou des jeunes femmes nouvellement syndiquées afin : de procéder au transfert d’expertise sur les rouages du militantisme syndical en général et sur le syndicalisme au féminin en particulier; de présenter des modèles féminins de syndicalistes d’expérience aux plus jeunes; de développer le réflexe «réseautage» parmi les femmes syndiquées. 6.Mettre sur pied un système d’identification de jeunes femmes à repêcher pour les postes électifs, les comités, les nominations, les postes salariés, etc.

14 7.Maintenir et reconnaître l’importance des trois postes à la vice-présidence réservés aux femmes au Bureau de la FTQ 8.Adopter une approche «égalité» ou «mixte» pour certains dossiers en matière de condition féminine. –Cette approche vise à inclure les hommes dans les réflexions et les actions pour atteindre l’égalité entre les sexes afin d’en faire des alliés. –La très grande majorité des jeunes femmes que je côtoie adhèrent à cette façon de faire. »Si les hommes font partie du problème, ils doivent également faire partie de la solution et puisque l’égalité concerne le rapport entre deux sexes, c’est donc sur les deux côtés de l’équation qu’il nous faut agir. –Concrètement, cette approche pourrait prendre la forme d’un comité thématique paritaire sur la conciliation travail-famille relevant du comité de la condition féminine. –Cette approche se veut complémentaire à l’approche spécifique. »L’approche spécifique vise à corriger ou à prévenir des inégalités vécues par les femmes en s’appuyant sur des interventions ciblées en faveur des droits des femmes (ex : Loi sur l’équité salariale).


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