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A Paris, la Prostitution relatée à travers les œuvres des peintres

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1 A Paris, la Prostitution relatée à travers les œuvres des peintres
Première partie : Les prostituées de la rue et des maisons closes A Paris, la Prostitution relatée à travers les œuvres des peintres du Second Empire et de la Belle Epoque Cliquez à chaque vue

2 (définition du Larrousse)
La prostitution Acte par lequel une personne consent habituellement à pratiquer des rapports sexuels avec un nombre indéterminé d’autres personnes moyennant rémunération. Mais en littérature, même de nos jours, la prostitution est l’action d’avilir, de dégrader quelque chose de respectable. (définition du Larrousse) La prostitution commence à être réellement répertoriée en 1836 grâce au docteur Alexandre Parent-Duchâtel, qui fait effectuer par les services de police, les hôpitaux et les prisons, un véritable recensement. Cette étude semble avoir inspiré de nombreux romanciers tels que Balzac, Flaubert, Dumas fils, les frères Goncourt, Zola, Huysmans et Maupassant. 2

3 La prostituée Au XIXe siècle , deux catégories de femme prostituée évoluent dans Paris. Elle est issue de la classe laborieuse, possède parfois un langage vulgaire et s’affiche - soit sur le trottoir, - soit à la terrasse d’un café, - soit à la vitrine d’un magasin de luxe, - soit dans une maison close. Elle est payée à « la passe ». Ou bien, elle apparait comme une dame respectable, fréquentant les salons, les théâtres et les bals. Elle est adulée et entretenue par des aristocrates ou des riches bourgeois. Elle est « salonnière » et reçoit pour son plaisir des peintres, des sculpteurs et des écrivains. 3

4 La prostituée de la rue, des cafés, des vitrines et des bouges
« On les appelle filles de joie, filles de nuit, filles d’allégresse, filles à parties, filles d’amour, filles en circulation, filles à barrière, filles de beuglant, pierreuses, soupeuses, marcheuses…….. » (les maisons closes de Laure Adler) 4

5 Rue Châteaubriand à Paris
L’attente par Jean Béraud ( ) La proposition par Jean Béraud ( ) 5

6 Les prostituées du trottoir de Giovanni Boldini (1842-1931)
« Elles se nomment Divine, Elisa, Marie en Tête, Marie Coups de Sabre, Marguerite, Aglaé, Olympia, Irma, Amanda, Titine, La Grimprée, Nana, Fernande, Rosa…….. » (les maisons closes – Laure Adler) En traversant la rue de Giovanni Boldini ( ) 6

7 La prostituée de la nuit
Une femme aux Champs-Elysées , la nuit (1889) de Louis Anquetin ( ) 7

8 La prostituée de la nuit
« A travers les lueurs que tourmente le vent, la prostitution s’allume dans les rues » Baudelaire (Le crépuscule du soir) La pierreuse (1905) par Théophile Alexandre Steinlen ( )) Femme sur les Champs Elysées la nuit (1890) par Louis Anquetin ( ) 8

9 Les prostituées de la nuit : un langage vulgaire En littérature :
Zola reproduit aussi le langage vulgaire chez « Nana » alors qu’elle est passée du trottoir au statut enviable de grande cocotte : « Eh, je lui ai tout dit. Il m’a répondu qu’il avait de trop fortes échéances. Il ne sort pas de ses mille francs par mois…. Le moricaud est panné en ce moment ! Je crois qu’il a perdu au jeu…. Quant à ce pauvre Mimi, il aurait grand besoin qu’on lui en prêtât. Un coup de baise l’ a nettoyé. Il ne peut seulement plus m’apporter des fleurs ». 9 Les lesbiennes par Louis Anquetin ( )

10 Les prostituées de la nuit
Femmes à la terrasse d’un café le soir (1877) de Edgar Degas ( ) 10

11 L’absinthe ou dans un café peint vers 1873
La prostituée du café « On ne naît pas prostituée ; on le devient. La prostituée est une per-sonne qui, par obligation ou par inclination, sort des normes et se met à part socialement, affectivement et sexuellement. » (les maisons closes – Laure Adler) L’absinthe ou dans un café peint vers 1873 par Edgar Degas ( ) 11

12 La prostituée du café Il suffisait alors de montrer ses bottines et ses jupons à la table d’un café pour dire « je suis à votre disposition ». « Pourquoi mépriser les prostituées ? Ce sont des femmes qui gagnent à être connues ! » Paul Gavarni ( ) Deux jambes avec bottines ou la femme au café (1880) par Edouard Manet ( ) 12

13 De la tristesse souvent. Agostina ou la femme au tamborin (1887)
La prostituée du café De la tristesse souvent. Elle n’est pas là pour son plaisir Agostina ou la femme au tamborin (1887) de Vincent Van Gogh ( ) 13

14 Au café de la Nouvelle Athènes à Paris
La prostituée du café Au café de la Nouvelle Athènes à Paris (Place Pigalle) Est-ce une fille d’allégresse ou bien est-ce l’actrice Ellen Andrée que le peintre aimait avoir comme modèle ? La Prune (1878) par Edouard Manet ( ) 14

15 La service de bocks au café Reichshoffen(1879)
La prostituée du café Huysmans, dans « Marthe, l’histoire d’une fille », fait parler la jeune prostituée : « Ah, çà, tu crois donc que j’écoute toutes les guitares que tu me grattes depuis une heure ? Tu m’as fait sortir de ma geôle, c’est vrai. Pourquoi ? Pour me planter dans un comptoir et échauffer les gens en goguette. Je sers d’enseigne à ta bibine. Je joue le rôle d’allumettes mais je n’ai pas le droit de brûler pour de bon ! Quant à mon raflé d’amant, comme tu le nommes, je l’aimerais peut être s’il avait plus de colère au cœur, s’il était moins gnangnan, s’il était homme enfin ! La service de bocks au café Reichshoffen(1879) par Edouard Manet ( ) 15

16 La prostituée du café Au Rat Mort par Henri de Toulouse-Lautrec ( ) Brasserie fréquentée par les lesbiennes 16

17 Au café d’Harcourt à Paris (1897) par Henri Evenepoël
17

18 Madeleine au moulin de la Galette
La prostituée du café « Le jour de la St-Valentin, je n’irai pas voir une putain parce que je n’aime pas ce mot, mais j’irais quand même…. Et je lui apporterai des fleurs. Les filles que l’on paie ne sont pas celles qui nous coûtent le plus cher….. » Georges Simenon ( ) Madeleine au moulin de la Galette par Ramon Casas ( ) 18

19 Le souper de Jean-Louis Forain (1853-1931)
La prostituée du café Le souper de Jean-Louis Forain ( ) 19

20 Portrait d’Irma Brunnet vers 1880
Soumise en maison close, « en carte » c’est –à-dire tolérée mais surveillée par la police, clandestine occasionnelle ou régulière, la prostituée est partout dans les quartiers populaires. Aux yeux de certains hommes et des femmes mariées, elle symbolise le désordre et l’excès mais aussi l’oisiveté puisqu’elle ne fait que le trottoir. Elle reçoit bientôt le surnom de « Lorette » par le journaliste dandy Nestor Roqueplan car elle demeure près de l’église Notre-Dame de Lorette. Les frères Goncourt s’emparent du sujet et écrivent leur roman « la lorette » et Paul Gavarni la dessine sous toutes les postures, même indécentes. Portrait d’Irma Brunnet vers 1880 Par Edouard Manet ( ) 20

21 Grisettes , cocottes ou Lorettes
La lorette : « Je suis coquette, Je suis lorette, Reine du jour, Reine sans feu ni lieu ! Eh bien, j’espère Quitter la Terre En mon hôtel. » Chanson anonyme de l’époque Grisettes , cocottes ou Lorettes Henri de Hem 21

22 ou portrait de la tenancière Tellier par Gustave Courbet (1819-1877)
Les maisons closes Les services de la Préfecture de Police délivrent des « certificats de tolérance » aux tenancières de ces maisons. Ces maisons dites de tolérance sont appelées aussi des maisons closes ou « maisons à gros numéro ». En effet, elles doivent être signalées par un numéro différent des maisons d’habitation et elles doivent obligatoirement avoir des fenêtres à verre dépoli. Il est interdit aux hommes d’être patrons d’une maison close et d’y demeurer. Mère Grégoire (1855) ou portrait de la tenancière Tellier par Gustave Courbet ( ) 22

23 L’attente du client dans les maisons closes
La partie de cartes du même peintre Au salon de la rue des Moulins par Henri de Toulouse-Lautrec ( ) 23

24 Le choix de la prostituée dans les maisons closes
Le client (1898) par Jean-Louis Forain ( ) 24

25 Discussion avant ou après la passe dans une maison close
L’Etat tolère mais taxe lourdement la prostitution . En effet, les tenancières des maisons closes doivent reverser, sous la troisième République, la moitié de leurs bénéfices à l’Etat. La passe est donc de moins en moins payée, voire non comptée aux filles. Souvent endettées, elles ne peuvent sortir de ces maisons. Elles sont tout juste nourries et logées, en fin de nuit, sous les combles non chauffés. La chanson de Chérubin (1881) par Félicien Rops ( ) 25

26 Après la passe « La femme est obligée de choisir entre acheter un homme, ce qui s’appelle le mariage ou se vendre aux hommes, ce qui s’appelle la prostitution. » Victor Hugo ( ) Océan prose – 1854 « Payer pour le sexe ? Pourquoi pas ? Vous payez bien pour Dieu ! » Georges Clémenceau ( ) La femme tirant son bas (1894) par Henri de Toulouse-Lautrec ( ) 26

27 Dans une maison close Dans son récit sur les « Mystères  de Paris », Eugène Sue décrit la goualeuse « Fleur de Marie », comme une prostituée vulgaire, venant des bas fonds, parlant haut et fort, utilisant des mots d’argot. Les rousses ou Maison Close par Louis Anquetin ( ) 27

28 Dans une maison close « Un amant,
c’est de l’amour Deux amants, c’est du tempérament. Trois amants, c’est du commerce. » Alphonse Allais ( ) Edvard Munch ( ) l’allée 1895 28

29 L’examen médical dans les maisons closes
« Fermer les maisons closes, c’est plus qu’un crime, c’est un pléonasme ! » Arletty ( ) La visite médicale par Henri de Toulouse-Lautrec ( ) 29

30 Dans les maisons closes Nini, danseuse aux Folies Bergères
Nue aux bas rouges par Picasso ( ) Nini, danseuse aux Folies Bergères par Van Dongen ( ) 30

31 Dans une maison close La fille endormie ou la Saltimbanque au repos (1905) par Charles Camoin ( ) 31

32 Dans les ports ou près des gares
Pour Maupassant, les  filles de joie  ne possèdent qu’un langage limité et pauvre. Dans sa nouvelle « le Port », Françoise la prostituée dit « … j’allai comme bonne du notaire qui m’a aussi débauchée et qui me conduisit au Havre dans une chambre. Bientôt, il n’est point r’venu. J’ai passé trois jours sans manger et pi, ne trouvant pas d’ouvrage, je suis entrée en maison comme bien d’autres. J’en ai vu aussi du pays, moi ! Ah et du sale pays ! Rouen, Evreux, Lille Bordeaux, Perpignan, Nice et pi Marseille où me v’là ». Le « 27 » (1893) de Henri Gabriel Ibels Le bouge à matelots de Félicien Rops ( ) 32

33 En littérature : les feuilletons
33 Lithographies de Théophile Alexandre Steinlen ( )

34 En vitrine Le magasin de mode se substituant parfois, clandestinement, aux maisons de tolérance, la fille est devant la vitrine pour attirer le client. L’arrière boutique sert alors de lupanar. Le décor est sordide. Une simple paillasse fait l’affaire. La demoiselle de magasin ou la mise en vitrine (1883) par James Tissot ( ) 34

35 Les clandestines ou insoumises par Jean-Louis Forain (1852-1931)
Auguste Renoir, racontant ses souvenirs de bordels en compagnie de ses vieux amis Alphonse Daudet et Claude Monet : « Alphonse les séduisait, Claude les émoustillait et moi, j’en profitais ! » Au jardin de Paris (1884) par Jean-Louis Forain ( ) L’attente bd Clichy par Auguste Renoir ( ) 35

36 Les insoumises ou clandestines
L’hôtel par Jean-Louis Forain ( ) 36

37 Les insoumises ou clandestines
De Henri de Toulouse Lautrec ( ) Conquête de passage Etude pour flirt 37

38 et il s’éloigna, le cœur serré.
Une femme arriva près de lui et prit place à son côté : « bonjour, mon petit homme » dit-elle….. Laisse-toi aimer, mon chéri ; tu verras que je suis bien gentille ». Il prononça : « vous vous trompez, madame ». « Allons, ne fais pas la bête, écoute…. ». Il s’était levé et il s’éloigna, le cœur serré. Cent pas plus loin, une autre femme l’aborda : « voulez-vous vous asseoir un moment près de moi, mon joli garçon ? ». Il lui dit : « pourquoi faites-vous ce métier-là ?. Elle se planta devant lui et la voix changée, rauque, méchante, : « Nom de Dieu, ce n’est toujours pas pour mon plaisir ! » Il insista d’une voix douce : « Alors, qu’est-ce qui vous pousse ? » Elle grogna : « Faut bien qu’on vive, c’te malice ! ». Guy de Maupassant ( ) M. Delaporte au jardin à Paris (1883) par Henri Toulouse-Lautrec ( ) 38

39 L’attente du client dans les bals
Le bal du moulin de la Galette par Henri de Toulouse-Lautrec ( ) 39

40 L’attente du client dans les bals
Les deux valseuses (1889) par Henri de Toulouse-Lautrec ( ) Filles et souteneurs au Moulin Rouge par Théophile-Alexandre Steinlen ( ) 40

41 L’attente du client dans les bals
Scène de fête au Moulin Rouge (1889) de Giovanni Boldini ( ) 41

42 L’attente du client dans les bals
Au Moulin Rouge par Henri de Toulouse-Lautrec 42

43 La tolérance des prostituées au 19e siècle
Pour endiguer les épidémies de syphilis, il est décidé, dès 1802, un contrôle sanitaire pour toutes les « filles publiques ». Deux ans plus tard, en 1804, le Préfet de Police de Paris organise officiellement les maisons dites de plaisirs. C’est la légalisation de « la tolérance  de ce  travail »  et des « maisons closes ». Les femmes sont contrôlées par la Brigade des Mœurs. Elles doivent s’inscrire à la Préfecture et ensuite peuvent s’inscrire dans une maison ou être à leur compte si elles possèdent un appartement et si elles ne dérangent pas les autres locataires. Une visite médicale mensuelle est prévue, visite perçue comme plus dégradante qu’une passe avec le client et abhorrée par les prostituées. Les filles qui font le trottoir sont alors mentionnées « en carte » et celles des maisons closes sont dites « à numéro ». Elles sont considérées comme « soumises ». Les clandestines sont des insoumises et risquent d’être punies. 43

44 Le contrôle de la prostituée : deux avis différents
« Par la prostitution – reconnue comme vice légal – on dégrade indignement la femme et l’on méconnait l’égalité qui doit régner entre elle et l’homme. Ce mépris de la femme est dangereux pour l’ordre moral et social tout entier. » Léo Tax1l « la prostitution contemporaine » 1884 ( ) Médecin hygiéniste, Alexandre Parent du Châtelet publie un recueil consacré aux égouts de Paris en Ce livre fit grand bruit. En 1836 ,paraît un ouvrage monumental sur la prostitution. C’est une véritable enquête de la prostitution qu’il a menée à Paris durant 8 ans. Pour lui, la prostitution est « un mal nécessaire » destiné à combler « la brutalité des passions de l’homme ». Il ne considère pas que c’est un délit. Mais il faut surveiller médicalement les prostituées pour éviter toute propagation des maladies vénériennes. 44

45 A la prison A la prison de St-Lazare (1886)
par Henri de Toulouse-Lautrec La salle des filles au dépôt (Préfecture de Police) 1886 par Jean Béraud 45

46 A la prison Au réfectoire 46

47 A la prison de Saint-Lazare : femme au fichu par Picasso (1881-1973)
47

48 La prostituée de luxe pour les aristocrates et bourgeois argentés
« On les appelle des cocottes, hétaïres, horizontales, trotteuses, visiteuses d’artiste, lorettes, biches…. » (les maisons closes de Laure Adler) Autre statut : elles sont libres et non contrôlées mais peuvent finir « soumises ». On les rencontre dans les théâtres, les bals, les coulisses de l’Opéra….. 48

49 Au théâtre Le gandin ivre (1910) de Félicien Rops (1833-1898)
d’après Albert Bartrand 33 49

50 A un bal mondain sur les Champs-Elysées
Belles de nuit par Jean Béraud ( ) 50

51 Le bal de l’Opéra De 1715 à 1914, au moment du carnaval, le théâtre de l’Opéra de Paris se transformait pendant 2 à 3 semaines en une immense salle de bal. Lieu de rencontre entre hommes du monde et comédiennes, courtisanes ou filles de joie. On y arrivait déguisé. Ni vu, ni connu…… Le bal de l’opéra (1866) par Eugène Giraud ( ) 51

52 Un bal à l’Opéra de Jean-Louis Forain (1853-1931)
Au bal de l’Opéra Un bal à l’Opéra de Jean-Louis Forain ( ) 52

53 par Jean-Louis Forain (1852-1931)
Le bal de l’Opéra « Le ballet est ignoble. C’est une exposition de filles à vendre ! ». Hippolyte Taine Notes sur Paris La pose à l’Opéra (1879) par Jean-Louis Forain ( ) 53

54 Dans les coulisses de l’Opéra
Le foyer de l’Opéra de Jean-Louis Forain ( ) 54

55 Dans les coulisses de l’Opéra
Ici se jouent des intrigues dans les coulisses de l’Opéra entre les abonnés et les jeunes ballerines qu’ils entretiennent. Les coulisses par Jean-Louis Forain ( ) 55

56 Jean Galtier-Boissière (1891-1966)
Le bal de l’Opéra « Les écrivains qui se lamentent sur le sort des filles ne tiennent aucun compte de la vocation. Certaines femmes trouvent beaucoup plus agréable de faire par jour dix fois l’amour pour trois cents francs que dix ménages pour trente francs !  ». Jean Galtier-Boissière ( ) La vie de garçon (1927) PPS réalisé en octobre 2015 Fin Le bal de l’Opéra par Henri Gervex ( ) 56

57 Ce diaporama est à usage non commercial Il ne doit pas être publié
Il est adressé gratuitement par courrier électronique aux amis des amis Il ne doit pas être modifié Aucune de ses vues ne doit en être extraite Merci de respecter ces consignes La réalisatrice : Cath ou l’Oiseau de Feu Le kiosque à musique sont extraites du net Les couleurs des reproductions ont pu être altérées. Toutes les toiles La danse de la bottine Pour voir ou revoir ses diaporamas, vous avez deux possibilités : Cliquez sur le site canadien de Léo : Ou bien allez sur Google et écrivez : Oiseau de Feu – Léo Ou bien, rendez-vous sur son propre site et vous y verrez aussi les diaporamas de Jean-Marie Clausse et de Guy Pujol


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