Les Algorithmes 1°) Définition : « Algorithme » signifie « Suite d’actions ».

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Les Algorithmes 1°) Définition : « Algorithme » signifie « Suite d’actions ».

Les Algorithmes 1°) Définition : « Algorithme » signifie « Suite d’actions ». Une recette de cuisine, ou tout exercice de Maths fait par un élève est donc un algorithme, mais on prendra plutôt comme définition « Suite de nombreuses actions »,

Les Algorithmes 1°) Définition : « Algorithme » signifie « Suite d’actions ». Une recette de cuisine, ou tout exercice de Maths fait par un élève est donc un algorithme, mais on prendra plutôt comme définition « Suite de nombreuses actions », et donc on les fera faire par une machine ( calculatrice, ordinateur ) après l’avoir programmée pour qu’elle les fasse à la place et plus rapidement qu’un humain.

Les Algorithmes 1°) Définition : « Algorithme » signifie « Suite d’actions ». Une recette de cuisine, ou tout exercice de Maths fait par un élève est donc un algorithme, mais on prendra plutôt comme définition « Suite de nombreuses actions », et donc on les fera faire par une machine ( calculatrice, ordinateur ) après l’avoir programmée pour qu’elle les fasse à la place et plus rapidement qu’un humain. Les GPS, la compression de fichiers informatiques, la cryptographie ( rendre secret un message ) par exemples, utilisent des algorithmes.

Les Algorithmes 1°) Définition : « Algorithme » signifie « Suite d’actions ». Une recette de cuisine, ou tout exercice de Maths fait par un élève est donc un algorithme, mais on prendra plutôt comme définition « Suite de nombreuses actions », et donc on les fera faire par une machine ( calculatrice, ordinateur ) après l’avoir programmée pour qu’elle les fasse à la place et plus rapidement qu’un humain. Les GPS, la compression de fichiers informatiques, la cryptographie ( rendre secret un message ) par exemples, utilisent des algorithmes. « Algorithme » étymologiquement est le nom latinisé de Al Khwarizmi, un Perse du 8ème siècle, qui fut le premier à faire un algorithme.

Les Algorithmes 1°) Définition : « Algorithme » signifie « Suite d’actions ». Une recette de cuisine, ou tout exercice de Maths fait par un élève est donc un algorithme, mais on prendra plutôt comme définition « Suite de nombreuses actions », et donc on les fera faire par une machine ( calculatrice, ordinateur ) après l’avoir programmée pour qu’elle les fasse à la place et plus rapidement qu’un humain. Les GPS, la compression de fichiers informatiques, la cryptographie ( rendre secret un message ) par exemples, utilisent des algorithmes. « Algorithme » étymologiquement est le nom latinisé de Al Khwarizmi, un Perse du 8ème siècle, qui fut le premier à faire un algorithme. Il fut aussi le premier à faire de l’algèbre, qui vient de « al jabr », « le rajout » : x + b = c donne x + b + (- b) = c + (- b) donc x = c – b,

Les Algorithmes 1°) Définition : « Algorithme » signifie « Suite d’actions ». Une recette de cuisine, ou tout exercice de Maths fait par un élève est donc un algorithme, mais on prendra plutôt comme définition « Suite de nombreuses actions », et donc on les fera faire par une machine ( calculatrice, ordinateur ) après l’avoir programmée pour qu’elle les fasse à la place et plus rapidement qu’un humain. Les GPS, la compression de fichiers informatiques, la cryptographie ( rendre secret un message ) par exemples, utilisent des algorithmes. « Algorithme » étymologiquement est le nom latinisé de Al Khwarizmi, un Perse du 8ème siècle, qui fut le premier à faire un algorithme. Il fut aussi le premier à faire de l’algèbre, qui vient de « al jabr », « le rajout » : x + b = c donne x + b + (- b) = c + (- b) donc x = c – b, et introduisit les chiffres indiens.

2°) Méthode : étape 1 : on conçoit l’organigramme ( « orga » : organisation, et « gramme » représentation ), qui va permettre de comprendre comment devra marcher la machine.

2°) Méthode : étape 1 : on conçoit l’organigramme ( « orga » : organisation, et « gramme » représentation ), qui va permettre de comprendre comment devra marcher la machine. Exemples d’organigrammes, tirés de la vie courante : organigrammes d’entreprises PDG expert Directeur Directeur de comptable commercial la production secrétaire etc…

2°) Méthode : étape 1 : on conçoit l’organigramme ( « orga » : organisation, et « gramme » représentation ), qui va permettre de comprendre comment devra marcher la machine. Exemples d’organigrammes, tirés de la vie courante : organigrammes d’entreprises arbres généalogiques PDG expert Directeur Directeur de comptable commercial la production secrétaire etc…

L’organigramme est-il nécessaire ? Non si l’algorithme est très simple..

L’organigramme est-il nécessaire ? Non si l’algorithme est très simple. Oui s’il est compliqué. .

L’organigramme est-il nécessaire ? Non si l’algorithme est très simple. Oui s’il est compliqué. La preuve est : description de l’organisation de l’entreprise sans organigramme : « Le PDG dirige l’expert comptable, qui a sous ses ordres une secrétaire, mais il dirige aussi le directeur commercial, qui etc… ». Avec des phrases, l’organisation de l’entreprise devient bien moins compréhensible. .

L’organigramme est-il nécessaire ? Non si l’algorithme est très simple. Oui s’il est compliqué. La preuve est : description de l’organisation de l’entreprise sans organigramme : « Le PDG dirige l’expert comptable, qui a sous ses ordres une secrétaire, mais il dirige aussi le directeur commercial, qui etc… ». Avec des phrases, l’organisation de l’entreprise devient bien moins compréhensible. Vendrait-on des millions de GPS s’ils ne donnaient les indications qu’avec des phrases ?

L’organigramme est-il nécessaire ? Non si l’algorithme est très simple. Oui s’il est compliqué. La preuve est : description de l’organisation de l’entreprise sans organigramme : « Le PDG dirige l’expert comptable, qui a sous ses ordres une secrétaire, mais il dirige aussi le directeur commercial, qui etc… ». Avec des phrases, l’organisation de l’entreprise devient bien moins compréhensible. Vendrait-on des millions de GPS s’ils ne donnaient les indications qu’avec des phrases ? Les programmateurs informatiques travaillent-ils avec des phrases ?

L’organigramme est-il nécessaire ? Non si l’algorithme est très simple. Oui s’il est compliqué. La preuve est : description de l’organisation de l’entreprise sans organigramme : « Le PDG dirige l’expert comptable, qui a sous ses ordres une secrétaire, mais il dirige aussi le directeur commercial, qui etc… ». Avec des phrases, l’organisation de l’entreprise devient bien moins compréhensible. Vendrait-on des millions de GPS s’ils ne donnaient les indications qu’avec des phrases ? Les programmateurs informatiques travaillent-ils avec des phrases ? Les autres disciplines ( STI, SI, Informatiques… ) travaillent avec des organigrammes, et, contrairement à la majorité des élèves de Maths, ils comprennent les algorithmes ! Et l’interdisciplinarité n’est pas un vain mot !

L’organigramme est-il nécessaire ? Non si l’algorithme est très simple. Oui s’il est compliqué. La preuve est : description de l’organisation de l’entreprise sans organigramme : « Le PDG dirige l’expert comptable, qui a sous ses ordres une secrétaire, mais il dirige aussi le directeur commercial, qui etc… ». Avec des phrases, l’organisation de l’entreprise devient bien moins compréhensible. Vendrait-on des millions de GPS s’ils ne donnaient les indications qu’avec des phrases ? Les programmateurs informatiques travaillent-ils avec des phrases ? Les autres disciplines ( STI, SI, Informatiques… ) travaillent avec des organigrammes, et, contrairement à la majorité des élèves de Maths, ils comprennent les algorithmes ! Et l’interdisciplinarité n’est pas un vain mot ! Conclusion : contrairement aux livres de Maths, et dans l’intérêt de votre compréhension, nous travaillerons avec des organigrammes.

étape 2 : on traduit sur sa copie l’organigramme en programme machine.

étape 2 : on traduit sur sa copie l’organigramme en programme machine. étape 3 : on tape le programme dans sa machine.

étape 2 : on traduit sur sa copie l’organigramme en programme machine. étape 3 : on tape le programme dans sa machine. étape 4 : on teste le programme en comparant la réponse de la machine avec un exemple fait à la main.

étape 2 : on traduit sur sa copie l’organigramme en programme machine. étape 3 : on tape le programme dans sa machine. étape 4 : on teste le programme en comparant la réponse de la machine avec un exemple fait à la main. S’ils diffèrent, on recherche la cause

étape 2 : on traduit sur sa copie l’organigramme en programme machine. étape 3 : on tape le programme dans sa machine. étape 4 : on teste le programme en comparant la réponse de la machine avec un exemple fait à la main. S’ils diffèrent, on recherche la cause ( à l’étape 3 on a mal appuyé sur une touche ;

étape 2 : on traduit sur sa copie l’organigramme en programme machine. étape 3 : on tape le programme dans sa machine. étape 4 : on teste le programme en comparant la réponse de la machine avec un exemple fait à la main. S’ils diffèrent, on recherche la cause ( à l’étape 3 on a mal appuyé sur une touche ; à l’étape 2 on a mal traduit l’organigramme en un programme,

étape 2 : on traduit sur sa copie l’organigramme en programme machine. étape 3 : on tape le programme dans sa machine. étape 4 : on teste le programme en comparant la réponse de la machine avec un exemple fait à la main. S’ils diffèrent, on recherche la cause ( à l’étape 3 on a mal appuyé sur une touche ; à l’étape 2 on a mal traduit l’organigramme en un programme, à l’étape 1 notre organigramme ne traduit pas l’algorithme demandé )

étape 2 : on traduit sur sa copie l’organigramme en programme machine. étape 3 : on tape le programme dans sa machine. étape 4 : on teste le programme en comparant la réponse de la machine avec un exemple fait à la main. S’ils diffèrent, on recherche la cause ( à l’étape 3 on a mal appuyé sur une touche ; à l’étape 2 on a mal traduit l’organigramme en un programme, à l’étape 1 notre organigramme ne traduit pas l’algorithme demandé ) et on élimine l’erreur commise.

étape 2 : on traduit sur sa copie l’organigramme en programme machine. étape 3 : on tape le programme dans sa machine. étape 4 : on teste le programme en comparant la réponse de la machine avec un exemple fait à la main. S’ils diffèrent, on recherche la cause ( à l’étape 3 on a mal appuyé sur une touche ; à l’étape 2 on a mal traduit l’organigramme en un programme, à l’étape 1 notre organigramme ne traduit pas l’algorithme demandé ) et on élimine l’erreur commise. étape 5 : on utilise le programme ( on remplit un tableau de valeurs, on donne l’unique réponse à un problème, etc… ).

Exercice 1 : On prend un nombre entier positif X. On ajoute 5. On multiplie par 2. On retranche 1. On multiplie par 3. On ajoute 5. On enlève 4 fois le nombre de départ. On ajoute 7 pour obtenir le nombre final Y. 1°) X → Y est-il une fonction ? Si oui, quel est son ensemble de définition ? 2°) Concevez l’algorithme permettant de déterminer le nombre final Y à partir de n’importe quel nombre de départ X. 3°) Que remarquez-vous ? Quelle conjecture ( hypothèse ) pouvez-vous faire ? Démontrez-la.

1°) X → Y est-il une fonction ? C’est une fonction, car tout antécédent X est associé à une unique image Y. Si oui, quel est son ensemble de définition ? C’est l’ensemble de tous les antécédents X, donc l’ensemble de tous les entiers positifs ( on le note N ).

2°) Concevez l’algorithme « On prend un nombre entier positif X. On ajoute 5. On multiplie par 2. On retranche 1. On multiplie par 3. On ajoute 5. On enlève 4 fois le nombre de départ. On ajoute 7 pour obtenir le nombre final Y. » Ce sont des phrases, elles sont suffisamment simples pour se passer d’un organigramme, mais lorsque l’algorithme sera compliqué il sera nécessaire de le comprendre par un organigramme.

1ère étape : l’organigramme. « On prend un nombre entier positif X. On ajoute 5. On multiplie par 2. On retranche 1. On multiplie par 3. On ajoute 5. On enlève 4 fois le nombre de départ. On ajoute 7 pour obtenir le nombre final Y. » Chaque phrase est une …

1ère étape : l’organigramme. « On prend un nombre entier positif X. On ajoute 5. On multiplie par 2. On retranche 1. On multiplie par 3. On ajoute 5. On enlève 4 fois le nombre de départ. On ajoute 7 pour obtenir le nombre final Y. » Chaque phrase est une action, donc il doit la traduire avec un …

1ère étape : l’organigramme. « On prend un nombre entier positif X. On ajoute 5. On multiplie par 2. On retranche 1. On multiplie par 3. On ajoute 5. On enlève 4 fois le nombre de départ. On ajoute 7 pour obtenir le nombre final Y. » Chaque phrase est une action, donc il doit la traduire avec un verbe. Dans l’organigramme, les actions sont mises dans des …

1ère étape : l’organigramme. « On prend un nombre entier positif X. On ajoute 5. On multiplie par 2. On retranche 1. On multiplie par 3. On ajoute 5. On enlève 4 fois le nombre de départ. On ajoute 7 pour obtenir le nombre final Y. » Chaque phrase est une action, donc il doit la traduire avec un verbe. Dans l’organigramme, les actions sont mises dans des rectangles.

1ère étape : l’organigramme. « On prend un nombre entier positif X. On ajoute 5. On multiplie par 2. On retranche 1. On multiplie par 3. On ajoute 5. On enlève 4 fois le nombre de départ. On ajoute 7 pour obtenir le nombre final Y. » Chaque phrase est une action, donc il doit la traduire avec un verbe. Dans l’organigramme, les actions sont mises dans des rectangles.

1ère étape : l’organigramme. « On prend un nombre entier positif X. On ajoute 5. On multiplie par 2. On retranche 1. On multiplie par 3. On ajoute 5. On enlève 4 fois le nombre de départ. On ajoute 7 pour obtenir le nombre final Y. » Chaque phrase est une action, donc il doit la traduire avec un verbe. Dans l’organigramme, les actions sont mises dans des rectangles.

1ère étape : l’organigramme. « Saisir X. On ajoute 5. On multiplie par 2. On retranche 1. On multiplie par 3. On ajoute 5. On enlève 4 fois le nombre de départ. On ajoute 7 pour obtenir le nombre final Y. » Chaque phrase est une action, donc il doit la traduire avec un verbe. Dans l’organigramme, les actions sont mises dans des rectangles. On simplifie les actions.

1ère étape : l’organigramme. « Saisir X. On ajoute 5. On multiplie par 2. On retranche 1. On multiplie par 3. On ajoute 5. On enlève 4 fois le nombre de départ. On ajoute 7 pour obtenir le nombre final Y. » Chaque phrase est une action, donc il doit la traduire avec un verbe. Dans l’organigramme, les actions sont mises dans des rectangles. On simplifie les actions. Les résultats sont stockés dans des mémoires de la calculatrice ( par exemple, les mémoires A, B, etc…)

1ère étape : l’organigramme. « Saisir X. A prend la valeur X + 5. On multiplie par 2. On retranche 1. On multiplie par 3. On ajoute 5. On enlève 4 fois le nombre de départ. On ajoute 7 pour obtenir le nombre final Y. » Chaque phrase est une action, donc il doit la traduire avec un verbe. Dans l’organigramme, les actions sont mises dans des rectangles. On simplifie les actions. Les résultats sont stockés dans des mémoires de la calculatrice ( par exemple, les mémoires A, B, etc…)

1ère étape : l’organigramme. « Saisir X. A prend la valeur X + 5. B prend la valeur 2A. On retranche 1. On multiplie par 3. On ajoute 5. On enlève 4 fois le nombre de départ. On ajoute 7 pour obtenir le nombre final Y. » Chaque phrase est une action, donc il doit la traduire avec un verbe. Dans l’organigramme, les actions sont mises dans des rectangles. On simplifie les actions. Les résultats sont stockés dans des mémoires de la calculatrice ( par exemple, les mémoires A, B, etc…)

1ère étape : l’organigramme. « Saisir X. A prend la valeur X + 5. B prend la valeur 2A. C prend la valeur B - 1. On multiplie par 3. On ajoute 5. On enlève 4 fois le nombre de départ. On ajoute 7 pour obtenir le nombre final Y. » Chaque phrase est une action, donc il doit la traduire avec un verbe. Dans l’organigramme, les actions sont mises dans des rectangles. On simplifie les actions. Les résultats sont stockés dans des mémoires de la calculatrice ( par exemple, les mémoires A, B, etc…)

1ère étape : l’organigramme. « Saisir X. A prend la valeur X + 5. B prend la valeur 2A. C prend la valeur B - 1. D prend la valeur 3C. On ajoute 5. On enlève 4 fois le nombre de départ. On ajoute 7 pour obtenir le nombre final Y. » Chaque phrase est une action, donc il doit la traduire avec un verbe. Dans l’organigramme, les actions sont mises dans des rectangles. On simplifie les actions. Les résultats sont stockés dans des mémoires de la calculatrice ( par exemple, les mémoires A, B, etc…)

1ère étape : l’organigramme. « Saisir X. A prend la valeur X + 5. B prend la valeur 2A. C prend la valeur B - 1. D prend la valeur 3C. On ajoute 5. On enlève 4 fois le nombre de départ. On ajoute 7 pour obtenir le nombre final Y. » Chaque phrase est une action, donc il doit la traduire avec un verbe. Dans l’organigramme, les actions sont mises dans des rectangles. On simplifie les actions. Les résultats sont stockés dans des mémoires de la calculatrice ( par exemple, les mémoires A, B, etc…). On espace les actions et on les relie par un trait.

1ère étape : l’organigramme. Saisir X A prend la valeur X + 5 B prend la valeur 2A C prend la valeur B – 1 D prend la valeur 3C E prend la valeur D+5 F prend la valeur E – 5X Y prend la valeur F+7 Chaque phrase est une action, donc il doit la traduire avec un verbe. Dans l’organigramme, les actions sont mises dans des rectangles. On simplifie les actions. Les résultats sont stockés dans des mémoires de la calculatrice ( par exemple, les mémoires A, B, etc…). On espace les actions et on les relie par un trait.

1ère étape : l’organigramme. Saisir X A prend la valeur X + 5 B prend la valeur 2A C prend la valeur B – 1 D prend la valeur 3C E prend la valeur D+5 F prend la valeur E – 5X Y prend la valeur F+7 Afficher Y Chaque phrase est une action, donc il doit la traduire avec un verbe. Dans l’organigramme, les actions sont mises dans des rectangles. On simplifie les actions. Les résultats sont stockés dans des mémoires de la calculatrice ( par exemple, les mémoires A, B, etc…). On espace les actions et on les relie par un trait. On commence toujours par saisir, fixer, paramétrer des données. On termine toujours par afficher des réponses.

1ère étape : l’organigramme. Saisir X A prend la valeur X + 5 B prend la valeur 2A C prend la valeur B – 1 D prend la valeur 3C E prend la valeur D+5 F prend la valeur E – 5X Y prend la valeur F+7 Afficher Y Chaque phrase est une action, donc il doit la traduire avec un verbe. Dans l’organigramme, les actions sont mises dans des rectangles. On simplifie les actions. Les résultats sont stockés dans des mémoires de la calculatrice ( par exemple, les mémoires A, B, etc…). On espace les actions et on les relie par un trait. On commence toujours par saisir, fixer, paramétrer des données. On termine toujours par afficher des réponses. Pour gagner de la place, on peut remplacer « prend la valeur » par « → » qui correspond à une touche de la calculatrice signifiant « stocké dans la mémoire ».

1ère étape : l’organigramme. Saisir X X + 5→ A 2A → B B – 1 → C 3C → D D+5 → E E – 5X → F F+7 → Y Afficher Y Chaque phrase est une action, donc il doit la traduire avec un verbe. Dans l’organigramme, les actions sont mises dans des rectangles. On simplifie les actions. Les résultats sont stockés dans des mémoires de la calculatrice ( par exemple, les mémoires A, B, etc…). On espace les actions et on les relie par un trait. On commence toujours par paramétrer, fixer, saisir des données. On termine toujours par afficher des réponses. Pour gagner de la place, on peut remplacer « prend la valeur » par « → » qui correspond à une touche de la calculatrice signifiant « stocké dans la mémoire ».

2ème étape : traduire sur la copie l’organigramme en programme machine. Saisir X X + 5→ A 2A → B B – 1 → C 3C → D D+5 → E E – 5X → F F+7 → Y Afficher Y ? → X : X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y : Y

3ème étape : taper le programme machine. Pour une Casio : Saisir X X + 5→ A 2A → B B – 1 → C 3C → D D+5 → E E – 5X → F F+7 → Y Afficher Y ? → X : X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y : Y 3ème étape : taper le programme machine. Pour une Casio : On allume la machine, dans le Menu on va dans PRGM, puis NEW, on tape le nom du programme puis EXE, puis on tape le programme, puis EXIT EXIT, puis EXE pour l’exécuter. « Saisir » s’écrit « ? → ». ( « ? » se trouve dans Shift Prgm, « → » se trouve sur le clavier au milieu à droite ). « Afficher » s’écrit «  » ( et se trouve dans Shift Prgm ).  Deux actions de l’organigramme sont séparées par une ponctuation « : » ( qui se trouve dans Shift Prgm ). On peut aussi mettre « EXE » mais la machine passe à la ligne suivante, et le programme sur l’écran de la calculatrice va prendre plus de place, et sera plus difficile à lire en entier.

3ème étape : taper le programme machine. Pour une Casio : Saisir X X + 5→ A 2A → B B – 1 → C 3C → D D+5 → E E – 5X → F F+7 → Y Afficher Y ? → X : X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y : Y 3ème étape : taper le programme machine. Pour une Casio : On allume la machine, dans le Menu on va dans PRGM, puis NEW, on tape le nom du programme puis EXE, puis on tape le programme, puis EXIT EXIT, puis EXE pour l’exécuter. « Saisir » s’écrit « ? → ». (« ? » et « : » se trouvent dans Shift Prgm, « → » se trouve sur le clavier au milieu à droite ). « Afficher » s’écrit «  » ( et se trouve dans Shift Prgm ).  4ème étape : on le teste. Après avoir écrit le pgm, EXIT puis EXE ( F1 ).

3ème étape : taper le programme machine. Pour une Casio : Saisir X X + 5→ A 2A → B B – 1 → C 3C → D D+5 → E E – 5X → F F+7 → Y Afficher Y ? → X : X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y : Y 3ème étape : taper le programme machine. Pour une Casio : On allume la machine, dans le Menu on va dans PRGM, puis NEW, on tape le nom du programme puis EXE, puis on tape le programme, puis EXIT EXIT, puis EXE pour l’exécuter. « Saisir » s’écrit « ? → ». ( « ? » et « : » se trouvent dans Shift Prgm, « → » se trouve sur le clavier au milieu à droite ). « Afficher » s’écrit «  » ( et se trouve dans Shift Prgm ).  4ème étape : on le teste. Après avoir écrit le pgm, EXIT puis EXE ( F1 ). 5ème étape : on l’utilise : X 1 2 3 4 5 6 Y

3ème étape : taper le programme machine. Pour une Casio : Saisir X X + 5→ A 2A → B B – 1 → C 3C → D D+5 → E E – 5X → F F+7 → Y Afficher Y ? → X : X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y : Y 3ème étape : taper le programme machine. Pour une Casio : On allume la machine, dans le Menu on va dans PRGM, puis NEW, on tape le nom du programme puis EXE, puis on tape le programme, puis EXIT EXIT, puis EXE pour l’exécuter. « Saisir » s’écrit « ? → ». (« ? » et « : » se trouvent dans Shift Prgm, « → » se trouve sur le clavier au milieu à droite ). « Afficher » s’écrit «  » ( et se trouve dans Shift Prgm ).  4ème étape : on le teste. 5ème étape : on l’utilise : X 1 2 3 4 5 6 Y 39 40 41 42 43 44 45

Ecrire « Shift Ins » pour insérer Lbl1 sans écrire par-dessus ? → X Saisir X X + 5→ A 2A → B B – 1 → C 3C → D D+5 → E E – 5X → F F+7 → Y Afficher Y ? → X : X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y : Y Pour éviter de redemander le programme à chaque nouveau calcul, on va obliger la machine à retourner au début de l’organigramme : Lbl 1 : ? → X : X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y : Y Goto 1 Lbl ( adresse n°1, 2, etc… ) et Goto se trouvent dans Shit PRGM puis JUMP Ecrire « Shift Ins » pour insérer Lbl1 sans écrire par-dessus ? → X

On remarque que pour les X de { 0 ; 1 ; … ; 6 } on obtient Y = X + 39 3°) Que remarquez-vous ? Quelle conjecture ( hypothèse ) pouvez-vous faire ? Démontrez-la. X 1 2 3 4 5 6 Y 39 40 41 42 43 44 45 On remarque que pour les X de { 0 ; 1 ; … ; 6 } on obtient Y = X + 39

On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. 3°) Que remarquez-vous ? Quelle conjecture ( hypothèse ) pouvez-vous faire ? Démontrez-la. X 1 2 3 4 5 6 Y 39 40 41 42 43 44 45 X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y On remarque que pour les X de { 0 ; 1 ; … ; 6 } on obtient Y = X + 39 On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N.

On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. 3°) Que remarquez-vous ? Quelle conjecture ( hypothèse ) pouvez-vous faire ? Démontrez-la. X 1 2 3 4 5 6 Y 39 40 41 42 43 44 45 X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y On remarque que pour les X de { 0 ; 1 ; … ; 6 } on obtient Y = X + 39 On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. Démontrons-la ( ou infirmons-la si elle s’avère fausse ) : Y =

On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. 3°) Que remarquez-vous ? Quelle conjecture ( hypothèse ) pouvez-vous faire ? Démontrez-la. X 1 2 3 4 5 6 Y 39 40 41 42 43 44 45 X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y On remarque que pour les X de { 0 ; 1 ; … ; 6 } on obtient Y = X + 39 On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. Démontrons-la ( ou infirmons-la si elle s’avère fausse ) : Y = F + 7 =

On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. 3°) Que remarquez-vous ? Quelle conjecture ( hypothèse ) pouvez-vous faire ? Démontrez-la. X 1 2 3 4 5 6 Y 39 40 41 42 43 44 45 X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y On remarque que pour les X de { 0 ; 1 ; … ; 6 } on obtient Y = X + 39 On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. Démontrons-la ( ou infirmons-la si elle s’avère fausse ) : Y = F + 7 = ( E – 5X ) + 7 =

On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. 3°) Que remarquez-vous ? Quelle conjecture ( hypothèse ) pouvez-vous faire ? Démontrez-la. X 1 2 3 4 5 6 Y 39 40 41 42 43 44 45 X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y On remarque que pour les X de { 0 ; 1 ; … ; 6 } on obtient Y = X + 39 On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. Démontrons-la ( ou infirmons-la si elle s’avère fausse ) : Y = F + 7 = ( E – 5X ) + 7 = ( D + 5 ) – 5X + 7 =

On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. 3°) Que remarquez-vous ? Quelle conjecture ( hypothèse ) pouvez-vous faire ? Démontrez-la. X 1 2 3 4 5 6 Y 39 40 41 42 43 44 45 X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y On remarque que pour les X de { 0 ; 1 ; … ; 6 } on obtient Y = X + 39 On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. Démontrons-la ( ou infirmons-la si elle s’avère fausse ) : Y = F + 7 = ( E – 5X ) + 7 = ( D + 5 ) – 5X + 7 = ( 3C ) + 5 – 5X + 7 =

On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. 3°) Que remarquez-vous ? Quelle conjecture ( hypothèse ) pouvez-vous faire ? Démontrez-la. X 1 2 3 4 5 6 Y 39 40 41 42 43 44 45 X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y On remarque que pour les X de { 0 ; 1 ; … ; 6 } on obtient Y = X + 39 On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. Démontrons-la ( ou infirmons-la si elle s’avère fausse ) : Y = F + 7 = ( E – 5X ) + 7 = ( D + 5 ) – 5X + 7 = ( 3C ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( B – 1 ) + 5 – 5X + 7 =

On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. 3°) Que remarquez-vous ? Quelle conjecture ( hypothèse ) pouvez-vous faire ? Démontrez-la. X 1 2 3 4 5 6 Y 39 40 41 42 43 44 45 X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y On remarque que pour les X de { 0 ; 1 ; … ; 6 } on obtient Y = X + 39 On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. Démontrons-la ( ou infirmons-la si elle s’avère fausse ) : Y = F + 7 = ( E – 5X ) + 7 = ( D + 5 ) – 5X + 7 = ( 3C ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( B – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( ( 2 A ) – 1 ) + 5 – 5X + 7 =

On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. 3°) Que remarquez-vous ? Quelle conjecture ( hypothèse ) pouvez-vous faire ? Démontrez-la. X 1 2 3 4 5 6 Y 39 40 41 42 43 44 45 X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y On remarque que pour les X de { 0 ; 1 ; … ; 6 } on obtient Y = X + 39 On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. Démontrons-la ( ou infirmons-la si elle s’avère fausse ) : Y = F + 7 = ( E – 5X ) + 7 = ( D + 5 ) – 5X + 7 = ( 3C ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( B – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( ( 2 A ) – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( ( 2 ( X + 5 ) ) – 1 ) + 5 – 5X + 7 =

On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. 3°) Que remarquez-vous ? Quelle conjecture ( hypothèse ) pouvez-vous faire ? Démontrez-la. X 1 2 3 4 5 6 Y 39 40 41 42 43 44 45 X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y On remarque que pour les X de { 0 ; 1 ; … ; 6 } on obtient Y = X + 39 On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. Démontrons-la ( ou infirmons-la si elle s’avère fausse ) : Y = F + 7 = ( E – 5X ) + 7 = ( D + 5 ) – 5X + 7 = ( 3C ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( B – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( ( 2 A ) – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( ( 2 ( X + 5 ) ) – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( ( 2X + 10 ) – 1 ) + 5 – 5X + 7 =

On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. 3°) Que remarquez-vous ? Quelle conjecture ( hypothèse ) pouvez-vous faire ? Démontrez-la. X 1 2 3 4 5 6 Y 39 40 41 42 43 44 45 X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y On remarque que pour les X de { 0 ; 1 ; … ; 6 } on obtient Y = X + 39 On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. Démontrons-la ( ou infirmons-la si elle s’avère fausse ) : Y = F + 7 = ( E – 5X ) + 7 = ( D + 5 ) – 5X + 7 = ( 3C ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( B – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( ( 2 A ) – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( ( 2 ( X + 5 ) ) – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( ( 2X + 10 ) – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 6X + 27 + 5 – 5X + 7 =

On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. 3°) Que remarquez-vous ? Quelle conjecture ( hypothèse ) pouvez-vous faire ? Démontrez-la. X 1 2 3 4 5 6 Y 39 40 41 42 43 44 45 X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y On remarque que pour les X de { 0 ; 1 ; … ; 6 } on obtient Y = X + 39 On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. Démontrons-la ( ou infirmons-la si elle s’avère fausse ) : Y = F + 7 = ( E – 5X ) + 7 = ( D + 5 ) – 5X + 7 = ( 3C ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( B – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( ( 2 A ) – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( ( 2 ( X + 5 ) ) – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( ( 2X + 10 ) – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 6X + 27 + 5 – 5X + 7 = X + 39

On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. 3°) Que remarquez-vous ? Quelle conjecture ( hypothèse ) pouvez-vous faire ? Démontrez-la. X 1 2 3 4 5 6 Y 39 40 41 42 43 44 45 X + 5→ A : 2A → B : B – 1 → C : 3C → D : D + 5 → E : E – 5X → F : F + 7 → Y On remarque que pour les X de { 0 ; 1 ; … ; 6 } on obtient Y = X + 39 On peut émettre la conjecture que Y = X + 39 pour tous les X de N. Démontrons-la ( ou infirmons-la si elle s’avère fausse ) : Y = F + 7 = ( E – 5X ) + 7 = ( D + 5 ) – 5X + 7 = ( 3C ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( B – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( ( 2 A ) – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( ( 2 ( X + 5 ) ) – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 3 ( ( 2X + 10 ) – 1 ) + 5 – 5X + 7 = 6X + 27 + 5 – 5X + 7 = X + 39 La conjecture est démontrée, elle était vraie.

Exercice 2 : un algorithme de Al Khwarizmi Voici la traduction d'un de ses écrits ( « racine » signifie « racine carrée du nombre précédent », qui est un carré x², donc la « racine » est alors x ) : « Les carrés plus les racines égaux à un nombre, c’est par exemple lorsque tu dis : un carré plus dix racines sont égaux à trente-neuf dirhams, c’est-à-dire que si on ajoute à un carré une quantité égale à dix racines, le tout sera trente-neuf. Partage en deux moitiés le nombre des racines, moitié que tu multiplies par elle-même. Ajoute à trente-neuf. Prends alors la racine de cette somme, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux, et le carré est neuf. » 1°) Déterminez l’algorithme pour que votre calculatrice l’utilise dans tous les problèmes de ce type.

1ère étape : organigramme. « Les carrés plus les racines égaux à un nombre, c’est par exemple lorsque tu dis : un carré plus dix racines sont égaux à trente-neuf dirhams, c’est-à-dire que si on ajoute à un carré une quantité égale à dix racines, le tout sera trente-neuf. Partage en deux moitiés le nombre des racines, moitié que tu multiplies par elle-même. Ajoute à trente-neuf. Prends alors la racine de cette somme, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux, et le carré est neuf. »

1ère étape : organigramme. « Les carrés plus les racines égaux à un nombre, c’est par exemple lorsque tu dis : un carré plus dix racines sont égaux à trente-neuf dirhams, c’est-à-dire que si on ajoute à un carré une quantité égale à dix racines, le tout sera trente-neuf x² + 10x = 39 . Partage en deux moitiés le nombre des racines, moitié que tu multiplies par elle-même. Ajoute à trente-neuf. Prends alors la racine de cette somme, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux, et le carré est neuf. »

1ère étape : organigramme. « Les carrés plus les racines égaux à un nombre, c’est par exemple lorsque tu dis : un carré plus dix racines sont égaux à trente-neuf dirhams, c’est-à-dire que si on ajoute à un carré une quantité égale à dix racines, le tout sera trente-neuf x² + 10x = 39 . Partage en deux moitiés le nombre des racines 10/2 = 5 , moitié que tu multiplies par elle-même. Ajoute à trente-neuf. Prends alors la racine de cette somme, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux, et le carré est neuf. »

1ère étape : organigramme. « Les carrés plus les racines égaux à un nombre, c’est par exemple lorsque tu dis : un carré plus dix racines sont égaux à trente-neuf dirhams, c’est-à-dire que si on ajoute à un carré une quantité égale à dix racines, le tout sera trente-neuf x² + 10x = 39 . Partage en deux moitiés le nombre des racines 10/2 = 5 , moitié que tu multiplies par elle-même 5 × 5 = 25. Ajoute à trente-neuf. Prends alors la racine de cette somme, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux, et le carré est neuf. »

1ère étape : organigramme. « Les carrés plus les racines égaux à un nombre, c’est par exemple lorsque tu dis : un carré plus dix racines sont égaux à trente-neuf dirhams, c’est-à-dire que si on ajoute à un carré une quantité égale à dix racines, le tout sera trente-neuf x² + 10x = 39 . Partage en deux moitiés le nombre des racines 10/2 = 5 , moitié que tu multiplies par elle-même 5 × 5 = 25. Ajoute à trente-neuf 39 + 25 = 64. Prends alors la racine de cette somme, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux, et le carré est neuf. »

1ère étape : organigramme. « Les carrés plus les racines égaux à un nombre, c’est par exemple lorsque tu dis : un carré plus dix racines sont égaux à trente-neuf dirhams, c’est-à-dire que si on ajoute à un carré une quantité égale à dix racines, le tout sera trente-neuf x² + 10x = 39 . Partage en deux moitiés le nombre des racines 10/2 = 5 , moitié que tu multiplies par elle-même 5 × 5 = 25. Ajoute à trente-neuf 39 + 25 = 64. Prends alors la racine de cette somme √64 = 8, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux, et le carré est neuf. »

1ère étape : organigramme. « Les carrés plus les racines égaux à un nombre, c’est par exemple lorsque tu dis : un carré plus dix racines sont égaux à trente-neuf dirhams, c’est-à-dire que si on ajoute à un carré une quantité égale à dix racines, le tout sera trente-neuf x² + 10x = 39 . Partage en deux moitiés le nombre des racines 10/2 = 5 , moitié que tu multiplies par elle-même 5 × 5 = 25. Ajoute à trente-neuf 39 + 25 = 64. Prends alors la racine de cette somme √64 = 8, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines 8 – 5 = 3. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux, et le carré est neuf. »

1ère étape : organigramme. « Les carrés plus les racines égaux à un nombre, c’est par exemple lorsque tu dis : un carré plus dix racines sont égaux à trente-neuf dirhams, c’est-à-dire que si on ajoute à un carré une quantité égale à dix racines, le tout sera trente-neuf x² + 10x = 39 . Partage en deux moitiés le nombre des racines 10/2 = 5 , moitié que tu multiplies par elle-même 5 × 5 = 25. Ajoute à trente-neuf 39 + 25 = 64. Prends alors la racine de cette somme √64 = 8, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines 8 – 5 = 3. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux 3² + 3 = 36 + 3 = 39, et le carré est neuf 3² = 9. »

1ère étape : organigramme. x² + 10x = 39 . Partage en deux moitiés le nombre des racines 10/2 = 5 , moitié que tu multiplies par elle-même 5 × 5 = 25. Ajoute à trente-neuf 39 + 25 = 64. Prends alors la racine de cette somme √64 = 8, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines 8 – 5 = 3. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux 3² + 3 = 36 + 3 = 39, et le carré est neuf 3² = 9. » On veut résoudre des problèmes du type « x² + bx = c »

1ère étape : organigramme. x² + 10x = 39 . Partage en deux moitiés le nombre des racines 10/2 = 5 , moitié que tu multiplies par elle-même 5 × 5 = 25. Ajoute à trente-neuf 39 + 25 = 64. Prends alors la racine de cette somme √64 = 8, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines 8 – 5 = 3. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux 3² + 3 = 36 + 3 = 39, et le carré est neuf 3² = 9. » On veut résoudre des problèmes du type « x² + bx = c » Saisir B et C

1ère étape : organigramme. x² + 10x = 39 . Partage en deux moitiés le nombre des racines 10/2 = 5 , moitié que tu multiplies par elle-même 5 × 5 = 25. Ajoute à trente-neuf 39 + 25 = 64. Prends alors la racine de cette somme √64 = 8, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines 8 – 5 = 3. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux 3² + 3 = 36 + 3 = 39, et le carré est neuf 3² = 9. » On veut résoudre des problèmes du type « x² + bx = c » Saisir B et C B/2 → D

1ère étape : organigramme. x² + 10x = 39 . Partage en deux moitiés le nombre des racines 10/2 = 5 , moitié que tu multiplies par elle-même 5 × 5 = 25. Ajoute à trente-neuf 39 + 25 = 64. Prends alors la racine de cette somme √64 = 8, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines 8 – 5 = 3. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux 3² + 3 = 36 + 3 = 39, et le carré est neuf 3² = 9. » On veut résoudre des problèmes du type « x² + bx = c » Saisir B et C B/2 → D D×D → E

1ère étape : organigramme. x² + 10x = 39 . Partage en deux moitiés le nombre des racines 10/2 = 5 , moitié que tu multiplies par elle-même 5 × 5 = 25. Ajoute à trente-neuf 39 + 25 = 64. Prends alors la racine de cette somme √64 = 8, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines 8 – 5 = 3. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux 3² + 3 = 36 + 3 = 39, et le carré est neuf 3² = 9. » On veut résoudre des problèmes du type « x² + bx = c » Saisir B et C B/2 → D D×D → E C + E → F

1ère étape : organigramme. x² + 10x = 39 . Partage en deux moitiés le nombre des racines 10/2 = 5 , moitié que tu multiplies par elle-même 5 × 5 = 25. Ajoute à trente-neuf 39 + 25 = 64. Prends alors la racine de cette somme √64 = 8, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines 8 – 5 = 3. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux 3² + 3 = 36 + 3 = 39, et le carré est neuf 3² = 9. » On veut résoudre des problèmes du type « x² + bx = c » Saisir B et C B/2 → D D×D → E C + E → F √F → G

1ère étape : organigramme. x² + 10x = 39 . Partage en deux moitiés le nombre des racines 10/2 = 5 , moitié que tu multiplies par elle-même 5 × 5 = 25. Ajoute à trente-neuf 39 + 25 = 64. Prends alors la racine de cette somme √64 = 8, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines 8 – 5 = 3. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux 3² + 3 = 36 + 3 = 39, et le carré est neuf 3² = 9. » On veut résoudre des problèmes du type « x² + bx = c » Saisir B et C B/2 → D D×D → E C + E → F √F → G G – D → H

1ère étape : organigramme. x² + 10x = 39 . Partage en deux moitiés le nombre des racines 10/2 = 5 , moitié que tu multiplies par elle-même 5 × 5 = 25. Ajoute à trente-neuf 39 + 25 = 64. Prends alors la racine de cette somme √64 = 8, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines 8 – 5 = 3. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux 3² + 3 = 36 + 3 = 39, et le carré est neuf 3² = 9. » On veut résoudre des problèmes du type « x² + bx = c » Saisir B et C B/2 → D D×D → E C + E → F √F → G G – D → H Afficher H

1ère étape : organigramme. x² + 10x = 39 . Partage en deux moitiés le nombre des racines 10/2 = 5 , moitié que tu multiplies par elle-même 5 × 5 = 25. Ajoute à trente-neuf 39 + 25 = 64. Prends alors la racine de cette somme √64 = 8, racine de laquelle tu soustrais la moitié du nombre des racines 8 – 5 = 3. Il reste trois, qui est la racine du carré que tu veux 3² + 3 = 36 + 3 = 39, et le carré est neuf 3² = 9. » On veut résoudre des problèmes du type « x² + bx = c » Saisir B et C B/2 → D D×D → E C + E → F √F → G G – D → H Afficher H 2ème étape : programme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H

3ème étape : on tape. 4ème étape : on teste avec l’exemple d’Al Khwarizmi : B = 10 et C = 39 donne X = 3 5ème étape : on utilise. B 2 8 - 8 - 6 18 6 28 - 5 C - 1 - 16 - 9 - 81 91 153 15933 - 7 X

3ème étape : on tape. 4ème étape : on teste avec l’exemple d’Al Khwarizmi : B = 10 et C = 39 donne X = 3 5ème étape : on utilise. B 2 8 - 8 - 6 18 6 28 - 5 C - 1 - 16 - 9 - 81 91 153 15933 - 7 X - 4 4 3 7 9 113 erreur

3ème étape : on tape. 4ème étape : on teste avec l’exemple d’Al Khwarizmi : B = 10 et C = 39 donne X = 3 5ème étape : on utilise. 2°) Cet algorithme marche-t-il dans tous les cas ? Déterminez la relation liant les données pour qu’il y ait une solution. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H La seule action qui ne soit pas possible parfois est l’action de calcul de √F √F = √( C + E ) = √( C + D² ) = √( C + (B/2)² ) : il faut donc avoir C + (B/2)² ≥ 0 B 2 8 - 8 - 6 18 6 28 - 5 C - 1 - 16 - 9 - 81 91 153 15933 - 7 X - 4 4 3 7 9 113 erreur

3°) Traduisez géométriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H On veut avoir X² + BX = C

3°) Traduisez géométriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H On veut avoir X² + BX = C X² est l’aire d’un carré de côté X X

3°) Traduisez géométriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H On veut avoir X² + BX = C X² est l’aire d’un carré de côté X, BX est un rectangle, X B X

3°) Traduisez géométriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H On veut avoir X² + BX = C X² est l’aire d’un carré de côté X, BX est un rectangle, on le coupe en 2, X B X D

3°) Traduisez géométriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H On veut avoir X² + BX = C X² est l’aire d’un carré de côté X, BX est un rectangle, on le coupe en 2, X B on obtient un autre carré d’aire E, X D

3°) Traduisez géométriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H On veut avoir X² + BX = C donc C est la somme de l’aire du carré et du rectangle X² est l’aire d’un carré de côté X, BX est un rectangle, on le coupe en 2, X B on obtient un autre carré d’aire E, on ajoute les deux aires … X D

3°) Traduisez géométriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H On veut avoir X² + BX = C donc C est la somme de l’aire du carré et du rectangle X² est l’aire d’un carré de côté X, BX est un rectangle, on le coupe en 2, X B/2 on obtient un autre carré d’aire E, on ajoute les deux aires , X G pour en faire un carré ! D

3°) Traduisez géométriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H On veut avoir X² + BX = C donc C est la somme de l’aire du carré et du rectangle X² est l’aire d’un carré de côté X, BX est un rectangle, on le coupe en 2, X B/2 on obtient un autre carré d’aire E, on ajoute les deux aires , X G pour en faire un carré ! On obtient X. D

4°) Traduisez algébriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H H = G – D = …

4°) Traduisez algébriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H H = G – D = √F – B/2 = …

4°) Traduisez algébriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H H = G – D = √F – B/2 = √( C + E ) – B/2 = …

4°) Traduisez algébriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H H = G – D = √F – B/2 = √( C + E ) – B/2 = √( C + D² ) – B/2 = …

4°) Traduisez algébriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H H = G – D = √F – B/2 = √( C + E ) – B/2 = √( C + D² ) – B/2 = √( C + (B/2)² ) – B/2

4°) Traduisez algébriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H H = G – D = √F – B/2 = √( C + E ) – B/2 = √( C + D² ) – B/2 = √( C + (B/2)² ) – B/2 X² + BX = [ … ]² + B[ … ]

4°) Traduisez algébriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H H = G – D = √F – B/2 = √( C + E ) – B/2 = √( C + D² ) – B/2 = √( C + (B/2)² ) – B/2 X² + BX = [ √( C + (B/2)² ) – B/2 ]² + B[ √( C + (B/2)² ) – B/2 ] = …

4°) Traduisez algébriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H H = G – D = √F – B/2 = √( C + E ) – B/2 = √( C + D² ) – B/2 = √( C + (B/2)² ) – B/2 X² + BX = [ √( C + (B/2)² ) – B/2 ]² + B[ √( C + (B/2)² ) – B/2 ] = [ ( C + (B/2)² ) –2 √(C + (B/2)²)×(B/2) + (B/2)² ] + B[√( C + (B/2)² ) – B/2 ] = …

4°) Traduisez algébriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H H = G – D = √F – B/2 = √( C + E ) – B/2 = √( C + D² ) – B/2 = √( C + (B/2)² ) – B/2 X² + BX = [ √( C + (B/2)² ) – B/2 ]² + B[ √( C + (B/2)² ) – B/2 ] = [ ( C + (B/2)² ) –2 √(C + (B/2)²)×(B/2) + (B/2)² ] + B[√( C + (B/2)² ) – B/2 ] = C + (B²/4) – √(C + (B/2)²)×B + (B²/4) + B√( C + (B/2)²) – B²/2 = …

4°) Traduisez algébriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H H = G – D = √F – B/2 = √( C + E ) – B/2 = √( C + D² ) – B/2 = √( C + (B/2)² ) – B/2 X² + BX = [ √( C + (B/2)² ) – B/2 ]² + B[ √( C + (B/2)² ) – B/2 ] = [ ( C + (B/2)² ) –2 √(C + (B/2)²)×(B/2) + (B/2)² ] + B[√( C + (B/2)² ) – B/2 ] = C + (B²/4) – √(C + (B/2)²)×B + (B²/4) + B√( C + (B/2)²) – B²/2 = C – √(C + (B/2)²)×B + B√( C + (B/2)²) = …

4°) Traduisez algébriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H H = G – D = √F – B/2 = √( C + E ) – B/2 = √( C + D² ) – B/2 = √( C + (B/2)² ) – B/2 X² + BX = [ √( C + (B/2)² ) – B/2 ]² + B[ √( C + (B/2)² ) – B/2 ] = [ ( C + (B/2)² ) –2 √(C + (B/2)²)×(B/2) + (B/2)² ] + B[√( C + (B/2)² ) – B/2 ] = C + (B²/4) – √(C + (B/2)²)×B + (B²/4) + B√( C + (B/2)²) – B²/2 = C – √(C + (B/2)²)×B + B√( C + (B/2)²) = C

4°) Traduisez algébriquement cet algorithme. ? → B : ? → C : B/2 → D : D×D → E : C + E → F : √F → G : G – D → H : H H = G – D = √F – B/2 = √( C + E ) – B/2 = √( C + D² ) – B/2 = √( C + (B/2)² ) – B/2 X² + BX = [ √( C + (B/2)² ) – B/2 ]² + B[ √( C + (B/2)² ) – B/2 ] = [ ( C + (B/2)² ) –2 √(C + (B/2)²)×(B/2) + (B/2)² ] + B[√( C + (B/2)² ) – B/2 ] = C + (B²/4) – √(C + (B/2)²)×B + (B²/4) + B√( C + (B/2)²) – B²/2 = C – √(C + (B/2)²)×B + B√( C + (B/2)²) = C La solution de Al Khwarizmi est vraie !