PRISE EN CHARGE DE LA DENUTRITION DU SUJET AGE Florence DUPRIEZ Centre de Médecine Gériatrique ORLEANS
APPORTS EQUILIBRES EN PROTIDES : au moins 15% de la ration énergétique et jusqu’ 20% si on parvient à augmenter l’apport GLUCIDES : 50 % de la ration énergétique LIPIDES : 45 %
Nutrition parentérale La plus courte possible Risque infectieux majoré Risque de troubles hydroelectrolytiques Voie veineuse de préference Produits d’osmolarité faible (inférieure à 800 mosmoles Voie centrale si durée d’alimentation parentérale de plus de 2 semaines
NUTRITION ARTIFICIELLE ET ETHIQUE Affection irréversible terminale :assurer le confort du patient et son hydratation Affection curable : traiter Réversibilité de la maladie ? Passé pathologique et autonomie ? Syndrome dépressif ? Marqueurs pronostics nutritionnels CONTRAT AVEC LE PATIENT, LA FAMILLE, LES SOIGNANTS
HYPODERMOCLYSE Traitement et prévention de la déshydratation Perfusion d’acides aminés (produits ayant une osmolarité de moins de 700 mosmoles): 500 cc maximum Traitement bref : 10 jours
EVALUATION DE LA RENUTRITION POIDS ++++ APPETIT GUERISON DES INFECTIONS CICATRISATIONSDES ESCARRES REPRISE DE LA FORCE MUSCULAIRE AMELIORATION DES MARQUEURS QUALITE DE VIE
CONCLUSION INTERVENTION NIUTRITIONNELLE RAPIDE PRIVILEGIER L’ APPORT ORAL SINON PREFERER LA NUTRITION ENTERALE SINON PROPOSER UNE NUTRITION PARENTERALE SUR VOIE PERIPHERIQUE ++ LE SUPPORT NUTRITIONNEL DOIT ETRE PROLONGE