Les Français et l’énergie Sondage Ifop pour Synopia Février 2017 N° 114406 Contacts Ifop : Jérôme Fourquet / Jean-Philippe Dubrulle Département Opinion et Stratégies d’Entreprise 01 45 84 14 44 / 06 16 97 06 01 Prenom.nom@ifop.com
La méthodologie 1
Etude réalisée par l'Ifop pour Synopia La méthodologie Etude réalisée par l'Ifop pour Synopia Echantillon Méthodologie Mode de recueil L’enquête a été menée auprès d’un échantillon de 1502 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus. La représentativité de l’échantillon a été assurée par la méthode des quotas (sexe, âge, profession de la personne interrogée) après stratification par région et catégorie d'agglomération. Les interviews ont été réalisées par questionnaire auto-administré en ligne du 18 au 20 janvier 2017.
Les résultats de l’étude 2
La régularité et le prix bon marché apparaissent comme les caractéristiques de la production d’électricité en France les plus essentielles. QUESTION : Voici cinq caractéristiques possibles pour la production d’électricité en France. De chacune de ces caractéristiques, diriez-vous qu’elle est essentielle, utile mais pas essentielle ou sans importance ? En dépit de la faible proportion de personne en mesure d’évaluer leur budget santé, les interviewés déclarent percevoir au mieux une stagnation, mais surtout une augmentation de ce budget depuis les deux dernières années, en accord avec les estimations d’UFC-Que Choisir (Etude UFC-Que Choisir sur le coût de la santé – septembre 2011) qui remarque que le coût de la santé a cru cinq fois plus vite que le revenu de la population française. Les séniors, plus au fait de leurs dépenses santé nous l’avons vu, apparaissent comme les plus sensibles à ces augmentations et dans une moindre mesure les salariés du public. En tête des augmentations de santé ressenties, on retrouve les dépenses en médicaments et les dépenses de santé diverses dont 47% respectivement estiment qu’elles ont augmenté et 42% qu’elles n’ont pas évolué. Vient ensuite le coût des consultations chez un spécialiste, dont la hausse est ressentie par 44% des personnes interrogées (jusqu’à 51% des seniors) alors que 44% les jugent stables. La constatation d’une hausse des dépenses liées à une consultation chez un médecin généraliste est moins répandue, un tiers jugeant qu’elles ont augmenté (37%) et près de la moitié qu’elles n’ont pas évolué (49%). On remarque que les personnes connaissant le budget qu’elles consacrent annuellement à la santé reconnaissent davantage que la moyenne des répondants que leurs dépenses de santé ont augmentés depuis deux ans : 53% (contre 47% en moyenne) font ce constat en ce qui concerne les dépenses de médicaments, 52% (contre 44%) pour ce qui est des consultations chez un spécialiste, 43% pour les consultations chez un généraliste (contre 37%) et 54% pour les autres dépenses de santé (contre 47%).
« Renouvelable (solaire, éolien, etc.) » L’attente des énergies renouvelables est d’abord portée par les jeunes générations. QUESTION : Voici cinq caractéristiques possibles pour la production d’électricité en France. De chacune de ces caractéristiques, diriez-vous qu’elle est essentielle, utile mais pas essentielle ou sans importance ? « Renouvelable (solaire, éolien, etc.) » En dépit de la faible proportion de personne en mesure d’évaluer leur budget santé, les interviewés déclarent percevoir au mieux une stagnation, mais surtout une augmentation de ce budget depuis les deux dernières années, en accord avec les estimations d’UFC-Que Choisir (Etude UFC-Que Choisir sur le coût de la santé – septembre 2011) qui remarque que le coût de la santé a cru cinq fois plus vite que le revenu de la population française. Les séniors, plus au fait de leurs dépenses santé nous l’avons vu, apparaissent comme les plus sensibles à ces augmentations et dans une moindre mesure les salariés du public. En tête des augmentations de santé ressenties, on retrouve les dépenses en médicaments et les dépenses de santé diverses dont 47% respectivement estiment qu’elles ont augmenté et 42% qu’elles n’ont pas évolué. Vient ensuite le coût des consultations chez un spécialiste, dont la hausse est ressentie par 44% des personnes interrogées (jusqu’à 51% des seniors) alors que 44% les jugent stables. La constatation d’une hausse des dépenses liées à une consultation chez un médecin généraliste est moins répandue, un tiers jugeant qu’elles ont augmenté (37%) et près de la moitié qu’elles n’ont pas évolué (49%). On remarque que les personnes connaissant le budget qu’elles consacrent annuellement à la santé reconnaissent davantage que la moyenne des répondants que leurs dépenses de santé ont augmentés depuis deux ans : 53% (contre 47% en moyenne) font ce constat en ce qui concerne les dépenses de médicaments, 52% (contre 44%) pour ce qui est des consultations chez un spécialiste, 43% pour les consultations chez un généraliste (contre 37%) et 54% pour les autres dépenses de santé (contre 47%).
Quatre Français sur dix seraient prêts à payer leur électricité plus cher si elle était produite localement. QUESTION : La facture moyenne d’électricité des foyers français est d’environ 750€ par an ou 65€ par mois. Seriez-vous prêt à accepter une hausse de votre facture d’électricité si elle était produite dans votre agglomération avec des énergies renouvelables ? Ensemble TOTAL OUI 42% Il apparaît que les dépenses de santé sont majoritairement précédées d’une consultation médicale : un peu moins d’un tiers (31%) des interviewés déclarent que leurs dépenses de santé sont « systématiquement » liées à une consultation et 52% que ce lien existe « souvent ». Dans seulement 3% des cas, les dépenses de santé sont indépendantes d’une consultation médicale. Le fait que les dépenses de santé découlent systématiquement d’une consultation médicale préalable tend à croître avec l’âge des personnes interrogées (allant de 15% pour les personnes âgées de 18 à 24 ans à 44% des personnes âgées de plus de 65 ans), la souscription à une mutuelle de santé jouant également un rôle important : 32% des personnes ayant souscrit à une complémentaire déclarent un lien systématique entre consultation et dépense de santé contre seulement 12% des personnes qui en sont dépourvues. A la vue du fort lien qui existe entre consultation médicale et dépenses de santé, il est peu surprenant de constater que ces dépenses proviennent dans 85% des cas d’une prescription par ordonnance. Néanmoins, malgré l’absence de remboursements, il demeure que 11% des dépenses déclarées sont imputables à un achat sans ordonnance et que 4% sont consacrés à des achats en parapharmacie. Certaines catégories de personnes font montre d’un usage plus répandu de dépenses de santé sans ordonnance : les jeunes âgés de 18 à 24 ans (20%), les habitants de la région parisienne (20%) et surtout les personnes dépourvues de mutuelle complémentaire de santé (30%). Cadres supérieurs et professions libérales Professions intermédiaires Employés Ouvriers 50% 46% 37% 35%
Une très forte propension à changer ses habitudes pour s’adapter à la production locale d’électricité notamment dans l’électorat écologiste. QUESTION : Seriez-vous prêt à faire évoluer vos habitudes de consommation pour les adapter à la production locale (vent, soleil...) ? Ensemble TOTAL OUI 87% Il apparaît que les dépenses de santé sont majoritairement précédées d’une consultation médicale : un peu moins d’un tiers (31%) des interviewés déclarent que leurs dépenses de santé sont « systématiquement » liées à une consultation et 52% que ce lien existe « souvent ». Dans seulement 3% des cas, les dépenses de santé sont indépendantes d’une consultation médicale. Le fait que les dépenses de santé découlent systématiquement d’une consultation médicale préalable tend à croître avec l’âge des personnes interrogées (allant de 15% pour les personnes âgées de 18 à 24 ans à 44% des personnes âgées de plus de 65 ans), la souscription à une mutuelle de santé jouant également un rôle important : 32% des personnes ayant souscrit à une complémentaire déclarent un lien systématique entre consultation et dépense de santé contre seulement 12% des personnes qui en sont dépourvues. A la vue du fort lien qui existe entre consultation médicale et dépenses de santé, il est peu surprenant de constater que ces dépenses proviennent dans 85% des cas d’une prescription par ordonnance. Néanmoins, malgré l’absence de remboursements, il demeure que 11% des dépenses déclarées sont imputables à un achat sans ordonnance et que 4% sont consacrés à des achats en parapharmacie. Certaines catégories de personnes font montre d’un usage plus répandu de dépenses de santé sans ordonnance : les jeunes âgés de 18 à 24 ans (20%), les habitants de la région parisienne (20%) et surtout les personnes dépourvues de mutuelle complémentaire de santé (30%). Sympathisants Front de Gauche Sympathisants Parti Socialiste Sympathisants Europe Ecologie Les Verts Sympathisants les Républicains Sympathisants du Front National 96% 92% 97% 84% 80%
Le jugement à l’égard de régions qui s’alimenteraient en électricité à partir de régions voisines. QUESTION : Si une région de France souhaite s’alimenter en électricité à partir des régions voisines plutôt que de construire des moyens de production coûteux sur son propre territoire, diriez-vous que c’est... ? Ensemble des Français En dépit de la faible proportion de personne en mesure d’évaluer leur budget santé, les interviewés déclarent percevoir au mieux une stagnation, mais surtout une augmentation de ce budget depuis les deux dernières années, en accord avec les estimations d’UFC-Que Choisir (Etude UFC-Que Choisir sur le coût de la santé – septembre 2011) qui remarque que le coût de la santé a cru cinq fois plus vite que le revenu de la population française. Les séniors, plus au fait de leurs dépenses santé nous l’avons vu, apparaissent comme les plus sensibles à ces augmentations et dans une moindre mesure les salariés du public. En tête des augmentations de santé ressenties, on retrouve les dépenses en médicaments et les dépenses de santé diverses dont 47% respectivement estiment qu’elles ont augmenté et 42% qu’elles n’ont pas évolué. Vient ensuite le coût des consultations chez un spécialiste, dont la hausse est ressentie par 44% des personnes interrogées (jusqu’à 51% des seniors) alors que 44% les jugent stables. La constatation d’une hausse des dépenses liées à une consultation chez un médecin généraliste est moins répandue, un tiers jugeant qu’elles ont augmenté (37%) et près de la moitié qu’elles n’ont pas évolué (49%). On remarque que les personnes connaissant le budget qu’elles consacrent annuellement à la santé reconnaissent davantage que la moyenne des répondants que leurs dépenses de santé ont augmentés depuis deux ans : 53% (contre 47% en moyenne) font ce constat en ce qui concerne les dépenses de médicaments, 52% (contre 44%) pour ce qui est des consultations chez un spécialiste, 43% pour les consultations chez un généraliste (contre 37%) et 54% pour les autres dépenses de santé (contre 47%).
Un fort attachement du maintien du principe de péréquation du coût de l’électricité notamment dans les zones rurales. QUESTION : En France, au nom du principe de solidarité, le tarif d’acheminement de l’électricité est identique, quelle que soit la localisation des clients sur le territoire ; ce principe de péréquation du coût de l’électricité étant destiné à ne pas pénaliser les zones rurales et isolées. Pensez-vous que ce principe... ? De plus en plus attaqué, le monopole des pharmacies sur la vente de médicaments n’est pour autant pas totalement remis en cause pas les personnes interrogées. Les résultats de cette étude, confortés par ceux d’autres enquêtes récentes mettent en lumière les limites des offres alternatives de médicaments et produits de santé en vente libre, et rappellent à ce titre le rôle majeur de conseil du pharmacien dans le processus de médication (Etude réalisée par le Réseau Carte Blanche, octobre 2011). Quand 50% des Français déclarent être prêts (dont 23% « tout à fait prêts ») à acheter certains médicaments en grande surface, l’achat en ligne de médicaments est lui bien plus controversé, seuls 18% des interviewés affirmant être disposés à utiliser ce mode de consommation contre 82% qui partagent un avis contraire. L’attractivité de cette offre parallèle divise donc les Français. Des clivages importants se font jour à ce sujet d’une catégorie de personnes à une autre. Qu’il s’agisse de grande surface ou d’Internet, la mise en place d’alternatives aux pharmacies pour l’achat de médicaments séduit particulièrement trois catégories de population : les habitants de l’agglomération parisienne (respectivement 58% et 25% se déclarent prêt à acheter leur médicaments en dehors d’une pharmacie), les personnes ne disposant pas de mutuelle (61% en ce qui concerne les grandes surfaces et 29% pour ce qui est de l’achat en ligne) ainsi que les sympathisants de droite (respectivement 59% et 22%). Parmi les principaux avantages associés à l’achat de médicaments en ligne ou en grande surface, les consommateurs potentiels mettent en avant la dimension économique et l’aspect pratique de ce type d’achat. A l’inverse, l’absence de conseils liés au produit, engendrée par un achat en grande surface, et surtout sur Internet, constitue l’obstacle majeur à cette démarche. Ces chiffres viennent ainsi à nouveau souligner le rôle prépondérant du pharmacien pour les usagers en matière de médication.