CERTIFIÉ ISO 9001 : 2000 POUR L’ENSEMBLE DE SES ACTIVITÉS RÉFÉRENCE : \\\\GRENSTO1\services$\Patrimoine\Services DGAP\03-SERVICE MAITRISE DES CHARGES\F) Energie\PSPActualisationEnergie ÉMETTEUR : M.LAPALUS/ L.BOGIRAUD DATE : 18/05/09 PSP Actualisation Volet Energie Stratégie pour la mise en œuvre du Grenelle de l’Environnement à l’OPAC38 CERTIFIÉ ISO 9001 : 2000 POUR L’ENSEMBLE DE SES ACTIVITÉS
Etat des lieux
Age du patrimoine et énergie
Cibles de la politique énergétique
Un classement concernant les consommations d’énergie primaire, utilisant les valeurs suivantes : Un autre concernant les émissions de gaz à effet de serre, avec les valeurs suivantes
Profil d’ensemble du patrimoine 41.1 % soit 9 250 logements E,F,G Source : DPE, 2170 diagnostics réalisés à fin avril 2009 représentatifs d’environ 22 500 logements (hors logements récents ou cas particuliers) Remarque : lors de sa publication, le PSP prévoyait 21% en « AML », 5% en « Démolition-renouvellement de l’offre », 10% en « vente », 64 % en « Maintenance exhaustive »
PSP et classement DPE
Quels sites sont en E,F,G (9 250 logements) Tous les sites sans chauffage structuré sauf quelques logements de Voiron-Sermorens et Voiron-Stendhal soit 560 logements 89% du patrimoine chauffé par l’électricité soit 5 100 logements avec des caractéristiques d’isolation très diverses Environ 500 logements situés à plus de 800 m d’altitude dont le classement serait D ou C s’ils étaient situés en plaine (la majeure partie en bois/fioul) 2 950 autres logements dont : 1900 au gaz naturel 650 au fioul 400 dans diverses autres énergies pour lesquels les niveaux de consommation d’énergie finale sont très élevés : l’enveloppe thermique est à traiter
Eau chaude électrique (8 900 logements) Production ECS Eau chaude électrique (8 900 logements) Eau chaude non électrique (13 600 logements) 77 % des logements avec ECS électrique sont en E, F, G 75 % des logements en E, F, G sont en ECS électrique
Ensemble du patrimoine en simple vitrage (3 500 logements) Patrimoine avec simple vitrage et chauffé par l’électricité ou le fioul ( 630 logements)
Patrimoine classé E, F, G au regard de l’énergie primaire CO2 Patrimoine classé E, F, G au regard de l’énergie primaire Ensemble du patrimoine (22 500 logements)
Consommations d’énergie et charges – ensemble du patrimoine Des sites consommateurs d’énergie primaire mais peu coûteux en charges Des sites moins prioritaires au regard des consommations d’énergie primaire mais aux charges élevées 10 600 logements présentent un niveau de charges supérieur aux moyennes (14,3 €/m².an)
Le regard de l’« orthodoxe du Grenelle » S’intéresser uniquement aux quantités d’énergie primaire consommées Traiter les sites classés E, F, G (9 200 logements) quelque soit leur altitude, leur énergie de chauffage et viser la classe C Intérêts Respect de l’esprit du Grenelle (?) et des critères de financement associés Prise en compte de l’inefficacité du chauffage électrique Impact globalement favorable vis-à-vis des charges locatives Limites Coût car les conversions énergétiques devront être privilégiées Prise en compte très partielle de la demande des habitants Ecarts par rapport aux urgences techniques Efficacité limitée vis-à-vis du CO2
Privilégier les sites aux charges locatives élevées Le regard de Sisyphe Privilégier les sites aux charges locatives élevées Traiter les logements de niveaux de charges supérieures aux moyennes (10 700 logements) Limites Evolution des prix d’énergie : efficacité remise en question dans le temps si ce n’est pas associé à une réduction des consommations d’énergie fossile Intérêts Traitement de l’urgence sociale Réponse à la demande des habitants Marges de manœuvres sur le quittancement (couple loyer+charges) Relative cohérence avec la dimension énergie primaire
Le regard du « gestionnaire » Privilégier les urgences techniques et les demandes locatives Traiter prioritairement les sites sans chauffage structuré, le simple vitrage, le chauffage électrique dans les sites construits avant 1982, les sites au fioul (5 870 logements) Et donner la priorité à la maîtrise des charges Intérêts Bonne prise en compte de la demande des habitants Réponse aux enjeux de sécurité Relative cohérence avec la dimension énergie primaire Impact relativement fort vis-à-vis du CO2 Limites Efficacité relativement limitée vis-à-vis des attendus du Grenelle
Construction de la programmation
- les besoins de financement Méthode Recours à un outil prévisionnel simplifié permettant de simulation des effets des programmes de travaux sur : - les besoins de financement - la performance énergétique par site et pour l’ensemble du patrimoine Cohérence avec les outils existants - continuité de la programmation existante gérée dans l’outil prévisionnel ABYLA (à court terme) : on ne bouleverse pas les principes et le contenu de la programmation des 2 prochaines années - mise en cohérence avec le PSP avant refonte : prise en compte de certains acquis non remis en question : problématiques patrimoniales fortes, démolition de quelques sites - utilisation de la bibliothèque de prix utilisée à la DGAP - prise en compte des résultats des diagnostics énergétiques et opérations récentes
Principes de programmation Basé sur le scénario du gestionnaire préalablement validé : « Privilégier les urgences techniques et les demandes locatives Traiter prioritairement les sites sans chauffage structuré, le simple vitrage, le chauffage électrique dans les sites construits avant 1982, les sites au fioul Et donner la priorité à la maîtrise des charges » Interventions dans la perspective du facteur 4 Combinaison de programmes thématiques et d’opérations groupées - programmes thématiques: remplacement de chaudières individuelles ou collectives, réfection de terrasse, rénovation de façades, remplacement de menuiseries (prise en compte également des interventions dans le cadre du volet « P3 » des contrats chauffage collectif) - opérations d’amélioration groupées 5 périodes considérées : 2010, 2011, 2012, 2013-2015, 2016-2020.
Bibliothèque de travaux : Hypothèses - Travaux Bibliothèque de travaux : Données validées par l’AGEDEN et l’ALE
Macro planning de la programmation
Une fiche par site
Simulation du comportement énergétique moyen du patrimoine 29% de réduction des consommations d’énergie primaire (évolution de 212 à 150 kWhEP/m² an)
Coûts des travaux Total des dépenses : 216 000 000 € dont 70 % pour l’enveloppe thermique et 30 % pour les équipements
Gain Energie Primaire 56 % des réductions de consommations d’énergie primaire sont dues à des actions d’isolation, 44 % à des interventions sur les équipements
Simulation financement – hypothèse optimiste
Simulation financement – hypothèse pessimiste
Simulation financement – hypothèse réaliste