Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Loi 161 Loi du Québec concernant le cadre Juridique des technologies de l’information. Le lundi 17 février 2003 Sept autres employés du fisc congédiés pour indiscrétion Gilbert Leduc Le Soleil Québec En 2002, le ministère du Revenu a congédié sept fonctionnaires reconnus coupables d'avoir consulté, sans autorisation, des dossiers fiscaux confidentiels. Ainsi, depuis 1999, pas moins de 32 employés du fisc ont été mis à la porte en raison de leur curiosité mal placée. En tout et partout, en 2002, 73 mesures disciplinaires différentes ont été imposées à des fonctionnaires pris en flagrant délit d'avoir transgressé le secret des dossiers fiscaux de citoyens et d'entreprises. De ce nombre, on compte 26 avertissements, 7 réprimandes, 24 suspensions de moins de 10 jours, 8 suspensions de plus de 10 jours, une fin de probation dans le cas d'un employé à statut précaire et 7 congédiements. « Soixante-treize mesures disciplinaires, c'est 26 de moins qu'en 2001 et 15 de plus qu'en 1999 », a révélé au SOLEIL la directrice des communications du ministère du Revenu, Carole Lafond. « Nos mesures de contrôle ont donné de bons résultats », a-t-elle signalé en faisant état des dispositions prises, principalement en 2001, pour sensibiliser le personnel aux sacro-saintes règles de confidentialité, pour restreindre les accès aux dossiers fiscaux et pour suivre les allées et venues des fonctionnaires dans le réseau informatique du ministère. À l'instar du ministère du Revenu, la Société de l'assurance automobile du Québec a dû faire face, au cours des dernières années, au problème de la divulgation de renseignements confidentiels par des employés et des mandataires de la SAAQ. Là aussi, un train d'initiatives a été mis de l'avant pour enrayer, dans la mesure du possible, les bris de confidentialité. La SAAQ demeure cependant discrète sur la nature des sanctions imposées à ses fonctionnaires et à ses mandataires trop curieux. « Depuis l'été 2001, sept personnes ont été sanctionnées », a indiqué l'un des porte-parole de la société, Mario St-Pierre. Invoquant la Loi sur l'accès à l'information, il n'a pas voulu donner de précisions sur l'identité de ces sept personnes — s'agissait-il de fonctionnaires ou de mandataires ? — ni sur le type de mesures disciplinaires prises contre ces individus. À la Régie de l'assurance-maladie du Québec et à la Régie des rentes du Québec — deux autres organismes gouvernementaux qui traitent une foule d'informations sur la vie des citoyens — les cas d'employés pénalisés à la suite d'une transgression du caractère confidentiel de certains renseignements sont rarissimes. « Aucun cas de mesures disciplinaires n'a été signalé en 2002 », a fait remarquer au SOLEIL l'agente d'information de la RAMQ, Nathalie Pitre. « Nous avons une rigoureuse politique de protection des renseignements personnels. Les entrées dans le système informatique de la Régie sont sévèrement contrôlées et les employés — qui doivent signer un formulaire d'engagement à la confidentialité des données — sont régulièrement informés et sensibilisés à l'importance du respect des informations confiées par les contribuables », a-t-elle signalé. À la Régie des rentes, il n'y a eu que quelques cas d'avertissements et de suspensions. « Des vérifications sont faites régulièrement pour détecter les consultations inopportunes », a fait savoir le porte-parole de la Régie, Herman Huot. « On vérifie, entre autres, les consultations effectuées en dehors des heures normales de travail, les dossiers les plus consultés et la consultation des dossiers de personnalités bien en vue ». En juin 2000, un employé a reçu un avertissement verbal à la suite de la consultation non autorisée d'une personnalité. En 2002, deux employées ont été averties par leur supérieur après avoir consulté leur dossier personnel. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme 21 juin 2001 La loi concernant le cadre juridique des technologies de l'information est adoptée à l'Assemblée nationale. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Les renseignements personnels. Objectif Encadrer l'ensemble des échanges électroniques Protéger: Les consommateurs; La vie privée; Les renseignements personnels. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Régime de responsabilité sans faute L'opérateur n'est pas responsable du contenu des documents qui circulent sur son réseau. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Exception Cependant, les prestataires de services de certification (ex. VeriSign), les titulaires visés par le certificat ainsi que la personne ou organisme qui agit en se fondant sur ce certificat risquent d'être conjointement et solidairement responsables des préjudices causés par l'inexactitude ou de l'invalidité d'un certificat. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Sécurité 6….Dans l'appréciation de l'intégrité, il est tenu compte, notamment des mesures de sécurité prises pour protéger le document au cours de son cycle de vie. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Sécurité 25. La personne responsable de l'accès à un document technologique qui porte un renseignement confidentiel doit prendre les mesures de sécurité propres à en assurer la confidentialité, notamment par un contrôle d'accès effectué au moyen d'un procédé de visibilité réduite ou d'un procédé qui empêche une personne non autorisée de prendre connaissance du renseignement ou, selon le cas, d'avoir accès autrement au document ou aux composantes qui permettent d'y accéder. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Valeur juridique des documents numériques SECTION II LA VALEUR JURIDIQUE ET L'INTÉGRITÉ DES DOCUMENTS 5. La valeur juridique d'un document, notamment le fait qu'il puisse produire des effets juridiques et être admis en preuve, n'est ni augmentée ni diminuée pour la seule raison qu'un support ou une technologie spécifique a été choisi. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Signature La loi prévoit l'identification de chacun des québécois par une signature électronique servant à signer son rapport d'impôt, sa carte d'assurance maladie ou un contrat sur le web. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme JURICERT La Fédération des ordres professionnels de juristes du Canada (FOPJC) qui regroupe le Barreau du Québec et la Chambre des notaires du Québec a créé le site http://www.juricert.com/ afin d'offrir un service d'identification numérique des parties impliquées lors des échanges Internet. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Document 3. Un document est constitué d'information portée par un support. L'information y est délimitée et structurée, de façon tangible ou logique selon le support qui la porte, et elle est intelligible sous forme de mots, de sons ou d'images. L'information peut être rendue au moyen de tout mode d'écriture, y compris d'un système de symboles transcriptibles sous l'une de ces formes ou en un autre système de symboles. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Document 3. Pour l'application de la présente loi, est assimilée au document toute banque de données dont les éléments structurants permettent la création de documents par la délimitation et la structuration de l'information qui y est inscrite. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Article 3 Suite de l’article 3 Un dossier peut être composé d'un ou de plusieurs documents. Les documents sur des supports faisant appel aux technologies de l'information visées au paragraphe 2º de l'article 1 sont qualifiés dans la présente loi de documents technologiques. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Article 3 Article 1. La présente loi a pour objet d'assurer : Paragraphes: 1º la sécurité juridique des communications effectuées par les personnes, les associations, les sociétés ou l'État au moyen de documents quels qu'en soient les supports ; 2º la cohérence des règles de droit et leur application aux communications effectuées au moyen de documents qui sont sur des supports faisant appel aux technologies de l'information, qu'elles soient électronique, magnétique, optique, sans fil ou autres ou faisant appel à une combinaison de technologies ; 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Conservation §2. -- La conservation du document 19. Toute personne doit, pendant la période où elle est tenue de conserver un document, assurer le maintien de son intégrité et voir à la disponibilité du matériel qui permet de le rendre accessible et intelligible et de l'utiliser aux fins auxquelles il est destiné. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Consultation §3. -- La consultation du document 23. Tout document auquel une personne a droit d'accès doit être intelligible, soit directement, soit en faisant appel aux technologies de l'information. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Transmission §4. -- La transmission du document 28. Un document peut être transmis, envoyé ou expédié par tout mode de transmission approprié à son support, à moins que la loi n'exige l'emploi exclusif d'un mode spécifique de transmission. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Lien CHAPITRE III L'ÉTABLISSEMENT D'UN LIEN AVEC UN DOCUMENT TECHNOLOGIQUE SECTION I LE CHOIX DES MOYENS POUR ÉTABLIR LE LIEN 38. Le lien entre une personne et un document technologique, ou le lien entre un tel document et une association, une société ou l'État, peut être établi par tout procédé ou par une combinaison de moyens dans la mesure où ceux-ci permettent : 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
LES MODES D'IDENTIFICATION ET DE LOCALISATION Certificat CHAPITRE III SECTION II LES MODES D'IDENTIFICATION ET DE LOCALISATION 40. La personne qui, après vérification, est en mesure de confirmer l'identité d'une personne ou l'identification d'une association, d'une société ou de l'État peut le faire au moyen d'un document, entre autres un certificat, dont l'intégrité est assurée. Ce document peut être transmis sur tout support, mais les renseignements confidentiels qu'il est susceptible de comporter doivent être protégés. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Intégrité physique Nul ne peut exiger que l'identité d'une personne soit établie au moyen d'un procédé ou d'un dispositif qui porte atteinte à son intégrité physique. À moins que la loi le prévoie expressément en vue de protéger la santé des personnes ou la sécurité publique, nul ne peut exiger qu'une personne soit liée à un dispositif qui permet de savoir où elle se trouve. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Identifications biométriques Nul ne peut exiger, sans le consentement exprès de la personne, que la vérification ou la confirmation de son identité soit faite au moyen d'un procédé permettant de saisir des caractéristiques ou des mesures biométriques. L'identité de la personne ne peut alors être établie qu'en faisant appel au minimum de caractéristiques ou de mesures permettant de la relier à l'action qu'elle pose et que parmi celles qui ne peuvent être saisies sans qu'elle en ait connaissance. Tout autre renseignement concernant cette personne et qui pourrait être découvert à partir des caractéristiques ou mesures saisies ne peut servir à fonder une décision à son égard ni être utilisé à quelque autre fin que ce soit. Un tel renseignement ne peut être communiqué qu'à la personne concernée et seulement à sa demande. Ces caractéristiques ou mesures ainsi que toute note les concernant doivent être détruites lorsque l'objet qui fonde la vérification ou la confirmation d'identité est accompli ou lorsque le motif qui la justifie n'existe plus. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Obligation 45. La création d'une banque de caractéristiques ou de mesures biométriques doit être préalablement divulguée à la Commission d'accès à l'information. De même, doit être divulguée l'existence d'une telle banque qu'elle soit ou ne soit pas en service. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Pouvoir de la Commission de l’accès à l’information 45. … La Commission peut rendre toute ordonnance concernant de telles banques afin d'en déterminer la confection, l'utilisation, la consultation, la communication et la conservation y compris l'archivage ou la destruction des mesures ou caractéristiques prises pour établir l'identité d'une personne. La Commission peut aussi suspendre ou interdire la mise en service d'une telle banque ou en ordonner la destruction, si celle-ci ne respecte pas ses ordonnances ou si elle porte autrement atteinte au respect de la vie privée. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
§1. -- Les certificats et les répertoires Certification SECTION III LA CERTIFICATION §1. -- Les certificats et les répertoires 47. Un certificat peut servir à établir un ou plusieurs faits dont la confirmation de l'identité d'une personne,… d'une société, d'une association ou de l'État, de l'exactitude d'un identifiant d'un document…, de l'existence de certains attributs d'une personne, …ou encore du lien entre eux et un dispositif d'identification ou de localisation tangible ou logique. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Certificat d’attribut Article 47 suite Un certificat d'attribut peut, à l'égard d'une personne, servir à établir notamment sa fonction, sa qualité, ses droits, pouvoirs ou privilèges au sein d'une personne morale, d'une association, d'une société, de l'État ou dans le cadre d'un emploi. Il peut, …établir leur localisation. À l'égard d'un document ou d'un autre objet, il peut servir à confirmer l'information permettant de l'identifier ou de le localiser ou de déterminer son usage ou le droit d'y avoir accès ou tout autre droit ou privilège afférent. L'accès au certificat d'attribut relatif à une personne doit être autorisé par celle-ci ou par une personne en autorité par rapport à elle. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Contenu Le certificat doit au moins comprendre les renseignements suivants : 1º le nom distinctif du prestataire de services qui délivre le certificat ainsi que sa signature ; 2º la référence à l'énoncé de politique du prestataire de services de certification, y compris ses pratiques, sur lequel s'appuient les garanties qu'offre le certificat qu'il délivre ; 3º la version de certificat et le numéro de série du certificat ; 4º le début et la fin de sa période de validité ; 5º s'il s'agit d'un certificat confirmant l'identité d'une personne, l'identification d'une association, d'une société ou de l'État, leur nom distinctif ou, selon le cas, s'il s'agit d'un certificat confirmant l'exactitude de l'identifiant d'un objet, cet identifiant ; 6º s'il s'agit d'un certificat d'attribut, la désignation de l'attribut dont le certificat confirme l'existence et, au besoin, l'identification de la personne, de l'association, de la société, de l'État ou de l'objet auquel il est lié. Le nom distinctif d'une personne physique peut être un pseudonyme, mais le certificat doit alors indiquer qu'il s'agit d'un pseudonyme. Les services de certification sont tenus de communiquer le nom de la personne à qui correspond le pseudonyme à toute personne légalement autorisée à obtenir ce renseignement. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme En cas de vol et la personne autorisée qui doit aviser le titulaire et les personnes visées aux paragraphes 2º et 3º. 58. Le titulaire qui a des motifs raisonnables de croire que le dispositif a été volé ou perdu ou que sa confidentialité est compromise doit aviser, dans les meilleurs délais : 1º la personne qu'il a autorisée à utiliser le dispositif ; 2º le tiers dont il peut raisonnablement croire qu'il agit en se fondant sur le fait que le dispositif a été utilisé par la personne qui en a le droit ; 3º le prestataire de services de certification pour que celui-ci puisse suspendre ou annuler le certificat lié au dispositif. … Il est interdit d'utiliser un dispositif, tangible ou logique, pour signer un document sachant que le certificat auquel le dispositif est lié est suspendu ou annulé. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Harmonisation CHAPITRE IV LA MISE EN OEUVRE DES INFRASTRUCTURES TECHNOLOGIQUES ET JURIDIQUES SECTION I L'HARMONISATION DES SYSTÈMES, DES NORMES ET DES STANDARDS TECHNIQUES 63. Pour favoriser l'harmonisation, tant au plan national qu'international, des procédés, des systèmes, des normes et des standards techniques mis en place pour la réalisation des objets de la présente loi, un comité multidisciplinaire est constitué. À cette fin, le gouvernement, après consultation du Bureau de normalisation du Québec, fait appel à des personnes … 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Valeur archivistique, historique ou patrimoniale En outre des normes de substitution qu'il peut édicter en vertu de l'article 67, le gouvernement peut déterminer par règlement : 1º des critères qui permettent de reconnaître qu'un document présente, sur son support d'origine, une valeur archivistique, historique ou patrimoniale ; 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Copie SECTION VII DES COPIES ET DES DOCUMENTS RÉSULTANT D'UN TRANSFERT 2841. La reproduction d'un document peut être faite soit par l'obtention d'une copie sur un même support ou sur un support qui ne fait pas appel à une technologie différente, soit par le transfert de l'information que porte le document vers un support faisant appel à une technologie différente. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme Ontario La loi 88 de l'Ontario sur le commerce électronique est entrée en vigueur le 16 octobre 2000. Les signatures et contrats sur Internet ont le même statut que dans le monde du papier. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme États-Unis La Chambre des représentants américaine a adopté le 14 juin 2000 un projet de loi reconnaissant la validité juridique de la signature électronique. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme
Droit commercial international Il existe une loi type sur le commerce électronique qui a été élaborée par la Commission des Nations-Unis pour le droit commercial international. 2018-09-21 Reproduction interdite sans l'autorisation écrite de Michel Laflamme