Réalisé par : Yahiaoui med salah Derradji yassine Boughadda salah eddine LES VOIES URBAINE
Introduction Les voies urbaines : _ Etymologie et origine _Les voies et l’urbanisme _Les voies urbaines (interactions) Les tracés (les différents formes) _Les types des voies urbaines _Conception des tracés La trame routière La hiérarchisation des voies urbaines _ La hiérarchisation des voies _ Comment hiérarchiser les vois ? L’emprise des voies urbaines conclusion
La ville, c’est bien l’habitation, les équipements et les espaces libres, mais la communication entre n’importe quels points dans une ville n'est généralement pas directe et elle doit s'effectuer par des voies intermédiaires, donc la voie est un élément animateur, moteur et structurant de la ville. En 1933, Le Corbusier présente, au congrès d'Athènes, sa théorie de « la ville fonctionnelle ». Le système viaire est requalifié selon la vitesse et hiérarchisé suivant trois fonctions fondamentales : l'habitat, le travail et le loisir.
Voie : du latin via, « voie » qui désigne un espace à parcourir pour aller quelque part. Tout espace du domaine public destiné à la circulation dans la ville. Urbaine : du latin urbanus, « de la ville ». Voies urbaines : des voies à l'intérieur d'une agglomération (rue, avenue, boulevard, etc.) Urbaine : du latin urbanus, « de la ville ». Voies urbaines : des voies à l'intérieur d'une agglomération (rue, avenue, boulevard, etc.) Partie d'une route de la largeur d'un véhicule ex : Route à trois, quatre voies (LeRobert).
L’organisation des voies devra aussi être prise en compte à travers les politiques d’urbanisme : maintenir une densité de bâti, surveiller les implantations des services,tant que le schéma d’urbanisme n’évolue pas et donc que la voie n’évolue pas. le milieu urbain est influencé par la typologie de voies selon l’emprise dans une logique de développement urbain (voies rapides urbaines, boulevards, avenues, rues...) ; par la typologie de voie selon la nature du bâti riverain (en retrait, en alignement, hauteur,...); par une analyse multicritères intégrant les multiples usages et besoins de l’espace public. Plus qu’une simple mesure réglementaire, c’est un concept qui définit le lien entre la limitation de vitesse, l’aménagement de la voirie et la fonction sociale de la rue, dans un objectif de sécurité pour tous les modes de déplacements.
L’histoire Le paysage Le climat L’histoire Le paysage Le climat La ville La forme urbaine L’architecture Les espaces publics La ville La forme urbaine L’architecture Les espaces publics La vie locale L’économie La vie locale L’économie La sécurité Les nuisances Le confort Le niveau de service La sécurité Les nuisances Le confort Le niveau de service La domanialité L’exploitation La domanialité L’exploitation Les déplacements Les trafics Les déplacements Les trafics LES VOIES
Il est élaboré de manière à concilier plusieurs impératifs : S’inscrire dans le contexte générale du site S’inscrire dans le tissu urbain Assurer la fluidité des diffèrent flux Réduire la vitesse et augmente la sécurité des usagers (chicanes,courbes) Adapter les rayons des courbes aux véhicules Il existe dés l’antiquité deux types deux tracées: -le plan libre(voies irrégulières) -le plan orthonormé(découpage perpendiculaire ),délimite les ilots rectangulairement suivant deux axes =>le cas de HAMLA -plus un plan radioconcentrique( l’organisation des ilots autours d’un centre, marché,lieu de culte…)
On distingue trois types de routes principales interurbaines : Les routes de type L, dites de grande liaison, sont les "autoroutes". Les routes de type T, dites de transit, pour lesquelles la fonction d'écoulement du trafic de transit à moyenne ou grande distance est privilégiée, sont les "routes express à une chaussée" Les routes de type R, dites multifonctionnelles, constituent l'essentiel des réseaux des voies principales de rase campagne ; A chacun de ces types de voies, on associera une vitesse dite de référence. Ainsi une route de catégorie R80 sera une route multifonction avec comme vitesse de référence 80 km/h.
Les voies urbaines les autoroutes et voiries rapides urbaines qui n’ont qu’une fonction circulatoire. On parlera de mono fonctionnalité. Elles assurent les liaisons entre les villes ; leur vocation première est de contourner la ville dense. Elles sont en général limitées à 110 voire 90 km/heure. les autoroutes et voiries rapides urbaines qui n’ont qu’une fonction circulatoire. On parlera de mono fonctionnalité. Elles assurent les liaisons entre les villes ; leur vocation première est de contourner la ville dense. Elles sont en général limitées à 110 voire 90 km/heure. Les artères urbaines. Ce sont les grandes avenues, les boulevards qui assurent les liaisons inter quartiers. C’est le réseau primaire de l’agglomération Les vitesses autorisées sont 50 ou 70 km/h. Les artères urbaines. Ce sont les grandes avenues, les boulevards qui assurent les liaisons inter quartiers. C’est le réseau primaire de l’agglomération Les vitesses autorisées sont 50 ou 70 km/h. La voie de distribution représente la rue classique : trottoirs et chaussée. Vie locale et circulation sont équilibrées. Les voies de distribution devraient constituer l’ossature des quartiers. On parle de mixité de fonction et la vitesse est généralement limitée à 50 km/h. La voie de distribution représente la rue classique : trottoirs et chaussée. Vie locale et circulation sont équilibrées. Les voies de distribution devraient constituer l’ossature des quartiers. On parle de mixité de fonction et la vitesse est généralement limitée à 50 km/h. les voies de desserte la fonction circulation disparaît devant celle de la vie locale. Les fonctions sont mélangées. Les voitures sont admises mais elles ne se sentent pas propriétaires du lieu. La bonne vitesse est 30 km/h les voies de desserte la fonction circulation disparaît devant celle de la vie locale. Les fonctions sont mélangées. Les voitures sont admises mais elles ne se sentent pas propriétaires du lieu. La bonne vitesse est 30 km/h
La rue occupe une certaine emprise, possède un tracé, un profil en long, et un profil en travers : la rue peut être droite, sinueuse, avec des décrochements. Elle est composée d’une chaussée, de trottoirs, et éventuellement de terre- pleins, centraux, latéraux, plantés ou non, de voies latérales de desserte, et d’autres aménagements de circulation destinés aux bus, aux cycles et au stationnement. Hamla
Pour le cas étudier Hamla,elle présente une trame régulière (en damier),mais qui pose un problème au niveau des route principale liés aux route national, une circulation gênante créer au niveau de ces nœuds
La rue constitue un élément stable dont l’enchevêtrement, c’est-à-dire la trame viaire, est le facteur déterminant du plan des villes et exprime les modalités d’une urbanisation planifiée globale ou organisée à l’échelle d’une unité foncière. La transformation de la voie express participerait par ailleurs à augmenter la capacité globale du réseau viaire par la mise en place d’un maillage de voies qui rendent accessibles les éléments structurants d’une ville.
La hiérarchisation de la voirie est un moyen de représenter un réseau de voies à partir de plusieurs critères préalablement définis. Elle est un outil d’analyse, répondant à un besoin de classification et d’organisation du réseau de circulation. Elle peut aussi servir ensuite lors de la programmation des aménagements, à laquelle elle sert de référence. Elle permet ainsi d’obtenir une plus grande cohérence entre classes de voies et donc par une meilleure lisibilité du réseau pour les usagers. Elle doit s’intéresser à tous les modes de déplacement et veiller à la bonne cohabitation des usages et des usagers du réseau. La hiérarchisation de la voirie est un moyen de représenter un réseau de voies à partir de plusieurs critères préalablement définis. Elle est un outil d’analyse, répondant à un besoin de classification et d’organisation du réseau de circulation. Elle peut aussi servir ensuite lors de la programmation des aménagements, à laquelle elle sert de référence. Elle permet ainsi d’obtenir une plus grande cohérence entre classes de voies et donc par une meilleure lisibilité du réseau pour les usagers. Elle doit s’intéresser à tous les modes de déplacement et veiller à la bonne cohabitation des usages et des usagers du réseau. Pour le cas étudier, la zone de Hamle présente trois types de voies par hiérarchie=>voies primaire (structurante), secondaire (distribution), tertiaire (desserte)
Les formes de hiérarchisation Les formes de hiérarchisation par maître d’ouvrage : Route Nationale (RN), route Départementale (RD), voie communale (VC) Pour les voies en milieu urbain, les formes de hiérarchisation sont encore plus complexes. À celles existantes pour les routes interurbaines, s’ajoutent des hiérarchisations : fonctionnelle selon le type de liaison, par exemple : voies primaire (structurante), secondaire (distribution), tertiaire (desserte) fonctionnellement : par classe de trafic (volume) par classe de vitesse (130, 110, 90, 70, 50, 30, 20)
circulation Vie locale Autoroute urbaine Circulation rapide Transit Assure les échanges est/int de la ville v=90/110 Monofonctionalité Artères urbaines Circulation importante Mélange transit/échange/ interquartier/ Desserte avenue/boullevard/grand V=50/70 rues Mixité des fonctions Voies de distribution Vie local et circulation V=30/50 Mixité des fonctions Voies et rues banales de la ville Voies de desserte La circulation se restreint a la desserte local Mélange de fonction V<30 aires piétonnes Rues très commerce Cours urbaine Voies piétonne Quart résidentielles
La hiérarchisation repose de plus en plus sur la prise en compte de deux fonctions principales, la fonction « circulation » et la fonction « vie locale ». On définit la classe de voie selon la préférence accordée à telle ou telle fonction. Les caractéristiques souhaitées pour ces classes doivent correspondre aux objectifs suivants: partage de la voiries. sécurité des usagers. Les mesures correspondantes relèvent généralement de dispositifs de modération de vitesse. La hiérarchisation repose de plus en plus sur la prise en compte de deux fonctions principales, la fonction « circulation » et la fonction « vie locale ». On définit la classe de voie selon la préférence accordée à telle ou telle fonction. Les caractéristiques souhaitées pour ces classes doivent correspondre aux objectifs suivants: partage de la voiries. sécurité des usagers. Les mesures correspondantes relèvent généralement de dispositifs de modération de vitesse.
Pour ce qui qui concerne la largeur d’une voie, les réglementations généralement ne fixe pas de minimum. Il convient en effet de ne pas sur- dimensionner les voies si l’on veut maintenir des vitesses modérées et assurer ainsi un bon niveau de sécurité.
Le réseau d’échanges et de grands axes interquartiers permet d’assurer non seulement des liaisons entre l’agglomération et les territoires voisins, mais également entre les grands quartiers (ou pôles) de l’agglomération. Les voies permettent des circulations douces en espace partagé et assurent des voies dédiées donnant la priorité au bus afin de relier les grands équipements de quartiers et intercommunautaires, les zones d’activités ou les villages. Elles traversent le plus souvent des milieux bâtis ou semi-bâtis.
Les voies assurent des liaisons entre les quartiers d’une même commune. Le milieu bâti est très présent. Ces voies desservent des équipements de quartiers, des secteurs commerçants. Elles sont profilées par un espace partagé pour les modes doux, du stationnement latéral des deux côtés de la voie et d’une voie de circulation dans chaque sens.
Le réseau de collecte capte les réseaux d’ilotage. Il dessert les espaces bâtis avec une présence résidentielle et commerçante fortes. Elles se caractérisent dans le profil 1 par des aménagements de trottoirs distincts des circulations vélos qui elles-mêmes sont séparées physiquement et positionnées à côté de la circulation générale. Les voies sont profilées en une voie de circulation par sens.
Il s’agit d’une desserte purement locale. Le milieu bâti est essentiellement de type résidentiel avec peu d’équipements et très contraint. Les voies se composent de trottoirs, d’une voie de stationnement et d’une voie de circulation par sens. Le niveau de trafic sur ces voies sont faibles. Ce sont de véritables espaces partagés où chaque mode (vélos, voitures...) doit avoir sa place.
Les signalisations routières sont nécessaires pour pouvoir s’orienter facilement. L’installation de sièges fixes et de bancs en bordure des itinéraires piétons est vivement recommandée pour autant qu’ils ne gênent pas la circulation piétonne, un siège est recommandé à chaque 50 à 200 m, suivant les endroits et leur fréquentation. Des poubelles doivent être placées sur les trottoirs, afin d’avoir un environnement propre et sain (situées à 0.8 m du sol au max). Il est conseillé de planter des arbres sur les trottoirs pour rafraichir l’air de la ville et créer un beau paysage. veiller à avoir des voies éclairées de façon uniforme (éclairage publique). Le mobilier urbain:
La maitrise de l’organisation du système viaire est un des principaux critères de la réussite d’une planification urbaine à répondre aux besoins des habitants d’une ville, mais aussi la conscience des usagers apporte une amélioration au cadre de vie. Donc il est indispensable de respecter les décrets qui concernent les voies: le mode et les endroits de stationnement, les plaques et les signalisation routières…etc, et d’éviter des comportements tels que le fait d'embarrasser la voie publique en y déposant des déchets ou y laissant sans nécessité des matériaux ou objets quelconques qui entravent ou diminuent la liberté ou la sûreté de passage.